Le déconnologue « Mésozoïque » réside dans le Lot 23 mars
C’est un voisin du Maître enfoirus. Intéressant.
Conversation
C’est un voisin du Maître enfoirus. Intéressant.
C’est le débile mental Jean-Marc Donnadieu qui le dit, celui-là même dont pas une seule ligne de texte n’est écrite en français correct et sans aucune faute d’orthographe.
Il m’a laissé plusieurs commentaires injurieux en ce sens il y a deux jours, et comme je les ai tous rejetés, il en a publié un sur son mur Facebook.
Ayant autant de difficultés à lire qu’à écrire, il se croit très pertinent.
Je publie donc ici quelques appréciations bien plus justes que les siennes à ce sujet et, au moins, tout à fait autorisées, puisqu’elles émanent de mes profs de français de 3ème et de 1ère et de mon prof de philo de terminale, pour six devoirs, deux de chaque classe.
J’en ai d’autres en stock pour ceux que cela intéresse, j’ai retrouvé à peu près tous mes devoirs de français de la 6ème à la 1ère, ainsi que mes devoirs de philo de terminale.
En fait, je cherchais celui que j’affiche en entier ci-dessous, car je me souvenais bien d’avoir décrit une situation de confinement dans un devoir fait en classe, en 3ème, et que je trouvais plutôt drôle de le mettre sous le nez du sieur Donnadieu en guise de réponse à ses délires sur mon niveau de français. Et tant qu’à faire, je montre aussi les notes et appréciations pour un autre devoir de 3ème, puis deux de la classe de 1ère, dernière année de français, et deux de philo, en terminale, attestant tous que ma bonne note pour le premier n’était pas accidentelle, ni trop délirante de la part du prof.
J’ai toujours été très bien notée en français, par des professeurs qui tous m’appréciaient et m’aimaient bien – mais les autres aussi pour la plupart, je n’ai eu de problèmes qu’avec quelques gauchistes très proches de la folledingue Josette Brenterch du NPA de Brest, qui fut d’ailleurs la première à critiquer ou plutôt dénigrer mes écrits, tous, systématiquement, dès les années 2004 et 2005 dans l’association AC ! Brest, puis à nouveau à compter de l’été 2010, autant par jalousie que dans le but de nuire.
Pour le devoir affiché ci-dessous, le prof avait noté : « trop succinct ». C’est le moins qu’on puisse dire ! Il est très court, et pour cause… Ce jour-là, étant assez fatiguée, je manquais d’inspiration et étais d’abord partie sur une autre idée que j’avais finalement abandonnée après y avoir passé la majeure partie de mon temps, puis avait jailli celle-ci… beaucoup trop tard pour pouvoir rédiger autre chose que le début d’une histoire que j’imaginais bien plus conséquente si j’avais disposé du temps nécessaire pour l’écrire.
Je ne m’attendais donc pas à une bonne note, mais comme bien souvent, l’originalité de mon travail avait plu, j’avais eu la meilleure note et le prof avait lu ma rédac pour toute la classe en s’arrêtant parfois pour commenter : « ça, c’est du génie ! », « ça, c’est du génie ! » J’en étais extrêmement gênée, j’aurais souhaité disparaître sous ma table… c’était trop, j’avais fait trop court, c’était peut-être le début de quelque chose d’intéressant, mais ce n’était qu’un début… rédigé à la va-vite dans les quelques minutes restant avant la cloche.
Les effaceurs d’encre utilisés à l’époque laissent avec le temps ressortir tellement de traces du texte initial que celui qui est réécrit par-dessus au bic s’en distingue difficilement. J’indique donc ici quelle est la phrase devenue aujourd’hui presque illisible :
« Eteins le poste ! Il ne sert plus à rien ! » hurle Monsieur, dans un accès de colère contre ce nuage de guêpes qui semble le narguer derrière la vitre.
Par ailleurs, la troisième date qui apparaît dans le texte est erronée, il faut lire le 12 mars et non le 12 février.
Voilà. Amusant, non ?
Concernant mes notes de français en 1ère, je précise que la prof avait pour réputation de ne jamais dépasser 14/20. Les notes exceptionnelles qu’elle m’attribuait avaient donc vite fait le tour du lycée et des élèves de 1ère A avaient pris pour habitude de me demander mes devoirs pour les lire, ainsi que quelques conseils pour les leurs.
