La ligue du LOL et les « déconnologues » de Cyprien Luraghi : une parenté évidente

J’en parlais déjà l’année dernière, et à l’époque, j’étais la seule à le signaler.

Cette année, c’est le Konducator lui-même qui en fait autant sur Twitter.

Depuis environ un mois, il se plaît à causer sur Twitter à des membres de la Ligue du LOL, principalement « Jean-Louve du Kentucky » qui lui a répondu plusieurs fois et Vincent Glad pas une seule fois, également Alexandre Hervaud.

Il tweete et retweete sur le sujet de la Ligue du LOL en y assimilant son propre groupe de « déconnologues » et s’indignant de l’ensemble des traitements qui furent réservés aux « loleurs » l’année dernière, lesquels seraient à en croire ce qu’il laisse entendre tout à fait similaires à ceux dont il se plaint pour lui-même et ses complices depuis bien plus longtemps.

Pour lui, les victimes des uns et des autres restent totalement inexistantes, personne n’aurait rien fait de mal hormis ces hommes et ces femmes qui se plaignent et dénoncent et qu’il qualifie invariablement de « no life » insensibles à l’humour et totalement « paranoïaques ».

On se demande s’il a bien lu et entendu Vincent Glad qui s’insurge précisément contre des amalgames dont il dit avoir pâti l’année dernière et jusqu’à quel point ce dernier, comme les autres « loleurs » qui se disent innocents, vont tolérer d’être assimilés à la bande de « déconnologues » du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

 

La ligue du LOL et les

 

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Quand les « déconnologues » de Cyprien Luraghi discutent viol, pédophilie et meurtre…

Ah mais c’est intéressant, ça, dites donc…

On y retrouve comme d’habitude le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi – celui-là même qui vient de montrer à tout son public ébahi comment il dessine des « troufions » dans sa purée pour se mettre en appétit… – pontifiant sur la nature humaine – la sienne, pas celle des autres… – au milieu de ses ouailles espantées, acquiesçant comme toujours bouche bée à toutes ses vérités vraies…

Pour résumer, donc : viol, pédophilie et meurtre sont des mécanismes inscrits très profondément dans sa nature « humaine » d’animal prédateur, aucun changement de mentalité ne modifiera jamais ses comportements et il poursuit toutes ses activités criminelles « en cachette » quand elles deviennent socialement dérangeantes.

 

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Conversation

Quand les
Rigobert le Rhino
@Rigobert_Rhino_
·

19h

Merde, en deux jours BHL et Bardot qui ont quelque chose de sensé et juste à dire. Nous vivons vraiment des temps bien singuliers.
Quote Tweet
Ju6Wj29n_normal dans Folie
Bernard-Henri Lévy
@BHL
· Feb 29
Que les #Cesars aient attendu que #Polanski, absent, ne puisse répondre pour le moquer, l’humilier, surjouer le dégoût et aller jusqu’à refuser de prononcer son nom, voilà qui dit bien où étaient, hier soir, les vrais « misérables».
 dans Insolent - Insolite
Caporal_Pancho
@Caporal_Pancho
·

19h

Oué enfin, je veux bien croire que ça en arrange certain·e·s, mais le viol des mineur·e·s, et il faut en informer Bardot, ne relève pas précisément de « la vie privée ».
7YjriwRb_bigger dans LCR - NPA
Rigobert le Rhino
@Rigobert_Rhino_
·

19h

Certes, mais ça ne justifie pas ce barnum.
CZa8n0Li_bigger dans Luraghi
tramontagne
@torrentcielle
·

18h

Un changement de mentalité crée toujours un barhomme.
wacpeS_-_bigger dans Pédophilie
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

18h

Ça ne changera rien du tout. Parce que ce sont des mécanismes inscrits très profondément dans ce qu’on appelle la nature humaine. Ça se fera en cachette, et pis c’est tout.
sHmHXSjD_bigger dans Perversité
Ouenja
@Ouenja
Mais quand même, des fois on peut avoir envie de tuer
ça c’est inscrit dans la nature humaine aussi
Translate Tweet
9:03 PM · Feb 29, 2020·Twitter Web App
wacpeS_-_bigger dans Politique
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

