Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Je lis toujours avec intérêt tout ce qui sort sur la Ligue du LOL, pourvu que cela me soit facilement accessible.
Je n’ai donc pas lu la très grosse « contre-enquête » du vénal Jean-Marc Manach qui fait payer son boulot d’avocat de David Doucet qui me semble en fait être d’abord le sien : il se défend lui-même à travers son « gentil troll » qu’à l’évidence il a dû parrainer très tôt, comme bien d’autres.
Je rappelle ici quel est mon problème avec ce journaliste ami de David Servenay, lequel, selon les dires du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, a bien joué un rôle non négligeable dans tous les harcèlements dont j’ai été et suis toujours victime de la part de sa bande de cybercriminels dits « déconnologues » à compter de l’année 2008, lorsque j’ai commencé à m’exprimer anonymement sur le site Rue89 et qu’il en était l’un des journalistes : à la demande dudit Cyprien Luraghi qui depuis 2010, allant toujours plus loin dans tous ses harcèlements à mon encontre, s’amusait à organiser contre moi procès sur procès afin d’obtenir la suppression définitive de l’espace public de tout droit de réponse de ma part à la suite de ses monstrueuses campagnes de calomnies publiques, il m’avait consacré le 10 septembre 2013 l’une de ses émissions TV d’ASI, dans laquelle il avait relayé à l’attention de son public une version entièrement mensongère de nos différends correspondant bien évidemment à celle de mes harceleurs et calomniateurs, et ne m’en a jamais informée avant que je ne découvre moi-même son existence le 7 janvier 2015 alors même que nous avions déjà eu quelques échanges à propos de ses contacts avec Cyprien Luraghi à mon sujet aux mois de septembre et novembre 2014…
J’en ai parlé dans ces deux articles l’année dernière :
Son émission TV du 10 septembre 2013 dont le but était d’accréditer toutes les calomnies de mes harceleurs à mon encontre en les relayant telles quelles a bien participé à l’ensemble de leurs faits de harcèlement à mon encontre.
A compter de septembre 2014, il a eu ma version des faits sans l’avoir jamais recherchée auparavant, et je lui ai proposé à plusieurs reprises de republier sur cette affaire après avoir gagné les uns après les autres les procès que me faisaient mes harceleurs, mais il s’en est toujours abstenu et se positionne ainsi très clairement comme étant des leurs.
Aussi, je n’ai pas été excessivement surprise de le retrouver du côté des « loleurs » au mois de février de l’année dernière lorsqu’a éclaté l’affaire de la Ligue du LOL et me suis alors mise à publier à son sujet, ce que je n’avais jamais fait plus tôt.
Cette année, il m’a encore gâtée avec sa grosse « contre-enquête » que je n’ai pas lue, donc, mais dont j’apprécie les divers commentaires et droits de réponse qu’elle suscite.
Glad et vous citez Bronner, et le problème avec lui, c’est qu’il dénonce des excès d’un « camp » mais rarement ceux de l’autre. Comme la plupart des militants anti-science, il s’en prend surtout aux progressistes : http://wiki.reopen911.info/index.php/Les_scientistes_et_la_politique
Après que ce commentateur et d’autres lui eurent fait remarquer avec insistance le problème que posait cette référence à Gérald Bronner, Jean-Marc Manach en a remis une couche :
« L’histoire était trop belle, pleine de stéréotypes. Or la question qu’on doit se poser avant de se forger une opinion rationnelle est “Que crois-je savoir a priori ?”. » (Gérald Bronner), cf (notamment) :
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Jean-Louve du Kentucky
@Coeur_de_rocker
· Mar 6
Suite à la chronique de Laélia Veron, venue clore cette émission d’Arrêt sur Images qui mettait en débat le traitement médiatique de l’affaire ligue du lol, ce commentaire lui a été adressé en guise de réponse sur la page dédiée à l’émission. https://twitter.com/arretsurimages/status/1233788759214370817
On trouve ce sociologue dans les amis Facebook de mes harceleurs de la bande de tous les prétendus « ufosceptiques » et/ou « sceptiques » de Jean-Marc Donnadieu, par exemple ici :
Faut-il avoir peur du Coronavirus ? Pourquoi le monde panique-t-il autant ? On décrypte la psychose généralisée avec le sociologue Gérald Bronner, spécialiste des croyances et militant de l’esprit critique, sur le plateau de Quotidien.
Faut-il avoir peur du Coronavirus ? Pourquoi le monde panique-t-il autant ? On décrypte la psychose généralisée avec le sociologue Gérald Bronner, spécialiste des croyances et militant de l’esprit critique, sur le plateau de Quotidien.