Cela dit, j’ai toujours entendu mes profs de français se plaindre que leurs meilleurs élèves se trouvaient toujours en C et c’était pareil pour la philo, une discipline où j’ai presque toujours eu 14/20 avec un prof notant rarement au-delà.
J’en avais déjà parlé sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog en y publiant l’article suivant, le 29 mai 2012 (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :
Ce dossier n’est toujours pas refermé, la presse locale l’a encore évoqué il y a moins de six mois (voir série d’articles ci-dessous) et un épisode de l’émission Non élucidé lui est consacré cette année (prochaine diffusion sur RMC jeudi 28 mars 2020).
Pour moi, cet assassinat a pour mobile une grosse affaire d’argent liée à la profession de la victime, qui vendait des contrats d’assurance UAP.
Son compagnon au moment des faits, un médecin généraliste prénommé Michel qu’elle fréquentait depuis environ six mois, a fait partie des premiers suspects.
Ils avaient brûlé des papiers le samedi ayant précédé son assassinat, lequel ne semble pas l’oeuvre d’amateurs qui auraient agi dans la précipitation ou la panique.
Et le soir même où le crime a été commis, ils devaient se retrouver chez lui vers 20 heures pour se rendre ensemble chez Pierre Diner, un artiste peintre auquel elle avait commandé deux tableaux.
Or, la biographe de ce peintre décédé en 2015 n’est autre que Christine Jaouen, dite Ouenja, une très vieille amie et complice du pédophile, mythomane et escroc notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi dont je découvre depuis peu l’existence.
Rappelons que dans les années 1990, ce dernier vivait quasi exclusivement de trafic de drogue.
Il a aussi pour vieux amis et complices des membres de l’entourage de l’ancien caïd marseillais Farid Berrahma, dit le Rotisseur (voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Farid_Berrahma).
Curieusement, sitôt après ma publication du 29 mai 2012 était publié en dernière page du bulletin suivant un résumé de la biographie du peintre Pierre Diner par Christine Jaouen :
https://ploneour-lanvern.bzh/wp-content/uploads/2016/07/Keleier33_juin2012.pdf
Voir aussi :
https://mobile.abp.bzh/pierre-diner-itineraires-d-un-peintre.-exposition-26784
Le 22 septembre 1994, le corps de Marie-Michèle Calvez, était retrouvé calciné dans le coffre de sa voiture à Penmarc’h. La prime de 50 000 euros reste d’actualité.
Ouest-France Modifié le 18/09/2014 à 11h09 Publié le 18/09/2014 à 00h00
Le 22 septembre 1994, le corps de Marie-Michèle Calvez était retrouvé calciné dans le coffre de sa voiture, près d’une usine désaffectée, à Penmarc’h dans le Finistère. Le Pays bigouden était sous le choc. Marie, comme l’appelle sa famille, travaillait comme agent d’assurance, avait 40 ans, habitait à Plonéour, était célibataire.
Le crime n’a pas été élucidé mais l’instruction est toujours ouverte. La prime de 300 000 francs lancée par la famille en 1998 est toujours d’actualité. Elle se monte désormais à 50 000 € et pourra être versée à celui ou celle qui fournira un élément décisif pour faire avancer l’enquête.
Catherine Calvez, la sœur de la victime, est plus déterminée que jamais dans son combat. Selon l’avocat de la famille, Jean-Claude Gourvès, il y a une grosse probabilité pour que l’auteur de la mort (volontaire? involontaire?) de Marie-Michèle Calvez soit une personne de la région bigoudène. Il avait vraisemblablement un ou deux complices pour transporter le corps de Plonéour à Penmarc’h.
Dans leurs investigations sur l’assassinat de Marie Calvez commis en 1994, les enquêteurs suivent notamment la piste qui mène au détournement du patrimoine de Pierre Goenvic.
Ouest-France Modifié le 26/09/2014 à 10h53 Publié le 26/09/2014 à 00h00
Marie Calvez a été retrouvée carbonisée en septembre 1994, dans le coffre de sa voiture derrière une usine désaffectée à Penmarc’h. Vingt ans après, son assassinat n’a toujours pas été élucidé.
Alors que la famille a récemment fait savoir que la prime de 50 000 euros est toujours d’actualité, les enquêteurs, pour leur part, mènent toujours plusieurs investigations. Parmi elles, la piste financière.