18h

Bien sûr. On est des animaux prédateurs par essence. Heureusement qu’on a un Jiminy Cricket qui nous retient parfois ;-) Enfin y en a qui hélas ont ligoté leur Jiminy…
Caporal_Pancho
@Caporal_Pancho
·

17h

Ah ben c’est clair : moi-même…

CZa8n0Li_bigger
tramontagne
@torrentcielle
·

17h

Moi aussi, je vais me calmer à dodo. biz

 

 



La DGSI poursuit un journaliste pour « compromission du secret-défense »

Je profite de cette information pour rappeler que lorsqu’au mois de juin 2010, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi a révélé à son public mon identité et toutes les « informations » (fausses pour la plupart) concernant ma vie privée que lui soufflait sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, il était conseillé par plusieurs personnes, celle-là comme des journalistes, qui tous savaient pertinemment que j’avais jadis travaillé pour la Défense nationale sur des projets classés et rêvaient depuis longtemps d’attaquer à travers moi les autorités militaires du pays et leur chef suprême, le chef de l’Etat, à cette époque Nicolas Sarkozy, sans oser le faire eux-mêmes en raison des risques encourus.

Le psychopathe Cyprien Luraghi était lui-même très bien informé à ce sujet depuis l’été 2008 au moins et je lui avais rappelé avec la publication suivante du 2 juin 2010 tous les problèmes auxquels, théoriquement, il se heurtait en s’acharnant sur moi comme il le faisait alors, menaçant déjà de faire des « révélations » fracassantes à mon sujet (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire les textes) :

 

2010-06-02 A tous ceux qui s'obstinent à m'injurier, me diffamer, me calomnier - Un petit coucou

 

Voilà pourquoi, certainement, en parallèle aux premières « révélations » publiques d’importance me concernant se préparait la sortie du premier numéro du magazine Inspire d’Al-Qaïda, support de propagande pour les attentats islamistes à venir, tandis qu’à Toulouse Mohammed Merah commençait à s’agiter et se préparer lui-même pour la première série de ces attentats, au mois de mars 2012.

Je rappelle que les premières victimes en seront des militaires. Je m’y attendais depuis un moment et avais bien repéré avec effroi la toute première dépêche AFP concernant le premier assassinat, le 11 mars 2012, craignant (avec raison) que ce ne fut cela. Je verrai par ailleurs disparaître définitivement de mes statistiques de blog mon régulier lecteur d’Auterive après l’arrestation d’Abdelkader Merah, frère du tueur. A compter de ma première publication sur ces assassinats dans le Sud-Ouest, le 18 mars 2012, celui-ci s’était mis à consulter mon blog plusieurs fois par jour. J’aurai donc dès la fin mars 2012 la quasi certitude d’avoir toujours eu pour lecteurs ces islamistes toulousains et de leurs complices, parmi lesquels un peloton de Belges comptant aussi parmi mes très réguliers lecteurs de blog, à compter de l’année 2010.

Rappelons ici que le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours vécu pour l’essentiel de trafic de drogue, d’abord entre la France et l’Afghanistan sous la couverture d’une activité de guide de trek dans l’Himalaya dans la décennie des années 1980, puis dans le Sud-Ouest à compter des années 1990.

Je ne sais comment expliquer l’énorme raté de son premier et unique interrogatoire à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011 à la suite de mes premières plaintes à son encontre, alors même qu’entrait en vigueur la loi LOPPSI 2.