Faut-il avoir peur du Coronavirus ? Pourquoi le monde panique-t-il autant ? On décrypte la psychose généralisée avec le sociologue Gérald Bronner, spécialiste des croyances et militant de l’esprit critique, sur le plateau de Quotidien.
Faut-il avoir peur du Coronavirus ? Pourquoi le monde panique-t-il autant ? On décrypte la psychose généralisée avec le sociologue Gérald Bronner, spécialiste des croyances et militant de l’esprit critique, sur le plateau de Quotidien.
On notera que la même Francine Cordier, qui avec son conjoint Patrice Seray administre depuis 2010 au moins le forum « Ufo-scepticisme » anciennement « Sceptic Ovni » (http://ufo-scepticisme.forumactif.com/) dont leur ami Jean-Marc Donnadieu est modérateur, s’affiche sur Twitter parmi les followers de Cyprien Luraghi, tout comme d’ailleurs des membres de la Ligue du LOL, dont Vincent Glad lui-même, ici :
Voici son compte Twitter, où on la voit notamment relayer des tweets d’Adrien Quatennens qui donnent sa tendance politique, la même que celle de tous mes autres harceleurs agissant sur Internet :
Ce sont ces gens qui ne supportent absolument pas la moindre mention de leurs noms dans un de mes textes et tentent aussitôt de le faire supprimer (voir mes publications de ces derniers jours concernant leurs demandes de suppressions à répétition à mon hébergeur de blog Blogspot pour Satanistique), quoiqu’ils ne se soient eux-mêmes jamais gênés pour participer aux harcèlements et campagnes de calomnies publiques de leur ami Jean-Marc Donnadieu à mon encontre, et ce dès leurs tout débuts au printemps 2010.
J’en rappelle le motif : appelé par ses amis de la bande de cybercriminels et harceleurs de Cyprien Luraghi à renforcer leurs effectifs de professionnels du harcèlement alors que je venais d’ouvrir mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog, il intervenait pour tenter d’en obtenir la suppression le plus rapidement possible et me faire taire définitivement sur tout, sachant que Cyprien Luraghi et ses complices « déconnologues » me harcelaient et calomniaient déjà sur leurs propres blogs comme partout où je m’exprimais sur la toile depuis deux ans avec le même propos exactement, mes commentaires anonymes sur le problème du harcèlement moral en entreprise sous des articles de Rue89 y consacrés les ayant dérangés, tout comme quelques évocations dans ces mêmes commentaires de l’affaire de l’ancien psychiatre brestois et pédophile notoire Serge Rodallec.
Ils venaient alors d’obtenir la suppression de mon compte et de tous les textes y afférents sur le site Le Post pour avoir soi-disant « diffamé » ce pédocriminel en cavale depuis 2005 qui venait d’être retrouvé en Thaïlande au mois de janvier 2010, chose que j’aurais faite en y ayant relayé des articles de Ouest France et Le Télégramme relatifs à ses condamnations prononcées par contumace en fin d’année 2007 pour des faits de pédophilie commis sur plusieurs de ses jeunes patients handicapés mentaux – il a par la suite été de nouveau condamné pour les mêmes faits à l’issue de tous les nouveaux procès organisés à son encontre, en appel comme en première instance.
Il faut bien souligner ici que jusqu’en 2019 ce pédophile est toujours resté le seul que j’aie jamais désigné comme tel dans un de mes textes, même si les propos et comportements publics de mes harceleurs sur la question de la pédophilie en général ou sur plusieurs affaires de pédophilie particulières, c’est-à-dire, en fait, toutes celles qu’ils commentaient, dont, notamment, celle de cet ancien psychiatre brestois, m’incitaient à penser que plusieurs d’entre eux pouvaient en être ou tout au moins être des amis de ce pédophile ou participer à un réseau dont il avait bénéficié de l’aide durant toutes ses années de cavale.
Depuis quelques mois, je qualifie aussi de pédophile le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, parce que j’en ai eu marre de le voir très régulièrement m’accuser mensongèrement de le traiter de pédophile, ce que je n’avais encore jamais fait, que par ailleurs ses propres écrits publics sur la question sont de toute façon suffisamment explicites pour que cela se justifie, et qu’enfin j’ai aussi connaissance de cas précis de ses passages à l’acte.
Et j’ai bien noté que la référence sociologique de son groupe de harceleurs prétendument « sceptiques » a récemment commis ceci auquel je n’ai pas accès mais dont le titre me suffit amplement :
La pédophilie s’y trouve réduite à une question morale, au même titre, par exemple, que la sodomie entre adultes consentants. Ses victimes n’existent pas…
J’avais déjà écrit que l’affaire de la Ligue du LOL et celle de l’écrivain pédophile et pédopornographique Gabriel Matzneff que je vois bien plus ou moins liées depuis assez longtemps à travers mes propres harceleurs finiraient par se rejoindre :
Merci M. Manach d’avoir si superbement confirmé mes dires et prédictions.
