9 février 2020 : une pleine lune sensationnelle, anti-menteurs 16 février
Les premiers concernés sont les menteurs natifs du Verseau, particulièrement ceux qui viennent de fêter leur anniversaire, par exemple celui qui est né le 7 février 1958 à Strasbourg.
C’est déjà bien visible pour les plus en vue, dont le Prince Andrew, né le 19 février 1960, qui cette année sera privé d’anniversaire en raison de son interview calamiteuse de l’automne dernier et se trouve derechef dans les ennuis (voir ci-dessous), ou bien encore Christophe Girard, né le 9 février 1956 à Saumur, qui se serait sans doute bien passé de sa mise en lumière subite dans le cadre de l’affaire Matzneff (voir ci-dessous).
Mais les menteurs du signe du Lion ne s’en sortent pas mieux.
En cette période de l’année où leur luminosité particulière est toujours celle des ténèbres, ils peuvent bien, par exemple, multiplier interventions médiatiques, coups d’éclat ou posts de chatons mignons, rien n’y fait, ils retombent toujours plus bas et pourraient bien se retrouver assez rapidement au fond du gouffre.
C’est le cas, par exemple, de Gabriel Matzneff, né le 12 août 1936 à Neuilly-sur-Seine (voir ci-dessous).
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Pleine lune du 9 février 2020 en Lion : une pleine lune de courage
La pleine lune du 9 février se produit en Lion, ce qui annonce une Pleine Lune énergique, dynamique et ambitieuse. Elle offre de la combativité, de la volonté et donne envie de s’épanouir. Elle libère les énergies et nous oblige à regarder notre situation en face, sans se mentir. Ema Fontayne, astrologue, nous dit tout sur cette pleine lune.
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Pleine lune en Lion, quelle signification ?
En février 2020, la Pleine Lune se produit le dimanche 9 à 07H34 (soit à 8H34 heure de Paris) à 20 degrés du signe des Lion. Lorsqu’une Pleine Lune en Lion se crée, le Soleil est en Verseau et la Lune se situe juste en face de lui (au degré près sur le Zodiaque) en Lion.
Une Pleine Lune en Lion est une Pleine Lune énergique, dynamique, ambitieuse. Elle offre de la combativité, de la volonté et donne envie de s’épanouir. C’est l’occasion de mettre à profit votre esprit de synthèse et de rassembler les bons éléments à votre disposition pour réussir vos entreprises.
C’est une Pleine Lune qui libère les énergies, une Pleine Lune de courage qui pousse à prendre conscience de notre situation sans se mentir. Soit on est heureux de ce qu’on constate, soit on n’hésite pas à continuer à mettre en place des changements pour améliorer une situation.
Pleine lune du 9 février en Lion Trigone à Mars en Sagittaire
Le dimanche 9, la Pleine Lune en Lion Trigone à Mars en Sagittaire traduit pas mal d’enthousiasme et de dynamisme puisque le Lion et le Sagittaire sont des signes de Feu, c’est-à-dire des signes d’action, de passion. Cette Pleine Lune vous éclaire et vous apporte les bonnes informations et les bons outils pour agir et conduire vos entreprises vers le succès.
Grâce à cette Lune et à Mars en signes de Feu, on a confiance en soi, on entreprend, on est optimiste, souriant, on est efficace et franc. Cette Pleine Lune donne du sang-froid et de l’enthousiasme dans nos activités, notre travail. Normalement, par rapport à ce qu’on a mis en place lors de la dernière Nouvelle Lune, on ressent de l’énergie et de la motivation pour continuer de prendre son destin en main et continuer d’avancer vers le but recherché. Si rien n’est en jeu en ce moment, on se sent bien dans sa peau, plus jeune, plus dynamique, plus joyeux, plus serein par rapport aux tensions qui planaient lors de la dernière Nouvelle Lune.
Notons que le Sextile entre Jupiter et Neptune présent dans ce ciel de Pleine Lune favorise la bonté, la générosité, la bonne humeur et la conciliation. Nous serons donc compréhensifs les uns envers les autres, nous évoluerons dans une dynamique d’arrangement et de bonne volonté réciproque.
A retenir :
Cette Pleine Lune peut aussi apporter une bonne nouvelle comme l’annonce d’un emploi, d’un contrat ou même une rencontre affective car Vénus fraîchement entrée en Bélier va dans le sens passionné de la Lune et Mars. Grâce à la Lune, nous sommes donc conquérants sur le plan du cœur et confiants dans nos ambitions socioprofessionnelles.
