9 février 2020 : une pleine lune sensationnelle, anti-menteurs

Les premiers concernés sont les menteurs natifs du Verseau, particulièrement ceux qui viennent de fêter leur anniversaire, par exemple celui qui est né le 7 février 1958 à Strasbourg.

C’est déjà bien visible pour les plus en vue, dont le Prince Andrew, né le 19 février 1960, qui cette année sera privé d’anniversaire en raison de son interview calamiteuse de l’automne dernier et se trouve derechef dans les ennuis (voir ci-dessous), ou bien encore Christophe Girard, né le 9 février 1956 à Saumur, qui se serait sans doute bien passé de sa mise en lumière subite dans le cadre de l’affaire Matzneff (voir ci-dessous).

Mais les menteurs du signe du Lion ne s’en sortent pas mieux.

En cette période de l’année où leur luminosité particulière est toujours celle des ténèbres, ils peuvent bien, par exemple, multiplier interventions médiatiques, coups d’éclat ou posts de chatons mignons, rien n’y fait, ils retombent toujours plus bas et pourraient bien se retrouver assez rapidement au fond du gouffre.

C’est le cas, par exemple, de Gabriel Matzneff, né le 12 août 1936 à Neuilly-sur-Seine (voir ci-dessous).

 

https://mon.astrocenter.fr/astrologie/mag/pleine-lune-fevrier

Pleine lune du 9 février 2020 en Lion : une pleine lune de courage

 

La pleine lune du 9 février se produit en Lion, ce qui annonce une Pleine Lune énergique, dynamique et ambitieuse. Elle offre de la combativité, de la volonté et donne envie de s’épanouir. Elle libère les énergies et nous oblige à regarder notre situation en face, sans se mentir. Ema Fontayne, astrologue, nous dit tout sur cette pleine lune.

Sommaire

Pleine lune en Lion, quelle signification ?

En février 2020, la Pleine Lune se produit le dimanche 9 à 07H34 (soit à 8H34 heure de Paris)  à 20 degrés du signe des Lion. Lorsqu’une Pleine Lune en Lion se crée, le Soleil est en Verseau et la Lune se situe juste en face de lui (au degré près sur le Zodiaque) en Lion.

Une Pleine Lune en Lion est une Pleine Lune énergique, dynamique, ambitieuse. Elle offre de la combativité, de la volonté et donne envie de s’épanouir. C’est l’occasion de mettre à profit votre esprit de synthèse et de rassembler les bons éléments à votre disposition pour réussir vos entreprises.

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C’est une Pleine Lune qui libère les énergies, une Pleine Lune de courage qui pousse à prendre conscience de notre situation sans se mentir. Soit on est heureux de ce qu’on constate, soit on n’hésite pas à continuer à mettre en place des changements pour améliorer une situation.


 

La Pleine Lune est une période forte en énergies et émotions. Le moment est tout indiqué pour prendre une décision ou obtenir des réponses. Nos voyants vous disent tout… – 1ère consultation gratuite, profitez-en !
 

Pleine lune du 9 février en Lion Trigone à Mars en Sagittaire

Le dimanche 9, la Pleine Lune en Lion Trigone à Mars en Sagittaire traduit pas mal d’enthousiasme et de dynamisme puisque le Lion et le Sagittaire sont des signes de Feu, c’est-à-dire des signes d’action, de passion. Cette Pleine Lune vous éclaire et vous apporte les bonnes informations et les bons outils pour agir et conduire vos entreprises vers le succès.

Grâce à cette Lune et à Mars en signes de Feu, on a confiance en soi, on entreprend, on est optimiste, souriant, on est efficace et franc. Cette Pleine Lune donne du sang-froid et de l’enthousiasme dans nos activités, notre travail. Normalement, par rapport à ce qu’on a mis en place lors de la dernière Nouvelle Lune, on ressent de l’énergie et de la motivation pour continuer de prendre son destin en main et continuer d’avancer  vers le but recherché. Si rien n’est en jeu en ce moment, on se sent bien dans sa peau, plus jeune, plus dynamique, plus joyeux, plus serein par rapport aux tensions qui planaient lors de la dernière Nouvelle Lune.

Notons que le Sextile entre Jupiter et Neptune présent dans ce ciel de Pleine Lune favorise la bonté, la générosité, la bonne humeur et la conciliation. Nous serons donc compréhensifs les uns envers les autres, nous évoluerons dans une dynamique d’arrangement et de bonne volonté réciproque.


A retenir :  

Cette Pleine Lune peut aussi apporter une bonne nouvelle comme l’annonce d’un emploi, d’un contrat ou même une rencontre affective car Vénus fraîchement entrée en Bélier va dans le sens passionné de la Lune et Mars. Grâce à la Lune, nous sommes donc conquérants sur le plan du cœur et confiants dans nos ambitions socioprofessionnelles.


Plus d’explications en vidéo

 

https://www.closermag.fr/royautes/prince-andrew-la-reine-elizabeth-annule-sa-fete-d-anniversaire-pour-ses-60-ans-1052369

Prince Andrew : la reine Elizabeth annule sa fête d’anniversaire pour ses 60 ans

 

Par Clément Garin Le 24 novembre 2019 à 16h59

Le 19 février prochain, le prince Andrew fêtera ses 60 ans. À cette occasion, la reine Elizabeth avait pour projet d’organiser une grande fête. Selon Daily Mail, la reine a finalement décidé d’annuler le banquet, quelques jours après l’avoir viré.