Et cette dernière pourrait les mener au patrimoine du couple bigouden Pierre et Marie-Catherine Goenvic. Couple qui a fait fortune dans l’hôtellerie et l’immoblier dans les années cinquante, et qui a notamment offert à la commune de Plonéour-Lanvern une maison de retraite qui porte leur nom.
Ce couple sans enfant avait fait une donation de biens à une parente du Pays bigouden. Après leur mort au milieu des années 60, jamais le moindre centime n’est pourtant parvenu jusqu’à cette femme, qui avait déménagé dans le sud de la France.
En se faisant passer pour elle, des proches, étrangers à cette donation, ont-ils pu détourner le patrimoine du couple Goenvic, en dupant notamment le notaire? Quarante-six ans plus tard, rien n’aurait été retrouvé.
Marie Calvez, pour sa part, était spécialisée en placement de capitaux, chargée de prospecter le Pays bigouden au début des années 90.
Elle pourrait s’être présentée, par erreur, chez la bénéficiaire de la donation pour lui proposer des placements alors qu’elle cherchait une autre personne voisine ayant le même nom.
Savait-elle des choses sur des placements d’une famille de la région bigoudène en lien avec la famille Goenvic ? C’est une des pistes suivies par les enquêteurs qui travaillent aussi sur la piste d’un amoureux jaloux.
Le nouveau procureur de Quimper reste néanmoins très prudent : « Beaucoup d’investigations ont été faites. On ne peut pas exclure telle ou telle piste. Avec les progrès de la science, et notamment les analyses d’ADN, on peut représenter un certain nombre de scellés. »
L’ensemble de l’affaire est à retrouver dans les pages Bretagne de notre édition du jour.
Marie Calvez a été assassinée en septembre 1994. Le dossier, toujours ouvert, est suivi par la Chancellerie. Un point sur les nombreuses questions de l’affaire.
Ouest-France Noëlle COUSINIÉ. Modifié le 07/10/2014 à 03h12 Publié le 07/10/2014 à 00h00
Pourquoi ? Comment ?
Marie-Michèle Calvez a été retrouvée assassinée en septembre 1994. Dans quelles circonstances ?
Le 22 septembre 1994, à 3 h du matin, un marin-pêcheur voit une voiture en feu à Poulguen, derrière l’usine désaffectée de Penmarc’h, à la lisière de la commune du Guilvinec. Le corps carbonisé de Marie-Michèle Calvez (Marie pour sa famille) est découvert dans le coffre. Un témoin a entendu deux voitures arriver, une seule repartir. D’où l’hypothèse de deux complices au moins dans ce crime.
Où le crime a-t-il été commis ?
Probablement pas à Poulguen. Dans la maison de Marie Calvez, rue des Hortensias à Plonéour ? Dans la cave de sa maison que les enquêteurs ont découverte lavée ? Dans une autre maison ? Une autre commune ?
Les mobiles du crime ?
Deux hypothèses au moins existent. La piste passionnelle qui conduirait à un amoureux jaloux. Une altercation qui aurait mal tourné ? Des proches de la victime ont été entendus. Ou bien la piste financière qui serait liée au travail de démarcheuse en assurances de Marie Calvez ? Les dossiers de placements ont disparu : pour brouiller les pistes ou pour que les gendarmes ne trouvent pas certaines informations ? Aurait-on voulu faire taire Marie Calvez qui aurait percé le secret de la provenance de certains capitaux ?
Pourquoi la famille de Marie Calvez et son avocat sont-ils persuadés que le crime a été commis par une ou des personnes de la région ?
Il fallait bien connaître le coin, l’usine désaffectée, les petites routes peu fréquentées. Des chemins, accessibles en voiture en 1994, mènent à l’usine, notamment depuis la chapelle Saint-Trémeur. De la chapelle, des chemins de traverse vont au Guilvinec, à Pendreff, à Poulguen. Un crime commis ou au moins commandité par des habitués du secteur fait partie des pistes sérieusement retenues.
Pourquoi la plainte contre x déposée en 2011 puis en 2012 pour détournements de biens et usurpation d’identité orienterait -elle l’affaire vers une piste financière ?