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Prince Andrew : la reine Elizabeth annule sa fête d’anniversaire pour ses 60 ans
Par Clément Garin Le 24 novembre 2019 à 16h59
Le 19 février prochain, le prince Andrew fêtera ses 60 ans. À cette occasion, la reine Elizabeth avait pour projet d’organiser une grande fête. Selon Daily Mail, la reine a finalement décidé d’annuler le banquet, quelques jours après l’avoir viré.
Décidément, le monde s’écroule sous les pieds du prince Andrew. Quelques jours après son interview désastreuse accordée à BBC, le deuxième fils de la reine d’Angleterre a été démis de toutes ses fonctions royales par sa mère. Celle-ci a également pris une autre décision catégorique : selon Daily Mail, la grande fête qu’elle avait envisagée pour fêter les 60 ans de son fils le 19 février prochain est d’ores et déjà annulée. La reine Elizabeth, choquée par la tempête médiatique qui vise sa famille, opte finalement pour un petit repas dans l’intimité.
Selon une source royale interrogée par Sunday Times, la reine Elizabeth a farouchement désapprouvé les propos que son fils a tenus dans l’interview calamiteuse qu’il a accordée à la BBC. Mère et fils ont eu une discussion très franche, à l’issue de laquelle le prince Andrew a demandé à Elizabeth d’être retiré de la vie publique, et démis de toutes ses fonctions royales. Une demande que la reine a acceptée. Quelques jours plus tard, il l’avait « informée qu’il comptait répondre à la polémique, mais sans entrer dans les détails« selon cette même source.
La reine le soutient, mais est scandalisée
L’autrice royale Penny Junor a estimé que le prince Andrew était « définitivement fini » à la suite de cette tempête médiatique sans précédent : « Il n’a plus aucun intérêt : il ne représente plus la monarque, il ne la soutient plus, il n’a plus aucun titre, il ne représente plus le bien charitable. Quel est aujourd’hui son intérêt ?« a-t-elle interrogé. Âgée de 93 ans, Elizabeth continuerait à soutenir « en privé » son fils, mais serait particulièrement chagrinée que cette polémique prenne le dessus sur tous les travaux que la famille royale entreprend partout dans le monde.
Si la polémique autour de Jeffrey Epstein éclate en 2019, elle ne date pourtant pas d’hier. En effet, le prince Andrew avait quitté dès 2011 son poste d’ambassadeur britannique, après la première mise en examen de l’homme d’affaires qui s’est suicidé en août dernier. Étaient alors révélés les liens d’amitié que le prince avait noués avec le milliardaire au début des années 2000. En 2015, Virginia Giuffre, principale accusatrice déclarée de Jeffrey Epstein, affirmait déjà avoir été victime d’abus sexuels de la part du prince Andrew, lors de différents séjours à Londres, à New York et dans les Caraïbes, entre 1999 et 2002.
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Le Prince Andrew au bord du précipice : accusé dans l’affaire Epstein, le fils de la reine serait mêlé à une autre affaire de moeurs
De mauvaises fréquentations
Laura Carreno-Muller | vendredi 14 février 2020 à 21h53
Rien ne va plus pour la famille royale. Et certainement pas pour le prince Andrew. Déjà empêtré dans le scandale Jeffrey Epstein, le fils préféré de Sa Majesté Elizabeth II se retrouve impliqué dans une autre affaire de mœurs, d’après le Daily Mail. Cette fois-ci autour d’un grand magnat de la mode, Peter Nygård.
Pointure et magnat de la mode finno-canadienne, Peter Nygård se retrouve dans la tourmente. D’après de récentes informations de nos confrères britanniques du Daily Mail, cet homme âgé de 77 ans est accusé d’avoir attiré au moins dix adolescentes dans son manoir des Bahamas, « sous prétexte qu’il les aiderait dans leurs carrières de mannequin ». Là, Peter Nygård – qui clame son innocence - aurait profité d’un moment d’inattention de ses cibles pour les droguer, notamment « avec de l’alcool », avant d’abuser d’elles sexuellement. Les victimes présumées, qui intentent une poursuite civile contre celui qu’elles pointent du doigt comme leur bourreau, auraient été agressées et violées. Encore un scandale pour le prince Andrew ?
Empêtré dans le scandale Jeffrey Epstein, malgré ses efforts pour se défendre dans une interview fiasco accordée à la BBC, le nom du fils préféré de Sa Majesté Elizabeth II a été cité par le Daily Mailen raison d’un séjour dans le manoir de Peter Nygård. En effet, le duc d’York aurait été l’invité du richissime fondateur de Nygård International au mois de juin de l’année 2000, tout comme son ex-épouse Sarah Ferguson. Ce qui serait suffisant pour lier le père des princesses Eugénie et Béatrice à un second milliardaire de haut niveau accusé d’avoir abusé sexuellement de très jeunes femmes. Selon Radio Canada, « trois des plaignantes avaient 14 ans, et trois autres, 15 ans, au moment des viols présumés, qui se seraient produits entre 2008 et 2015″. Toutefois, le tabloïd d’outre-Manche le souligne, « il n’y a aucune évidence qui suggère que le Prince avait pris connaissance des activités présumées » de Peter Nygård.