Décidément, le monde s’écroule sous les pieds du prince Andrew. Quelques jours après son interview désastreuse accordée à BBC, le deuxième fils de la reine d’Angleterre a été démis de toutes ses fonctions royales par sa mère. Celle-ci a également pris une autre décision catégorique : selon Daily Mail, la grande fête qu’elle avait envisagée pour fêter les 60 ans de son fils le 19 février prochain est d’ores et déjà annulée. La reine Elizabeth, choquée par la tempête médiatique qui vise sa famille, opte finalement pour un petit repas dans l’intimité.

Selon une source royale interrogée par Sunday Times, la reine Elizabeth a farouchement désapprouvé les propos que son fils a tenus dans l’interview calamiteuse qu’il a accordée à la BBC. Mère et fils ont eu une discussion très franche, à l’issue de laquelle le prince Andrew a demandé à Elizabeth d’être retiré de la vie publique, et démis de toutes ses fonctions royales. Une demande que la reine a acceptée. Quelques jours plus tard, il l’avait « informée qu’il comptait répondre à la polémique, mais sans entrer dans les détails«  selon cette même source.

La reine le soutient, mais est scandalisée

L’autrice royale Penny Junor a estimé que le prince Andrew était « définitivement fini » à la suite de cette tempête médiatique sans précédent : « Il n’a plus aucun intérêt : il ne représente plus la monarque, il ne la soutient plus, il n’a plus aucun titre, il ne représente plus le bien charitable. Quel est aujourd’hui son intérêt ?«  a-t-elle interrogé. Âgée de 93 ans, Elizabeth continuerait à soutenir « en privé » son fils, mais serait particulièrement chagrinée que cette polémique prenne le dessus sur tous les travaux que la famille royale entreprend partout dans le monde.

Si la polémique autour de Jeffrey Epstein éclate en 2019, elle ne date pourtant pas d’hier. En effet, le prince Andrew avait quitté dès 2011 son poste d’ambassadeur britannique, après la première mise en examen de l’homme d’affaires qui s’est suicidé en août dernier. Étaient alors révélés les liens d’amitié que le prince avait noués avec le milliardaire au début des années 2000. En 2015, Virginia Giuffre, principale accusatrice déclarée de Jeffrey Epstein, affirmait déjà avoir été victime d’abus sexuels de la part du prince Andrew, lors de différents séjours à Londres, à New York et dans les Caraïbes, entre 1999 et 2002.

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Prince Andrew : la reine Elizabeth annule sa fête d’anniversaire pour ses 60 ans

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/le-prince-andrew-au-bord-du-precipice-accuse-dans-laffaire-epstein-le-fils-de-la-reine-serait-mele-a-une-autre-affaire-de-moeurs_443233

Le Prince Andrew au bord du précipice : accusé dans l’affaire Epstein, le fils de la reine serait mêlé à une autre affaire de moeurs

 

De mauvaises fréquentations

Laura Carreno-Muller | vendredi 14 février 2020 à 21h53

Rien ne va plus pour la famille royale. Et certainement pas pour le prince Andrew. Déjà empêtré dans le scandale Jeffrey Epstein, le fils préféré de Sa Majesté Elizabeth II se retrouve impliqué dans une autre affaire de mœurs, d’après le Daily Mail. Cette fois-ci autour d’un grand magnat de la mode, Peter Nygård.

 

Pointure et magnat de la mode finno-canadienne, Peter Nygård se retrouve dans la tourmente. D’après de récentes informations de nos confrères britanniques du Daily Mail, cet homme âgé de 77 ans est accusé d’avoir attiré au moins dix adolescentes dans son manoir des Bahamas, « sous prétexte qu’il les aiderait dans leurs carrières de mannequin ». Là, Peter Nygård – qui clame son innocence - aurait profité d’un moment d’inattention de ses cibles pour les droguer, notamment « avec de l’alcool », avant d’abuser d’elles sexuellement. Les victimes présumées, qui intentent une poursuite civile contre celui qu’elles pointent du doigt comme leur bourreau, auraient été agressées et violées. Encore un scandale pour le prince Andrew ?

Empêtré dans le scandale Jeffrey Epstein, malgré ses efforts pour se défendre dans une interview fiasco accordée à la BBC, le nom du fils préféré de Sa Majesté Elizabeth II a été cité par le Daily Mailen raison d’un séjour dans le manoir de Peter Nygård. En effet, le duc d’York aurait été l’invité du richissime fondateur de Nygård International au mois de juin de l’année 2000, tout comme son ex-épouse Sarah Ferguson. Ce qui serait suffisant pour lier le père des princesses Eugénie et Béatrice à un second milliardaire de haut niveau accusé d’avoir abusé sexuellement de très jeunes femmes. Selon Radio Canada, « trois des plaignantes avaient 14 ans, et trois autres, 15 ans, au moment des viols présumés, qui se seraient produits entre 2008 et 2015″. Toutefois, le tabloïd d’outre-Manche le souligne, « il n’y a aucune évidence qui suggère que le Prince avait pris connaissance des activités présumées » de Peter Nygård.

2020, un nouvel annus horibilis pour la Reine ?

Les coups durs s’enchaînent pour le clan Mountbatten-Windsor. Si Sa Majesté Elizabeth II souhaitait faire table rase après une année semée d’embûches, c’est bel et bien raté. Lorsque ce n’est pas les ennuis de son second fils qui l’inquiètent, c’est la nouvelle vie des Sussex qui la tracasse. Le feuilleton du Megxit est bien connu mais la relation future entre Meghan Markle, le prince Harry et la Couronne reste incertain. Les époux ont, en tout cas, coupé définitivement les ponts avec le Royaume-Uni en fermant leur bureau de Buckingham. Les ennuis sont aussi d’ordre plus personnel. Récemment, Peter Phillips a annoncé qu’il s’apprêtait à divorcer de son épouse, après douze ans de mariage. Nouvelle qui avait attristé la Reine d’Angleterre.