Déposée auprès du procureur de la République par Liliane (prénom d’emprunt) donataire du richissime bigouden Pierre Goenvic, et par son époux, cette plainte contient aussi des déclarations et des éléments troublants sur l’affaire non résolue de l’assassinat de Marie Calvez. Le mobile pourrait être de faire taire une causeuse imprudente qui aurait parlé de sommes importantes détenues par une famille.
Une usurpation d’identité est-elle possible auprès d’un notaire ?
Il suffit de présenter une pièce d’identité au notaire qui n’a pas pour mission de vérifier l’authenticité des pièces. Selon les plaignants, les papiers d’identité de l’époux de Liliane ont été perdus et retrouvés quarante ans plus tard chez un membre de leur famille ! La signature ne serait pas conforme à celle de Liliane. Interrogé sur les traces d’une donation Goenvic, un notaire bigouden conseille par écrit « de lever un état hypothécaire de Pierre Goenvic qui avait beaucoup de biens. On y verra peut-être trace de cette donation ». Pierre Goenvic, propriétaire de biens dans toute la France, à Paris, dans le Midi notamment, avait certainement plusieurs notaires. Les enquêteurs financiers disposent des moyens pour réaliser ces vérifications.
Qu’est devenu le patrimoine Goenvic ?
Il n’est pas revenu à la donataire Liliane. Il pourrait être géré par une société de gestion. Liliane a fait un lien avec l’éventuel détournement des biens Goenvic quand le fisc lui a réclamé des impôts concernant des biens situés dans le nord Finistère, notamment à Plouguerneau et à Brest, dont elle ignorait l’existence.
Comment établir un lien entre le crime et le détournement de patrimoine ?
Marie Calvez était démarcheuse en assurance dans le Pays bigouden. Elle aurait pris contact avec la famille qui aurait détourné le patrimoine Goenvic et qui aurait donc eu de l’argent à placer. Cette famille d’origine modeste aurait eu soudainement un train de vie très aisé (constructions de maisons, voitures, bateau, don de plus 60 000 € à une association humanitaire !). Marie Calvez en savait-elle trop sur les placements de capitaux effectués par cette famille ? Sur la société de gestion ?
Une société de gestion, qui gérerait le patrimoine Goenvic, existerait–elle ?
La brigade financière a les moyens d’investigation sur ce point.
Des tests d’ADN ont-ils été réalisés ?
Des tests ADN auraient été réalisés sur des suspects de la piste passionnelle. L’ont-ils été sur les suspects de piste du détournement du patrimoine Goenvic ?
Dans les séries américaines, on appelle ça un « cold case ». Cet été, « M » revient sur ces affaires non élucidées. Le 22 septembre 1994, dans le Finistère, le corps carbonisé de Marie-Michèle Calvez, jeune femme sans histoires, est retrouvé dans sa voiture.
Par Yves Bordenave Publié le 10 août 2018 à 14h57 – Mis à jour le 14 août 2018 à 10h40
Temps de Lecture 13 min.
Article réservé aux abonnés
Il n’y a plus rien. Seulement une maison avec son toit de chaume, des herbes folles qui poussent ça et là dans la lande, un étroit sentier de terre aménagé pour les promeneurs et les cyclo-touristes, et cette route départementale qui longe la dune. L’océan est à deux pas, mais on ne le voit pas. Voici le lieu-dit Poulguen, à mi-chemin du Guilvinec et de Penmarch, dans le sud du Finistère. C’est ici que, dans la nuit du 21 au 22 septembre 1994, un corps calciné a été découvert, recroquevillé à l’arrière d’une Seat Ibiza incendiée.
Il était environ 3 heures du matin lorsque des marins pêcheurs de Saint-Guénolé ont donné l’alerte. Rentrant chez eux après avoir annulé leur sortie en mer en raison d’une avarie sur leur bateau, ils aperçoivent un feu qui s’élève au-dessus de l’ancienne conserverie de poissons Raphalen, que les Bigoudens appellent « l’usine kaoc’h », « l’usine à merde ».
Pompiers et gendarmes dépêchés sur les lieux du drame ne peuvent rien, sinon dresser les premiers constats. L’incendie a été déclenché volontairement, un système sophistiqué de mise à feu a favorisé la montée de température et, à ce stade, il est impossible d’identifier le cadavre carbonisé dont les dents ont éclaté sous l’effet de la chaleur. Le seul indice que les enquêteurs ont sous la main, c’est le numéro d’immatriculation du véhicule : 6865 VR 29.