2020, un nouvel annus horibilis pour la Reine ?
Les coups durs s’enchaînent pour le clan Mountbatten-Windsor. Si Sa Majesté Elizabeth II souhaitait faire table rase après une année semée d’embûches, c’est bel et bien raté. Lorsque ce n’est pas les ennuis de son second fils qui l’inquiètent, c’est la nouvelle vie des Sussex qui la tracasse. Le feuilleton du Megxit est bien connu mais la relation future entre Meghan Markle, le prince Harry et la Couronne reste incertain. Les époux ont, en tout cas, coupé définitivement les ponts avec le Royaume-Uni en fermant leur bureau de Buckingham. Les ennuis sont aussi d’ordre plus personnel. Récemment, Peter Phillips a annoncé qu’il s’apprêtait à divorcer de son épouse, après douze ans de mariage. Nouvelle qui avait attristé la Reine d’Angleterre.
Christophe Girard: «Matzneff dit que je suis l’un de ses meilleurs amis. C’est un peu excessif»
L’ancien collaborateur de Pierre Bergé et Yves Saint Laurent, aujourd’hui adjoint à la Culture à Paris, assure qu’il ignorait que l’écrivain «cherchait à échapper à la brigade des mineurs»» à l’époque où il l’avait aidé financièrement.
Une amitié bien encombrante. À un mois des élections municipales, Christophe Girard, adjoint à la Culture de la ville de Paris et candidat dans le 18e arrondissement, aurait sans doute préféré que ses accointances avec Gabriel Matzneff soient passées sous silence. Dans une enquête publiée mardi et intitulée Un écrivain pédophile – et l’élite française – sur le banc des accusés, le New York Times raconte que pendant plus de vingt ans l’ancien maire socialiste du 4e arrondissement aurait compté parmi les soutiens de l’écrivain visé par une enquête pour viols sur mineur.
Christophe Girard, alors secrétaire général de la maison Yves Saint Laurent, se serait acquitté des factures de l’hôtel où Gabriel Matzneff retrouvait en catimini Vanessa Springora, auteure du Consentement. L’ancien maire du 4e arrondissement se dit «bouleversé et éclairé» par cet ouvrage, dans lequel l’éditrice raconte l’emprise exercée sur elle par l’auteur alors qu’elle était mineure.
Je ne savais pas que Matzneff cherchait à échapper à la brigade des mineurs
Christophe Girard
Dans son journal, Gabriel Matzneff ne tarit d’ailleurs pas d’éloges au sujet du «charmant Christophe Girard». «Ce collaborateur d’Yves Saint Laurent, que j’ai vu l’autre jour, m’a appelé ce matin pour m’annoncer que leur Fondation allait désormais prendre en charge ma note d’hôtel», écrit-il. Christophe Girard ne nie pas. Dans un communiqué publié le 12 février, il explique que «selon les instructions de Pierre Bergé», cofondateur de la maison de couture et compagnon d’Yves Saint Laurent, il aurait apporté un «soutien pour le règlement de frais d’hébergement». Soutien dont auraient d’ailleurs bénéficié d’autres artistes en «difficulté momentanée» – dont Marguerite Duras ou Hervé Guibert.
Christophe Girard ignorait-il que la police avait convoqué Gabriel Matzneff en 1986, après avoir reçu des lettres anonymes indiquant que Vanessa Springora, alors âgée de 14 ans, résidait chez l’écrivain quinquagénaire? Dans une interview accordée au Parisien , Christophe Girard assure qu’il ne «savait pas» que l’auteur «cherchait à échapper à la brigade des mineurs».
L’histoire ne s’arrête pas là. En 2002, alors déjà adjoint à la Culture du maire de Paris Bertrand Delanoë, Christophe Girard aurait adressé une lettre au Centre national du livre, afin de favoriser l’octroi d’une bourse à l’auteur. Une intervention dont il dit n’avoir qu’un vague souvenir. «Je crois que Gabriel Matzneff m’avait demandé une lettre de soutien. Elle peut exister. À l’Hôtel de Ville, on l’a cherchée dans les archives, mais personne ne l’a trouvée», plaide-t-il.