Pour commencer, la policière de Brest qui m’avait interrogée le 15 février 2011 à la suite de mes premières plaintes avait refusé de joindre à ma déposition les éléments de preuve que je lui présentais, arguant que son collègue de Puy-l’Evêque irait de toute façon les rechercher sur les blogs du cybercriminel. Mais le gendarme en question n’a en définitive jamais consulté que les articles de l’unique blog public du délinquant, alors que l’essentiel de ses textes publics me concernant se trouvait dans les commentaires sur ces articles, et que les plus sensibles de ses textes me concernant étaient tous supportés par un autre blog m’étant celui-là exclusivement dédié, son blog Tique Toc ouvert en juin 2010 et devenu entièrement privé fin août 2010. S’abstenant d’interroger le mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur tous les commentaires de son blog public me concernant, il l’avait cru sur parole à propos de l’intégralité des contenus du second blog, Tique Toc, qui depuis sa fermeture au public ne supportait plus que des discussions de comploteurs à mon encontre. L’auteur de toutes les horreurs publiques de l’été 2010 sur ce blog Tique Toc (injures, diffamations et atteintes à l’intimité de la vie privée à profusion additionnées de menaces diverses, de harcèlement moral et d’un harcèlement sexuel évident), et de toutes les discussions privées qui désormais trahissaient bien d’autres infractions pénales à mon encontre, lui avait en effet déclaré tout ce blog très « propre » et ne contenant aucune « saloperie »…

J’ai publié quelques extraits de ce blog Tique Toc (pas les pires) ici, pour la journée de la femme de l’année dernière, afin que chacun puisse en juger par lui-même :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/08/juin-2010-pascal-edouard-cyprien-luraghi-ouvre-son-blog-tique-toc/

Par ailleurs, j’avais ainsi justifié en 2016 une demande de retrait de ses articles de blog où, cette année-là, il révélait encore au public mon identité, toutes mes coordonnées et bien d’autres éléments relevant de l’intimité de ma vie privée :

 

Justifiant sa demande de retrait de ces quatre articles, Madame (Petitcoucou) produit de nombreuses pièces et souligne en outre la circonstance particulière que Monsieur LURAGHI et ses amis l’ont en fait toujours harcelée pour son appartenance supposée ou réelle à l’un des services « secrets » de la République française.

Ils se plaisent à révéler les identités d’agents de l’Etat pour les mettre en danger.

Ce danger est bien réel pour Madame (Petitcoucou) qui par le passé a déjà fait l’objet de plusieurs tentatives d’assassinat en relation avec ses fonctions sur des projets classés de la Défense nationale et s’est de ce fait à plusieurs reprises retrouvée sous la protection de services spécialisés.

Ce fut notamment le cas au cours de l’année 1994.

Or, le jour même de l’interrogatoire de Monsieur LURAGHI à la gendarmerie de Puy-l’Evêque, le 14 mars 2011, était promulguée une loi renforçant la sécurité des agents que Monsieur LURAGHI recherche à travers toutes ses « enquêtes » concernant Madame (Petitcoucou).

L’article 413-13 du Code de la Défense qui en résulte est ainsi rédigé :

« Art. 413-13.-La révélation de toute information qui pourrait conduire, directement ou indirectement, à la découverte de l’usage, en application de l’article L. 2371-1 du code de la défense, d’une identité d’emprunt ou d’une fausse qualité, de l’identité réelle d’un agent des services spécialisés de renseignement mentionnés à l’article 6 nonies de l’ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaires ou de son appartenance à l’un de ces services est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende.
« Lorsque cette révélation a causé une atteinte à l’intégrité physique ou psychique à l’encontre de ces personnes ou de leur conjoint ou partenaire lié par un pacte civil de solidarité ou de leurs descendants ou ascendants directs, les peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et à 100 000 € d’amende.
« Lorsque cette révélation a causé la mort de ces personnes ou de leur conjoint ou partenaire lié par un pacte civil de solidarité ou de leurs descendants ou ascendants directs, les peines sont portées à dix ans d’emprisonnement et à 150 000 € d’amende, sans préjudice, le cas échéant, de l’application du chapitre Ier du titre II du livre II.
« La révélation, commise par imprudence ou par négligence, par une personne dépositaire soit par état ou profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire ou permanente, de l’information mentionnée au premier alinéa est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende.
« Le présent article est applicable à la révélation de toute information qui pourrait conduire, directement ou indirectement, à l’identification réelle ou supposée d’une personne comme source ou collaborateur d’un service spécialisé de renseignement. »

En vertu de ce texte, Monsieur LURAGHI est passible, au bas mot, d’une peine de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende.