Trouver son propriétaire – Marie-Michèle Calvez – n’est qu’une formalité. Celle-ci n’est pas chez elle. Elle n’a pas été vue depuis la fin d’après-midi de ce mercredi 21 septembre. Pourtant, elle devait retrouver son ami vers 20 heures, rendez-vous auquel elle n’est pas allée, sans prévenir. Depuis, elle n’a donné aucun signe de vie. Il ne faut que quelques heures supplémentaires pour confirmer les craintes : le corps calciné est bien celui de Marie-Michèle Calvez, 40 ans. Suicide ? Accident ? Meurtre ? La dépouille immolée de la victime est dans un tel état que les causes de la mort sont impossibles à établir. Mais, très vite, les circonstances ne prêtent guère aux circonspections : Marie-Michèle Calvez a été transportée nuitamment sans vie à bord de son véhicule dans cet endroit improbable que seuls les autochtones fréquentent. Elle a été assassinée.
Depuis cinq ans, cette femme dynamique, belle, indépendante et libre propose des polices d’assurance aux marins du pays. Dans son métier, c’est une championne.
Sur ce bout de terre bretonne qu’elle parcourt de village en village et de maison en maison, la quadragénaire est une personne connue. Surtout dans le milieu de la pêche, qui, en cette fin de XXe siècle, vit les dernières années de son âge d’or. Voilà maintenant cinq ans que cette femme dynamique, belle, indépendante et libre propose des polices d’assurance aux marins du pays pour le compte de l’Union des assurances de Paris (UAP). Dans son métier, c’est une championne. Commerciale redoutable, elle figure parmi les dix meilleurs vendeurs nationaux de la compagnie et impose une vie dure à son concurrent de la société GAN, auquel elle ne laisse que des miettes. « Il fallait passer avant Marie, sinon c’était râpé », dit-il d’elle.
La suite est réservée aux abonnés
https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/qui-a-tue-marie-michele-calvez-7794594234
L’heure du crime Jacques Pradel iTunes RSS
Qui a tué Marie Michele Calvez Crédit Média : Jacques Pradel | Durée : 43:33 | Date : 30/08/2018 La page de l’émission
Jacques Pradel et Emilien Vinee
Dans la nuit du 21 au 22 septembre 1994, à 3h10 du matin, deux marins pêcheurs préviennent les gendarmes qu’une voiture brûle sur un terrain vague, derrière les bâtiments en ruine d’une usine désaffectée, au bord de la route côtière, entre Penmarc’h et le Guilvinec. A l’arrière de la voiture, on retrouve le corps calciné de sa propriétaire. Elle s’appelle Marie-Michèle Calvez. Elle est agent d’assurance pour la compagnie UAP.
Malgré près de 25 ans d’enquête, et une prime de 50.000 euros promise par la famille de la victime, cette affaire demeure un mystère. Le dossier n’a pas été classé par la justice. L’instruction est donc toujours ouverte. Nous revenons sur l’ensemble de cette affaire mystérieuse avec mes invités.
Vous pouvez à tout moment soumettre une affaire à Jacques Pradel. Laissez votre message avec les principales informations nécessaires à l’équipe de l’émission pour programmer, peut-être prochainement, ce fait-divers dans L’Heure du Crime.
Yves Bordenave, journaliste au Monde, il a signé un papier dans « M le magazine du Monde » le 10 août dernier: « 1994, meurtre mystérieux en pays Bigouden », Catherine Calvez, la sœur cadette de Marie-Michèle, qui continue à espérer aboutir un jour à la vérité. Nous la retrouverons dans un instant en compagnie de son avocat, Me Jean- Claude Gourvès du barreau de Quimper, avocat de la famille de Marie-Michèle Calvez.
Lecture : 3 minutes
Qui a tué Marie-Michèle Calvez ? 25 ans plus tard, son meurtre reste une énigme. Inacceptable pour sa sœur cadette Catherine qui ne baisse pas les bras. « Je ne lâcherai pas le morceau, c’est devenu le but de ma vie », confie-t-elle avant d’adresser un message à l’assassin de sa sœur : « La page n’est pas tournée ». En pays bigouden, la simple évocation du prénom de la victime provoque l’émoi. Ce « cold case » est resté dans toutes les mémoires. Comment oublier cette nuit du 21 au 22 septembre 1994 ?