 

https://www.lefigaro.fr/culture/christophe-girard-matzneff-dit-que-je-suis-l-un-de-ses-meilleurs-amis-c-est-un-peu-excessif-20200214

Christophe Girard: «Matzneff dit que je suis l’un de ses meilleurs amis. C’est un peu excessif»

 

L’ancien collaborateur de Pierre Bergé et Yves Saint Laurent, aujourd’hui adjoint à la Culture à Paris, assure qu’il ignorait que l’écrivain «cherchait à échapper à la brigade des mineurs»» à l’époque où il l’avait aidé financièrement.

Publié le 14 février 2020 à 18:55, mis à jour le 14 février 2020 à 18:55

 

Une amitié bien encombrante. À un mois des élections municipales, Christophe Girard, adjoint à la Culture de la ville de Paris et candidat dans le 18e arrondissement, aurait sans doute préféré que ses accointances avec Gabriel Matzneff soient passées sous silence. Dans une enquête publiée mardi et intitulée Un écrivain pédophile – et l’élite française – sur le banc des accusés, le New York Times raconte que pendant plus de vingt ans l’ancien maire socialiste du 4e arrondissement aurait compté parmi les soutiens de l’écrivain visé par une enquête pour viols sur mineur.

Christophe Girard, alors secrétaire général de la maison Yves Saint Laurent, se serait acquitté des factures de l’hôtel où Gabriel Matzneff retrouvait en catimini Vanessa Springora, auteure du Consentement. L’ancien maire du 4e arrondissement se dit «bouleversé et éclairé» par cet ouvrage, dans lequel l’éditrice raconte l’emprise exercée sur elle par l’auteur alors qu’elle était mineure.

Je ne savais pas que Matzneff cherchait à échapper à la brigade des mineurs

Christophe Girard

Dans son journal, Gabriel Matzneff ne tarit d’ailleurs pas d’éloges au sujet du «charmant Christophe Girard». «Ce collaborateur d’Yves Saint Laurent, que j’ai vu l’autre jour, m’a appelé ce matin pour m’annoncer que leur Fondation allait désormais prendre en charge ma note d’hôtel», écrit-il. Christophe Girard ne nie pas. Dans un communiqué publié le 12 février, il explique que «selon les instructions de Pierre Bergé», cofondateur de la maison de couture et compagnon d’Yves Saint Laurent, il aurait apporté un «soutien pour le règlement de frais d’hébergement». Soutien dont auraient d’ailleurs bénéficié d’autres artistes en «difficulté momentanée» – dont Marguerite Duras ou Hervé Guibert.

Christophe Girard ignorait-il que la police avait convoqué Gabriel Matzneff en 1986, après avoir reçu des lettres anonymes indiquant que Vanessa Springora, alors âgée de 14 ans, résidait chez l’écrivain quinquagénaire? Dans une interview accordée au Parisien , Christophe Girard assure qu’il ne «savait pas» que l’auteur «cherchait à échapper à la brigade des mineurs».

À lire aussi : Affaire Matzneff: Christian Giudicelli, ami de l’écrivain, dans le viseur des enquêteurs

L’histoire ne s’arrête pas là. En 2002, alors déjà adjoint à la Culture du maire de Paris Bertrand Delanoë, Christophe Girard aurait adressé une lettre au Centre national du livre, afin de favoriser l’octroi d’une bourse à l’auteur. Une intervention dont il dit n’avoir qu’un vague souvenir. «Je crois que Gabriel Matzneff m’avait demandé une lettre de soutien. Elle peut exister. À l’Hôtel de Ville, on l’a cherchée dans les archives, mais personne ne l’a trouvée», plaide-t-il.

On ne l’a pas soutenu parce qu’il était pédophile, mais parce que c’était un écrivain en difficulté

Christophe Girard

Christophe Girard explique ne pas être intervenu pour aider Gabriel Matzneff à échapper à la justice, mais pour le sortir de la précarité. «On ne l’a pas soutenu parce qu’il était pédophile, mais parce que c’était un écrivain en difficulté», argue l’élu parisien. Selon lui, l’écrivain exagère leur degré de proximité. «J’ai dû dîner trois ou quatre fois avec lui en trente ans. Il dit que je suis l’un de ses meilleurs amis. C’est un peu excessif», estime celui qui a longtemps considéré l’auteur comme un «personnage de roman bien élevé».

À lire aussi : Vanessa Springora, V comme victime

«Si, aujourd’hui, Gabriel Matzneff m’appelle, je le prendrai au téléphone, mais je ne l’aiderai pas», explique celui qui qualifie la pédophilie de «monstrueuse». «Mais je suis aussi d’une génération qui considère qu’il faut séparer l’œuvre de l’auteur», nuance-t-il. Aujourd’hui, adjoint chargé de la Culture auprès d’Anne Hidalgo, il se dit en tout cas «écœuré» de voir que ces révélations sur ses relations avec l’auteur des Moins de seize ans interviennent à quelques jours des élections municipales.

À voir aussi – Matzneff: faut-il faire le procès de l’élite française?

 

https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/affaire-matzneff-j-ai-l-impression-d-etre-un-mort-vivant-affirme-l-ecrivain-7800074313

Affaire Matzneff : « J’ai l’impression d’être un mort-vivant », affirme l’écrivain

 

Depuis l’Italie où il s’est réfugié, l’écrivain Gabriel Matzneff a donné une interview au « New York Times ».