Il conviendra de noter qu’aucun journal n’a jamais fait preuve de son extraordinaire témérité, puisqu’à ce jour il reste le seul à révéler l’identité de Madame (Petitcoucou) et publier cette décision de justice.

 

A la suite de son interrogatoire du 14 mars 2011, au cours duquel le gendarme l’ayant reçu à cet effet l’avait en fait laissé lui raconter tout ce qui lui chantait sans en exiger aucun justificatif, mes premières plaintes à son encontre avaient été très rapidement classées sans suite sans aucune autre mesure d’enquête et dans la foulée, le gendarme de Puy-l’Evêque avait été muté en Guadeloupe tandis que ma policière de Brest quittait carrément la police.

Des Brestois très proches des magistrats ultra CORROMPUS qui en fait auraient dû intervenir très rapidement dès le tout début au cours de l’été 2010 sont depuis passés par les sommets de l’Etat et s’y trouvent toujours pour certains.

 

 

https://www.lepoint.fr/societe/un-journaliste-dans-le-collimateur-de-la-dgsi-28-02-2020-2364909_23.php

Un journaliste dans le collimateur de la DGSI

 

VIDÉO. La direction du service français de renseignement intérieur poursuit en justice l’auteur d’un livre pour « compromission du secret-défense ».

 

Par

Modifié le 28/02/2020 à 14:20 – Publié le 28/02/2020 à 11:34 | Le Point.fr

 

On ne dévoile pas impunément « les succès » et les « ratages » du renseignement intérieur français dans la lutte antiterroriste. Pour avoir publié un livre-enquête sur les guerres de l’ombre de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), le journaliste Alex Jordanov est aujourd’hui poursuivi en justice pour « compromission du secret-défense ». Il a été convoqué, le 27 février au matin, par la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne pour interrogatoire.

Convoqué à 10 heures du matin, le journaliste n’est ressorti libre qu’en début d’après midi. « Le capitaine que j’avais en face de moi a été très courtois. Il m’a posé énormément de questions. Il m’a notamment demandé si je connaissais les textes de loi qui protègent le secret-défense. Je lui ai demandé, en retour, s’il connaissait l’article 2 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse (cette disposition concerne la protection des sources, NDLR). » Le policier a, en effet, demandé à M. Jordanov de divulguer les sources de son enquête au sein des services, ce qu’il a refusé. Cette procédure porte « directement atteinte au droit d’informer, mais également au secret des sources », a dénoncé son avocat, maître William Bourdon, dans un communiqué.

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Les enquêteurs ont multiplié les questions sur un certain Franck A. cité dans le livre: un agent qui devait ouvrir un kebab en Égypte face à une mosquée servant de point de ralliement à des personnes ciblées par les services. « Pour ce faire, la DGSI a donné 200 000 euros à l’intéressé. Or, avec cet argent, Franck a ouvert un web-café à l’autre bout du pays. Et sa hiérarchie n’était vraiment pas contente », relève Alex Jordanov. Lequel s’amuse que la police l’ait également interrogé sur un autre capitaine de l’ex-Direction Centrale du Renseignement Intérieur (devenue la DGSI): un officier surnommé dans les services « le pâtissier » car il avait passé un CAP en pâtisserie. « Je leur ai répondu que je m’étais contenté d’étoffer ce que Le Point avait publié », sourit Alex Jordanov.