Bien sûr, j’ai lu aussi les articles de ces journalistes qui peinent à vous traiter de menteur tout en exposant très clairement de vos « oublis » ou gros mensonges et n’en ai vraiment pas été surprise :
Je l’avais annoncé dans cet article d’il y a deux jours par lequel je lui proposais de venir m’expliquer comment et pourquoi il avait fait supprimer de Satanistique le premier article où j’évoquais, en date du 7 mars 2020, son bannissement de Facebook pour une durée de trois jours, faute de quoi il se retrouverait également banni de tous mes blogs pour la même durée de trois jours :
Je lui avais laissé jusqu’à hier soir minuit pour me faire la réponse attendue.
Dans ce laps de temps, il m’a laissé sur Satanistique 17 commentaires qui se trouvent presque tous sur l’article suivant, du 7 mars 2020, et pas un seul qui réponde à la question posée :
Comme prévu, l’intéressé se retrouve donc banni de tous mes blogs pour une durée de trois jours à compter d’aujourd’hui.
Par ailleurs, puisqu’en définitive il m’aura laissé sur l’article du 7 mars 2020 où j’évoquais ses soucis avec une autre internaute qui dénonce la pédophilie et ses réseaux pas moins de 17 commentaires dont pas une seule critique portant sur les contenus de cet article, il convient d’en conclure qu’il les agrée totalement, se contentant de s’agacer de me voir dénoncer des pédophiles, tout comme en 2010 dès les tout débuts de ses harcèlement à mon encontre, et dans les mêmes termes insultants et délirants :
Cela étant, il a bien tenté, aussi, d’obtenir la suppression de cet article auquel pourtant il ne trouve strictement rien à redire.
En fait, depuis le 8 mars 2020, lui et plusieurs de ses amis prétendument « sceptiques » n’ont pas cessé d’effectuer des signalements à mon hébergeur de blog Blogspot en vue d’en obtenir des suppressions d’articles de Satanistique, ou de la totalité de ce blog qui manifestement les dérange.
Je le vois dans mes statistiques de visites de blog où je retrouve aussi la trace de l’article suivant de leur forum où ils en ont discuté hors la vue du public :
Eh bien, tout simplement via les enquêtes épidémiologiques de rigueur dans la lutte contre l’épidémie…
On notera à cet égard que si les origines respectives des premiers cas apparus en Bretagne, à Brest et à Rennes fin février 2020, furent d’emblée connues, en revanche celle du foyer qui s’est déclaré dans le Morbihan le 1er mars 2020 et est actuellement le plus important de la région reste un mystère, son patient zéro n’ayant toujours pas été identifié.
Curieusement, il se développe dans la région maritime d’origine de la famille Le Pen, zone endémique de complices du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Avec 24 cas déclarés, l’Hérault est pour l’heure bien moins touché.
Coronavirus en Bretagne. Une cellule détective pour freiner l’épidémie
Une équipe bretonne d’épidémiologistes cherche et identifie celles et ceux ayant eu un contact avec les personnes positives au coronavirus, Covid-19. Un travail d’enquête pour ralentir l’épidémie.
Ouest-France Recueilli par Jessica DESBOIS. Modifié le 06/03/2020 à 11h04 Publié le 06/03/2020 à 10h50
Alors que des cas de coronavirus Covid-19 ont été identifiés dans toutes les régions de France métropolitaine, une cellule d’investigation piste les personnes susceptibles d’être contaminées en Bretagne. Entretien avec Alain Le Tertre, responsable régional Santé publique France.
Quel est votre rôle ?
Notre équipe est composée de cinq personnes : quatre médecins et une infirmière. Nous travaillons dans des bureaux de l’Agence régionale de santé (ARS) à Rennes (Ille-et-Vilaine). Notre rôle est double : à partir des cas avérés de personnes contaminées par le coronavirus, nous retraçons leur parcours dans les jours précédant l’apparition des symptômes afin d’identifier les contacts et l’intensité des contacts avec d’autres personnes. À partir de cette intensité, nous essayons de casser la chaîne de transmission en recommandant aux personnes impliquées de limiter les échanges, de rester chez elles, de porter un masque…
Une fois que la personne est confirmée positive au dépistage, nous l’avons au téléphone. Nous lui posons des questions via un questionnaire. Par exemple, nous lui demandons comment elle a pu être contaminée, ses symptômes, etc. Nous établissons ensuite une liste de contacts possibles, qui peut aller de deux à une soixantaine de personnes… Nous cherchons ensuite à connaître l’intensité de leurs contacts et nous l’évaluons sur trois niveaux : faible, modérée ou élevée. Seules les personnes à risque élevé sont prévenues et appelées. Elles aussi doivent répondre à un questionnaire et en fonction de leurs réponses, nous les prévenons de leur prise en charge médicale.