 

Gabriel Matzneff en 2014 (illustration)

Gabriel Matzneff en 2014 (illustration) Crédit : Jacques DEMARTHON / AFP
 
publié le 11/02/2020 à 15:14

 

« J’ai l’impression d’être un mort-vivant, un mort marchant, marchant le long du front de mer ». Sous le coup d’une enquête pour viols sur mineur, Gabriel Matzneff s’est livré dans un entretien publié ce mardi 11 février sur le site du New York Times. L’écrivain a été interrogé par le journal américain depuis la Riviera italienne où il s’est réfugié quand l’affaire a éclaté.

Cette publication intervient alors que le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé qu’un « appel à témoins » serait lancé ce mardi 11 février pour retrouver des « victimes » dans le cadre de l’enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant Gabriel Matzneff.

Sous le titre « Un écrivain pédophile – et l’élite française – sur le banc des accusés », le quotidien américain rappelle qu’avant sa mise à l’index, l’écrivain, âgé de 83 ans, avait été reçu à l’Élysée en 1984 par le président François Mitterrand, qu’il avait fréquenté Jean-Marie Le Pen ou encore qu’il avait bénéficié « des largesses » d’Yves Saint Laurent et de son compagnon Pierre Bergé.

« Matzneff n’a pas l’habitude de se cacher. Longtemps il a été célébré parce qu’il ne cachait rien, justement, ni sa chasse aux jeunes filles devant les collèges parisiens, ni ses rapports sexuels avec des garçons de huit ans aux Philippines », écrit notamment le journal.

« Je suis trop malheureux »

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Dans cette interview, l’auteur affirme se sentir « très, très seul ». Il s’emporte contre ceux qui veulent le juger. « Qui sont-ils pour juger leurs semblables ? Ces associations pour la vertu, comment couchent-elles, qu’est-ce qu’elles font au lit et avec qui couchent-elles, quels sont leurs désirs secrets et refoulés ? », demande l’écrivain. Il raconte également avoir des insomnies, et ne plus écrire. « Je suis trop malheureux », se plaint-il.

Une enquête avait été ouverte par le parquet le 3 janvier dernier au lendemain de la parution du roman autobiographique Le Consentement dans lequel l’éditrice Vanessa Springora dénonçait sa relation sous emprise avec l’écrivain quand elle était mineure, dans les années 1980.

Vanessa Springora a été la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. En 2013, il avait obtenu le prix Renaudot essai.

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https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/affaire-gabriel-matzneff/le-domicile-parisien-de-gabriel-matzneff-a-ete-perquisitionne_3825541.html

Le domicile parisien de Gabriel Matzneff a été perquisitionné

 

Cette opération a été menée jeudi par les policiers de l’office central de répression des violences aux personnes (OCRVP), d’après une source judiciaire à franceinfo.

L\'écrivain Gabriel Matzneff en 2015 (photo d\'illustration).

L’écrivain Gabriel Matzneff en 2015 (photo d’illustration). (ULF ANDERSEN / ULF ANDERSEN)

Une perquisition avait déjà eu lieu mercredi 12 février dans les locaux des éditions Gallimard à Paris dans le cadre d’une enquête préliminaire pour « viols commis sur mineur » à l’encontre de l’écrivain Gabriel Matzneff. Gallimard a publié pendant 30 ans le journal de l’écrivain. Les enquêteurs étaient notamment à la recherche de manuscrits non publiés de Gabriel Matzneff, qui pourraient aider à identifier les victimes de faits non prescrits.

La police nationale a par ailleurs lancé un « appel à témoins » pour retrouver les victimes et les témoins d’éventuelles agressions sexuelles commises par Gabriel Matzneff. « Les policiers encouragent tou(te)s celles et ceux qui détiennent des informations à témoigner », peut-on lire dans cet appel diffusé mardi. Sans nommer l’écrivain, l’appel à témoins évoque le livre Le Consentement, de Vanessa Springora et l’ouverture par le parquet de Paris d’une enquête.

 

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A qui Cyprien Luraghi a-t-il écrit ce matin ?

Il a encore « enculé » son interlocuteur – une vraie manie…

A qui Cyprien Luraghi a-t-il écrit ce matin ? dans Calomnie Cyprien%2BLuraghi%2Bon%2BTwitter_%2B_%2540Mr_Tschaggatta%2B%2540ZombieLamo%2B%2540Rigobe_%2B-%2Btwitter.com


Pourquoi Hélène Sergent de 20minutes.fr s’acharne sur la femme ingénieur que je suis

 

La rédaction de Mediapart, en juillet 2010.
La rédaction de Mediapart, en juillet 2010. — HALEY/SIPA

 

Je n’y ai pas fait attention tout de suite, mais une réponse m’a bien été fournie hier avec la photographie republiée ci-dessus et qui a servi d’illustration à l’article du site « déconnologue » 20minutes.fr consacré au harcèlement sexuel dans les médias depuis l’affaire de la Ligue du LOL et #MeToo, lequel se trouve ici :

https://www.20minutes.fr/arts-stars/medias/2710111-20200208-harcelement-sexuel-change-medias-depuis-ligue-lol-metoo

C’est le gros titre du numéro de Mediapart qui se trouve bien en évidence au premier plan de cette photographie prise au mois de juillet 2010 dans la rédaction de ce site d’information lancé en mars 2008 autour d’Edwy Plenel, ancien journaliste de la LCR dont la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest se vante alors publiquement de toujours obtenir tout ce qu’elle veut, alors même qu’elle vient de son côté de faire révéler au public par son complice le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi mon identité et sa version entièrement fausse et monstrueusement calomnieuse de ma biographie, tandis que ses complices islamistes de très longue date ont réalisé et publié le premier numéro de leur magazine Inspire :

« Karachi la bombe qui inquiète Sarkozy »

Wouow…

Et le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui m’assimile effectivement à Nicolas Sarkozy, alors chef de l’Etat, depuis le début de ses harcèlements à mon encontre, en 2008, de s’exciter comme un fou avec toutes ses révélations publiques concernant ma vie privée… (il commet alors au moins un délit par ligne de texte sur chacun de ses blogs, souvent plusieurs, de nouveaux textes me concernant y apparaissant tous les jours en quantités industrielles).

