Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Hier, afin de recadrer tous les débats sur les attentats islamistes qui ont pu être commis sur le sol français, j’ai publié cette liste montrant clairement que ceux des années 1990 et suivantes ont toujours été le fait de la même organisation terroriste, d’origine algérienne, à la fois très proche d’Al-Qaida et de l’extrême-gauche française (ancienne LCR devenue NPA), dont la cheftaine de Brest a elle-même vécu en Algérie à une époque où son père gendarme dont elle dit avoir hérité du « mauvais caractère » n’a sûrement pas été très tendre avec les Algériens qu’il devait interroger :
Ayant donc infiltré la Ligue Communiste Révolutionnaire de Brest dans les années 1970 après avoir effectué son service militaire volontaire dans la gendarmerie, cette excellente amie du brocanteur Jacques Fornès, comme elle rapatrié d’Algérie en raison de la guerre et toujours resté fidèle à ses amis de la famille Le Pen, s’est ensuite rapidement imposée à la tête de cette organisation d’extrême-gauche qu’elle n’a plus jamais quittée depuis lors, tant elle éprouvait de plaisir à en manipuler tous les gogos pour assouvir tous ses désirs très personnels – entre les graves déficients mentaux et les très gros consommateurs de femmes et de très jeunes filles à l’ego surdimensionné dont elle y était entourée, pour elle ce fut toujours un jeu d’enfant.
Or, dès ces années 1970, toute ma famille était bien déjà dans son collimateur, sans qu’aucun de nous n’en ait jamais entendu parler.
D’une part, elle surveillait déjà mon père qu’elle jugeait extrêmement dangereux pour ses activités publiques, dont une sensibilisation à l’écologie commencée au début des années 1970, et d’autre part, le profil de ses enfants, tous excellents élèves et réputés très intelligents, voire surdoués, l’inquiétait aussi énormément.
J’en ai déjà parlé à plusieurs reprises, notamment au début de la pandémie :
Dès les années 1970, nous dérangions à un point tel que mes parents recevaient déjà des lettre anonymes de menaces de mort accompagnées de photographies de leurs enfants prises sur nos lieux de villégiature, montrant que nous étions bien déjà traqués partout.
Les tentatives d’assassinat à répétition avaient effectivement commencé dans les années 1990 tandis que Josette Brentrech et ses amis du crime organisé ne nous lâchaient plus et nous calomniaient à outrance absolument dans tous les milieux où nous pouvions évoluer ou avoir quelques contacts.
Et l’ensemble de ces exactions dont elle a toujours été le chef dirigeant dans le Finistère venait de prendre un tour nouveau avec le début des campagnes de calomnies publiques nominatives auxquelles, au mois de juin 2010, elle avait décidé de se livrer à mon encontre avec toute la bande de cybercriminels et harceleurs de son complice le pédophile, trafiquant de drogue et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Simultanément, sachant que toutes ces calomnies publiques pouvaient faire réagir tout comme mes proches et moi-même tous ceux qui nous connaissent et savent donc à quel point elle ment et invente à notre sujet, elle décidait de les faire taire en les faisant tous assassiner et se lançait aussi pour obtenir plus facilement tout ce qu’elle voulait dans la préparation d’une nouvelle vague d’attentats terroristes dont les toutes premières manifestations surviennent bien en juin 2010, comme je l’ai déjà montré à plusieurs reprises et encore ici très récemment :
La menace d’une reprise des attentats des années 1990, auxquels elle n’était déjà pas étrangère, devient tout à fait formelle et publique au mois de septembre 2010, très précisément le 20 septembre 2010 (voir article ci-dessous).
Où en étions-nous donc de nos « échanges » publics à cette date ?
Pour le savoir, il suffit de se reporter à l’intégralité des articles et commentaires de mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog pour cette année 2010, lesquels sont désormais supportés par ces trois blogs :
Nos derniers échanges avant le 20 septembre 2010 font donc suite à un article publié le 16 septembre 2010 et concernent les actions judiciaires qui ne vont plus tarder à débuter à raison de toutes les infractions pénales qu’elle commet à mon encontre, c’est-à-dire que m’ayant publiquement interrogée à ce sujet, elle va dès lors comme à son habitude organiser sa défense au moyen de nouvelles attaques, de nouvelles inventions calomnieuses qui seront cette fois destinées aux autorités judiciaires.
Le tout se trouve dans ces deux copies (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes) :
Les premiers attentats, de mars 2012, feront suite à ma première mise en examen, et tous les autres vont continuer à rythmer l’avancée des procédures abusives de mes harceleurs à mon encontre.
Risque d’attentat en France : une femme kamikaze recherchée à Paris
Par
Le 20 septembre 2010 à 08h52
Le risque d’un attentat s’est accru en France depuis ces derniers jours. «La menace est réelle», a confirmé lundi Brice Hortefeux, lors d’un déplacement à Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne). «Notre vigilance est renforcée», a précisé le ministre de l’Intérieur, rappelant que le plan Vigipirate restait activé au niveau rouge, avant-dernier échelon avant le niveau écarlate, déclenché en cas de risque d’attentat imminent.
Plus tôt lundi, le ministère de l’Intérieur avait annoncé que le risque d’un attentat s’était renforcé depuis jeudi dernier. Selon une information de RTL, les services de renseignement intérieur (DCRI) ont appris dans la nuit de mercredi à jeudi qu’une femme kamikaze s’apprêtait à commettre un acte terroriste dans Paris dans la journée. Ce renseignement en provenance d’Algérie, et attribuant la menace à Al-Qaïda au Maghreb islamique, a alors été transmis à l’Elysée et à Matignon.
Dès 5 heures du matin, jeudi, le plan Vigipirate a été rehaussé et les fonctionnaires de l’anti-terrorisme mobilisés à la recherche de la suspecte. Brice Hortefeux a alors annulé un déplacement en province pour superviser les opérations et se rendre notamment à l’aéroport de Roissy-CDG et à la Tour Eiffel.
Lundi, on a appris de source judiciaire que le parquet antiterroriste de Paris avait confié à la Direction centrale du renseignement intérieur et à la section antiterroriste de la Brigade criminelle de Paris (SAT) une enquête préliminaire pour vérifier ce renseignement. Après avoir indiqué dans un premier temps que la menace visait les transports, le ministère de l’intérieur est revenu sur cette précision, parlant simplement de «types d’objectifs totalement indéfinis».
Voir ci-dessous la liste complète de ces attentats, montrant que depuis décembre 1994, ces attaques sont toutes le fait d’une seule et même organisation, le GIA, créé au début des années 1990 pour renverser le gouvernement algérien et le remplacer par un État islamique, tandis que les attentats des années 1980 avaient été commis par des associés d’Action Directe.
Cette nouvelle organisation terroriste ayant donc pris le relais d’Action Directe à partir des années 1990 est formée par d’anciens combattants algériens en Afghanistan dans les années 1980 et a toujours été très proche d’Al-Qaida.
Rappel : durant toute la décennie des années 1980, le malade mental et terroriste islamiste Pascal Edouard Cyprien Luraghi a pour activité principale un trafic de drogue entre l’Afghanistan et la France, avec pour couverture celle de guide de treks dans l’Himalaya, qu’il affiche toujours plus volontiers.
Par ailleurs, tout comme les attentats terroristes islamistes dont, avec sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, il est le premier commanditaire depuis mars 2012, ceux des précédentes vagues avaient déjà pour causes tous les échecs de ladite complice me concernant lors des négociations des contrats d’armement Agosta (Pakistan) et Sawari II (Arabie saoudite), en 1994.
Si vous disposez d’ouvrages ou d’articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l’article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »
Cette page recense les attentats islamistes perpétrés en France, manifestations du terrorisme islamiste en France. On distingue trois grandes vagues d’attentats : une première entre 1985 et 1986, une seconde entre 1994 et 1996, et une troisième depuis 2012 qui a causé 271 morts et dont la dernière attaque est l’attaque au couteau dans un commissariat à Rambouillet le 23 avril 20211. Un certain nombre de ces attaques visent des représentants des forces armées françaises (militaires et policiers), ainsi que des membres de la communauté juive ou chrétienne. Les attaques contre des personnalités sont quant à elles une minorité.
La France est, selon une étude internationale publiée en juin 20172, le pays le plus touché par les attentats islamistes commis en Europe et en Amérique du Nord depuis la proclamation du « califat » de l’État islamique, le 29juin20143.
Le 11 août 1982, attaque à la voiture piégée devant l’ambassade d’Irak à Paris revendiqué par le Mouvement de l’Action Islamique d’Irak : cinq blessés.5
1984
Le 7 juillet 1984, assassinat du général Gholam Ali Oveissi à Paris, revendiqué par l’Organisation du Jihad islamique : deux morts. 6
1985
7 décembre 1985 : 43 personnes sont blessées aux galeries Lafayette et au Printemps Haussmann à Paris
1986
Entre fin décembre 1985 et septembre 1986, quatorze attaques à la bombe sont perpétrées à Paris et sur la ligne ferroviaire Paris-Lyon, au cours desquelles treize personnes perdent la vie et plus de 300 autres sont blessées. Ces attentats sont organisés par le Comité de solidarité avec les prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient mené par Fouad Ali Saleh, terroriste du Hezbollah. Voici la liste exhaustive des attaques, ainsi que leur bilan7 :
3 février 1986 : huit personnes sont blessées dans la galerie marchande de l’Hôtel Claridge, rue des Champs-Élysées à Paris
3 février 1986 : un engin explosif est découvert dans les toilettes du 3e étage de la Tour Eiffel à Paris mais n’explose pas
4 février 1986 : cinq personnes sont blessées dans la librairie Gibert Jeune à Paris
5 février 1986 : vingt-deux personnes sont blessées dans le magasin FNAC du Forum des Halles à Paris
17 mars 1986 : neuf personnes sont blessées lors d’une attaque contre un train sur la ligne ferroviaire Paris-Lyon
17 mars 1986 : un engin explosif est découvert sur le quai du RER à Gare de Lyon à Paris mais n’explose pas
20 mars 1986 : un engin explosif est découvert à la station de RER de Châtelet à Paris mais n’explose pas
20 mars 1986 : deux personnes sont tuées et 29 autres blessées dans la librairie Gibert Jeune à Paris
8 septembre 1986 : une personne est tuée et 21 autres blessées dans le bureau de poste de l’hôtel de Ville de Paris
12 septembre 1986 : 54 personnes sont blessées à la Cafétéria Casino du centre commercial de la Défense
14 septembre 1986 : trois personnes sont tuées et une autre blessée au Pub Renault à Paris
15 septembre 1986 : une personne est tuée et 56 autres blessées au service des permis de conduire de la préfecture de police de Paris
17 septembre 1986 : sept personnes sont tuées et 55 autres blessées lors de l’Attentat de la rue de Rennes à Paris
Années 1990
1991
Le 6 août 1991, assassinat de Chapour Bakhtiar et de son secrétaire à Suresnes.