Quels sont les critères pour définir les niveaux ?
Ils sont déterminés par la notion de temps et de proximité avec la personne malade. Il y a une différence entre un repas de famille et une remise de colis par le facteur, par exemple. Pour définir les contacts, nous remontons jusqu’à la veille des premiers symptômes.
Combien de cas élevés ont été jusqu’à présent comptabilisés ?
Dans quel état d’esprit sont-ils quand vous les contactez ?
Quand nous les appelons et, parfois, quand nous leur annonçons leur contact avec une personne malade, ils ne paniquent pas. Ils sont conscients de leur situation.
Coronavirus un premier foyer identifié dans le département du Morbihan
L’apparition de cas groupés (cluster) de 9 personnes testées positivement a été confirmée dans le Morbihan dimanche 1er mars à 22h, avec deux cas à Auray, quatre cas à Crac’h et deux cas à Carnac. D’autres personnes ont fait l’objet de prélèvements actuellement en cours d’analyse.
Le préfet du Morbihan a aussitôt fait le point de situation avec le Directeur de l’Agence Régionale de Santé Bretagne, le rectorat de Bretagne et la Directrice académique des services de l’éducation nationale du Morbihan.
Les mesures immédiatement applicables au seul département du Morbihan afin de limiter les risques de propagation du virus sont les suivantes :
1/ Interdiction par arrêté préfectoral de tout rassemblement collectif sur l’ensemble du département du 1er mars au 14 mars.
2/ Fermeture par arrêté préfectoral de l’ensemble des établissements scolaires, des crèches et de l’accueil périscolaire des communes d’Auray, Crac’h et Carnac du 1er mars au 14 mars.
3/ Diffusion aux maires de consignes pour la population de limitation des déplacements dans les communes d’Auray, Crac’h et Carnac
Les investigations sanitaires pour évaluer les personnes ayant été en contact avec les malades se poursuivent par ailleurs.
Des points d’information réguliers seront diffusés pour faire état de l’évolution de la situation et des mesures prises.
Pour plus d’informations
Pour connaître l’ensemble des informations et recommandations concernant le nouveau coronavirus COVID-19 : www.gouvernement.fr/info-coronavirus
Pour toutes questions non médicales, une plateforme téléphonique nationale est également accessible gratuitement au 0 800 130 000 24h sur 24, 7 jours sur 7.
Coronavirus en Bretagne : l’Agence Régionale de Santé confirme 19 cas, la préfecture prend des mesures de restrictions
Ce lundi matin, l’ARS annonce 19 cas de contaminations au coronavirus en Bretagne. La préfecture du Morbihan a décidé de fermer certains établissements scolaires dans le secteur d’Auray, Carnac et Crac’h. L’origine de la contamination n’est pas encore connue.
Par Corentin Bélard Publié le 02/03/2020 à 08:12 Mis à jour le 02/03/2020 à 18:48
Ce dimanche 1er mars, 19 cas de personnes infectées par le coronavirus ont été recensés en Bretagne dont 13 dans le Morbihan. Les 13 personnes contaminées sont hospitalisées à l’hôpital de Vannes. Les services de l’État ont donc réagi pour confiner le foyer de contamination qui se trouve centré dans la région d’Auray.Parmi les personnes malades :
À Vannes, la préfecture du Morbihan s’est réunie ce lundi avec le rectorat et l’Agence Régionale de Santé. Lors d’une conférence de presse donnée en fin de matinée, les services de l’État ont fait le point sur la situation.
La conférence de presse en intégralité ci-dessous.
Les informations et les mesures annoncées lors de ce point presse
Emmanuel Ethis, recteur de l’Académie de Rennes, explique que 10 écoles et 7 établissements secondaires sont fermés jusqu’au 14 mars dans un premier temps, soit 5.700 élèves concernés. Tous les voyages scolaires à destination des trois communes concernées sont supprimés ainsi que tous les voyages partant de cette zone également reportés. Le CNED met en place des mesures pour suivre les cours à distance afin « d’assurer jusqu’au 14 marsune continuité pédagogique en lien avec les enseignants. »
Le recteur a précisé que l’IUT de Vannes restait ouvert mais que les étudiants originaires des trois communes concernées (Crac’h, Auray et Carnac) devaient s’abstenir de venir en cours.