Sachant que je ne suis pas une inconnue pour tout le monde, après avoir révélé mon identité au public, il me décrit avec délectation comme une prostituée débile mentale et folle à lier.

C’est avec les mêmes « arguments », et d’autres tout aussi mensongers, que sa complice la criminelle et mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest tentait déjà en 1994 avec d’autres de ses complices, des mafieux notoires, d’obtenir une rupture du contrat de sous-traitance en vertu duquel j’occupais un poste d’ingénieur concepteur assez sensible sur un très gros projet classé.

A défaut de parvenir à convaincre mes supérieurs hiérarchiques sur ce projet de toutes leurs inventions calomnieuses à mon encontre, à compter du mois de mai 1994, fermement décidés à m’en déloger coûte que coûte, ils étaient allés jusqu’à organiser des tentatives d’assassinat à mon encontre.

Résultat : des services spécialisés tels DST et DRM avaient dû intervenir.

Or, on sait comment réagit la folle furieuse Josette Brenterch du NPA de Brest quand ses sbires ont des ennuis : elle devient encore plus folle qu’elle ne l’était déjà avant, sa férocité ne connaît strictement aucune limite, et sa vengeance, qui va durer le temps qu’il faudra, éventuellement deux ou trois décennies, voire beaucoup plus, est particulièrement sanglante, son but étant toujours de tuer ou de détruire irrémédiablement tous ses ennemis ou supposés tels, quels qu’ils soient.

A partir de l’année 1994, elle prend donc pour cibles, après moi, tous ceux qu’elle rend responsables de ses échecs me concernant cette année-là, dont Nicolas Sarkozy qui est alors ministre du Budget d’Edouard Balladur, et naturellement les autorités militaires qui m’ont soutenue et dont le chef sera Nicolas Sarkozy de mai 2007 à mai 2012, lorsque je commence à commenter anonymement des articles du site d’information Rue89, la folledingue veillant alors depuis des années à me maintenir dans une situation d’isolement quasi total tout en diffusant massivement dans tous ses réseaux toutes ses inventions calomnieuses à mon encontre.

On y est encore, non ?

Elle est vraiment folle et entraîne toujours à sa suite toutes ses troupes de l’extrême-gauche, journaleux y compris.

La harceleuse de femmes Hélène Sergent du site « déconnologue » 20minutes.fr en fait donc partie et en est toujours là elle aussi, tout comme le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui depuis le début est absolument convaincu qu’il va détruire ou renverser l’Armée, Nicolas Sarkozy ou l’actuel chef de l’Etat en me harcelant et me calomniant comme il le fait.

Le cas de leurs complices magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest est moins facile à expliquer publiquement.

Je vais donc me contenter de rappeler à leur sujet qu’ils savent bien depuis le début qui je suis et quel est mon parcours professionnel réel, c’est-à-dire celui d’une femme ingénieur d’études ou chef de projet informatique ayant rencontré d’énormes difficultés dans l’exercice de son métier à compter des années 1990, puisque j’ai dû porter plainte à plusieurs reprises dès cette époque.

Or, depuis l’année 2010, l’autoproclamé « écrivain en ligne et à l’oeil depuis 2001″ Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’ils ont toujours porté aux nues en raison de sa pédophilie, et pour lequel, en conséquence, ils ont multiplié les faux en écriture publique à mon encontre, a toujours soutenu à tous et partout avec leur assentiment que je n’aurais été qu’une folle, un « cas lourd psychiatrique » qui aurait passé le plus clair de son existence en hôpital psychiatrique et qui sous couvert d’anonymat sur Internet s’inventerait maintenant une vie d’ingénieur informaticien qu’elle n’aurait jamais eue, n’ayant été au mieux, par le passé, qu’une « petite secrétaire hypernarcissique et atrocement méchante » (sic).

En réponse à ces délires nouveaux de la folledingue Josette Brenterch du NPA de Brest (il n’en avait jamais été question lorsque je l’ai côtoyée dans l’association AC ! Brest en 2004 et 2005), comme je le rappelais hier, j’avais déjà publié en date du 5 octobre 2014 l’article suivant, contenant une copie de ma carte d’inscription à l’ANPE en 1995 avec un avis de paiement de l’ASSEDIC de la même époque, montrant que les seules indications me concernant que j’avais pu fournir au public avant que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi ne se mît, sous la dictée de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, à écrire et publier sa version mensongère de ma biographie, ne correspondaient bien qu’à la réalité :

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/10/05/pourquoi-josette-brenterch-du-npa-de-brest-hait-elle-tant-mes-anciens-employeurs/

Cette publication étant manifestement restée très insuffisante pour rétablir la vérité ne serait-ce que sur ma profession, ou pour que celle-ci puisse être entendue, je publie aujourd’hui en complément le document suivant, où j’ai masqué tous les noms, le « cold case » dont il s’agit restant encore aujourd’hui très éruptif, comme indiqué par Mediapart en 2010 (voir photographie ci-dessus) :

 

Attestation licenciement

 

Cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte.

Il s’agit d’un compte rendu de mes entretiens de licenciement de 1995.

On y découvre surtout des discussions d’apothicaires, parce que nous réglons nos comptes de manière définitive et qu’il est aussi beaucoup plus facile de parler chiffres que d’évoquer ce qui fâche vraiment, par exemple les tentatives d’assassinat à répétition dont j’avais fait l’objet à compter de début mai 1994 et qui seront finalement la cause de mon arrêt de travail qui a débuté le 24 septembre 1994.