1994
Entre décembre 1994 et décembre 1996, le Groupe islamique armé va perpétrer onze attaques sur le sol français, au cours desquelles douze personnes perdent la vie et plus de 300 autres sont blessées.
24-26 décembre 1994 : Abdul Abdallah Yahia, Mustafa Chekienne, Makhlouf Benguetaff et Salim Layadila organisent la prise d’otages du vol Air France 8969 qui se solde par un assaut du GIGN au cours duquel seize otages sont blessés
15 mars : Mohammed Merah assassine deux militaires et en blesse un autre à Montauban
19 mars : Mohammed Merah assassine quatre personnes devant une école juive de Toulouse. Il est abattu le 22 mars par le RAID.
19 septembre 2012 : Jérémie Louis Sidney et Jérémie Bailly, membres de la cellule Cannes-Torcy, blessent une personne en lançant une grenade dans un épicerie juive de Sarcelles
2013
Le 25 mai 2013, un extrémiste islamiste armé d’un couteau attaque et blesse un militaire français dans l’attentat de 2013 à La Défense9.
Le 21 décembre 2014, attaque de Dijon. Un homme souffrant de troubles psychiatrique fait une attaque à la voiture-bélier, criant selon les témoins « Allahu akbar »13. Treize personnes sont blessées, dont 2 grièvement14. Le procureur de Dijon exclut l’acte terroriste15, mais plusieurs observateurs, comme The Times16, le Financial Times17, The Globe and Mail18 et l’universitaire David C. Rapoport19, considèrent qu’il s’agit d’une attaque islamiste.
Le 22 décembre 2014, attaque de Nantes. Sébastien Sarron, souffrant de troubles psychiatrique, fait une attaque à la voiture-bélier, criant selon les témoins « Allahu akbar »20. Neuf personnes sont blessées et un homme meurt21. Le procureur de Nantes exclut l’acte terroriste (ce que pense également le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve)22, mais plusieurs observateurs, comme le Financial Times17, The Globe and Mail18 et l’universitaire David C. Rapoport19, considèrent qu’il s’agit d’une attaque islamiste.
Le 3 février 2015, trois militaires en faction devant un centre communautaire juif à Nicesont agressés au couteau par Moussa Coulibaly23, demeurant à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Il exprime en garde à vue sa haine de la France, de la police, des militaires et des Juifs.
Le 19 avril 2015, affaire Sid Ahmed Ghlam. Une femme de 32 ans (Aurélie Châtelain) est assassinée par un étudiant algérien de 24 ans qui prévoyait un attentat dans une église de Villejuif, le projet de ce dernier ayant été déjoué peu de temps après24.
Le 26 juin 2015, attentat de Saint-Quentin-Fallavier en Isère, 1 mort décapité (Hervé Cornara, 55 ans) et 2 blessés25. Brandissant un drapeau islamiste, un homme conduit son véhicule contre des bonbonnes de gaz stockées dans la cour de la filiale française du groupe américain Air Products.
Le 21 août 2015, attentat du train Thalys sur la ligne reliant Amsterdam à Paris, mené par un ressortissant marocain Ayoub El Khazzani, proche de l’islamisme radical et déjoué par plusieurs passagers, on compte 3 blessés26.
Le 13 novembre 2015, une série de sept attaques, à Paris et en Seine-Saint-Denis, perpétrée par au moins dix terroristes avec au moins une vingtaine de complices, provoque la mort de 131 personnes et fait 413 blessés, dont 99 dans un état très grave. Les tueries sont revendiquées par l’État islamique.
2016
Le 7 janvier 2016, un islamiste marocain portant une fausse ceinture explosif attaque des policiers à l’aide d’un couperet à viande ; il est abattu. Il s’agit d’un ressortissant marocain né en 1995 à Casablanca, mis en cause pour vol en 201327.
Le 11 janvier 2016, un adolescent turc âgé de 15 ans agresse à la machette un enseignant juif portant une kippa. Le blessé28 parvient à se défendre en parant les coups avec un exemplaire de la Torah. L’auteur dit avoir agi « au nom d’Allah » et de l’organisation État islamique. En mars 2017, l’agresseur est condamné à sept ans de prison et cinq ans de suivi socio-judiciaire dans ce qui est le premier procès terroriste criminel devant le tribunal pour enfants de Paris29.
Le 26 juillet 2016, lors d’une messe, deux islamistes munis d’armes blanches prennent en otage plusieurs personnes dans l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen. Le curé de la paroisse, le Père Hamel, est égorgé, et un paroissien est blessé. Les deux terroristes sont abattus par les forces de l’ordre, l’un d’eux, Adel Kermiche, était fiché S. Selon le Président de la République, « les deux terroristes se réclament de Daesh »33,34. L’attentat est revendiqué via Amaq, l’agence de presse de l’État islamique35.
Le 4 septembre 2016, Bilal Taghi, détenu franco-marocain, purgeant une peine de cinq ans de prison pour avoir tenté d’aller faire le jihad en Syrie, blesse grièvement 2 surveillants, aidé par plusieurs complices36.
Le 18mars2017, un homme s’empare de l’arme d’une militaire à Orly avant d’être abattu. Même s’il a affirmé au moment de son geste vouloir « mourir par Allah »38 et a été signalé pour « radicalisation » lors d’un séjour en prison en 2011-2012, ses motivations restent floues (il ne souhaitait plus retourner en prison) et le lien avec le terrorisme islamiste non démontré39.
Le 20avril2017, un homme ouvre le feu à l’arme automatique sur des policiers le long de l’avenue des Champs-Élysées, vers 21 heures, L’un d’entre eux est tué pendant l’attaque, deux autres ainsi qu’une passante sont blessés. L’assaillant est abattu et l’État islamique revendique l’attaque dans la soirée40,41.
Le 6juin2017, un homme attaque avec un marteau un policier et le blesse légèrement devant la cathédrale Notre-Dame de Paris. Les policiers répliquent et le blessent. L’assaillant, Farid Ikken, un Algérien de quarante ans, ancien journaliste disposant d’un visa étudiant, se déclare « soldat du califat »42.
Le 15septembre2017, un homme armé d’un couteau attaque un militaire en patrouille à la station de métro Châtelet à Paris. L’auteur tient des propos faisant référence à Allah : « Allah akbar, vous êtes des mécréants »46.
Le 1eroctobre2017, un Tunisien en situation irrégulière connu pour différents crimes égorge deux jeunes femmes dans la gare Saint-Charles à Marseille avant d’être abattu par les des militaires de l’opération Sentinelle. L’attaque est revendiquée par l’État islamique47,48.
2018
Le 11janvier2018, un détenu au passé terroriste, attaque au couteau des surveillants, faisant quatre blessés, à la prison de Vendin-le-Vieil.
Le 12mai2018 à Paris, vers 21 h un individu attaque à l’arme blanche des passants en criant « Allah Akbar », il tue une personne, en blesse quatre autres dont deux gravement50, il se dirige ensuite vers une patrouille de police qui décide de l’abattre. L’attaque est revendiquée par l’État islamique51.
Le 3 janvier 2020, dans le parc des Hautes-Bruyères à Villejuif, un jeune homme de 22 ans, attaque à l’arme blanche des passants, en répétant « Allah Akbar », tuant un homme et blessant gravement deux femmes. L’individu sera par la suite neutralisé par une patrouille de policiers. Le jeune homme récemment converti à l’islam58 a perpétré cette attaque d’une « extrême violence » avec une « extrême détermination », selon les déclarations du Parquet national antiterroriste qui s’est saisit de l’affaire.
Le 5janvier2020, un individu connu de la DGSI et fiché S, armé d’un couteau et criant « Allah Akbar », est interpellé à Metz après avoir tenté d’agresser des policiers59. La section antiterroriste ne s’est pas saisie de l’enquête.
Le lundi 27 avril 2020, en fin d’après-midi à Colombes (Hauts-de-Seine), le conducteur d’une voiture a percuté volontairement deux motards de la police à vive allure, les blessant gravement. L’auteur a fait allégeance à l’État islamique.
Le vendredi 25 septembre 2020, deux personnes sont grièvement blessées à l’arme blanche près des anciens locaux du journal Charlie Hebdo. Le Parquet national antiterroriste a ouvert une enquête pour « tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste, association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Selon l’AFP citant des sources concordantes, l’assaillant de nationalité pakistanaise assurait « assumer son acte qu’il situe dans le contexte de la republication des caricatures (de Charlie Hebdo, ndlr) qu’il n’a pas supportée ».
« Attaque au couteau à Rambouillet : une agente administrative tuée, le Parquet national antiterroriste se saisit de l’affaire », Le Monde, 23 avril 2021 (lire en ligne [archive], consulté le 27 avril 2021)
(en) Lorenzo Vidino, Francesco Marone et Eva Entenmann, Fear Thy Neighbor : Radicalization and Jihadist Attacks in the West, ICCT, ISPI, The George Washington University, 2017, 108 p. (lire en ligne [archive]), p. 16, 45
(en-US) John Vinocur, « EXILED IRANIAN GENERAL IS KILLED WITH BROTHER BY GUNMEN IN PARIS (Published 1984) », The New York Times, 8 février 1984 (ISSN0362-4331, lire en ligne [archive], consulté le 7 novembre 2020)
Didier Bigo, « Les attentats de 1986 en France : un cas de violence transnationale et ses implications (Partie 1) », Cultures & Conflits, no 04, 17 janvier 1991 (ISSN1157-996X, DOI10.4000/conflits.129, lire en ligne [archive], consulté le 5 juillet 2020)
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« Thalys : El-Khazzani mis en examen et écroué pour une attaque « ciblée et préméditée » », Le Monde, 26 aout 2015 (lire en ligne [archive]).
