Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
En gros plan sur la vidéo diffusée par Ouest-France, et donc à proximité immédiate du caméraman, il me semble reconnaître la pourriture André Garçon du NPA de Brest, pour qui tous les morts n’ont pas la même valeur, et toutes les vies non plus.
Il porte à la fois le keffieh et le drapeau ukrainien. Heureusement pour lui, le ridicule ne tue pas. Par contre, ses saloperies, oui, et c’est bien ce qu’il veut à chaque fois, comme tous ses complices.
La vidéo du Télégramme est aussi intéressante, elle montre un défilé où Poutine est représenté en diable à cornes rouges… également visible sur les images publiées hier par Ouest-France.
Un message de paix a été envoyé au peuple ukrainien depuis Brest (Finistère), samedi 26 février 2022. En début d’après-midi, les drapeaux bleu et jaune flottaient dans les airs sur la place de la Liberté. Plus de 1 000 personnes se sont rassemblées pour apporter leur soutien aux Ukrainiens, alors que le conflit avec la Russie s’intensifie.
Alors que la foule se massait devant la mairie, l’hymne ukrainien (« Chtche ne vmerla Oukraïna », « l’Ukraine n’est pas morte ») a résonné. Un moment solennel durant lequel certains Ukrainiens n’ont pu contenir leurs larmes.
VIDÉO. À Brest, l’hymne ukrainien résonne sur la place de la Liberté
À Brest, environ 1 500 personnes rassemblées en soutien à l’Ukraine [En images]
Publié le 26 février 2022 à 15h45 Modifié le 26 février 2022 à 16h00
L’hymne ukrainien chanté à Brest
Plus d’un millier de personnes ont arpenté les rues du centre-ville de Brest en soutien à l’Ukraine, aujourd’hui frappé par l’invasion de l’armée russe.
Du bleu et du jaune à perte de vue. À Brest, environ 1 500 personnes ont arpenté les rues du centre-ville en soutien à la cause ukrainienne, ce samedi 26 février, pendant près de deux heures. Le rassemblement, initié par le collectif finistérien pour l’interdiction des armes nucléaires (Cian 29) et accompagné par de nombreuses associations et des hommes politiques a débuté par des prises de paroles sur la place de la Liberté.
Des mères de famille ukrainiennes, installées à Brest depuis plusieurs années, ont raconté l’horreur du quotidien de leurs proches depuis jeudi 24 février. Le cortège a défilé dans les rues du centre-ville au son des « Poutine assassin » et « Liberté pour l’Ukraine ». Les participants ont déjà prévu de se retrouver la semaine prochaine pour un nouveau rassemblement.
EN IMAGES. À Brest, plus de 1 000 personnes défilent pour la paix en Ukraine
« Poutine assassin ! Gloire à l’Ukraine ! » Ce samedi 26 février 2022, les Brestois sont venus en nombre apporter leur soutien aux Ukrainiens, alors que le conflit avec la Russie s’intensifie.
La marche pour l’Ukraine à Brest, samedi 26 février 2022. | OUEST-FRANCE
Ouest-France Julia TOUSSAINT. Publié le 26/02/2022 à 16h02
Les rues de Brest sont parées de jaune et bleu, ce samedi 26 février 2022. Alors que le conflit avec la Russie s’aggrave et aurait déjà fait près de 200 victimes civiles, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées en début d’après-midi, drapeau sur le dos et pancarte à la main, place de la Liberté. Cette marche était à l’initiative du collectif finistérien pour l’interdiction des armes nucléaires (CIAN29).
La manifestation a débuté vers 14 h, place de la Liberté à Brest. | OUEST-FRANCE
Des membres du collectif, puis des Brestois d’origine ukrainienne, ont pris la parole devant une foule d’au moins 500 personnes. Comme Sofia, qui vit en France depuis 2008, émue aux larmes au moment de se saisir du micro : « C’est la première fois que je m’exprime comme ça en public… Je veux dire que nous résistons, que nous sommes fiers de notre peuple et de notre armée ».
« Je suis terrifiée »
Une représentante du CIAN 29 enjoint les pays européens à « accueillir de manière digne les réfugiés ukrainiens », et exprime son inquiétude vis-à-vis de l’utilisation de l’arme atomique : « Les puissances nucléaires se défient et n’hésitent plus à se menacer ».
Kristina, marionnettiste d’origine biélorusse de 33 ans, n’aurait jamais cru vivre ça de son vivant : « C’est épouvantable, et je suis terrifiée. J’ai des amis en Russie qui manifestent eux aussi, mais je suis inquiète, ils prennent des risques ».