On ne l’a pas soutenu parce qu’il était pédophile, mais parce que c’était un écrivain en difficulté
Christophe Girard
Christophe Girard explique ne pas être intervenu pour aider Gabriel Matzneff à échapper à la justice, mais pour le sortir de la précarité. «On ne l’a pas soutenu parce qu’il était pédophile, mais parce que c’était un écrivain en difficulté», argue l’élu parisien. Selon lui, l’écrivain exagère leur degré de proximité. «J’ai dû dîner trois ou quatre fois avec lui en trente ans. Il dit que je suis l’un de ses meilleurs amis. C’est un peu excessif», estime celui qui a longtemps considéré l’auteur comme un «personnage de roman bien élevé».
«Si, aujourd’hui, Gabriel Matzneff m’appelle, je le prendrai au téléphone, mais je ne l’aiderai pas», explique celui qui qualifie la pédophilie de «monstrueuse». «Mais je suis aussi d’une génération qui considère qu’il faut séparer l’œuvre de l’auteur», nuance-t-il. Aujourd’hui, adjoint chargé de la Culture auprès d’Anne Hidalgo, il se dit en tout cas «écœuré» de voir que ces révélations sur ses relations avec l’auteur des Moins de seize ans interviennent à quelques jours des élections municipales.
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Affaire Matzneff : « J’ai l’impression d’être un mort-vivant », affirme l’écrivain
Depuis l’Italie où il s’est réfugié, l’écrivain Gabriel Matzneff a donné une interview au « New York Times ».
« J’ai l’impression d’être un mort-vivant, un mort marchant, marchant le long du front de mer ». Sous le coup d’une enquête pour viols sur mineur, Gabriel Matzneff s’est livré dans un entretien publié ce mardi 11 février sur le site du New York Times. L’écrivain a été interrogé par le journal américain depuis la Riviera italienne où il s’est réfugié quand l’affaire a éclaté.
Cette publication intervient alors que le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé qu’un « appel à témoins » serait lancé ce mardi 11 février pour retrouver des « victimes » dans le cadre de l’enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant Gabriel Matzneff.
Sous le titre « Un écrivain pédophile – et l’élite française – sur le banc des accusés », le quotidien américain rappelle qu’avant sa mise à l’index, l’écrivain, âgé de 83 ans, avait été reçu à l’Élysée en 1984 par le président François Mitterrand, qu’il avait fréquenté Jean-Marie Le Pen ou encore qu’il avait bénéficié « des largesses » d’Yves Saint Laurent et de son compagnon Pierre Bergé.
« Matzneff n’a pas l’habitude de se cacher. Longtemps il a été célébré parce qu’il ne cachait rien, justement, ni sa chasse aux jeunes filles devant les collèges parisiens, ni ses rapports sexuels avec des garçons de huit ans aux Philippines », écrit notamment le journal.
« Je suis trop malheureux »
Dans cette interview, l’auteur affirme se sentir « très, très seul ». Il s’emporte contre ceux qui veulent le juger. « Qui sont-ils pour juger leurs semblables ? Ces associations pour la vertu, comment couchent-elles, qu’est-ce qu’elles font au lit et avec qui couchent-elles, quels sont leurs désirs secrets et refoulés ? », demande l’écrivain. Il raconte également avoir des insomnies, et ne plus écrire. « Je suis trop malheureux », se plaint-il.
Une enquête avait été ouverte par le parquet le 3 janvier dernier au lendemain de la parution du roman autobiographique Le Consentement dans lequel l’éditrice Vanessa Springora dénonçait sa relation sous emprise avec l’écrivain quand elle était mineure, dans les années 1980.
Vanessa Springora a été la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. En 2013, il avait obtenu le prix Renaudot essai.
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Le domicile parisien de Gabriel Matzneff a été perquisitionné
Cette opération a été menée jeudi par les policiers de l’office central de répression des violences aux personnes (OCRVP), d’après une source judiciaire à franceinfo.
Une perquisition avait déjà eu lieu mercredi 12 février dans les locaux des éditions Gallimard à Paris dans le cadre d’une enquête préliminaire pour « viols commis sur mineur » à l’encontre de l’écrivain Gabriel Matzneff. Gallimard a publié pendant 30 ans le journal de l’écrivain. Les enquêteurs étaient notamment à la recherche de manuscrits non publiés de Gabriel Matzneff, qui pourraient aider à identifier les victimes de faits non prescrits.
La police nationale a par ailleurs lancé un « appel à témoins » pour retrouver les victimes et les témoins d’éventuelles agressions sexuelles commises par Gabriel Matzneff. « Les policiers encouragent tou(te)s celles et ceux qui détiennent des informations à témoigner », peut-on lire dans cet appel diffusé mardi. Sans nommer l’écrivain, l’appel à témoins évoque le livre Le Consentement, de Vanessa Springora et l’ouverture par le parquet de Paris d’une enquête.