Dans le Morbihan, le patient zéro n’est pas connu. Le directeur de l’ARS parle de contamination « autochtone » et non pas suite à des retours de séjours dans des zones infectées.
Il déclare également que le nombre de malades est un chiffre en constante évolution. Pour lui, il reste difficile de préciser où sont hospitalisés tous les malades.
Par ailleurs, les grandes surfaces ne sont pas encore concernées par les mesures de restrictions.
Enfin, le préfet du Morbihan assure que l’épidémie ne menace pas pour l’instant la tenue des élections municipales mais les réunions publiques sont suspendues. Un arrêté a été pris pour interdire tous les rassemblements.
Il a aussi tenu à rappeler que toutes les manifestations sportives, mêmes extérieures, étaient annulées jusqu’à nouvel ordre. Tout comme la fermeture des cinémas.
Des consignes à respecter
Sur les réseaux sociaux, la préfecture rappelle les consignes à respecter pour limiter l’épidémie.
Par ailleurs, il est conseillé d’adopter certaines habitudes pour limiter les risques :
Se laver les mains très régulièrement.
Tousser ou éternuer dans son coude.
Saluer sans se serrer la main, éviter les embrassades
Utiliser des mouchoirs à usage unique.
Porter un masque quand on est malade.
Écoles fermées
Les écoles du secteur resteront donc fermées du 1er au 14 mars. La consigne s’applique également pour les crèches et l’accueil périscolaire des communes d’Auray, Crac’h et Carnac. L’académie de Rennes relaye la décision de la préfecture.
À Auray, le lycée Bertrand Du Guesclin a annoncé que les élèves en internat arrivés dimanche soir regagneront leur domicile ce lundi.
Un voyage scolaire en Haute-Savoie annulé
Parmi les établissements scolaires concernés par le confinement, le collège des Korrigans à Carnac est en première ligne. Ce lundi matin, aucun élève n’a eu cours. « On suit les déclarations et décisions du ministère et des autorités à la lettre« , explique sa direction.
Tous les sixièmes du collège devaient partir en voyage. « Ce samedi 7 mars, ils devaient se rendre en Haute-Savoie, le voyage est reporté bien évidemment. Nous restons en contact avec la Direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN) pour connaître la suite des événements. »
Rassemblements collectifs interdits
La préfecture interdit également les rassemblements collectifs sur la même période dans tout le département. Les maires morbihannais se sont vus demandés d’inviter la population à limiter les déplacements dans les communes sus-nommées.
La préfecture assure enfin que « les investigations sanitaires pour évaluer les personnes ayant été en contact avec les malades se poursuivent par ailleurs. »
Pour toute information sur le coronavirus, un numéro vert : le 0 800 130 000. Vous trouverez les informations également ici.
Huit personnes de plus ont été infectées par le Coronavirus dans le Morbihan. La préfecture étend ses zones de « clusters » et de cordons sanitaires. Et les enfants des « cordons sanitaires » ne peuvent pas aller à l’école à l’extérieur du cordon.
Huit personnes de plus ont été testées positives au coronavirus en ce lundi 9 mars dans le Morbihan : trois de plus dans le foyer épidémique d’Auray, une de plus dans le foyer épidémique de Saint-Pierre-Quiberon, deux à Pluvigner, et une de plus à Plouharnel ainsi qu’un malade à Plumergat. Le nombre de personnes testées positives est désormais de 55 dans ce département breton. La semaine dernière, un homme de 92 ans a succombé à la maladie.
La préfecture étend les zones de restrictions.
Foyers de contamination (cluster) : trois communes de plus, soit Landévant, Pluvigner, la Trinité-sur-Mer
Cordon sanitaire : Nostang, Languidic, Baud, Camors, La Chapelle-Neuve et Brandivy rejoignent cette zone qui jouxte les « clusters »
Dans ces deux zones :
Les établissements scolaires et d’accueil collectif de mineurs (crèches, écoles, collèges, lycées…) sont fermés jusqu’au 14 mars
Les rassemblements dans les lieux de culte sont interdits, sauf cérémonies de mariage, décès… avec un public « limité à son strict minimum »
« Les rassemblements publics ne doivent pas dépasser la moitié de la capacité de l’ERP (Établissement recevant du public) »
« Lesdéplacements et rassemblements doivent être limitésà ceux permettant de satisfaire aux besoins indispensables de la vie sociale et économique »
« Aucun rassemblement de plus de 1000 personnes n’est autorisé sur l’ensemble du département »
Au total, 71 cas de contamination au coronavirus ont été recensés en Bretagne, 55 dans le Morbihan, 11 en Ille-et-Vilaine et 5 dans le Finistère.