« L’homme tué devant le commissariat de Barbès a été identifié », Le Monde.fr, 7 janvier 2016 (lire en ligne [archive]).
« L’auteur de l’agression antisémite à Marseille dit avoir agi « au nom de l’État islamique » », Le Monde.fr, 11 janvier 2016 (lire en ligne [archive]).
« L’adolescent qui avait agressé un enseignant juif condamné à sept ans de prison », Le Monde.fr, 2 mars 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 21 octobre 2020)
« Bilal Taghi, auteur du premier attentat djihadiste perpétré en prison, condamné à vingt-huit ans de réclusion », Le Monde.fr, 22 novembre 2019 (lire en ligne [archive], consulté le 21 octobre 2020)
« Du Val-d’Oise à Orly, le parcours «violent, destructeur» et fatal de Ziyed B. », Libération.fr, 18 mars 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 25 mars 2017)
« Ce que l’on sait de l’attaque survenue sur les Champs-Elysées à Paris », Le Monde.fr, 20 avril 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 20 avril 2017)
lefigaro.fr, « L’assaillant de Notre-Dame revendique « être un soldat du califat » », Le Figaro, 6 juin 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 6 juin 2017)
« Attentat raté des Champs-Elysées : un des gendarmes visés par Adam Djaziri témoigne », Leparisien.fr, 23 juin 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 25 juin 2017).
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« Attentat de Marseille : Tunisie, France, Italie… retour sur le parcours du terroriste », Franceinfo, 4 octobre 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 4 octobre 2017)
« Prise d’otages dans le sud de la France: ce que l’on sait », RTBF Info, 23 mars 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 23 mars 2018)
« EN DIRECT – Attaque au couteau à Paris : deux blessés en « urgence absolue » selon Edouard Philippe », LCI, 12 mai 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 12 mai 2018)
« Attentat au couteau à Paris. Le profil de l’assaillant, Khamzat Azimov, se précise », Ouest-France.fr, 13 mai 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 13 mai 2018)
« Explosion à Lyon : le suspect reconnaît avoir prêté allégeance à Daech », L’Express, 30 mai 2019 (www.lexpress.fr/actualite/societe/explosion-a-lyon-le-suspect-reconnait-avoir-prete-allegeance-a-daech_2081247.amp.html, consulté le 5 août 2019)
« Le parquet antiterroriste se saisit de l’enquête sur l’attaque au couteau à Villejuif », Le monde, 4 janvier 2020 (lire en ligne [archive], consulté le 5 janvier 2020)
« A Metz, un homme blessé par la police après avoir brandi un couteau », Le Monde, 5 janvier 2020 (lire en ligne [archive], consulté le 9 janvier 2020)
« EN DIRECT – Attaque au couteau dans la basilique Notre-Dame de Nice, trois morts », La Croix, 29 octobre 2020 (ISSN0242-6056, lire en ligne [archive], consulté le 29 octobre 2020)
En mars de la même année, un mystérieux groupe, Les serviteurs d’Allah le puissant et le sage, avait déjà menacé la France d’attentats ; en février c’était le numéro 2 d’Al-Qaida, Ayman al-Zawahiri qui proférait ces mêmes menaces.
Le 26 décembre 1991, le Front Islamique du Salut (FIS), formation politique militant pour la création d’un État islamique arrive en tête du premier tour des élections législatives en Algérie8. Le gouvernement en place décide d’annuler le second tour9. À la suite de cette décision, le GIA se lance dans la lutte armée ; ses activités se caractérisent par la violence, les attentats et par une position intransigeante exprimée dans sa devise « Du sang, du sang, de la destruction, de la destruction. Ni trêve, ni dialogue, ni réconciliation ! »10. L’organisation est une fusion entre deux groupes : le Mouvement islamique armé (MIA) de Mansouri Meliani et celui d’Abdelhak Layada, en octobre 1992.
Le GIA est une organisation non centralisée et morcelée, dirigée par un émir, Abou Abd Ahmed (ou Mourad Si Ahmed, surnommé « Djafaar al-Afghani »), et Djamel Zitouni. L’effectif des combattants du G.I.A., répartis en plusieurs clans, demeure difficile à déterminer. Ils s’élèveraient à 27 000 membres en 1993 et à 40 000 membres en 1994. Tout comme le FIS, le GIA est divisé en deux clans, les salafistes qui cherchent à mettre au point une révolution islamique mondiale et les djazaristes qui cherchent à prendre le pouvoir en Algérie.
Le GIA est composé de quelques milliers de volontaires (dont Mokhtar Belmokhtar) formés militairement durant la guérilla dans les maquis d’Afghanistan qu’ils ont rejoints dès les années 1983-1984. Créée en juin 1990, l’organisation Le Jour du jugement d’Aïssa Messaoudi(en)(dit Tayeb el-Afghani) commet le 29novembre1991 le premier attentat de la période, en tuant trois sentinelles du 15e groupe des gardes-frontières de Guemar11.
En 1993, le GIA édite une publication en Angleterre, Al-Ansar. À la même époque, sa katiba Al-Maout (« Unité de la Mort »), commet et revendique plusieurs actions violentes partout en Algérie.
Le 26 mai 1998, deux semaines avant la coupe du monde de football, une opération visant des islamistes rattachés au GIA, est lancée dans cinq pays (Allemagne, Belgique, France, Italie et Suisse)12. Une centaine d’individus sont alors appréhendés, dont trois personnes influentes (Adel Mechat, un important représentant d’Hassan Hattab en Europe, Omar Saïki et Abdallah Khinai)12. Ces trois islamistes avaient vocation à ranimer les réseaux déjà créés en Europe et affiliés au GIA, et à recruter de nouveaux adhérents12.
Le canal médiatique du GIA
Les communiqués du GIA sont adressés par fax et par appel téléphonique à la radio marocaine arabophone Médi 1 par un homme se présentant comme Mohamed Redouane, chargé des « relations extérieures » du mouvement.
Le GIA, une organisation puissante
Grâce à ses réseaux de soutien de toutes sortes à partir de l’étranger (notamment les États-Unis, la France, la Belgique, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Suisse et des pays arabes tels que le Maroc, l’Arabie saoudite ou le Yémen), le GIA prend en quelques années une stature médiatique de premier plan, et s’impose dans les consciences comme un acteur prépondérant du terrorisme islamique. Il entend rester le seul à conduire le « djihad » en Algérie, tolère difficilement la concurrence et s’en prend à quiconque se permet la moindre divergence quant à ses décisions. Dans cet esprit, Djamel Zitouni a envoyé son «officier exégète» au Soudan pour en avertir Ben Laden à la fin de l’année 1995. Cet émissaire, Radouane Makadour (dit Abou Bassir), lui a signifié que le GIA « égorgera quiconque présentera une aide quelle que soit sa nature et son volume à n’importe qui en dehors de [lui]. Personne ne doit s’ingérer en Algérie sans passer par [lui] ».
Rapport entre le GIA et le FIS
L’objectif du GIA et de l’Armée islamique du salut (AIS, branche armée du FIS) est le même mais l’AIS a plusieurs fois condamné les actions violentes du GIA. Pour l’organisation terroriste en revanche, un rapprochement avec l’aile modérée du FIS est exclu et ses membres, partisans à l’époque du dialogue avec le gouvernement, méritent la mort.
Le groupe terroriste est aujourd’hui largement marginalisé à la suite des initiatives d’amnistie générale du président Abdelaziz Bouteflika après les années 2000, qui ont permis à des milliers de combattants de retrouver une vie normale. Quant à l’armée régulière, elle considère officiellement avoir pratiquement anéanti l’organisation.
Selon l’étude menée par Nafeez Mosaddeq Ahmed, le GIA aurait vu sa création instrumentalisée par le régime algérien pour discréditer les milieux islamistes et contrôler la population qui avait porté le FIS au pouvoir en décembre 199113. Un courant dissident, à la suite de l’affaire de l’assassinat des moines du monastère de Tibhirine, impute désormais les manœuvres terroristes du GIA à des membres violents du FLN dans le but de mobiliser l’opinion internationale en faveur du gouvernement algérien.
Les divers témoignages et sources[Lesquelles ?] avancent que ces massacres étaient soit perpétrés par le GIA, à l’instigation d’agents du DRS infiltrés ou d’islamistes « retournés », soit directement organisés par le DRS et ensuite revendiqués par la publication de faux communiqués du GIA.
Les actions menées par le GIA
En France
Le 24 décembre 1994, un commando du GIA détourne le vol AF 8969 qui s’était envolé d’Alger, avec pour but de le faire s’écraser sur Paris, si les autorités algériennes ne libéraient pas deux des responsables du FIS : Abbassi Madani et Ali Belhadj14. Le GIGN parvient à reprendre le contrôle de l’avion, à l’aéroport de Marseille-Marignane, en tuant les quatre preneurs d’otages14.
Entre juillet 1995 et octobre 1995, le GIA organise une série d’attentats en France18.
En termes de bilan humain, l’attentat de la station Saint-Michel, commis le 25 juillet 1995, sera le plus lourd : il fera huit morts et environ 150 blessés19.
Le 11 juin 1999, par une lettre de menaces adressée à la presse, le GIA annonce un djihad sur le territoire français. Les raisons n’en sont pas clairement connues, bien que le changement de la politique française en Algérie ait pu être invoqué.[réf. nécessaire].
Outre la France, le groupe revendique également des implantations en Belgique, en Grande-Bretagne, en Italie, aux États-Unis, en Suède, au Maroc, ainsi que dans de nombreux pays d’Afrique du Nord et subsaharienne.