Marche pour l’Ukraine à Brest, samedi 26 février 2022. | OUEST-FRANCE
Moment solennel à l’heure de diffuser l’hymne ukrainien « Chtche ne vmerla Oukraïna » (« l’Ukraine n’est pas morte ») sur la place de la Liberté. Certains Ukrainiens peinent à contenir leurs larmes.
Le nombre de participants a grossi au fil de la marche. | OUEST-FRANCE
La marche s’est tenue à l’appel du CIAN29. | OUEST-FRANCE
Le cortège s’est ensuite mis en route pour descendre la rue de Siam, scandant « Poutine assassin, gloire à l’Ukraine ! » .
De nombreux Brestois qui profitaient du soleil cet après-midi-là ont rejoint le cortège, ne serait-ce que pour marcher quelques mètres. Quelques minutes plus tard, ils étaient au moins un millier. « On est venus pour exprimer notre solidarité envers les Ukrainiens », témoigne Maïwenn. « Je ressens de l’inquiétude, pour eux, pour nous, et surtout un grand sentiment d’impuissance », ajoute son amie Charlotte.
Charlotte et Maïwenn se sont jointes au cortège. | OUEST-FRANCE
Sofia reste en tête de cortège, tenant la grande banderole « non à la guerre en Ukraine ». Elle raconte n’avoir pas dormi de la nuit, trop inquiète pour ses parents vivant à Odessa en Ukraine et pour ses amis à Kiev : « On parle sur Facebook et WhatsApp. J’ai peur d’aller dormir, car je ne sais pas ce que je verrais sur mon téléphone en me réveillant. »
Sofia vit à Brest depuis 2011. Ses parents vivent en Ukraine. | OUEST-FRANCE
Au moins 1 000 personnes ont défilé, drapeaux sur le dos et pancarte en main. | OUEST-FRANCE
La communauté ukrainienne de la région brestoise, qui compterait quelque 200 familles, remercie à plusieurs reprises la solidarité des locaux et répète, encore et encore, qu’ils ne « lâcheront rien pour défendre leur pays ».
Orange avec Media Services, publié le lundi 21 février 2022 à 08h32
Selon une enquête de Mediapart, le candidat communiste à la présidentielle a occupé un emploi en tant qu’attaché parlementaire auprès du député du Nord Jean-Jacques Candelier dont il est toutefois incapable de fournir les preuves.
Fabien Roussel dans la tourmente. Le candidat du PCF à la présidentielle est mis en cause dans une longue enquête publiée par le site d’investigation Mediapart dimanche 20 février.
Celui-ci a travaillé en tant qu’attaché parlementaire pour le député du Nord Jean-Jacques Candelier de 2009 à 2014. Le hic ? Aucune trace de ce travail rémunéré n’a pu être retrouvée par le media alors que Fabien Roussel était dans le même temps très actif pour le compte du PCF.
Fabien Roussel a-t-il bénéficié d’un emploi fictif ? »Mon travail figure sur mon site internet depuis quelques mois, depuis que je suis candidat, en toute transparence », a-t-il déclaré d’emblée au micro d’Europe 1. « Il n’y a aucune révélation là-dessus », lâche-t-il.
« J’ai travaillé pendant ces cinq années avec Jean-Jacques Candelier, avec les collègues. Jean-Jacques comme eux pourront témoigner. (…) Mon travail est dans tous les discours, les questions écrites, les combats, les lois menées par Jean-Jacques Candelier », s’est défendu Fabien Roussel lundi 21 février, invité d’Europe 1.
« J’ai les documents de combats que nous avons menés ensemble »
« J’ai été avec lui pour suivre des conflits dans le Douaisis, la gare fret de Somain… J’ai les documents du travail que j’ai fait avec lui sur ces sujets avec des syndicalistes. Les pneus de ma voiture s’en souviennent tellement j’ai roulé, tellement j’étais présent », a-t-il ajouté. « J’ai les documents des combats que nous avons menés ensemble », a-t-il répété. « Je n’ai pas que des amis », explique-t-il encore pour justifier les témoignages recueillis par Mediapart à son encontre.
Une action au PCF à titre « militant et bénévole »
« J’irriguais ses travaux, ses discours, ses questions au gouvernement, de mon travail avec les acteurs sociaux et politiques du département et de sa circonscription. Je me déplaçais sur les lieux de lutte, rencontrais les militants politiques, syndicaux, associatifs et les salariés afin de nourrir l’action et l’ancrage de terrain de mon député », a réagi Fabien Roussel dans les colonnes de Mediapart. Quid du temps donné au PCF ? Une action à « titre militant et bénévole » répond-t-il.