Du nouveau dans le « cordon sanitaire » : les élèves ne peuvent se rendre dans les établissement à l’extérieur
« La position des services de l’Etat a évolué ce matin suite à des consignes de l’Education nationale », explique ce matin la préfecture du Morbihan. « Ainsi, _les élèves résidant dans le « cordon sanitaire » et scolarisés dans des établissements scolaires hors « cordon sanitaire » ne peuvent se rendre dans leur établissement_« . Il s’agit de Quiberon, Plouharnel, Locmariaquer, Pluneret, Ploemel, Erdeven, Locoal-Mendon, Plumergat, Landaul, Nostang, Languidic, Baud, Camors, La Chapelle-Neuve et Brandivy.
L’Agence régionale de santé et les services de l’État annoncent deux nouveaux cas de coronavirus en Finistère, ce qui fait un total de 7 patients détectés.
L’Agence régionale de santé (ARS) et les services de l’État en Bretagne annoncent deux nouveaux cas de coronavirus en Finistère, ce mardi 10 mars 2020. Au total, ce sont 7 patients qui ont été pris en charge pour cette maladie, dans le département, depuis le début de l’épidémie.
En Bretagne, c’est le Morbihan qui reste le plus touché avec 63 cas (8 de plus que la veille). L’Ille-et-Vilaine compte 11 personnes malades, un chiffre stable. Sur les 81 cas au total que compte la région, les services ont mené à bout 63 enquêtes : elles visaient à identifier les personnes susceptibles d’avoir été en contact avec les malades, qui auraient pu eux aussi être porteurs de la maladie.
Des analyses biologiques à Quimper
Par ailleurs, le centre hospitalier de Quimper est habilité, à partir de ce mercredi 11 mars 2020, à effectuer des analyses biologiques de patients suspectés de porter le virus, « ce qui permettra d’augmenter les capacités régionales de 90 examens par jour en plus de celles effectuées par les CHU de Rennes et Brest », précise l’ARS.
Cette dernière a également publié des recommandations spécifiques pour les professionnels de santé et du transport de malade (consultables sur www.bretagne.ars-sante.fr).
De nombreux événements ont été annulés. Les rassemblements de plus de 1 000 personnes sont désormais interdits. Les élections municipales vont pouvoir avoir lieu, mais des consignes particulières vont être diffusées pour éviter la propagation du virus.
Après le cas confirmé de Coronavirus en Haute-Garonne jeudi soir, l’ARS nous informe ce vendredi que trois premiers cas ont été détectés dans le Tarn-et-Garonne.
L’Agence Régionale de Santé Occitanie informe ce vendredi que quatre cas nouveaux cas de Coronavirus ont été détectés. Trois dans le Tarn-et-Garonne, un dans le Lot.
Trois personnes d’une même famille en Tarn-et-Garonne
« Trois personnes d’une même famille, domiciliées au nord-ouest du département, ont été testées de façon positive au coronavirus Covid-19. Il s’agit d’un homme de 52 ans et d’un couple âgé de 83 et 78 ans.A ce stade, leur état clinique ne présente pas de signe de gravité », explique l’ARS.
Un premier cas confirmé dans le Lot
Dans le Lot, c’est une femme de 60 ans qui est prise en charge au Centre hospitalier de Cahors, après confirmation d’un cas de coronavirus. Son état clinique ne présente pas de signe de gravité. Elle aurait séjourné récemment en Egypte avec son époux.
En Occitanie, on compte ce vendredi 20 cas de Coronavirus.
24 cas de coronavirus sont recensés à ce jour dans l’Hérault. Une dizaine de personnes sont actuellement hospitalisées au CHU de Montpellier qui s’attend dans les jours qui viennent à une nette augmentation de son activité. Son Directeur Général, Thomas Le Ludec, était notre invité ce mardi matin.
Face à l’augmentation du nombre de cas de coronavirus en France, mais aussi dans l’Hérault, le Directeur Général du CHU de Montpellier, Thomas le Ludec, était l’invité de France Bleu Hérault ce mardi matin. Il fait le point sur le nombre de personnes actuellement prises en charge à l’hôpital, et les mesures qui ont déjà été prises.