Le 5 mai 1995, cinq coopérants dont deux Français (Richard Machabert et Jean-Claude Corjon), un Britannique (Edward Wilson), un Canadien (Janer MacGari) et un Tunisien (Moustafa Zemirli) sont assassinés dans les locaux de la société algérienne Anabib, près de Ghardaïa23. Ces assassinats sont attribués au G.I.A., ce dernier ayant menacé d’éradiquer tous les étrangers qui viendraient à apporter leur soutien au maintien de « la junte au pouvoir »24.
Autres actions
Si le GIA se concentre à ses débuts sur les militaires, les intellectuels de gauche, les fonctionnaires et les étrangers25, le groupe organise par la suite des massacres de civils :
Le 29 aout 1997, près d’un millier de personnes sont tuées au village de Rais25.
Le 22 septembre 1997, plus de 400 villageois sont tués en quelques heures à Bentalha25.
En octobre 1997, le GIA tue 50 personnes à Sig, dans le Sud oranais25.
En décembre 1997, on dénombre 400 morts à Ai Moussa25.
En janvier 1998, le GIA fait plus de 1 000 morts à Had Chekala et 103 à Sidi Hamed25.
Doutes concernant l’implication du GIA
Le 1er août 1996, Pierre Claverie, évêque d’Oran, est tué avec son chauffeur, lors d’un attentat à la bombe26. Cette attaque est officiellement imputée au GIA, mais cette version des faits est contredite par l’ancien général français François Buchwalter, qui affirme que ce sont les autorités algériennes de l’époque qui sont en partie responsables de cette opération27, en rétorsion, de nouveau, au changement de politique décidé par la France envers l’Algérie.
Dans la nuit du 26 au 27 mars 1996, sept moines trappistes du monastère de Tibhirine, en Algérie, sont enlevés et séquestrés pendant deux mois28,29. L’assassinat des moines est annoncé le 21mai199630, dans un communiqué attribué au Groupe islamique armé. Les têtes des moines décapités ne sont retrouvées que le 30mai199628, non loin de Médéa29, mais pas leurs corps28. Ceci suscite des doutes concernant la thèse officielle expliquant leurs décès30.
L’identité des commanditaires de cet enlèvement, leur motivation ainsi que les causes réelles de l’assassinat font toujours l’objet de débats à ce jour.
Les modes d’action du GIA sont constitués d’actes isolés et spectaculaires, symptomatiques du terrorisme islamique quant au choix de leurs cibles, ou de leur portée symbolique, au milieu d’actes de droit commun commis par tout mouvement de rébellion armée indépendamment de son idéologie :
Assassinats de membres des forces de l’ordre (policiers, gendarmes, militaires, gardes communaux, miliciens d’autodéfense…) ; assassinats d’intellectuels et d’artistes (écrivains, chanteur, chercheurs, professeurs d’université…) ; assassinats de ressortissants étrangers ; assassinats voire massacre de populations des zones semi-urbaines, notamment lors de faux barrages de contrôle31 ; assassinats d’Algériens ayant accompli leur Service national ou ayant répondu au rappel de mobilisation.
Enlèvements de femmes, considérées comme un butin de guerre ; enlèvements de futures victimes d’assassinats, entre autres.
Sabotages d’usines et fabriques ; destruction d’écoles, lycées et établissements culturels ; destruction et sabotage des installations d’énergie et d’eau ; destruction et sabotage des voies ferrées, ponts, trains, bus, camions.
Vols et opérations de racket.
Véhicules piégés : emploi systématique des véhicules piégés dans les cités urbaines et bombes pour faire le maximum de victimes.
Zerabib Ahmed (alias Abou el-Bara), originaire de Boudouaou, idéologue du GSPC Il signe les décrets appelant au djihad, supervise les actions de propagande et de diffusion idéologique du mouvement dans les couches populaires ;
Abdelkader Souane (alias « Abou Thoumama », alias « Hadj Belkacem »), ex-émir de la katiba « er-Rabbania » du GIA, qui serait mort de maladie en juillet 2002 ;
Mohammed Houti ;
Mohamed Berrachad ;
Yacine Napoli, émir local ;
Moh Flicha, émir local ;
Halouane Amrane, alias Hanzalah, 36 ans, natif de la ville de Thénia (w. de Boumerdès) éliminé au cours d’un ratissage mené par les services de sécurité dans le massif de Boukhenfer, région montagneuse enclavée entre le Nord-Est de Thénia et l’Ouest de la ville de Si-Mustapha. Il était monté au maquis en 1994 et faisait fonction d’« émir » de la « loudjna-el-askaria » (commission militaire) au sein de la seriat de la région Thénia-Si- Mustapha. Cette seriat fait partie de la katiba El Arkam ;
Sid-Ali Rachid alias Abou Amine, originaire d’Aïn-El-Hamra dans la commune de Bordj- Menaïel ;
Ali Benhadjar (émir de la « katiba Wafa’ » de Médéa et qui dirigera peu après la Ligue islamique de la Daawa et du Djihad, LIDD.) ;
Anouar Heddam, membre du GIA ;
Omar Eulmi, membre du GIA ;
Saïd Makhloufi ;
Hocine Kobbi ;
Aït Bouali Abdelkrim ;
Boutaf Ammar ;
Selmane Djamel ;
Mahdi Chemseddine ;
Azzouz Mokrane ;
Laalaoui Salim ;
Rahali Tahar ;
Mehdid Mohamed ;
Djelloul Bouhamdi, alias Abou Oubeïda, membre du GIA ;
Mohamed Saïd, ancien dirigeant du FIS devenus membres du GIA ;
Abderrezak Redjam, ancien dirigeant du FIS devenus membres du GIA ;
Ali Benhadjar, émir régional du GIA, candidat du FIS aux élections législatives de 1991, il a bénéficié de la loi sur la « concorde civile » et vit aujourd’hui à Médéa. Il a été d’abord membre du GIA avant de fonder, en 1997, son propre mouvement armé, la LIDD ;
Kada Benchiha de la zone 4 (chef du GIA pour l’Ouest) ;
Amor Habchi, émir régional du GIA pour le Centre ;
Ahmed Benaïcha, de l’AIS ;
Chérif Gousmi, émir national du GIA ;
Farid Achi, dhabit charîi [officier légal, exégète] du GIA ;
Redouane Mohammed, dit Abou Bassir ou Makador [officier légal, exégète] du GIA ;
Anouar Haddam, réfugié à Washington ;
Mahfoud Tajin alias Abou Khalil émir national du GIA ;
Hassen Kobbi, dit Abou Mossaâb ;
Kerkar Rachid ;
Rachid Oukali, dit Abou Thourab, émir national du GIA ;
Chebouti, abattu en février 1994 ;
Rabah Kebir, président de l’instance exécutive du FIS à l’étranger ;
Abderezak Redjem, membre de la direction du F.I.S., qui avait rejoint le GIA en mars 1994 ;
Habchi Mohamed ;
Mahieddine Djamal, dit Merouan ;
Sayah Attia dit « El Khan », ou « Abou Younès », émir de la katiba EKhadra de Médéa. Neutralisé en 1993 ;
Belhout alias Abou Mouraïra, l’émir de la katibat EKhadra de Médéa ;
M’hamed Houti, émir de la katibat EKhadra de Médéa éliminé, sur les hauteurs de Ksar El-Boukhari ;
Kamareddine Kherbane ;
Abdelkrim Ould Adda ;
Rabah Kebir ;
Moussa Kraouche ;
Ahmed Zaoui ;
Anouar Haddam ;
Rabah Kébir.
Notes et références
Notes
Abattu par les forces de sécurité en février 1992.
De son vrai nom Mohamed Allel, abattu en août 1992.
Arrêté en 1992 à Draria lors d’un accrochage avec les forces de sécurité.
Émir national connu sous le nom de guerre d’Abou Adlène, arrêté au Maroc en 1993.
Tué dans un accrochage avec des forces de sécurité.
Alias Seyf Allah Djaâfar El-Afghani, tué à Bouzaréah Alger le 26 février 1994 dans un accrochage avec des forces de sécurité.
Dit Abou Abdellah Ahmed, abattu le 26 septembre 1994 à Birkhadem Alger, dans un accrochage avec des forces de sécurité.
Alias Abou Khalil, détrôné par Djamel Zitouni.
Dit Abou Abd al-Rahmane Amine, tué par ses acolytes le 16juillet1996 dans une embuscade dans la région de Bougara (Blida).
Alias Hassan Abou Walid, détrôné par Antar Zouabri.
Nafeez Mosaddeq Ahmed (trad. de l’anglais par Monique Arav et Kiersten Weeks), La guerre contre la vérité : 11 septembre, désinformation et anatomie du terrorisme, Paris, Éditions Demi-lune, coll. « Résistances », 2006, 512 p. (ISBN978-2-9525571-5-3 et 2-952-55715-2, notice BnF noFRBNF40220013), p. 86-100.
Il faudrait quand même songer à augmenter les effectifs des tribunaux judiciaires en conséquence de cette politique nouvelle que l’on voit mettre en oeuvre de plus en plus concernant le traitement des affaires de moeurs, et consistant, au moins dans un premier temps, à accorder un certain crédit aux accusations de la plaignante, assez pour ouvrir une enquête et procéder à quelques actes.
Avant, c’était facile, on la faisait interner avant toute enquête, et basta ! l’affaire était réglée. Maintenant, les magistrats sont de plus en plus obligés de se plier aux exigences de procédures très chronophages, comme disent les trois juges d’instruction de Brest, qui n’en peuvent plus, les pauvres. Elles se marrent toujours autant aux dépens des victimes, elles l’ont bien dit, mais c’est devenu plus compliqué, elles sont obligées d’ouvrir les dossiers au moins pour désigner la fausse experte psychologue à laquelle elles demandent de décréter ces femmes, voire ces enfants, tous fous à lier et ne nécessitant que traitements psychiatriques, avant de les renvoyer chez le psychiatre de l’hôpital psychiatrique de Bohars pour internement et « bonne correction », comme autrefois.