Lire aussi Alex Jordanov, l’homme qui confessait les espions

Paru en avril 2019, Les Guerres de l’ombre de la DGSI, plongée au cœur des services secrets français, le livre incriminé, raconte des dizaines d’opérations visant à la fois les milieux islamistes et des cellules d’espionnage, notamment russes, dans notre pays. « Nous ne visions qu’à apporter au grand public des éléments de compréhension des difficultés d’adaptation et de mutation de la DGSI face à la menace terroriste. Et nous avions bien fait attention à ne dévoiler aucune donnée susceptible de mettre en danger des agents ou des opérations en cours », précise Yannick Dehée. C’est ainsi qu’un chapitre consacré à une mission visant des agents étrangers opérant sur le sol français, qui figurait au manuscrit initial, a finalement été retiré.

Manœuvre d’intimidation ?

« Cette procédure s’inscrit dans une logique d’intimidation à l’égard des journalistes d’investigation en France depuis plusieurs années », dénoncent d’une même voix Me Bourdon et son éditeur, Yannick Dehée (Nouveau Monde). La DGSI avait déjà convoqué, en mai dernier, huit journalistes ayant enquêté sur les conditions dans lesquelles la France avait livré des armes françaises au Yémen. Une journaliste du Monde ayant enquêté sur l’affaire Benalla avait également été questionnée par des enquêteurs de la DGSI.

Ces convocations avaient été dénoncées par une vingtaine d’associations et de syndicats comme représentant une atteinte à la liberté de la presse. Fin janvier, le parquet de Paris avait d’ailleurs fini par classer sans suite l’enquête pour « compromission du secret de la défense nationale » concernant les révélations sur les livraisons d’armes au Yémen.

Une caméra chez un journaliste ?

Il y a cependant une atteinte « plus grave encore », explique Alex Jordanov. Le journaliste affirme que « (s)on domicile a fait l’objet en son absence, fin 2019, d’une visite frauduleuse (sans effraction), d’évidence à des fins de collecte d’informations sur (s)on ordinateur ». Il est apparu qu’une caméra miniature avait été installée dans un couloir à l’insu de M. Jordanov. « Cette caméra qui ne disposait pas de carte mémoire, a été remise à la police », expliqué l’intéressé qui a porté plainte.

« J’ai appris avec surprise qu’un magistrat pouvait autoriser ce genre de « visites » dans le cadre des nouvelles techniques de renseignement. Avant, les agents, conscients de l’illégalité d’une telle action, disaient qu’ils « rentraient à la mexicaine ». Mes amis journalistes américains à qui j’ai raconté l’épisode me disent que la France ressemble de plus en plus au Congo », grince le journaliste. Son éditeur Yannick Dehée déclare qu’« il y a tout lieu d’être préoccupé si, dans la France actuelle, on use, à l’égard des journalistes enquêtant sur les éventuels dysfonctionnements de l’État, de moyens d’action qui semblaient jusqu’ici réservés aux terroristes ».

L’interrogatoire de M. Jordanov intervient au moment où se tient à Londres le procès de Julian Assange, dont les États-Unis demandent l’extradition et qui encourt 175 années de prison, pour avoir publié sur le site WikiLeaks des données que Washington estime confidentielles. Yannick Dehée indique qu’il ne retirera pas de la vente l’ouvrage d’Alex Jordanov, sauf à y être contraint par une décision de justice.

La DGSI poursuit un journaliste pour

Les Guerres de l’ombre de la DGSI, plongée au cœur des services secrets français, d’Alex Jordanov, Nouveau Monde éditions, 296 pages, 19,90 €.

 



Coronavirus à Brest, menace internationale « très élevée », merci mon Dieu !

Je ne devrais pas me réjouir, c’est sérieux : des tas de gens en souffrent déjà, d’autres sont morts et cela va continuer.

Et pourtant, quoique mal foutue comme dit précédemment, je me sens vraiment libérée d’un poids énorme : au moins le temps de cette première vague d’épidémie, voire de pandémie, je ne risque plus trop d’être atteinte par les « contacts » physiques non sollicités que mes harceleurs Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, Jean-Marc Donnadieu de Béziers, leur cheftaine la mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous leurs complices « déconnologues » et autres s’ingénient par tous les moyens à provoquer à mon encontre depuis une bonne dizaine d’années pour les deux premiers et beaucoup plus pour la troisième.