24 personnes contaminées dans l’Hérault
» Il y a une dizaine de personnes hospitalisées au CHU, leur état de santé est satisfaisant nous avons depuis hier soir une seule personne en réanimation qui venait d’un autre établissement. »
« La prise en charge hospitalière n’est plus systématique car aujourd’hui 80 % des personnes contaminées présentent une forme non grave et doivent avoir le réflexe de se tourner vers leur médecin traitant ou le 15. Pour les 20 % plus graves, il faut aller à l’hôpital. Il faut éviter le maximum de contacts. »
Le 15 prêt à faire face à une augmentation du nombre de cas
« Le 15 est très sollicité, mais nous avons adapté le dispositif en augmentant les effectifs et en créant une cellule dédiée. Lorsque vous appelez le 15 vous devez déjà taper 1 pour le coronavirus et le 2 pour autre chose pour un premier filtrage. Ensuite vous êtes reçu par un assistant médical et si besoin un médecin qui va d’abord vous écouter pour vous orienter au mieux, et éventuellement vous orienter vers une consultation de dépistage ambulatoire qui est organisée à l’hôpital Saint Eloi. »
« Pour ce que ce dépistage soit fiable, il faut que la personne qui appelle prépare bien son appel, décrive bien ses symptômes et qu’elle puisse dire si elle a séjourné dans un pays à risque ou si elle a été en contact étroit avec une personne qui revient d’un pays à risque. C’est à ce moment-là qu’il y a un filtrage et lorsqu’il y a de la toux et de la fièvre, il faut prendre la température deux fois par jour et s’il y a le moindre problème, il faut rappeler. »
« Aujourd’hui la majorité des français ont un médecin traitant qui traite toutes les viroses non graves. S’il y a des symptômes plus inquiétants il faut appeler le 15. »
Une cellule de crise quotidienne
« Si on passe en stade 3 de l’épidémie, nous sommes prêts. Nous sommes en cellule de crise tous les jours et nous adaptons nos moyens tous les jours. Il faut encore renforcer le 15 parce que les sollicitations continuent d’augmenter. «
« Il faut réorganiser le CHU profondément et nous préparons ce plan en ce moment, et nous communiquerons le cas échéant dès que le plan Blanc sera déclenché. »
Le personnel protégé à l’hôpital
« Les personnels sont protégés en cas de contact avec les patients, les secteurs les plus exposés ont les moyens et les protections individuelles. Et nous avons des mesures d’hygiènes irréprochables et nous pourrons encore étanchéifier l’hôpital dans les prochains jours pour éviter toute contamination du personnel. »
Notre ministre de la Culture est le premier membre du gouvernement à être contaminé.
L’affaire Matzneff comme bien d’autres précédemment, notamment celle des voyages de Frédéric Mitterrand en Thaïlande, avaient déjà mis en lumière pour le plus grand nombre les relations particulières qu’entretiennent les représentants de la Culture française les plus haut placés ou les plus primés avec les pays asiatiques, les voilà donc confirmées par cette contamination au virus chinois Covid-19.
Remarquons au passage comment Dominique de Villepin a lui aussi tenu à concrétiser mes dires ou prédictions le concernant en ouvrant avec son fils une galerie à Hong-Kong.
Les natifs du Scorpion, dont il est, sont en effet concernés dans une moindre mesure par ce que je disais dans cet article du 16 février dernier à propos des Lions et Verseaux menteurs :
1°/ que Cyprien Luraghi a souvent publiquement évoqué un de ses très bons amis qui, fort en maths, est devenu trader et exerce ou a exercé à Hong-Kong durant la décennie écoulée, Arthur de Villepin y vivant lui aussi; Cyprien Luraghi dit avoir connu ce trader enfant et l’avoir « fait sauter sur ses genoux » (sic);
2°/ que sa fille Shanti Devi fréquente ou a fréquenté une demoiselle de Villepin qu’elle avait rangée parmi ses amis Facebook lorsqu’elle était étudiante en histoire de l’art à la Sorbonne, avec pour parrain le conservateur du patrimoine Alain Pougetoux, en charge du château de Malmaison, et qui en 2003 avait acheté pour son père sa maison à Puy-l’Evêque, car celui-ci étant trafiquant de drogue n’avait aucune fiche de paie qui lui aurait permis d’obtenir un quelconque crédit (voir ici : http://petitcoucou.unblog.fr/2016/04/03/cyprien-luraghi-a-de-fideles-amis-tres-riches-et-tres-genereux/);
3°/ qu’une galeriste française installée à Bangkok et parcourant aussi la Chine avec quelques Bretons comme elle et les Villepin férus d’art contemporain chinois comptait parmi les très bons amis de l’ex-psychiatre brestois et pédophile notoire Serge Rodallec qui l’ont défendu et protégé contre ses victimes françaises jusqu’à sa dernière condamnation, en 2012; j’aurai l’occasion d’en reparler et de m’étendre un peu plus à son sujet (elle m’avait laissé un commentaire et son identité sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog).