Je connais bien le truc pour avoir eu droit ces derniers temps au circuit spécial pédophilie du fait que je me plains de pédophiles, même si dans mon cas il s’agit de faits délictueux ou criminels autres que des faits de pédophilie.
Comme le savent bien mes plus fidèles lecteurs, ceux de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, pour avoir été illégalement informés de cette procédure de bout en bout, si ce n’est associés à tous les choix de la juge, j’ai démonté la fausse expertise de la fausse experte psychologue avec l’aide de vrais experts psychologues et renvoyé le psychiatre à son Code de la santé publique.
Comme je suis adulte et pas complètement novice en la matière (haute perversité des magistrats), je n’ai pas été internée et peux désormais m’étaler sur le système très très particulier qui a été mis en place dans le Finistère pour préserver la tranquillité des pédophiles et leur garantir comme par le passé une impunité totale.
J’ai bien eu droit à la totale, hein : brigade des mineurs pour commencer, fausse experte psychologue, etc…
Je sais maintenant comment sont broyées les victimes des pédophiles, au moins dans le Finistère, et peux en témoigner preuves à l’appui. C’est intéressant – enfin, c’est à gerber, comme toujours…
En corollaire : en confiant cette affaire non pas à des services de police ou des experts normaux mais uniquement au réseau de « professionnels » spécialement dédié au traitement des affaires de pédophilie, les magistrats locaux ont reconnu tout à la fois que mes harceleurs sont bien des pédophiles et qu’eux-mêmes en sont pleinement conscients ou l’ont toujours su. Voulant s’assurer que ces derniers ne couraient aucun risque de voir l’affaire les concernant échapper à leur contrôle, ils se sont ainsi bien trahis et tous leurs protégés avec eux. Ah ! Ah ! Ah !
Brigade des mineurs : la policière spécialisée dans l’audition des enfants a des méthodes que je n’ai jamais vu employer par ses collègues des services normaux – mais pourquoi donc le procureur lui a-t-il adressé ce dossier alors que contrairement à des enfants victimes de pédophiles, je ne manquais pas d’éléments de comparaison ? Incroyable. A mon avis il lui manque une case. Enfin bref, voilà comment elle procède : pour chaque élément de la déclaration de la victime, elle enregistre systématiquement l’inverse de ce que la victime a déclaré. Après relecture (au début, on est vraiment effaré, on s’arrache les cheveux, on a les bras qui tombent), il faut tout faire corriger, morceau de phrase après morceau de phrase, pour remettre les choses à l’endroit. Elle accepte de corriger, mais sans grand empressement, manifestement ça la dérange et elle recommence plusieurs fois à tout enregistrer à l’envers. C’est extrêmement pénible, usant, on se demande si à un moment donné elle ne va pas se fâcher ou dangereusement partir en vrille, et afin de l’éviter, on abandonne les corrections au bout d’un moment, en laissant donc quelques coquilles après avoir toutefois insisté pour faire corriger l’essentiel. Je suis adulte. Il est évident qu’un enfant confronté à ce genre de choses se laisse faire beaucoup plus facilement ou complètement et signe n’importe quoi, ou plus précisément ce qui arrange la policière et ses donneurs d’ordres.
Fausse psychologue experte : il s’agit en fait d’une professionnelle de la manipulation d’un genre que les vrais psychologues experts connaissent bien, ils alertent sur la dangerosité extrême de ces charlatans pour les victimes. Or, elle est employée par les magistrats locaux précisément et exclusivement pour « expertiser » des victimes… bien évidemment de façon conforme aux exigences de leurs agresseurs… Autre avantage de la fausse experte : n’étant inscrite sur aucune liste de psychologues experts, elle échappe à tous les contrôles qui s’y rattachent et les moyens de recours contre ses « expertises » s’en trouvent réduits d’autant, c’est-à-dire qu’en règle générale il ne reste à la victime qu’à déposer une nouvelle plainte, cette fois pour faux, en sachant que les magistrats qui ont désigné la fausse experte avec pour mission spéciale de produire la fausse expertise en question n’instruiront bien évidemment jamais la plainte…
Les pédophiles sont tranquilles, les magistrats sont leurs amis.
Jean-Jacques Bourdin « furieux » contre BFMTV : est-il prêt à quitter la chaîne ?
Chloé Whitman | lun. 24 janvier 2022 à 08h53 – Mis à jour le lun. 24 janvier 2022 à 09h37
BFMTV et RMC ont demandé à Jean-Jacques Bourdin de se retirer temporairement, après qu’il soit visé par une plainte pour tentative d’agression sexuelle. « Furieux » contre cette décision unilatérale, le journaliste vedette de 72 ans est-il prêt à quitter les chaînes ?
Dans un communiqué du 23 janvier 2022, Jean-Jacques Bourdin a fait savoir son regret face à « la décision unilatérale du Groupe BFMTV et RMC« de le retirer des antennes. On le dit « furieux« , dans les couloirs du groupe, comme le rapporte Le Parisien, ce lundi 24 janvier. « Il est furieux, selon un proche du journaliste vedette de 72 ans. Ce qu’il vit est terrible. C’est son intégrité, sur laquelle il a bâti toute sa carrière, qui est directement touchée. » Au point de quitter les deux antennes ?
Selon un visage de la maison, « il ne reviendra jamais« . Un autre affirme même que Jean-Jacques Bourdin négocie déjà sa sortie. Un départ prématuré puisque celui qui est visé par une plainte pour tentative d’agression sexuelle voit son contrat se terminer au mois de juin prochain. Vingt ans d’ancienneté qui mettent naturellement au cœur de cette sortie une « grosse somme d’argent« , précisent nos confrères. Dans un communiqué envoyé la veille à l’AFP, le mari d’Anne Nivat a en effet fait savoir sa déception quant à la décision du groupe, déplorant « que le principe de présomption d’innocence soit ignoré« .
De nouveaux témoignages à charge à venir ?
Un journaliste de BFMTV estime que « si Bourdin était raisonnable, ce qu’il n’est pas, il aurait protégé l’antenne et lui-même en se retirant« . Ce qui n’est pas sans rappeler le cas de Darius Rochebin avec LCI. Mais selon cette même source, cela lui aurait été proposé et il aurait refusé. Par cette décision, le groupe Altice, propriétaire des médias BFMTV et RMC, entend protéger le fonctionnement des deux antennes. Et la direction craindrait par ailleurs de nouveaux témoignages à charge contre Jean-Jacques Bourdin, apprend-on, qui pourraient nuire d’autant plus à l’image de la chaîne et de la radio.
Jean-Jacques Bourdin comparé à PPDA : la confidence troublante de l’ex-patron de TF1
Anastasia Wolfstirn | lun. 24 janvier 2022 à 20h37 – Mis à jour le lun. 24 janvier 2022 à 21h20
Dans leur ouvrage “TF1, Coulisses, secrets, guerres internes” (Ed.Flammarion) paru en 2016, Aude Dassonville et Jamal Henni ont recueilli les confidences pour le moins surprenantes de Nonce Paolini au sujet de Jean-Jacques Bourdin.
En 2016, les journalistes Aude Dassonville et Jamal Henni ont dévoilé les coulisses de TF1, mastodonte du petit écran, dans leur livre “TF1, Coulisses, secrets, guerres internes” (Ed.Flammarion)”. Pour comprendre au mieux les mécanismes de la première chaîne française et rapporter ses forces et ses failles, le tandem d’auteurs a tendu le micro à Nonce Paolini, PDG du groupe de 2007 à 2016. Ce dernier a alors pointé du doigt le comportement de deux figures bien connues du PAF : “Dans le métier, il y a deux dingues : Poivre et Jean-Jacques Bourdin.”
Le parallèle entre les deux personnalités est cependant à prendre avec des pincettes. Bien que Jean-Jacques Bourdin — présumé innocent — a été accusé de tentative d’agression sexuellepar une ancienne consœur, l’ancien patron de TF1 n’a pas détaillé davantage l’adjectif attribué à l’ex-animateur de Bourdin Direct. Il a cependant continué à évoquer lecomportement de Patrick Poivre d’Arvor en se souvenant d’une interview remarquée de Nicolas Sarkozy réalisée par l’ancienne vedette du JT. Et voici la formule choc du présentateur : “On vous a vu très à l’aise avec les différents chefs de gouvernement. Même un peu excité, comme un petit garçon qui entre dans la cour des grands…”
Pour rappel, Le Parisien avait révélé en mars dernier que Patrick Poivre d’Arvor était accusé de viols par l’écrivaine Florence Porcel. Cette dénonciation avait alors entrainé le témoignage de vingt-trois autres femmes concernant des accusations de viol, agressions sexuelles ou harcèlement sexuel. Du côté de TF1, d’anciens collègues de l’animateur ont tenu à montrer leur soutien à ce dernier. C’est le cas de Claire Chazal qui a dit de ne pas reconnaître le comportement déplacé attribué à PPDA : “L’homme qu’elles décrivent n’est pas celui que j’ai connu, que j’ai bien connu et personnellement et professionnellement”, a-t-elle déclaré sur France Inter en décembre 2021.
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Nonce Paolini: « Dans le métier, il y a deux dingues : Poivre et Bourdin »
Marine Gibert | jeu. 17 mars 2016 à 17h13 – Mis à jour le jeu. 17 mars 2016 à 17h36
@SUREAU JEAN-MARC/TF1/SIPA
Les journalistes Aude Dassonville (Télérama) et Jamal Henni (BFM Business) ont publié ce mercredi 16 mars TF1 : coulisses, secrets, guerres internes chez Flammarion, qui revient sur la direction de Nonce Paolini de 2008 à 2016. L’enquête évoque notamment les relations entre l’ancien patron de la chaîne et Patrick Poivre d’Arvor.
Patrick Poivre D’Arvor, « dingue » ? C’est ce que maintient en tout cas l’ancien patron de TF1, Nonce Paolini. L’excentricité du célèbre présentateur de JT – qui n’a jamais digéré son éviction de la chaîne – est largement abordée dans le livre des journalistes Aude Dassonville et Jamal Henni, qui vient de sortir. TF1 : coulisses, secrets, guerres internes est paru chez Flammarion le 16 mars dernier et examine l’évolution de la chaîne depuis une décennie.