Du coup, je me sens pousser une paire d’ailes toutes neuves et vais faire brûler un cierge pour mon Dieu Coronavirus.

 

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/coronavirus-premier-cas-confirme-bretagne-brest-1792817.html

DIRECT. Coronavirus : “deux nouveaux cas suspects en Bretagne” annonce l’Agence régionale de Santé

 

Stéphane Mulliez, directeur de l'ARS Bretagne fait le point sur le Coronavirus dans la région / © T. Bouilly - France Télévisions

Stéphane Mulliez, directeur de l’ARS Bretagne fait le point sur le Coronavirus dans la région / © T. Bouilly – France Télévisions

 

Un premier cas de Coronavirus confirmé a été relevé en Bretagne, à Brest. Un homme âgé de 72 ans est actuellement hospitalisé au CHU, en réanimation. L’Agence régionale de santé a tenu une conférence de presse ce vendredi en précisant que deux nouveaux cas suspects ont été identifiés.

Par E.C & L.H Publié le 28/02/2020 à 07:56 Mis à jour le 28/02/2020 à 17:43

Stéphane Mulliez directeur général de l’ARS Bretagne s’est exprimé ce vendredi 28 février à la suite du premier cas de Coronavirus confirmé et l’évolution de la situation dans la région.

Le patient hospitalisé à Brest dans un état stable

« Le patient breton atteint du coronavirus est hospitalisé au CHRU de Brest en réanimation médicale. Son état de santé est stable. Son épouse qui a voyagé avec lui en Egypte est également hospitalisée à Brest dans le service des maladies infectieuses pour être diagnostiquée » affirme Stéphane Mulliez.

Le CHU de Brest accueille un cas confirmé de Coronavirus. Une cellule de crise a été mise en place indique l'Agence Régionale de Santé au sein de l'établissement hospitalier / © S. Ben Cherifa - France Télévisions

Le CHU de Brest accueille un cas confirmé de Coronavirus. Une cellule de crise a été mise en place indique l’Agence Régionale de Santé au sein de l’établissement hospitalier / © S. Ben Cherifa – France Télévisions

« L’ARS et Santé publique France ont établi une liste des personnes ayant été en contact étroit avec eux pour procéder à leur surveillance« .

De nouveaux cas suspects

« Deux nouveaux cas suspects ont été identifiés en Bretagne. Des tests sont actuellement effectués à Rennes pour diagnostiquer s’il s’agit de cas confirmés ou non. Les résultats sont attendus dans la journée« .
« Plusieurs dizaines de cas possibles ont été infirmées. A l’heure actuelle, seul le patient de Brest est un cas confirmé de coronavirus« .

Quelle organisation sanitaire en Bretagne ? 

« Deux établissements bretons dits de premier rang sont en capacité de prendre en charge les cas confirmés de patients atteints du coronavirus. Les CHU de Rennes et de Brest ».

« Les centres hospitaliers de Vannes, Saint-Brieuc, Lorient et Quimper sont des établissements de deuxième rang. Ils sont armés pour, si besoin, prendre aussi en charge les patients contaminés ».

« Nous finalisons des tests au CHRU de Brest pour que l’établissement puisse procéder lui-même à des diagnostics« .

Revoir la conférence de presse de l’ARS Bretagne, en intégralité

Climat particulier à Plougonvelin

Le patient hospitalisé au CHRU de Brest, contaminé par le coronavirus, est originaire de Plougonvelin. Dans la commune, située à une vingtaine de kilomètres de Brest, les habitants n’ont pas tous accueilli la nouvelle de la même manière.

Plusieurs d’entre eux affirmaient continuer à « vivre normalement« , comme l’explique une habitante qui promenait son chien dans la rue cet après-midi. Une attitude sereine qui contraste avec l’inquiétude de certains, bien plus préoccupés par la situation.

Selon nos informations, la mairie de Plougonvelin a reçu ce vendredi « une quinzaine d’appels » de la part de personnes résidant en la commune. Ces dernières cherchaient à savoir quel comportement adopter et quelle procédure suivre aujourd’hui pour éviter toute contamination.