« Je n’ai vu aucun ministre, ni le président » : le ministre de la Culture Franck Riester s’exprime après sa contamination par le coronavirus
« Je n’ai eu les symptômes que ce matin », a-t-il indiqué au service politique de France Télévisions lundi soir, précisant qu’il est en « quatorzaine » chez lui.
« J’ai comme une grippe, une fièvre modérée ». Après l’annonce de sa contamination par le coronavirus Covid-19, le ministre de la Culture Franck Riester, s’est exprimé lundi 9 mars, auprès du service politique de France Télévisions.
« Je vais plutôt bien », a-t-il assuré, précisant qu’il s’est « fait testé ce [lundi] midi ». « Je me suis fait tester car j’avais des symptômes. Je ne me suis pas fait tester par précaution sans symptôme. Je suis en quatorzaine chez moi« , a expliqué le ministre de la Culture.
« Je n’ai vu aucun ministre, ni le Premier ministre, ni le président de la République depuis la semaine dernière », a-t-il affirmé, tout en indiquant avoir « restreint [sa] vie sociale à la demande de l’Assemblée nationale ». Il fait référence à un message envoyé par le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, aux personnes ayant fréquenté les lieux après l’annonce de la contamination de plusieurs députés et personnels. « J’ai ainsi annulé ma participation aux réunions publiques de ma campagne électorale pour les municipales de Coulommiers, où je suis tête de liste, qui étaient prévues ce week-end par précaution. »
L’ancien Premier ministre et son cadet s’apprêtent à ouvrir une galerie d’art à Hong-Kong, baptisée Villepin, malgré un contexte politique local et sanitaire chamboulé.
Derrière le look sage, du panache et du verbe. Arthur de Villepin, 31 ans, a vraiment de qui tenir. « On maintient l’inauguration coûte que coûte, explique le jeune homme, de passage à Paris. On veut promouvoir l’art y compris dans les moments compliqués. Parce que notre approche se veut pédagogique et pas seulement commerciale ». Le 13 mars, la galerie « Villepin » ouvrira donc ses portes dans un Hong-Kong plombé par la crise du Coronavirus et encore marqué par des mois de tumultes anti-Pékin. Le fils de l’ancien chef du gouvernement de Jacques Chirac, installé dans l’ex-colonie britannique depuis dix ans, n’en a pas moins le trac. « Avec le nom de famille sur l’enseigne, on a pas le droit de se planter ! », rigole-t-il devant son infusion à la verveine.
La première exposition est consacrée à l’artiste franco-chinois Zao Wou-Ki. Un ami intime de Dominique de Villepin jusqu’à sa disparition en 2013. Ses peintures figurent en bonne place dans la collection d’œuvres que s’est constituée l’ex-Premier ministre, féru d’art abstrait. C’est peu dire qu’Arthur de Villepin baigne dans le milieu artistique depuis l’enfance. Sa mère, Marie-Laure Viebel, est sculptrice. Sa sœur Marie peint aussi. Aux déjeuners de famille, de grands noms défilent : Soulages, Barcelo, Kiefer…
Soulages, Barcelo, Kiefer défilent aux déjeuners de famille
Rien d’étonnant à ce que le jeune entrepreneur, par ailleurs dirigeant d’une société d’export de grands vins français (dont Zao Wou-Ki a illustré les premières étiquettes), se lance sur le marché avec son père. Outre une passion commune pour la seconde école de Paris, les deux travaillent déjà en tandem dans le cadre de Villepin international, une entreprise de conseil en stratégie créée en 2015 par l’homme du « non » à la guerre en Irak. Fort de ses nombreux contacts en Chine, au Moyen-Orient ou en Afrique, Dominique de Villepin sera chargé de nouer des partenariats et de prospecter des œuvres pour la galerie, pendant qu’Arthur prendra en charge l’opérationnel. « On s’entend très bien et on est très complémentaires », se félicite ce dernier.
Et la politique, dans tout ça ? Si l’ex-étudiant en relations internationales confesse « avoir compris assez vite que ce n’était pas un monde dont (il) rêvait la nuit », il prend des accents gaullistes au moment de détailler sa conception du rôle de l’art : « Ce qu’on veut, c’est défendre une certaine idée de la culture française à l’étranger ». Mais aussi des intonations chiraquiennes : « Dans un contexte de nationalisme croissant dans le monde, l’art peut réconcilier les cultures parce qu’il remet en cause nos certitudes identitaires ».
D’ailleurs, les goûts artistiques de Jacques Chirac pourraient-ils faire l’objet d’une future exposition ? « C’est une bonne idée ! » réagit Arthur de Villepin, qui admet n’y avoir pas pensé. D’autant que le petit-fils de feu l’ancien président, Martin, travaille aussi dans une galerie d’art ». Affaire à suivre.