Dans les bonnes feuilles du livre, parues dans TéléObs, on peut lire à propos du présentateur-star de TF1 : « Poivre vivait dans un monde parallèle, hors-sol. Qu’on peut facilement imaginer quand on se figure l’hélicoptère réputé l’attendre sur la base d’Issy-les-Moulineaux, à quelques centaines de mètres de TF1, le jeudi soir pour l’emmener rejoindre sa Bretagne chérie sitôt son dernier journal de la semaine refermé. »
Les deux journalistes rappellent les anecdotes qui ont participé à la popularité de PPDA, comme lorsqu’il a ramené d’Irak, caché dans son sac, un bébé qu’une famille lui avait confié, lui donnant l’occasion de faire la Une de Paris Match. Encore plus osé, en 1991, le présentateur montre les images d’une conférence de presse de Fidel Castro pour laisser supposer qu’il s’agit d’un entretien en tête à tête. « Pendant ces années flamboyantes, PPDA ose tout. C’est même à ça qu’on le reconnaît » écrivent les auteurs. Dassonville et Henni n’ont pas peur d’écorner le mythe : « Se reposant sur son talent, et sur un vrai appétit pour ‘info, il arrivait quasi systématiquement en retard aux conférences de rédaction, dictait le texte du journal à sa secrétaire à la dernière minute (…) Il assurait un service bien plus minimal que sa légende d’infatigable bosseur insomniaque le laissait croire. Mais il assurait. »
Pour Nonce Paolini, le constat est sans appel : « Dans le métier il y a deux dingues : Poivre et Jean-Jacques Bourdin. » L’ancien patron de TF1 (remplacé depuis le 18 février par Gilles Pélisson) se souvient notamment de l’interview réalisée par PPDA de Nicolas Sarkozy à l’époque où le président assistait à son premier G8. Les premiers mots du présentateur étaient : « On vous a vu très à l’aise avec les différents chefs de gouvernement. Même un peu excité, comme un petit garçon qui entre dans la cour des grands… » Une formule choc restée gravée dans les annales de TF1.
Et pour la justiciable que je suis, son « témoignage » est totalement inacceptable.
Je vais donc livrer le mien moi aussi, en précisant bien qu’il s’agit d’un témoignage authentique et parfaitement sincère portant sur des faits réels dont je garantis l’exactitude, disposant le cas échéant des pièces de dossier nécessaires pour en attester, et certainement pas de diffamation de ma part.
Depuis que je suis harcelée par le pédophile, trafiquant de drogue et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, j’ai été auditionnée trois fois par Céline Verdier, toujours en qualité de partie civile, de victime, donc, la première fois au mois d’octobre 2012 – c’est d’ailleurs ce qui aura convaincu le cybercriminel de fermer provisoirement son blog au mois de décembre 2012, le temps de le modifier pour que les commentaires n’en soient plus publics et me soient désormais inaccessibles, les courriers que j’ai rédigés à l’attention de la juge à la suite de cette première audition, en novembre et décembre 2012, l’ayant grandement inquiété du fait que j’y pointais de ses commentaires publics me concernant, et je rappelle à cet égard que lui et sa bande de cybercriminels lisent tous mes courriers au fur et à mesure de leur rédaction, quasiment en temps réel, grâce à leurs piratages informatiques, contre lesquels les logiciels de sécurité standard ne sont d’aucune utilité, car ils les contournent tous.
Et qu’on ne vienne pas me dire qu’il suffit alors d’utiliser un ordinateur qui n’est jamais connecté à Internet, j’ai déjà essayé par le passé et ça ne marche pas non plus tant qu’il n’est pas protégé par une cage de Faraday… Et encore faudrait-il dans ce cas être tout à fait sûr de l’inviolabilité de son domicile ou au moins du lieu où se trouve encagé l’ordinateur, alors qu’aucun verrou ne résiste au spécialiste…
Ces personnes du crime organisé disposent de tous les outils possibles et imaginables pour violer en continu des décennies durant l’intimité de la vie privée de leurs cibles. Seule la justice peut les arrêter, à la condition, bien sûr, qu’elle y soit disposée.
Je rappelle encore qu’en ce qui me concerne, cela a commencé au début des années 1990 suite à mon refus catégorique de mettre mes compétences d’ingénieur d’études en informatique au service du crime organisé, notamment pour commettre des crimes contre la Nation, puisque contrairement à mes employeurs harceleurs, des patrons bien connus comme « voyous », j’avais personnellement accès à des informations et logiciels classés Secret et Confidentiel Défense, ceux sur lesquels je travaillais ou avais travaillé et me trouvais encore potentiellement amenée à travailler.
La criminelle ultra militariste Josette Brenterch du NPA de Brest, qui avec ses camarades de l’extrême-droite la plus fasciste, dont une partie, comme les terroristes d’Action Directe, se réclame de l’extrême-gauche « révolutionnaire communiste », s’est toujours activée pour déclencher des conflits armés un peu partout dans le monde et avait donc besoin des produits de trafics d’armes que mon travail, pour partie, tendait à assécher, a toujours été complice de mes anciens employeurs harceleurs et mafieux depuis cette époque-là et s’était même chargée de surveiller illégalement tous les membres de ma famille résidant dans le Finistère alors que pour ma part je n’y étais pas encore. Avec l’aide de ses sbires de la LCR de Brest, notamment la dénommée Christiane Voisset, elle était allée jusqu’à infiltrer l’entourage amical de mon père pour pouvoir l’entraver au maximum tandis que de mon côté j’en étais rendue à subir des tentatives d’assassinat à répétition de la part de ses complices trafiquants d’armes.
Bien sûr, nous étions déjà tous abondamment calomniés partout où l’association de malfaiteurs le jugeait utile pour les affaires ou l’intérêt de ses membres.
Et bien évidemment, elle a toujours continué après m’avoir imposé un retour à Brest où, ne pouvant plus travailler, je dérangeais déjà nettement moins, mais encore trop tant qu’il me restait toute ma mémoire et mes facultés d’expression, d’où la poursuite de toutes les surveillances illicites dont j’ai continuellement été victime des années 1990 jusqu’à ce jour, ainsi que des campagnes de calomnies, toujours destinées à m’isoler autant qu’à me décrédibiliser, et des agressions et tentatives d’assassinat, ayant toujours pour but de me chasser ou de me faire reculer ou abandonner dès que je commence à m’intégrer à un groupe quelconque et/ou de me faire taire définitivement.
C’est bien le « travail » qu’elle a poursuivi à mon encontre à compter de l’année 2008, cette fois sur la toile et avec l’aide du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et toute sa bande de cybercriminels alors que j’avais commencé à commenter anonymement des articles du site Rue89 (ce qu’elle a su dès mes premiers mots du fait qu’elle me faisait toujours surveiller illégalement, par piratage informatique comme par écoutes téléphoniques et autres, toutes illégales), « travail » pour lequel j’ai fini par porter plainte à compter de l’année 2010 alors que les exactions avaient encore monté d’un cran, mon identité et toutes mes coordonnées, et même celles de personnes m’étant très proches, ou d’autres que j’avais jadis fréquentées, notamment en 2004 et 2005 dans le cadre de l’association AC ! Brest, ayant été révélées au public avec des montagnes d’inventions calomnieuses quotidiennes et moult menaces de mort.
Le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi ayant de plus publiquement associé mon nom à l’affaire de l’attentat de Karachi dès le mois de juin 2010, il était certain que des crimes de sang en relation avec cette affaire allaient de nouveau être commis en pagaille, sauf à le mettre très rapidement hors d’état de nuire, mais ce ne fut pas le choix des magistrats brestois, bien au contraire, quoiqu’ils aient tout de suite été prévenus de la situation et aient toujours su quels en étaient tous les enjeux et tous les risques, comme j’en aurai plus tard confirmation, à travers les dossiers d’information judiciaire qui étaient détenus par la juge d’instruction ultra CORROMPUE Céline Verdier et dont je n’obtiendrai communication des premiers éléments qu’à compter de l’été 2014, les plus importants ne m’ayant été communiqués que par la Cour d’Appel de Rennes au cours de l’automne 2015, ce qui est très tardif et totalement anormal.
En effet, alors qu’en principe toutes les parties, la parte civile comme les autres, ont toujours accès au dossier de l’information judiciaire à compter de leur première audition, et même quelques jours avant cette première audition, ni mes avocats successifs ni moi-même n’avons jamais pu y accéder tant que l’information judiciaire était ouverte, car la pourriture Céline Verdier n’a jamais fait coter au dossier de l’information judiciaire l’essentiel des pièces dudit dossier avant d’avoir décrété la fin de l’information. Même sur demande de communication de l’entier dossier de l’information judiciaire après fin de ladite information, elle ne nous a jamais communiqué l’intégralité des dossiers en sa possession, que je ne découvrirai dans leur entièreté qu’en appel à Rennes au cour de l’automne 2015. C’est volontairement et de manière parfaitement illégale, dans le seul but d’entraver toute manifestation de la vérité, qu’elle nous a toujours caché des dossiers dont nous connaissions l’existence mais pas les contenus et lui avions donc à plusieurs reprises demandé la communication, sans aucun succès.
Il est ainsi avéré qu’elle a toujours été complice en toute connaissance de cause du pédophile, trafiquant de drogue et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de toute sa bande de criminels pour toutes leurs entreprises criminelles à mon encontre, visant aussi l’Etat français et son armée pour quelques contrariétés relatives à des trafics d’armes, les représailles organisées par la criminelle en chef Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices trafiquants d’armes étant toujours passées depuis les années 1990 par des attentats « islamistes », lesquels ont bien repris en 2012, après préparation dès le mois de juin 2010, simultanément aux premières publications sulfureuses du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre.