Fabien Roussel « travaillait sur les dossiers importants de l’Assemblée nationale », a témoigné auprès de Mediapart Jean-Jacques Candelier, sans toutefois fournir des preuves du travail du communiste. Lors d’une discussion évoquée par le media en ligne, l’ancien patron aurait évoqué la situation »pas trop nette » de son assistant.
Dans un communiqué publié lundi 21 février, Jean-Jacques Candelier s’est dit « surpris et indigné » par l’article de Mediapart. Fabien Roussel »était un collaborateur précieux et efficace, sur le terrain, constamment en relation avec de nombreux acteurs syndicaux, des élus, des habitants », affirme l’ex-député, selon qui il « avait une connaissance très fine de la situation économique et sociale » et « des liens étroits avec de nombreux acteurs du territoire ».
« J’ai fini à 2.700 euros »
Pourquoi celui-ci n’a-t-il pas fourni de justificatifs de ce travail à Mediapart ? « Ils m’ont demandé des SMS d’il y a dix ans, je ne les ai plus, des mails datant de cette époque, je ne les ai pas », admet-il sur Europe 1. Selon l’enquête, Fabien Roussel aurait touché 3.000 euros net par mois pour ce travail. »J’ai les documents pour présenter mon salaire. J’ai commencé à 2.460 euros nets en 2009, j’ai fini à 2.700 euros », a-t-il déclaré.
Devant Christiane Taubira et Anne Hidalgo dans les sondages, le candidat PCF a d’ores et déjà obtenu ses 500 parrainages pour se présenter à la présidentielle.
Marine Le Pen suspend sa campagne « jusqu’à l’obtention des parrainages » pour la présidentielle
La candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen, a décidé de suspendre sa campagne jusqu’à l’obtention des 500 parrainages.
La rédaction Publié le 22/02/2022 à 11:57, mis à jour le 22/02/2022 à 12:04
Marine Le Pen dans le studio du groupe Nice-Matin. Photo Dylan Meiffret
A la peine dans sa quête des 500 parrainages pour pouvoir se présenter à l’élection présidentielle, Marine Le Pen a décidé de suspendre sa campagne de terrain jusqu’à l’obtention des signatures.
Marine Le Pen devait présenter ce mercredi son programme sur l’éducation avant de se déplacer dans la Somme samedi 26 février. Ces événements sont, pour l’heure, reportés.
La candidate du RN peine à rassembler les 500 parrainages nécessaires pour se présenter officiellement à l’élection présidentielle, il lui en manque aujourd’hui une cinquantaine d’après ses équipes.
Selon le Conseil constitutionnel, Marine Le Pen avait, jeudi 18 février, 366 parrainages validés.
Pour le Télégramme, il rame, et pour Ouest-France, il fait salle comble, c’est un mec super…
MDR !!!
Pour mémoire : Ouest-France n’a jamais rien publié sur le procès que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest avait organisé à mon encontre le 9 avril 2013, et pourtant, elle avait bien fait salle comble, il n’y avait pas de places assises pour tout le monde, plein de gens étaient restés debout sur les côtés de la salle, pour trois heures d’audience… Il faut bien dire qu’une partie des bancs était occupée par les élèves de 4ème d’une copine de Josette Brenterch venus apprendre en direct au tribunal ce qu’il en coûte de bien travailler à l’école et de faire ensuite ingénieur : c’est mal, c’est très très mal, cela justifie tout ce que j’ai subi ce jour-là, mais aussi avant, des années durant, et encore après, durant bientôt neuf ans jusqu’à ce jour, et cela va encore continuer… probablement jusqu’à la fin de mes jours. Mea maxima culpa, je n’aurais jamais dû être toujours tête de classe autrefois à Brest… Je ne pouvais pas m’en empêcher, je ne le faisais même pas exprès, je ne calculais pas, je n’ai jamais rien calculé… Enfin si, il y a bien eu des périodes où j’ai tenté de me cacher et volontairement saboté mes notes, mais la vraie nature est toujours ressortie à un moment ou à un autre et bam ! la sanction a toujours été la même partout : le cercle des copines se réduisait automatiquement et j’avais le droit à de nouvelles crasses… Pareil dans le boulot : quand on me demande de faire des trucs jugés infaisables avec l’idée de me préparer une belle lettre de licenciement, je ne me démonte pas, je le fais… d’où les hurlements sans fin de tous ceux qui se sont encore plantés avec moi…
Heureusement pour eux, ces enfants venus me voir souffrir le 9 avril 2013 ont eu une excellente enseignante qui a dû quasiment tous les dégoûter des mathématiques (« Vous voulez finir comme ça ? Etre tous reconnus fous et de surcroît jugés et condamnés pour avoir prétendu n’être point fous ? Ah non, bien sûr, on n’est pas fous, nous, on est des gens bien, on ne fera pas de maths… »). Pas mieux que les bûchers pour les sorcières ou Charlemagne ayant interdit l’exercice des mathématiques pour lutter contre les « tempestaires » qui ne devaient être que les ingénieurs météo de son époque…