Je n’ai donc pas été licenciée pour abandon de poste comme le prétendra mensongèrement au début de l’été 2010 à l’attention du public de son complice le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi la calomniatrice Josette Brenterch du NPA de Brest, mais en raison de cet arrêt de travail.

Bien évidemment, il n’est pas non plus question d’un emploi de secrétaire, que je n’ai jamais eu nulle part.

Et contrairement aux prétentions mensongères à ce sujet de la calomniatrice Josette Brenterch du NPA de Brest, j’avais bien gagné aux prud’hommes à la suite de ce licenciement, en première instance comme en appel, et sans avocat dans les deux cas.

L’on notera enfin comment mon employeur avait perdu toute contenance après que j’eus refusé de signer la transaction absolument scandaleuse qu’il me proposait… et que mon contrat de travail avait connu de drôles de changements en juin et juillet 1994.

Tous les aléas de mon contrat de travail durant cette année 1994 sont la cause des aléas que connaissent aussi les négociations des contrats d’armement Agosta et Sawari II, de janvier jusqu’à novembre.

Le premier était donc sur le point d’être signé vers fin juin début juillet 1994, et brutalement… pfft ! plus rien… Normal : je venais de rempiler pour trois mois de manière totalement inattendue…

Pour autant que je sache, Nicolas Sarkozy n’y était pour rien.

Au moins jusqu’au printemps 1994, je n’ai pas la notion qu’il soit tellement impliqué dans quoi que ce soit, même pas dans le camp des mafieux qui me harcèlent et tentent de m’assassiner, ce serait plutôt le contraire : ils ont de gros soucis avec le fisc, lui reprochent de refuser d’annuler leurs dettes fiscales et viennent s’en plaindre à moi, comme si je pouvais en être responsable d’une manière ou d’une autre, mais je n’ai vraiment rien à voir avec tout ça et n’ai aucun pouvoir sur le ministre que je ne connais même pas…

C’est quand même marrant, hein, déjà à l’époque ils s’imaginent que si…

Eh bien non, pas du tout.

Et après, je ne sais comment il s’implique ou non, je ne suis pas dans les cabinets ministériels ni dans les QG de campagne des uns ou des autres, je n’ai que de vagues échos de ce qui s’y passe.

Voilà.

Sur mes harceleurs, par contre, il va de soi que je peux m’étaler beaucoup plus.

D’ailleurs ils le disent bien eux-mêmes, je leur fais très peur, je serais « atrocement méchante »…



Ligue du LOL et autres : encore d’énormes mensonges sur le site « déconnologue » 20minutes.fr ce 8 février 2020

Ce jour, 8 février 2020, pour l’anniversaire des premières révélations de l’affaire dite de la Ligue du LOL, dont la formation fut inspirée par celle, antérieure, de la meute de cyberharceleurs du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, le site pro-pédophile et harceleur de femmes 20minutes.fr sort un nouvel article mensonger sur la question, celui-ci :

https://www.20minutes.fr/arts-stars/medias/2710111-20200208-harcelement-sexuel-change-medias-depuis-ligue-lol-metoo

En effet, on y lit :

 

Et à 20 Minutes ?

Qu’est-ce qui a changé à 20 Minutes depuis #MeToo et la « Ligue du lol » en matière de lutte contre le harcèlement sexuel et les violences sexistes ? Premier constat : la rédaction a été secouée par l’affaire de la « Ligue du lol », parce que trois membres de ce groupe Facebook étaient d’anciens salariés de 20 Minutes. Autre onde de choc : l’enquête #Entenduàlarédac, où 20 Minutes est cité, parmi 200 autres rédactions. A la suite de cette enquête, notre directrice de la rédaction, Armelle Le Goff, a partagé à l’ensemble de la rédaction le « kit pour agir contre le sexisme » du Conseil supérieur de l’égalité professionnelle, a redonné les points de contact en cas de problème à l’intérieur de la rédaction et a indiqué des contacts d’associations.

Notre président, Frédéric Daruty, a lui aussi envoyé un email une semaine plus tard en appelant à une « attitude responsable et active sur ces sujets » et à une vigilance collective. Une cellule d’écoute externe de psychologues est alors annoncée, qui sera mise en place en avril 2019. 20 Minutes avait commencé à travailler en janvier 2019 sur cette hotline, mais, selon Sandra Jeanneau, responsable de l’administration du personnel, l’affaire #entendualaredac a « accéléré sa mise en place. » Enfin, trois référentes harcèlement ont été nommées à l’automne, qui doivent être formées. « On doit prendre ces sujets à bras-le-corps et ne pas en avoir peur », estime Sandra Jeanneau. Ajoutons enfin que notre média est signataire d’une charte contre le harcèlement sexuel, à l’instar d’une cinquantaine d’autres médias.

Plus largement, 20 Minutes souhaite aussi agir sur les mécanismes qui favorisent le harcèlement et les inégalités, en améliorant la diversité des profils et des parcours de l’entreprise, pour éviter les phénomènes d’entre-soi et de cooptation. Les annonces de recrutement sont aujourd’hui, le plus souvent diffusées en externe, fait valoir Armelle Le Goff.

 

 

Or, le cas de la harceleuse de femmes Hélène Sergent trahit une réalité très différente.

Pour commencer, elle a publié son article calomnieux à mon sujet tout juste une dizaine de jours avant que n’éclate l’affaire de la Ligue du LOL, mais bien après #MeToo.