Ces attentats étaient prévisibles dès le mois de juin 2010. Plusieurs éléments montrent de manière rétrospective que c’est bien à ce moment-là que commence leur préparation : Mohammed Merah commence bien à s’agiter à Toulouse dès le mois de juin 2010, tandis que se prépare le premier numéro du magazine Inspire d’Al-Qaïda. De plus, j’ai alerté les magistrats brestois à ce sujet à plusieurs reprises à compter de cet été 2010, et les documents que je leur transmettais ne permettaient de douter, ni de la réalité des infractions dont j’étais victime, ni de la réalité de la personnalité de mes agresseurs, à commencer par celle du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi. Cependant, ils ont bien toujours soutenu ces criminels et toutes leurs entreprises criminelles, et ce, donc, en parfaite connaissance de cause, comme le laissera très clairement entendre Céline Verdier à chacune de mes trois auditions dans son cabinet.
Je rappelle que la première de ces auditions n’aura lieu qu’en octobre 2012, alors que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’activait depuis 2010, comme il l’a écrit à plusieurs reprises en 2010, 2011 et 2012 dans ses très nombreux textes publics me concernant, à rechercher et identifier toutes mes relations et connaissances passées et actuelles, afin d’éliminer tous ceux qui par leurs actes, avis ou comportements contrariaient ou ont un jour contrarié les entreprises criminelles de sa complice Josette Brenterch à mon encontre, et continuaient à les menacer, puisqu’il s’agissait désormais de faire rédiger et publier par ce malade mental, le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, une version entièrement fausse et hautement calomnieuse et infamante de ma « biographie », concernant aussi, bien évidemment, tous mes proches, lesquels étaient donc les premiers visés par cette nouvelle chasse à l’homme ouverte en 2010 (nous avions en fait déjà tous fait l’objet de multiples tentatives d’assassinat par le passé).
Céline Verdier a donc fait assassiner ou au moins cautionné l’assassinat de très nombreuses personnes, dont plusieurs ingénieurs de ma famille.
Ceux qui restent ne peuvent même pas porter plainte, sachant que les commanditaires et/ou organisateurs de ces assassinats sont les magistrats eux-mêmes.
« C’est du bidouillage à chaque fois » : trois magistrates brestoises témoignent
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Ce qui les fait tenir ? Une certaine idée de la Justice. Système D, heures sup à gogo : Marie-Anne Kérisit, Céline Verdier et Nathalie Le Borgne, magistrates du pôle de l’instruction de Brest, ont accepté de raconter leur quotidien effréné.
Les trois juges d’instruction du pôle judiciaire de Brest, Marie-Anne Kérisit, Céline Verdier et Nathalie le Borgne. Elles se répartissent 280 dossiers criminels et délictuels et ont souvent l’impression de vider un océan à la petite cuillère. (Photo T. C.)
Vous êtes toutes trois magistrates et composez le pôle de l’instruction de Brest. Quelle charge de travail vous répartissez-vous ?
M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Nous suivons 280 dossiers pour nos trois cabinets. En 2021, nous avons eu 50 ouvertures de dossiers criminels pour Quimper et Brest. Beaucoup d’affaires de mœurs et d’homicides. Le criminel, ce sont des dossiers plus chronophages que le délictuel. Ils exigent un certain nombre d’investigations obligatoires. Les enjeux sont importants. Néanmoins, il y a aussi des dossiers délictueux lourds et complexes, comme les affaires de stupéfiants ou financières.
Au regard de cette charge de travail, combien de temps consacrez-vous à chaque dossier ?
M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Arithmétiquement, nous devrions dédier deux jours et demi par an à chaque dossier. C’est totalement inadapté, irréaliste ! Ça ne nous permet pas d’approfondir, d’instruire correctement… Croyez-vous qu’il suffise d’un procès-verbal de synthèse pour apprécier un dossier ? Un dossier de stupéfiants qui nous arrive en quatre tomes, croyez-vous que nous ayons assez de deux jours et demi pour l’appréhender ?
Quels sont les actes à mener dans l’instruction d’un dossier ?
M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Pour chaque mis en examen, l’interrogatoire de première comparution, l’interrogatoire au fond, l’audition de la partie civile (victime, NDLR), qui est un acte essentiel et souvent entouré d’une charge émotionnelle, la rédaction de la commission rogatoire, les expertises, les échanges avec les enquêteurs… Parfois, nous avons des dossiers avec dix mis en examen ! Comment tenir dans ce délai ? Sans compter que ces deux jours et demi, on doit aussi les passer à solliciter les experts, à négocier leurs délais de restitution. Ils sont extrêmement peu nombreux et on ne peut pas se dispenser d’une expertise psychiatrique ou psychologique.
Quel est le délai théorique pour boucler un dossier ?
M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Nous allons dire aux gens que le délai d’achèvement, pour une procédure criminelle, c’est 18 mois. En ajoutant, en effet, que c’est théorique.
Pensez-vous que les justiciables entrevoient ce qu’est votre quotidien ?
M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Non. Nous sommes confrontées à la fragilité humaine, à la souffrance. On nous voit dans une tour d’ivoire alors que nous avons les mains dans le cambouis.
M.-A. K. : Nous travaillons quasiment tous les soirs, et les week-ends.
N. L. B. : Moi, je préfère finir tard en semaine et ne rien emmener à la maison. Mais c’est le soir, le week-end et une grande partie de mes vacances.
C. V. : Moi, c’est quand les enfants dorment. C’est coûteux pour la vie de famille. Le côté pernicieux, c’est qu’on en vient à se culpabiliser, à se dire qu’on est trop lent, d’autant qu’on nous renvoie l’idée que nous sommes peut-être trop exigeants.
Priorisez-vous certains dossiers ?
C.V. : Nous sommes obligées. Nous prenons en compte la gravité des faits. Nous traitons prioritairement les dossiers détenus, les dossiers les plus anciens, les dossiers de diffamation - car la prescription est de trois mois -. Puis les mineurs, les crimes et, ensuite, les délits d’atteinte aux personnes et les délits d’atteinte aux biens. Des dossiers en pâtissent forcément. Certains critères peuvent sembler subjectifs. C’est critiquable mais, à un moment, il faut trouver une échelle.
N. L. B. : La difficulté, c’est qu’une urgence chasse l’autre. Un exemple : ce vendredi après-midi, j’avais sanctuarisé une heure pour m’occuper d’un petit dossier. Un contrôle judiciaire non respecté s’est intercalé. C’est ça en permanence.
M.-A. K. : Cette course après le temps n’est pas propre à l’instruction. Pour un juge aux affaires familiales, par exemple, il est inenvisageable de bâcler un jugement attribuant la résidence des enfants chez l’un des parents en trois lignes.
N. L. B. : C’est vrai. Quand j’étais juge des enfants à Rennes, en 2018, j’avais 690 dossiers. Je finissais à minuit pour reprendre à 5 h du matin. Quand un cinquième poste s’est ouvert, on a trouvé ça génial de passer à 550 dossiers par magistrat !
La Cour des comptes a pointé l’obsolescence du parc informatique des tribunaux. Est-ce le cas à Brest ?
M.-A. K. et C. V. : Oui. Prenons le logiciel Cassiopée, qui permet de renseigner un tribunal sur les antécédents d’un mis en cause. Outre le fait qu’il n’est pas intuitif, sa trame n’est pas actualisée. Il y a des références dépassées ou inexistantes, des témoins assistés qui n’ont pas été intégrés… Sans compter l’enchaînement des réformes. Un exemple : pour la nouvelle justice pénale des mineurs, toutes les trames n’étaient pas prêtes. C’est tout l’art et la qualité des greffières d’arriver à aménager des trames adaptées. Mais c’est du bidouillage à chaque fois. Les moyens accordés à l’antiterrorisme nous font rêver. Nous n’avons même pas une imprimante chacune.
N. L. B. : Je n’ai même pas de téléphone portable dédié. C’est mon téléphone personnel. C’est ça, le fonctionnement de la Justice.
M.-A. K. et C. V. : C’est un métier passion et notre chance, c’est d’avoir une bonne ambiance et des greffières remarquables. On ne travaillerait sans doute pas de la même façon s’il n’y avait pas cette ambiance. On rit beaucoup dans ce service ! Faire ce métier dans une ambiance de travail délétère, c’est mission impossible. Nous partageons la même vision de notre métier, qui est d’accorder aux justiciables l’écoute, le respect de leurs droits, le temps nécessaire à la compréhension de leur dossier, les investigations à mener pour la manifestation de la vérité, la possibilité de leur donner du temps…
N. L. B. : Ça tient aussi parce que je trouve indécent de faire attendre des gens et de mal connaître le dossier. Ce n’est pas acceptable de rogner sur la qualité pour atteindre une quantité qu’on ne peut, de toute façon, pas absorber.
Comment va se passer la mise en place du nouveau pôle régional spécialisé en matière d’atteintes à l’environnement qui échoit au tribunal de Brest ?
M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Nous avons demandé un quatrième poste. Notre inquiétude, c’est d’absorber ce nouveau pôle sans renforts. On nous a garanti que nous n’aurions pas de saisine avant.
Au vu de ce quotidien, comment recevez-vous les propos du garde des Sceaux, qui, après la manifestation du 15 décembre, disait « ne pas exclure une manipulation » ?
M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Il ne nous surprend pas. Ce qui nous énerve, ce sont ses éléments de langage. La tribune des magistrats parue en novembre, dans Le Monde, a été signée par 7 000 des 8 200 magistrats français. La manipulation est difficile à entendre ! Et il a laissé entendre que c’était une rébellion de jeunes magistrats. C’est presque outrageant. Ce n’est pas une revendication catégorielle. Elle est portée par une haute idée de la Justice. Ça dépasse tous les clivages, toutes les opinions politiques.
Aucune nouvelle de ce dossier depuis lors, il semble avoir été définitivement enterré.
En revanche, l’enquête sur la tuerie de Chevaline est toujours en cours et pourrait, pourquoi pas, étant donnée l’arme du crime, s’orienter vers un collectionneur d’armes à feu comme on en trouve plusieurs dans l’affaire des tueries du Brabant, à commencer par le brocanteur Xavier Sliman, dont le frère Thierry aurait de plus été un membre du SAC.
On rappelle qu’elle a déjà pris un tour nouveau au cours de l’année passée à la suite de la découverte de munitions spécifiquement destinées à cette arme ancienne chez le commanditaire présumé d’un autre assassinat (voir ci-dessous).