Enfin bref, seul Steven Le Roy s’était fendu d’un immonde torchon publié le lendemain dans le Télégramme… en évitant tout de même d’y coller mon nom… Il y avait quand même là une véritable infraction d’atteinte à l’intimité de la vie privée depuis le début : comment un commentateur anonyme (moi sur Rue89) n’ayant jamais donné son identité à personne, même en privé, ni signalé à aucune des personnes le connaissant qu’il s’est mis à écrire anonymement sur la toile peut-il s’y trouver identifié dès ses tout premiers mots et voir ensuite cette identité illégalement révélée au public sans que les magistrats saisis de ses plaintes n’y trouvent jamais rien à redire alors même que les pirates informatiques qui le violent au quotidien depuis le début se sont bien fait prendre en flagrant délit de piratage de ses mails et de son ordinateur ? Je rappelle encore avoir été, moi, dans ces conditions où j’étais bien victime de multiples infractions graves de la part de Josette Brenterch et de ses complices, notamment poursuivie et condamnée (condamnation annulée en appel à Rennes le 2 décembre 2015) pour une atteinte à l’intimité de la vie privée de Josette Brenterch pour avoir, en publiant quelques droits de réponse toujours restés confidentiels à la suite de ses campagnes de calomnies publiques nominatives massives à mon encontre, lesquelles ont toujours été associées à de nombreuses atteintes à l’intimité de ma vie privée, ainsi qu’à des menaces de mort, de viol, du harcèlement sexuel et moral, « révélé » son identité à mes lecteurs, alors qu’elle l’avait déjà révélée elle-même sur les blogs de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi… Presque systématiquement, elle m’accuse mensongèrement de commettre des infractions dont elle s’est elle-même déjà rendue coupable à mon encontre, avec bien d’autres bien plus graves, et est toujours suivie à Brest par des magistrats qui ont bien toutes les cartes en main… Même chose pour son complice de Béziers Jean- Marc Donnadieu dont j’aurais soi-disant révélé l’identité au public alors qu’il l’avait toujours donnée lui-même avec son pseudonyme NEMROD34 et toutes ses coordonnées partout où il s’exprimait ainsi de manière, en réalité, absolument pas anonyme… Et je rappelle encore à ce sujet que pour obtenir deux fois la condamnation de mon hébergeur OverBlog à Montpellier pour ces « faits » dont il m’accusait mensongèrement, il m’a toujours écartée de toutes ses procédures pour s’éviter toute contradiction sur toutes ses dénonciations calomnieuses à mon encontre, ce qui aurait dû conduire tous les magistrats saisis de ces procédures à rejeter toutes ses demandes, comme l’ont d’ailleurs toujours bien fait les premiers juges, ceux de Béziers.
Aujourd’hui, donc, bien au contraire de ce qui était manifeste en ce printemps 2013, Ouest France apparaît très favorable au NPA tandis que le Télégramme le traite par le mépris.
Ah… Le Télégramme et Ouest-France auraient depuis totalement inversé leurs orientations respectives ?
Où sont-ils tous ces gens sensés et spécialistes des médias qui devraient être interpellés ?
Notons par ailleurs qu’Arnaud Hell n’est plus désigné que par son prénom (« Arnaud, cheville ouvrière de la France insoumise qui approuve beaucoup des idées développées par Philippe Poutou », c’est bien lui). Etrange…
Ancien militant du PS, il était arrivé à la LCR en 1994 parce qu’il préférait désormais se trouver à la tête d’un minuscule parti de barges hyper graves que de continuer à être noyé dans la masse des militants socialistes… Cela lui a pas mal réussi, il a été un des rares élus de la LCR dans la région alors qu’il n’avait aucune chance de se faire élire ni même de figurer jamais sur une liste de candidats en restant au PS. Mais auparavant, il aura bien dû obéir un peu à sa nouvelle cheffe, l’incontournable Josette Brenterch, grande prêtresse de la LCR de Brest depuis les années 1970, et qui savait comment il s’était déjà fait virer d’un lycée brestois pour une affaire de moeurs et continuait à lorgner beaucoup trop en direction des très jeunes filles… Il était toujours à la LCR en 2004 et 2005, et d’après Joël Roma, dont j’ai bien conservé tous les mails, c’était le plus odieux de ses chefs à mon sujet alors que dans le même temps il avait le culot de se faire passer pour un ami de ma famille…
Son nouveau poulain Pierre-Yves Cadalen se rend-il compte du ridicule de son communiqué public concernant l’affaire « Vivre à Brest » alors qu’il est lui-même entouré de gens qui ont toujours fait bien pire que ce qu’il reproche (à juste titre) à certains élus brestois ?