Voir ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/08/23/le-site-20minutes-fr-en-symbiose-totale-avec-les-pedocriminels/

Ensuite, quand je l’ai contactée au mois d’avril 2019 alors que je venais de découvrir ce tissu de mensonges et d’inventions calomnieuses qu’elle avait publié fin janvier 2019 pour aider le cybercriminel et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi à regagner du crédit face à l’une de ses principales victimes, sans doute la plus résistante, afin que son groupe de cyberharceleurs dit « déconnologues » puisse envisager de se relancer dans tout un tas d’attaques éhontées contre elle et tous ceux de ses témoins qu’ils n’avaient pas encore assassinés, elle m’a refusé tout droit de réponse après avoir aussi supprimé un commentaire que j’avais laissé sous son article afin d’indiquer au lecteur de passage de quoi il retournait réellement.

Je rappelle brièvement n’avoir jamais publié aucun des plus de 2000 articles de cyberharcèlement mensongèrement allégués par sa soi-disant « victime » de cyberharcèlements de ma part, c’est-à-dire le mythomane et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui lui me harcèle effectivement avec le groupe de « déconnologues » qu’il a constitué à cet effet en 2008 depuis maintenant douze ans.

Pour mémoire, en date du 8 mars 2019, j’avais publié là quelques échantillons de son oeuvre me concernant, pas les pires, bien évidemment, car je ménage mon lecteur :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/08/juin-2010-pascal-edouard-cyprien-luraghi-ouvre-son-blog-tique-toc/

On en retrouvera d’autres, par exemple, dans les articles suivants, rappelant aussi une part des agissements répréhensibles à mon encontre de sa grande complice la criminelle et mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/19/quand-la-ligue-du-lol-faisait-du-luraghi-pascal-edouard-cyprien/

http://petitcoucou.unblog.fr/2016/11/01/deces-en-2010-de-lancien-riverain-de-rue89-jaycib/

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/10/05/pourquoi-josette-brenterch-du-npa-de-brest-hait-elle-tant-mes-anciens-employeurs/

http://petitcoucou.unblog.fr/2015/12/28/des-denonciations-calomnieuses-de-josette-brenterch-a-mon-encontre/

Quant à la troisième de mes prétendues « victimes », le cyberharceleur et escroc au jugement Jean-Marc Donnadieu de Béziers, j’invite toute personne qui s’intéresse sérieusement à ses procès à en prendre connaissance dans cette série d’articles :

http://petitcoucou.unblog.fr/8-avril-2011-nemrod34-perd-contre-overblog/

http://petitcoucou.unblog.fr/15-decembre-2011-quelle-victoire-pour-nemrod34/

http://petitcoucou.unblog.fr/26-mai-2014-nemrod34-perd-contre-overblog/

Sans aucune complicité à la Cour d’appel de Montpellier, il n’aurait jamais rien gagné.

Même chose pour la harceleuse en chef du NPA de Brest qui n’obtient toujours ce qu’elle veut que de magistrats tous CORROMPUS.



Ligue du LOL et Gabriel Matzneff : deux enquêtes qui finiront par se rejoindre

La première, dont on ignore à peu près tout, sauf qu’elle serait toujours en cours, ne semble pas avoir beaucoup avancé en un an.

Comment s’en étonner ?

Celle qui l’annonce hier la première et apparaît donc en contact direct avec le parquet de Paris à ce sujet n’est autre que la « déconnologue » de 20minutes.fr Hélène Sergent…

Voir ici :

https://www.20minutes.fr/justice/2713463-20200207-ligue-lol-enquete-preliminaire-contre-x-ouverte-parquet-paris

Plus d’informations ci-dessous avec l’article du Monde qui précise qu’aucun des protagonistes de l’affaire interrogés par les journalistes ne l’a été dans le cadre de cette enquête préliminaire dont par contre une source judiciaire a informé hier la harceleuse Hélène Sergent de l’existence.

Rappelons ici que cette dernière, grâce à son article entièrement mensonger de l’année dernière à mon sujet, a permis au cybercriminel et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi de regagner du crédit auprès de ses troupes alors qu’il éprouvait de plus en plus de difficultés à recruter des volontaires pour commettre des attentats islamistes sur le sol français à la suite de ses échecs judiciaires répétés au Palais de Justice de Paris à compter du mois de janvier 2017, montrant qu’il avait toujours menti à son public en tout ce qui me concerne. Aussi, nous voyons aujourd’hui revenir à l’actualité attentats et projets d’attentats relevant d’un cycle nouveau attestant qu’en un an le « Konducator » a bien repris du poil de la bête…

Fort heureusement, l’enquête ouverte sur Gabriel Matzneff en ce début d’année 2020 semble pour l’heure plus prometteuse : même si son concurrent Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’est pour sa part toujours pas inquiété, ni pour ses écrits publics apologistes du terrorisme, ni pour ses écrits publics apologistes de la pédophilie, ni pour tous ses autres écrits publics manifestement illicites (par exemple, de l’antisémitisme sur Twitter au printemps dernier), ni même, pour l’instant, pour avoir bizarrement collectionné les écrits publics apologistes de la pédophilie de Gabriel Matzneff (rappelons qu’il lisait son blog depuis ses débuts et en a réalisé une sauvegarde complète avant qu’il ne disparaisse fin décembre 2019), les policiers en charge de l’enquête semblent vraiment à la recherche d’éléments probants et viennent de découvrir tout un carton concernant leur « client » dans les archives des ex-RG à la Préfecture de Police de Paris.

Cette documentation s’arrête en 1999 sous la direction centrale d’Yves Bertrand, durant la cohabitation Jacques Chirac / Lionel Jospin, Jean-Pierre Chevènement étant ministre de l’Intérieur.