Rappelons encore que le brocanteur Jacques Fornès de Quimper dans le Sud-Finistère, grand fan d’Affaire conclue et grand ami de la famille Le Pen, tout comme de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, a aussi affiché avec ostentation bien des choses très intrigantes sur sa page Facebook : non seulement son goût très prononcé pour les très jeunes Thaïlandaises, mais également sa très grande satisfaction d’avoir toujours « travaillé » avec d’excellents résultats avec des individus qu’il dit être de la DGSE dans le cadre de ses activités « politiques » pour le Front national.
A noter : le meilleur ami du pédophile, trafiquant de drogue, et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, l’ancien conservateur en chef du patrimoine du château de Malmaison Alain Pougetoux, est devenu voisin du commanditaire d’assassinats Jean-Luc Avella Bagur à Velizy-Villacoublay depuis qu’il a pris sa retraite le 5 février 2018, comme il l’indique dans sa page Facebook, ici :
La consultation de cette fiche est riche d’enseignements sur le personnage, quoiqu’il y soit peu prolifique : on observe d’abord qu’il s’y présente tout comme l’antiquaire finistérien Jacques Fornès avec son chien, quasiment le même, provenant peut-être du même élevage de camarades du parti, puis qu’il a fait son tour dans l’Himalaya lui aussi, au moins un, sans doute à l’invitation de son ami le pédophile et trafiquant de drogue Pascal Edouard Cyprien Luraghi, auquel il a rendu visite dans le Lot au cours de l’été 2010 (il l’a quitté le 12 septembre 2010 pour rentrer chez lui en région parisienne), alors que ce dernier publiait tous les jours des montagnes d’horreurs à mon sujet sur ses blogs personnels depuis le 19 juin 2010, et enfin, qu’il a commencé à travailler au château de Malmaison au mois de septembre 2001, soit à l’époque des attentats islamistes tant loués par son meilleur ami pédophile et trafiquant de drogue ayant vécu plusieurs années au Pakistan, un si bon ami qu’il lui a payé sa maison à Puy-l’Evêque en mars 2003 comme promis depuis 2001 au moins. Voir ici :
Je viens de réserver un billet Cahors-Paris pour demain 11 h. 30 et le site de la SNCF me propose tout de suite de le publier sur Fessebouc ; mais comment donc ! Pourquoi pas la Pléïade tout de suite ? Non mais franchement : ça intéresse quelqu’un, ce genre de nouvelle ? Si c’est le cas, j’arrive à 17 h 20 et je veux bien qu’on vienne me chercher à la gare d’Austerlitz (si possible en berline Jaguar, couleur bronze).
Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul.
Le titre et la description de l’acte concerné reposent sur la qualification juridique retenue lors de la rédaction de l’article et peuvent évoluer en même temps que celle-ci.
N’hésitez pas à participer de manière neutre et objective, en citant vos sources et en n’oubliant pas que, dans nombre de systèmes judiciaires, toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.
La dernière modification de cette page a été faite le 12 janvier 2022 à 13:50.
L’affaire des barbouzes de la DGSE est une affaire criminelle qui met en cause deux gardiens du camp de Cercottes (de la Direction générale de la Sécurité extérieure) qui auraient exécuté des contrats de tueurs pour différents commanditaires. Le premier de ces contrats est mené à son terme en 2018, par l’assassinat de Laurent Pasquali.
Les enquêteurs envisagent l’hypothèse de leur participation dans une dizaine d’affaires, toutes n’ayant pas forcément conduit à des meurtres. Comme la surveillance d’un concurrent à la mairie de Saint-Maur-des-Fossés en 2014 par le maire alors en place Henri Plagnol ou encore la tuerie de Chevaline.
En février 2021, la police retrouve chez le commanditaire présumé du projet d’assassinat de Marie-Hélène Dini, Jean-Luc Avella Bagur, des munitions de Luger P06 . Ces munitions sont rares et ont été utilisées lors de la tuerie de Chevaline. Cette découverte entraîne le réexamen du dossier pour tenter de faire le lien entre les deux affaires1,2,3,4.
2014 : affaire Henri Plagnol
Henri Plagnol, qui fut secrétaire d’Etat de Jacques Chirac, aurait fait appel, avant les municipales de 2014 à Saint-Maur-des-Fossés, à la même cellule de barbouzes pour faire surveiller son concurrent, Sylvain Berrios qui est, à la suite de ces élections devenu maire. Par la suite, Henri Plagnol est condamné en 2017 à un an de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité. Il a été considéré comme complice d’un système de fausses factures payées par la mairie de Saint-Maur à une filiale de Bygmalion, la société impliquée dans la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 20125.
Les enquêteurs semblent aussi faire un lien[évasif] avec l’agression de Jean-François Le Helloco, ami de Sylvain Berrios. Un matin d’octobre 2016, le conseiller départemental Jean-François Le Helloco est attaqué par deux hommes cagoulés dans le jardin de sa maison de Saint-Maur. S’ensuit une pluie de coups, des injonctions « Faut que tu arrêtes ! » et une photo souvenir6.
2018 : meurtre de Laurent Pasquali
Laurent Pasquali, pilote automobile, disparaît inexplicablement en 2018 à Levallois. Le 1er septembre 2019, un crâne et des ossements humains sont découverts dans un bois à Cistrières. Ils ne sont pas immédiatement identifiés7. On apprend par la suite qu’il s’agit du corps de Laurent Pasquali. Il a été abattu8 et enterré dans ce bois en Haute-Loire9,10,11. Laurent Pasquali aurait touché 200 000 euros pour apposer un logo sur sa voiture de rallye durant les courses et n’aurait pas respecté les termes du contrat12.
2020 : affaire du syndicaliste d’Izernore
Interpellé dans le cadre de l’affaire, un ancien journaliste au Dauphiné libéré, Frédéric Vaglio, reconnaît avoir reçu en janvier 2020 d’« amis » entrepreneurs dans le domaine de la plasturgie un versement de 75 000 euros, en règlement d’une mission d’élimination d’un syndicaliste appartenant à la CGT. Celui-ci n’aurait échappé à l’assassinat que par le repli rendu nécessaire par l’échec de la tentative de meurtre de Mme Dini, exposée ci-après. Mis en examen le 10 mai 2021 pour « association de malfaiteurs en vue de commettre un crime », ces « amis » sont écroués ; ils démentent totalement les accusations qui pèsent sur eux.13,14,15
2020 : projet d’assassinat de Marie-Hélène Dini
Le 24 juillet 2020, Marie-Hélène Dini cheffe d’entreprise, à la tête d’une école de formation de coach sort de chez elle en retard à Créteil (Val-de-Marne) . Elle aperçoit une voiture de police avec des policiers en train d’interpeller deux hommes. On apprendra par la suite que les deux hommes étaient armés, qu’ils sont gardiens d’un camp de la DGSE. Ils auraient eu pour ordre d’éliminer Marie-Hélène Dini, supposée être un agent ou une informatrice du Mossad, mais surtout, initiatrice d’une tentative de structuration de la profession de coach en France. Le commanditaire, un de ses concurrents, avoue avoir demandé son exécution car il craignait que la création d’un syndicat national ne fasse de l’ombre à son affaire,8,16,17.
Suspects
Exécutants présumés
Pierre B. et Carl E. seraient les deux exécutants présumés qui travaillent pour la DGSE. Ils n’appartiennent pas au service action de la DGSE mais ils sont simplement des gardiens du camp d’entrainement de la DGSE à Cercottes. Ils ont comme pseudonymes : Dagomar et Adelard18.
Commanditaires présumés
Les commanditaires présumés semblent avoir pour point commun d’appartenir à une loge maçonnique nommée « Athanor » (nom médiéval du fourneau des alchimistes). Cette loge appartient à l’obédience Grande Loge de l’Alliance maçonnique française (GL-AMF). Créée au printemps 2012 à la faveur de la scission d’une autre obédience, la GL-AMF compte quelque 15 000 membres et 680 loges en France. Le 4 février 2021, la loge mise en cause, installée à Puteaux, dans les Hauts-de-Seine, a été fermée par le nouveau grand maître19.
Réaction des obédiences et des organes maçonniques
Le journal Le Parisien qui évoque l’affaire en une, sous le titre « Victime des tueurs francs-maçons », voit ce titre qualifié de« racoleur et putassier » par l’auteur du blog maçonnique Hiram.be, jugeant l’amalgame entre les auteurs des méfaits et leur qualité de franc-maçon comme teinté d’antimaçonnisme et alimentant les fantasmes véhiculés contre la franc-maçonnerie dans les milieux qui lui sont hostiles20.
La Grande Loge nationale française précise dans un communiqué que les noms des deux suspects apparaissent dans leur registre entre 2009 et 2012, année de leur départ de l’obédience, sans jamais avoir occupé de postes significatifs. Elle affirme son indignation devant des agissements putatifs qui salissent la franc-maçonnerie tout entière21,22.
Le grand maître du Grand Orient de France, dans une publication précise que le Grand Orient n’a aucun lien, ni même aucune connaissance de l’existence de cette loge maçonnique n 1, mise en cause dans les chroniques criminelles des médias français. Il affirme, tout en respectant la présomption d’innocence, que de tels agissements sur lesquels toute la lumière doit être faite, rejaillissent sur la franc-maçonnerie qui reste un ordre et une association humaniste respectueuse sans conditions des lois de la République23,24.
Pour sa part la Grande Loge de l’Alliance maçonnique française à laquelle appartenait la loge Athanor, dissoute en février et à laquelle sont rattachés plusieurs protagonistes de l’affaire, rappelle « qu’en tant qu’obédience maçonnique, elle prône le respect strict et absolu de toutes les lois en vigueur dans notre République ». Elle suspend les membres incriminés jusqu’au rendu de l’enquête 25.
Notes et références
Notes
La loge maçonnique n’appartenant pas à son obédience.
Références
« Derrière les Blaireaux des légendes, des tentatives assassinat en série », Le Canard enchaîné, 24 février 2021.