Mais l’homme hospitalisé aurait déjà pris des précautions lors de son retour d’Egypte, il y a quelques jours. Selon les informations recueillies par nos journalistes de France 3 aux alentours de Brest, le septuagénaire, se sentant mal lors de son retour de voyage, se serait lui-même isolé dans son logement. En demandant même à la femme de ménage qui passait d’habitude chez lui de ne pas venir pour éviter une propagation d’une quelconque maladie. Les analyses révéleront finalement que l’homme est contaminé par le coronavirus.

Un premier cas identifié jeudi

L’Agence régionale de Santé (ARS) et le Ministère de la Santé annoncent un premier cas de Coronavirus confirmé en Bretagne. Le patient est actuellement hospitalisé dans le service de réanimation du CHU de Brest. Il s’agit d’un homme âgé de 72 ans qui a récemment séjourné en Egypte, dans le cadre d’un voyage organisé. Selon l’ARS, « les investigations ont immédiatement commencé pour déterminer la source de cette contamination. »

Une enquête est également en cours pour identifier l’ensemble des personnes ayant été en contact avec ce patient, y compris parmi le personnel soignant. « Une cellule de crise a été immédiatement mise en place au CHRU de Brest. » 

Conformément au protocole prévu, si les sujets contacts proches de ce patient présentent des symptômes de type fièvre, toux et difficultés respiratoires, des prélèvements sont alors effectués à des fins de détection d’une éventuelle présence du virus. L’ARS rappelle :  « En l’absence de signes cliniques, un isolement à domicile doit être observé pendant 14 jours. Dans ce cas, l’ARS appelle quotidiennement ces personnes pour suivre l’évolution éventuelle des signes cliniques. »

La rentrée scolaire approche, des précautions à prendre

Alors que la rentrée doit avoir lieu lundi prochain, le rectorat invite toutes les personnes revenant des zones à risques (Chine continentale, Hong Kong, Macao, Singapour, Corée du Sud et les régions de Lombardie et de Vénétie en Italie) à rester confinées à leur domicile durant les 14 jours suivant leur retour. Cette consigne s’applique particulièrement aux élèves scolarisés ou aux enfants des crèches.

38 cas en France

« Nous faisons face à une augmentation sensible du nombre de cas sur notre territoire. » 38 cas ont été recensés ce 27 février à 19 h, par le Ministère de la Santé. Le gouvernement tient à rassurer : « Notre système de santé est prêt. Nous ne sommes pas en réaction puisque nous sommes depuis des semaines dans l’anticipation. Nous avons et nous garderons un temps d’avance. » « 138 établissements hospitaliers sont prêts à recevoir des malades. »
En France, deux patients sont décédés à la suite de cette maladie dont un originaire de l’Oise, âgé de 60 ans.

La carte des cas de Coronavirus en France

Dans une carte, France Inter rend compte des contaminations, des guérisons et des décès.

Un numéro vert gratuit est à la disposition de toutes personnes souhaitant des informations non médicales : le  0 800 130 000.

 

 

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-l-oms-qualifie-la-menace-de-tres-elevee-son-niveau-le-plus-haut-6757331

Coronavirus. L’OMS qualifie la menace de « très élevée », son niveau le plus haut

 

L’Organisation mondiale de la santé a relevé le niveau de la menace internationale que fait planer le Covid-19. Le nouveau coronavirus a déjà contaminé plus de 80 000 personnes et fait près de 3 000 morts.

 

Une carte des cas de coronavirus dans le monde, présentée par l’Organisation mondiale de la santé.
Une carte des cas de coronavirus dans le monde, présentée par l’Organisation mondiale de la santé. | DENIS BALIBOUSE / REUTERS

 

Ouest-France avec AFP. Publié le 28/02/2020 à 17h19

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé, ce vendredi 28 février 2020, avoir porté à très élevé, son degré le plus haut, le niveau de menace liée au nouveau coronavirus, qui a contaminé quelque 79 000 personnes en Chine et plus de 5 000 dans le reste du monde.