Raphaël du NPA de Brest, je ne sais pas qui c’est. Cependant, étant donné que les militants de ce parti ont toujours été en nombre assez limité, il pourrait s’agir du même Raphaël que Josette Brenterch avait jadis introduit dans l’entourage amical d’une de ses anciennes victimes pour continuer à la surveiller ou l’espionner, et ainsi la « contrôler », comme elle l’a fait aussi avec mon père et bien d’autres de ses cibles et victimes diverses et variées, dont, notamment, les responsables des associations de chômeurs autres qu’AC ! Brest.
Je reparlerai bientôt de ce Raphaël et de ses immondes saloperies.
Retenons pour l’instant que comme d’habitude, lui et ses amis ont rempli leur salle avec beaucoup de jeunes, des naïfs comme Laura, venue « mieux comprendre le programme du NPA » alors que Poutou lui-même dit bien qu’ils n’ont fait de programme que parce qu’il en faut un pour se présenter à l’élection présidentielle, parce qu’il sait comme tout le monde n’avoir de toute façon strictement aucune chance d’être élu pour appliquer ce programme…
En réalité, au NPA, il n’y a jamais eu d’autre programme que celui-là :
Et chaque élection présidentielle est mise à profit par le parti pour compter tous ceux qui restent à faire taire sur l’ensemble du territoire national : même à peine 1% des électeurs, cela représente encore un nombre de personnes assez important à casser par tous les moyens puisqu’elles disent toutes, à l’instar de Charlotte, être interpellées par des idées qui résonnent en elles.
Les discours du candidat Poutou sont en effet à l’image de ces bandes de papier que l’on trempe dans du sucre pour en faire des attrape-mouches.
Ils n’ont rien à voir avec la politique réelle de son parti qui se joue sur le terrain depuis déjà un bon paquet d’années avec l’allié salafiste, comme c’était déjà le cas en 1994 lors des négociations des contrats d’armement Agosta et Sawari II.
De passage à Brest, Philippe Poutou rame toujours pour atteindre les 500 parrainages Réservé aux abonnés
Publié le 18 février 2022 à 20h52
Philippe Poutou, ici avec Janine Carrasco, militante finistérienne, fait les comptes. « Il manque encore 200 parrainages au bas mot pour assurer la présence du NPA à l’élection présidentielle. (Le Télégramme/Jean-Luc Padellec)
De passage à Brest, ce vendredi soir, l’anticapitaliste Philippe Poutou poursuit sa quête infernale des 500 parrainages pour pouvoir figurer dans l’élection présidentielle.
Engagé dans une course contre la montre pour obtenir ses 500 parrainages, Philippe Poutou, le candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) à la présidentielle, a conclu deux journées en Bretagne par un meeting, ce vendredi soir, à la Maison des syndicats de Brest. Alors que le Conseil constitutionnel le crédite de 199 signatures à ce jour, l’élu au conseil municipal de Bordeaux et ses militants sur le terrain se démultiplient pour aller à la rencontre des maires.
« Au même niveau qu’il y a cinq ans »
De ce point de vue, la virée bretonne qui passait par Carhaix, Hennebont, Rostrenen et Brest n’a pas été très concluante. À peine quelques promesses de plus dont celle du maire de Rostrenen, qui devrait s’engager définitivement en début de semaine. « À ce jour, on a 100 promesses solides, mais il faut encore aller en chercher 200. On est au même niveau qu’il y a cinq ans, mais on n’est à l’abri de rien », constate l’ex-ouvrier de Ford, près de Bordeaux, licencié après la fermeture de son usine.
Le candidat trotskiste déplore « un système méprisant et anti-démocratique qui s’appuie sur les consignes des grands partis pour parrainer leur candidat ». À cela vient s’ajouter la réticence des maires ruraux qui n’ont pas compris que parrainer ne veut pas dire adhérer. « J’ai rencontré une trentaine de maires physiquement, et certains deux fois. Sans succès », se désole Raphaël, un militant brestois prêt à redoubler d’efforts d’ici la date butoir fixé au 4 mars.
Brest. Salle comble pour Philippe Poutou, candidat d’extrême gauche
À la maison des syndicats, vendredi 18 février 2022, le représentant du Nouveau parti anticapitaliste a rassemblé 300 sympathisants lassés des « dérives » du capitalisme, séduits par ses idées et ses talents d’orateur.