L’ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars qui fut entre 1999 et 2004 poursuivi et condamné pour de multiples infractions pénales, dont le proxénétisme aggravé, et qui avait aussi fait l’objet d’au moins une dénonciation pour détournement de mineures de la part du responsable d’un foyer de l’enfance local, avait été révoqué de la fonction publique au cours de cette même année 1999, au mois d’août.

 

 

https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/02/07/ligue-du-lol-le-parquet-de-paris-mene-une-enquete-pour-harcelement_6028824_3224.html

Ligue du LOL : le parquet de Paris mène une enquête pour « harcèlement »

 

Une enquête a été confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne concernant l’affaire révélée il y a un an.

Le Monde avec AFP Publié hier à 16h40, mis à jour hier à 19h38

 

Un an après la révélation de l’affaire de la Ligue du LOL, l’Agence France-Presse (AFP) a appris de source judiciaire qu’une enquête pour « harcèlement » était menée depuis plusieurs mois par le parquet de Paris.

Cette source n’a pas précisé à quelle date l’enquête, confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP), avait été ouverte. L’affaire concerne une trentaine de membres d’un groupe Facebook – la Ligue du LOL – qui sont accusés de s’être livrés à du cyber-harcèlement depuis 2009, en particulier sur Twitter. Une dizaine de victimes présumées, mais aussi de membres du groupe polémique Facebook ont cependant assuré à l’AFP ne pas avoir été contactés par les enquêteurs au cours de cette dernière année.

Au déclenchement de l’affaire, en février 2019, SOS-Racisme avait saisi la justice, imité quelques semaines plus tard par l’association Prenons la une, qui milite pour l’égalité femmes-hommes dans les rédactions.

Tout comprendre : Cinq questions pour comprendre l’affaire de la Ligue du Lol et ses enjeux

« Meutes » numériques

De nombreux internautes avaient accusé plusieurs membres du groupe, essentiellement des journalistes et des communicants, et d’autres personnes extérieures de les avoir harcelés sur Internet dans les années 2010, ou d’avoir par leurs critiques publiques lancé des « meutes » numériques contre eux. Ces accusations ont entraîné le licenciement de plusieurs journalistes mis en cause.

Après des excuses initiales, plusieurs d’entre eux ont contesté les accusations dont ils faisaient l’objet. Au moins trois procédures aux prud’hommes sont en cours contre Libération et Les Inrocks.

 

 

https://www.lepoint.fr/societe/exclusif-gabriel-matzneff-a-ete-fiche-par-les-services-de-renseignements-08-02-2020-2361763_23.php

EXCLUSIF. Gabriel Matzneff a été fiché par les services de renseignements

 

VIDÉO. Les policiers chargés de l’enquête pour viols sur mineur visant l’écrivain viennent de découvrir l’existence d’un dossier conservé aux archives des ex-RG.

 

Par et

Modifié le 08/02/2020 à 10:05 – Publié le 08/02/2020 à 09:01 | Le Point.fr

 

Rebondissement dans l’affaire Matzneff. Les policiers, qui épluchent actuellement les livres publiés par l’écrivain depuis les années 1970, et dont ils se sont procuré des exemplaires au siège de la maison Gallimard à Paris, viennent de faire une nouvelle découverte. Un carton, référencé au nom de Gabriel Matzneff, a été exhumé des archives des ex-renseignements généraux (RG).

Selon une source proche de l’affaire, « les documents de ce dossier couvrent la période 1950-1999 », soit une grande partie de la vie de Gabriel Matzneff et de sa production littéraire. D’après le Code du patrimoine, ces archives ne sont normalement pas communicables avant un délai de cinquante ans, au titre de la protection de la vie privée.

Des démarches policières pour récupérer les documents

L’Office central pour la répression de la violence aux personnes (OCRVP), chargé des investigations pour viols sur mineur visant Gabriel Matzneff, a cependant été récemment averti de l’existence de ce dossier. Jusqu’à présent, seules quelques bribes d’archives de la brigade de protection des mineurs (BPM), datées de 1986, avaient été versées à l’enquête en cours.

Lire aussi Pourquoi Gabriel Matzneff a (jusqu’ici) échappé à la justice

La préfecture de police de Paris ignorait-elle qu’elle possédait de tels documents ? Mystère. Ceux-ci sont pourtant numérotés et archivés sous le nom de l’écrivain. Me Forestier, l’avocate de Vanessa Springora, fait savoir qu’elle n’a aucune information à ce sujet. « Concernant les cartons RG […], des démarches ont été entreprises par le service saisi de l’enquête pour récupérer ces documents », affirme pour sa part une source judiciaire.

Notes, rapports ou simples coupures de presse ?

Ces documents pourraient être de nature diverse : notes, rapports ou simples coupures de presse. Les policiers de l’OCRVP espèrent en tout cas y trouver des indices sur l’environnement de Gabriel Matzneff, qui a librement fait, pendant des années, l’apologie de la pédophilie et du tourisme sexuel, se vantant même, dans les années 1970 et 1980, d’amitiés politiques haut placées lui assurant une protection.

Lire aussi Quand la brigade des mineurs surveillait discrètement Matzneff

L’enquête de l’OCRVP pour viols sur mineur fait suite à la parution de l’ouvrage de Vanessa Springora (Le Consentement, éditions Grasset) qui narre l’emprise que l’écrivain exerçait sur elle à partir de 1986, alors que la jeune femme, aujourd’hui éditrice, avait 14 ans. Alors que les faits apparaissent prescrits, les investigations s’attachent à « identifier toutes les autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l’étranger », précisait le parquet de Paris lors de l’annonce de l’ouverture de l’enquête.

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