L’augmentation continue du nombre de cas, et le nombre de pays touchés ces derniers jours sont clairement préoccupants, a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, en conférence de presse.

Nos épidémiologistes ont suivi ces développements en permanence et nous avons maintenant augmenté notre évaluation du risque de propagation et du risque d’impact du Covid-19 à un niveau très élevé au niveau mondial, son niveau le plus haut, a-t-il ajouté.

Il a également indiqué que plus de 20 vaccins sont en cours de développement dans le monde et plusieurs produits thérapeutiques sont en cours d’essais cliniques. Les premiers résultats sont attendus dans quelques semaines, a-t-il détaillé.

Près de 3 000 décès

Si la Chine était jusqu’à peu l’unique foyer mondial de coronavirus, le risque s’est démultiplié avec l’émergence de nouveaux pays-sources comme la Corée du Sud, l’Iran et l’Italie. Une cinquantaine de pays sont désormais touchés, selon l’OMS.

En Chine, d’où est partie l’épidémie fin décembre, le virus a tué 2 791 personnes. Dans le reste du monde, 67 personnes en sont décédées, selon l’agence spécialisée de l’ONU.

Ce que nous voyons actuellement, ce sont des épidémies liées au Covid-19 dans plusieurs pays, mais la plupart des cas peuvent encore être attribués à des contacts connus ou à des groupes de cas, a relevé le patron de l’OMS.

La clé pour contenir ce coronavirus est de briser les chaînes de transmission, a-t-il dit.

Pas au stade de la pandémie

Bien que l’OMS ait élevé le niveau de la menace à l’international, l’organisation ne considère pas qu’il s’agisse d’une pandémie.

Une pandémie est une situation dans laquelle tous les citoyens sont exposés, ce qui n’est pas le cas actuellement, a expliqué aux journalistes le directeur des programmes d’urgence de l’OMS, le Dr. Michael Ryan.

S’il s’agissait d’une épidémie de grippe, nous aurions parlé de pandémie, mais dans le cas du nouveau coronavirus, nous avons constaté qu’avec des mesures d’endiguement, le cours de l’épidémie peut être arrêté de manière significative, a-t-il dit.

 



Des vidéos américaines tournées à Brest après les bombardements, en 1944

 

 

Petit intermède sur ma ville, avec ces vidéos très émouvantes, au moins pour moi qui cherche à comprendre comment et pourquoi, aujourd’hui, on y assassine au vu et au su de tous des familles entières d’ingénieurs aux noms bretons.

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/recit-un-chercheur-americain-deterre-des-videos-impressionnantes-de-brest-detruite-en-1944-6753895

RÉCIT. Un chercheur américain déterre des vidéos impressionnantes de Brest détruite en 1944

 

Ces images sont impressionnantes. Elles dormaient dans les archives nationales américaines. Un doctorant américain, Jeff Nichols, en partage des extraits sur son compte Twitter. On y voit des vidéos de Brest (Finistère), totalement détruite, après le siège des Américains, qui a duré 43 jours. C’était en 1944.

 

Un soldat américain face à deux femmes.
Un soldat américain face à deux femmes. | DR/CAPITAINE CLAXTON RAY

 

Ouest-France Gaëlle COLIN. Publié le 26/02/2020 à 11h00

 

« De Brest, dont il ne restait rien », comme l’écrivait Jacques Prévert. Cette phrase colle on ne peut mieux avec ces vidéos numérisées qui dorment dans les archives américaines. On y voit Brest (Finistère) complètement ravagée. Ces films-là documentent le siège de la cité du Ponant par les Alliés. 43 jours, où libération rime avec explosions. Les Allemands se sont rendus le 18 septembre 1944….

RÉCIT. Un chercheur américain déterre des vidéos impressionnantes de Brest détruite en 1944

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D’autres vidéos ici :

https://twitter.com/backwards_river/status/1217161321327648769

 



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