Philippe Poutou, ouvrier au chômage, leader syndicaliste et candidat à la présidentielle 2022 a tous les talents d’un orateur. | OUEST-FRANCE
Ouest-France Sabine NICLOT-BARON. Publié le 19/02/2022 à 12h09
De l’avis même de Philippe Poutou, candidat à l’élection présidentielle 2022 pour le Nouveau parti anticapitaliste, « ce n’est pas facile de faire campagne quand on ne croit pas dans le système… »
Le système ? « Le capitalisme des riches qui tiennent le pouvoir » comme il l’a largement développé dans son meeting, vendredi 18 février 2022, en soirée à Brest dans une salle de la Maison des syndicats habillée d’affiches et de drapeaux prônant une réforme révolutionnaire de la société.
Après plusieurs prises de paroles de lycéens, étudiants, syndicaliste du CHRU de Brest, il a tenu son auditoire en haleine durant plus d’une heure. Une foule séduite de plus de 300 adhérents ou sympathisants à son parti, « celui des oubliés et des pauvres, de ceux qui triment et se taisent. »
Beaucoup de jeunes
Dans la salle, beaucoup de jeunes, quelques lycéens, des syndicalistes, des retraités, des étudiants venus en masse « qui se posent des questions sur leur avenir ».
Comme Laura, 23 ans, qui a fait le déplacement avec une amie. L’étudiante n’est pas encore sûre de son prochain vote. « Je suis là pour mieux comprendre le programme du NPA, mais je sais que dans tous les cas, je vais voter pour la vraie gauche, même si je ne sais pas encore qui… » Elle n’en voit que trois : Jean-Luc Mélenchon pour la France insoumise ou Philippe Poutou. Éventuellement Fabien Roussel, le candidat du Parti communiste français, qu’elle trouve pourtant « un peu trop dans le système ».
Au meeting de Philippe Poutou, candidat du NPA, vendredi 18 février 2022 à Brest, une foule séduite de plus de 300 adhérents ou sympathisants. | OUEST-FRANCE
Détricoter la société capitaliste
Si certains se posaient des questions, ils seront renseignés. « Il n’y aura pas de vote utile à gauche, a martelé derrière son micro le candidat du NPA. On a vu ce que ça donne quand on aide à élire la gauche de pouvoir et institutionnelle. Elle n’a jamais fait une politique de gauche ! »
L’assistance boit ses paroles. Philippe Poutou, ouvrier au chômage, leader syndicaliste a tous les talents d’un orateur. L’homme est convaincu et détricote la société capitaliste : « Il nous faut reprendre le contrôle sur l’économie, la santé, l’énergie, la banque, les écoles. » Celle qui fait que 5 % des plus pauvres ne passent pas l’âge de 60 ans. « Alors comment profiter de la retraite dans ce cas ? », interroge Philippe Poutou. Le public applaudit.
« Clair et limpide »
Tout est mis sur la table. « La logique de course au profit des multinationales, les nuisances de l’agro-industrie qui s’en fiche de la sécurité alimentaire pour les agriculteurs et les consommateurs, la politique répressive qui se généralise, les pauvres encore plus pauvres et les 43 milliardaires français qui ont accru leur fortune de 236 milliards d’euros en 19 mois de crise du Covid. »
Des idées qu’approuve Anthony, ancien écologiste désormais encarté au NPA : « Il est clair, limpide. Il tire le débat à gauche et pose les bonnes questions. » Sa voisine Charlotte approuve. « Ça fait du bien », dit-elle, même si elle « n’a jamais voté Poutou », elle se sent interpellée: « ses idées résonnent en moi ».
Encore 300 parrainages à obtenir
« Mon programme, c’est pas une liste de promesses, poursuit le candidat. J’en ai un de trente pages, puisqu’il faut en avoir un. C’est la volonté de mettre à plat tout ce qu’il serait légitime d’avoir. » Sans illusion, parce qu’il « pèse » 1 % des intentions de vote et qu’il lui manque encore 300 parrainages pour pouvoir se présenter.
« La rupture avec l’ordre établi, ça peut donner du courage, mettre les gens en mouvement », espère Arnaud, cheville ouvrière de la France insoumise qui approuve beaucoup des idées développées par Philippe Poutou. Hormis certaines. « Pour les frontières, je ne suis pas d’accord par exemple… »
En la matière, le candidat du Nouveau parti anticapitaliste n’y va pas de main morte : « Nous sommes internationalistes et anticolonialistes, pour l’ouverture des frontières, l’accueil de tous les migrants, la circulation libre de toutes les personnes. » Et en prime, la fin de la propriété privée.
Voilà, c’est dit. Philippe Poutou imagine l’avenir dans « la lutte radicale », en rouge et blanc.