Flashback. Vers 3 h du matin, l’alerte est donnée par des marins pêcheurs de Saint-Guénolé. De la fumée s’échappe à proximité de l’ancienne conserverie de poissons Raphalen. Le bâtiment est situé entre Penmarc’h et Le Guilvinec, au lieu-dit Poulguen. Sur place, gendarmes et pompiers découvrent un véhicule en feu. Il est trop tard. C’est la Seat Ibiza de Marie-Michèle Calvez. Dans le coffre, on retrouve son corps calciné. D’après les premières constatations, l’incendie est volontaire et le dispositif de mise à feu est élaboré. Impossible de déterminer la cause de la mort tant le cadavre est abîmé. L’enquête s’annonce compliquée. Elle le sera. Première certitude : Marie-Michèle était déjà décédée lors de l’apparition des premières flammes. Seconde certitude : deux hommes et deux voitures ont été entendus sur place. Cette information émane du témoignage d’une personne dont la maison se situe à quelques dizaines de mètres de la scène de crime.
Qui était Marie-Michèle Calvez ? En 1994, elle a 40 ans et vit seule dans un pavillon au 13, rue des Hortensias, à Plonéour-Lanvern, sa commune natale. La Bigoudène est une démarcheuse en assurance réputée pour son efficacité. C’est une femme séduisante, indépendante et sans histoire. Qui aurait pu lui en vouloir ? Rapidement, un suspect est dans le viseur : son compagnon de l’époque, un médecin généraliste du coin. Placé en garde à vue, il fut mis hors de cause. Un voisin, ami d’enfance de Marie-Michèle, est également entendu. Lui aussi sera relâché. Reste l’hypothèse d’un crime commis par des marins pêcheurs des Sables-d’Olonne, en bringue chez les Bigoudens. Abandonnée aussi. « Ce n’est pas un crime de rôdeur. L’auteur est quelqu’un qui est proche de Marie-Michèle », assène, avec conviction, Catherine Calvez, qui vit aujourd’hui à Brest.
Toutes les pistes ont-elles été étudiées ? Peut-être pas. Le dossier criminel est encore ouvert au tribunal de grande instance de Quimper. Des motifs d’espoir sont bien réels. « Un nouveau juge d’instruction a été nommé. Il s’inscrit dans la durée », indique Me Jean-Claude Gourvès. L’avocat de Catherine Calvez, depuis le début de l’affaire, reste « à l’affût du moindre nouvel élément ». À sa demande, les deux enquêteurs de l’époque ont été récemment entendus par le juge d’instruction. Un rebondissement est-il encore possible ? « On y croit », confie l’avocat. En 1998, pour relancer l’affaire, une somme de 50 000 € (300 000 francs à l’époque) avait été débloquée par la famille de la victime pour récompenser toute personne apportant un renseignement capital pour l’enquête. Cette prime est toujours en vigueur.
Il y a environ deux heures en ce moment même, à 14 h30, il a réagi à ma précédente publication de ce jour faite sur Satanistique sur la page Facebook de son ami Jean-Marc Donnadieu :
Au passage : je ne vois pas en quoi ce que j’ai pu dire ou faire serait de la « connerie » ni surtout en quoi Patrice Seray pourrait être autorisé à s’ériger en juge concernant cette révélation publique que j’ai faite tout à l’heure à propos de faits ne relevant que de ma vie privée.
Mais passons…
L’important n’est pas là mais dans la confirmation qu’ainsi il m’apporte : il est bien mon visiteur de Satanistique dont, depuis quelques jours, les visites sont systématiquement suivies de demandes de suppression de mes textes ou de mon blog à mon hébergeur Blogspot / Google.