Dimanche soir, l’Hôtel de Seignelay (Paris, VIIe arrondissement) a été ravagé par les flammes. L’incendie a infligé de lourds dégâts au monument historique en cours de rénovation.
Les pompiers de Paris ont été alertés ce dimanche 6 février par les flammes visibles qui sortaient de l’Hôtel de Seignelay, au 80 rue de Lille (VIIe arrondissement de Paris). En cours de rénovation, la luxueuse bâtisse des quais de Seine n’est actuellement pas habitée. Le feu devait donc couver depuis plusieurs heures et a fait de nombreux dégâts le temps que les secours interviennent. L’une des priorités était d’éviter la propagation des flammes aux monuments historiques voisins tels que l’Hôtel de Beauharnais ou encore l’ambassade d’Allemagne. Aucun blessé n’est heureusement à déplorer mais les pertes pour le patrimoine français risquent d’être immenses.
Un bijou du style rocaille tardif
Construit en 1713 par l’architecte Charles Boffrand, dans le but d’en faire en effet des hôtels particuliers, il est acheté par Charles Colbert, comte de Seignelay, petit-fils de l’intendant des finances et ministre de Louis XIV. En tant que demeure du duc de Mazarin quelques années plus tard, il est réaménagé par l’architecte Pierre Mouret. Le salon réalisé à cette occasion restait jusqu’à hier un bijou du style rocaille tardif. Chargé de moulures, de miroirs et d’ornements en or, il représentait parfaitement le mouvement esthétique du XVIIIe siècle, aussi appelé rococo. Ministère de l’Industrie puis de la Fonction Publique à partir de 2012, il est mis en vente par l’État il y a quatre ans. Finalement acheté par l’entrepreneur Pierre Kosciusko-Morizet, il était en rénovation depuis quelques mois.
D’après le capitaine des pompiers de Paris Julien Hardy, « le fait que le bâtiment soit en travaux incite bien sûr à penser à un point de surchauffe, mais il est absolument impossible de le savoir à cette étape ». La présence des nombreuses boiseries, les tapisseries et tableaux a rendu le brasier très difficile à contrôler. Il y a un gros risque que les quatre étages qui composent le bâtiment sur 3000 mètres carrés soient complètement détruits et que la toiture soit également endommagée. Vers 19h30 dimanche, on pouvait estimer que le feu était éteint mais il est encore trop tôt pour connaître l’état de conservation de la bâtisse classée monument historique depuis 1952, suivie par les parties communes, la cour et les jardins en 1991. On peut néanmoins souligner une bonne nouvelle : les fenêtres d’époque avaient été transportées ailleurs pour rénovation et sont donc en lieu sûr.
Les risques d’incendies sur les chantiers de rénovations de monuments anciens
Notre confrère Didier Rykner du média « La Tribune de l’art » a publié dans la foulée de l’événement un éditorial dénonçant la surdité des pouvoirs publics quant au risque bien plus grand d’incendie sur les chantiers de rénovations de monuments anciens. Ce n’est pas la première fois qu’un tel incident se produit, il cite notamment celui de Notre-Dame de Paris en 2019 et écrit « Nous nous répétons donc une fois de plus, et probablement pour rien puisqu’il n’y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre : il faut imposer des précautions spéciales pour les chantiers sur monuments historiques qui sont infiniment plus précieux qu’un bâtiment lambda. »
Après un passage éclair à Brest mardi, voilà que Marine Le Pen se met à dénoncer la présence de « quelques nazis » dans l’entourage de son concurrent Eric Zemmour.
Pour Gilbert Collard, c’est le signe qu’elle est aux abois. Et l’individu d’appuyer :
« Je le prends avec compassion, elle se fait la bile. Et donc elle crache de la bile. Mais c’est tout de même extraordinaire de voir que Marine Le Pen utilise contre le mouvement Reconquête une insulte du type que le Rassemblement national a subi pendant des années. C’est incroyable. »
D’autant plus incroyable qu’il ne manque toujours pas de nazis dans son entourage ou parmi ses alliés, notamment à Brest, comme j’en ai déjà parlé plusieurs fois, et encore très récemment, en citant la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et son vieux complice l’antiquaire Jacques Fornès, figure du Front national dans le Finistère et le Morbihan depuis plusieurs décennies et qui ne se cache absolument pas de son amitié avec Marine Le Pen, dont il dit avoir organisé de nombreux meetings dans la région.
Rappelons donc que l’extermination des malades mentaux ou présumés tels (dont, pour ce qui me concerne plus particulièrement, celle d’ingénieurs très compétents et très dérangeants), comme ils l’exigent d’une même voix avec leur complice le pédophile notoire et… de surcroît terroriste « islamiste » Pascal Edouard Cyprien Luraghi, c’est bien une politique spécifique au régime nazi.