Mon dernier signalement public à ce sujet remonte au 17 mars 2020, dans cet article :
http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/17/mes-harceleurs-ufosceptiques-sacharnent-sur-satanistique/
Naturellement, il en a demandé la suppression comme de tous les autres où il est cité, en attestent les derniers contrôles de Google sur mon blog, faisant suite comme tous les autres à son passage sur Satanistique :
Visitor Analysis & System Spec |
||||
---|---|---|---|---|
URL d’origine : | ||||
Host Name: | Navigateur : | Firefox 74.0 | ||
IP Addresses: | Patrice Seray | OS/Platform: | Win10/Desktop | |
Emplacement : | Cuvat, Rhone-Alpes, France | Résolution : | 1920×1080 | |
Visites récurrentes : | 0 | Javascript : | Enabled | |
Durée de la visite : | Multiple visits spread over more than one day | FAI : | Sfr |
Navigation Path |
||
---|---|---|
Date | Heure | Page web |
13 Mar | 14:48:39 | |
13 Mar | 15:07:56 | |
13 Mar | 15:15:59 | |
(Pas de lien référant)
|
||
14 Mar | 07:53:28 | |
15 Mar | 11:39:21 | |
15 Mar | 11:54:47 | |
15 Mar | 11:56:15 | |
15 Mar | 12:51:34 | |
18 Mar | 12:34:55 | |
21 Mar | 11:54:07 | |
21 Mar | 12:19:17 |
A ce stade, j’invite mes hébergeurs de blogs, particulièrement Google, à porter plainte contre lui pour harcèlements à leur encontre à l’aide de plaintes injustifiées ou de signalements abusifs.
Ce que je n’ai jamais fait contre son forum « Sceptic Ovni » au mois de mai 2012, lui par contre s’en rend effectivement coupable contre mes hébergeurs de blogs et moi-même – et le faisait déjà en 2012…
Lire ou relire à ce sujet :
http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/14/vent-de-panique-chez-mes-harceleurs-ufosceptiques/
Rappelons également que l’article 6 de la Loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique modifié par la LOI n°2020-105 du 10 février 2020 en son article 13 prévoit de sanctionner par une peine d’un an d’emprisonnement et de 15 000 Euros d’amende tout signalement abusif comme ceux que lui s’amuse à multiplier auprès de mon hébergeur Blogspot / Google :
Chemin :
I.-1. Les personnes dont l’activité est d’offrir un accès à des services de communication au public en ligne informent leurs abonnés de l’existence de moyens techniques permettant de restreindre l’accès à certains services ou de les sélectionner et leur proposent au moins un de ces moyens.
Les personnes visées à l’alinéa précédent les informent également de l’existence de moyens de sécurisation permettant de prévenir les manquements à l’obligation définie à l’article L. 336-3 du code de la propriété intellectuelle et leur proposent au moins un des moyens figurant sur la liste prévue au deuxième alinéa de l’article L. 331-26 du même code.
1 bis. A compter du 1er janvier 2022, et dans le respect de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, les personnes mentionnées au 1 informent également leurs abonnés de la quantité de données consommées dans le cadre de la fourniture d’accès au réseau et indiquent l’équivalent des émissions de gaz à effet de serre correspondant.
Les équivalents d’émissions de gaz à effet de serre correspondant à la consommation de données sont établis suivant une méthodologie mise à disposition par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie.
2. Les personnes physiques ou morales qui assurent, même à titre gratuit, pour mise à disposition du public par des services de communication au public en ligne, le stockage de signaux, d’écrits, d’images, de sons ou de messages de toute nature fournis par des destinataires de ces services ne peuvent pas voir leur responsabilité civile engagée du fait des activités ou des informations stockées à la demande d’un destinataire de ces services si elles n’avaient pas effectivement connaissance de leur caractère illicite ou de faits et circonstances faisant apparaître ce caractère ou si, dès le moment où elles en ont eu cette connaissance, elles ont agi promptement pour retirer ces données ou en rendre l’accès impossible.
L’alinéa précédent ne s’applique pas lorsque le destinataire du service agit sous l’autorité ou le contrôle de la personne visée audit alinéa.
3. Les personnes visées au 2 ne peuvent voir leur responsabilité pénale engagée à raison des informations stockées à la demande d’un destinataire de ces services si elles n’avaient pas effectivement connaissance de l’activité ou de l’information illicites ou si, dès le moment où elles en ont eu connaissance, elles ont agi promptement pour retirer ces informations ou en rendre l’accès impossible.
L’alinéa précédent ne s’applique pas lorsque le destinataire du service agit sous l’autorité ou le contrôle de la personne visée audit alinéa.
4. Le fait, pour toute personne, de présenter aux personnes mentionnées au 2 un contenu ou une activité comme étant illicite dans le but d’en obtenir le retrait ou d’en faire cesser la diffusion, alors qu’elle sait cette information inexacte, est puni d’une peine d’un an d’emprisonnement et de 15 000 Euros d’amende.