Ce mardi, la cheffe de file du parti d’extrême droite s’est rendue à Brest pour une visite éclair.
Marine Le Pen et sa garde rapprochée sont arrivées en gare de Brest aux alentours de midi. Elles ont directement pris la direction de Pontanézen, quartier qui a connu un épisode de violence la semaine dernière.
Alors que le calme est revenu dans la cité, la candidate à l’élection présidentielle est sortie de voiture pour une séance photos et vidéos, immédiatement postées sur les réseaux sociaux.
Passage par l’hôtel de police
La délégation du Rassemblement National, dont faisait partie Gilles Pennelle, tête de file du mouvement en Bretagne, s’est ensuite rendue à l’hôtel de police située dans le centre-ville, où l’attendaient des opposants et manifestants antifascistes.
C’est sous les huées et autres slogans anti-racistes que Marine Le Pen a pénétré dans le commissariat.
Selon des personnes présentes, elle aurait réalisé un petit tour des locaux et échangé avec quelques fonctionnaires.
A la sortie, les antifascistes l’attendaient encore.
A 13h45, la candidate du rassemblement national s’est ensuite rendue à l’hôtel Continental où elle a tenu son point presse, entièrement consacré, sans surprises, à la sécurité.
Selon elle, « les violences qui touchent Brest démontrent que la Politique de la ville n’a jamais été et ne sera jamais une réponse à l’insécurité » et d’ajouter que « Brest est devenue la ville des mineurs non accompagnés dont certains font régner la terreur, y compris en centre-ville ».
A l’issue du point presse, Marine Le Pen est repartie prendre son train.
Présidentielle : Marine Le Pen dit voir « quelques nazis » dans l’entourage d’Éric Zemmour
A la veille de son premier grand meeting de campagne, Marine Le Pen défend sa ligne dans une interview dans les colonnes du Figaro. La candidate du RN joue la carte de la « diabolisation » face à Eric Zemmour.
Jusqu’ici, Marine Le Pen ne le disait qu’en privé. Elle se lâche donc publiquement. A une question sur une définition du « zemmourisme », la prétendante à l’Elysée tranche : « C’est un communautarisme. Je ne suis pas dans cet état d’esprit. Mon objectif n’est pas de défendre le village d’Astérix, mais de rendre leur pays aux Français. Je retrouve chez Éric Zemmour toute une série de chapelles qui, dans l’histoire du Front national, sont venues puis reparties remplies de personnages sulfureux. Il y a les catholiques traditionalistes, les païens, et quelques nazis. Tout cela ne fait pas une posture présidentielle. »
Allusions aux soutiens encombrants de son concurrent, tel Jean-Yves Le Gallou, ancien du FN pour qui l’ »identité d’un peuple est sa génétique« , ou encore le Parti de la France, rallié ces jours-ci, dont l’un des dirigeants avait posé en 2004 aux cotés d’une bonbonne étiquetée « Zyklon B », le gaz destiné à l’extermination des Juifs par les nazis.
« Elle est maintenant l’otage de ses adversaires »
Paradoxe d’une Marine Le Pen dédiabolisée : elle assume de faire subir à Eric Zemmour, ce dont elle a elle-même souffert. Pour Gilbert Collard, ancien proche et désormais porte-parole du parti Reconquête, c’est le signe que la candidate du RN est aux abois.
« Je le prends avec compassion, elle se fait la bile. Et donc elle crache de la bile. Mais c’est tout de même extraordinaire de voir que Marine Le Pen utilise contre le mouvement Reconquête une insulte du type que le Rassemblement national a subi pendant des années. C’est incroyable. »
« Je pense que quand il n’y aura plus personne au RN, elle va finir présidente de SOS Racisme, c’est son destin, il n’y a pas de doute. »
Gilbert Collardà franceinfo
« Elle ferait mieux de se demander pourquoi tant de gens autour d’elle s’en vont. Je la plains vraiment, c’est triste de voir qu’elle est maintenant l’otage de ses adversaires. », ironise l’ancien proche sur franceinfo.
Parachèvement aussi de son recentrage, elle se contente d’ailleurs d’expliquer les départs du RN vers Reconquête par l’idéologie : « Ils sont en désaccord avec moi quand je refuser d’entrer en croisade« , dit-elle au Figaro. Marine Le Pen qui tente le tout pour le tout, pour ce qui doit être »a priori » sa dernière campagne présidentielle : « Je ne souhaite pas me présenter six fois… Je souhaite gagner cette fois-ci. Quoi qu’il advienne, je ne sais pas encore sous quelle forme, mais je continuerai à faire de la politique. »