Attaques informatiques contre Rue89 : chacun son tour !

Plusieurs médias apportent leur soutien au site d’information Rue89, victime d’attaques informatiques de la part d’un personnage aux méthodes que Pierre Haski qualifie de « fascistes » après en avoir goûté durant seulement huit jours  !

Ce sont à peu près les mêmes que celles du cyberdélinquant Cyprien Luraghi, qui avec sa bande de « déconnologues » et membres du NPA, dont la cheftaine de Brest, une criminelle de haute volée, sont les auteurs d’incroyables attaques et « saloperies » à l’encontre de divers autres internautes, notamment des victimes de harcèlement moral repérées sur le site Rue89 après que ses journalistes aient suscité leurs témoignages à ce sujet… en 2008 !

Je fais partie de ces malheureuses victimes.

Or, six ans plus tard, mon calvaire n’est toujours pas fini, les exactions continuent…

Dans ces conditions, je ne soutiens pas Rue89 qui ne m’a jamais soutenue contre cette bande de délinquants et criminels qui pour la plupart résident sur le territoire français et seraient très faciles à appréhender avec un peu de bonne volonté, pour peu que quelques soutiens sérieux daignent se manifester.

 

http://lexpansion.lexpress.fr/actualites/1/actualite-economique/attaques-informatiques-contre-rue89-le-monde-et-le-nouvel-observateur-solidaires_1565336.html

Paris

 

Attaques informatiques contre Rue89 : le Monde et le Nouvel Observateur solidaires

 

Par AFP, publié le 10/08/2014 à 18:37, mis à jour à 18:37

Paris – Les rédactions des groupes Le Monde et Nouvel Observateur ont apporté dimanche leur soutien au site d’information Rue89 qui a fait l’objet d’attaques de la part d’un hacker situé en Israël ces derniers jours.

Attaques informatiques contre Rue89 : le Monde et le Nouvel Observateur solidaires

Le président du site d’information Rue89, Pierre Haski en 2011 à Parisafp.com/Alexander Klein

« Ces méthodes inqualifiables remettent en cause très gravement la liberté d’information » indiquent dans un communiqué les directeurs de la rédaction des magazines Courrier International, La Vie, Télérama et du quotidien Le Monde (groupe Le Monde) ainsi que du Nouvel Observateur et de Rue89 (groupe Nouvel Observateur).

« Nous ne céderons ni à l’intimidation, ni au chantage, ni aux menaces, et réaffirmons notre soutien total et notre solidarité à la rédaction de Rue89 » ajoutent-elles.

Rue89 a annoncé avoir porté plainte à deux reprises après plusieurs attaques menées contre le site, dont certaines ont été revendiquées par Grégory Chelli, qui se présente comme un hacker franco-israélien.

Ces actes de piratage ont paralysé temporairement le site à plusieurs reprises.

La première attaque est survenue dans la foulée de la publication, mardi 29 juillet, d’un article consacré aux méthodes du hacker franco-israélien Ulcan, de son vrai nom Grégory Chelli, un ancien membre de la Ligue de défense juive (LDJ).

Ce dernier a revendiqué les attaques sur son compte Twitter et dans une vidéo postée sur YouTube.

Selon Pierre Haski, président de Rue89, une information judiciaire devrait être ouverte prochainement, « ce qui pourrait activer la coopération entre les polices française et israélienne« .

« Un grand merci aux rédactions des groupes Le Monde et Nouvel obs pour leur soutien. Ca fait chaud au coeur face aux attaques contre #Rue89 » a twitté Pierre Haski (@pierrehaski) dimanche après-midi.

Par Attaques informatiques contre Rue89 : chacun son tour ! dans Folie fpa

 

http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/08/07/rue89-dans-le-viseur-de-l-ex-ldj-ulcan_1077136
 

Rue89 dans le viseur de l’ex-LDJ «Ulcan»

 

Eric LANDAL 7 août 2014 à 19:36

 

Une capture d'écran du site de Rue89, jeudi.

Une capture d’écran du site de Rue89, jeudi. (Photos WWW.RUE89.NOUVELOBS.COM)
 

Web . Le «troll» franco-israélien, qui revendique avoir hacké plusieurs fois le pure-player et harcelé le journaliste qui a dressé son portrait, fait l’objet de plaintes judiciaires.

 

C’est un homme seul, pirate informatique de son état, qui défie tous ceux qu’il considère comme des ennemis d’Israël. Dans son édition du 31 juillet,Libération s’intéressait à «Ulcan», en réalité Grégory Chelli, un hacker franco-israélien semant la zizanie, voire pire, dans la sphère numérique propalestinienne. Et pas seulement. Le site Rue89 a porté plainte mercredi contre toutes les attaques dont il est l’objet de la part de ce sinistre individu.

Basé à Ashdod, dans le sud de l’Etat hébreu, ce trentenaire, ex-membre de la Ligue de défense juive (LDJ), se qualifie comme «un soldat du sionisme» et signe systématiquement ses hacks par le texte suivant : «Stoppez vos mensonges à propos d’Israël ! Nous avons le droit de nous défendre ! Nous préférons vos condamnations à vos condoléances ! Nous possédons un seul petit pays, 0,3% du Moyen-Orient ! Qui sont les colons ? Big up à nos soldats et aux habitants du Sud.»

Canulars. Après avoir piraté les sites de fédérations locales du NPA, du PCF et du Front de gauche, Ulcan est passé à la vitesse supérieure, fin juillet, en s’attaquant au pure-player Rue89, coupable, selon lui, d’avoir «menti» en lui tirant le portrait.

L’article, pourtant, se voulait très factuel. Le journaliste, Benoît Le Corre, y égrenait le passé de nervi de Chelli, condamné en France à de la prison avec sursis pour le saccage en 2009 de la librairie militante Résistances à Paris (XVIIe arrondissement). Le Corre évoque également la technique mise en place par Chelli pour surcharger les sites et, ainsi, les rendre hors service pour de longues heures : «Ulcan envoie une multitude de requêtes, ce qui finit par embrouiller les serveurs. On appelle ça une attaque par déni de service (DDOS).»

Aux yeux de Chelli, c’en est donc déjà trop. Outre planter quatre fois Rue89 en moins d’une semaine (ainsi que le site de RSF jeudi qui avait publiquement apporté son soutien au média), le hacker s’en prend personnellement à Benoît Le Corre et à ses parents qu’il menace par téléphone. Fier de son œuvre, Chelli poste ses appels, qu’il enregistre minutieusement sur Violvocal, un site de canulars pathétiques qu’il anime avec quelques proches. Libération a pu écouter le contenu de ces enregistrements absolument abjects, dans lesquels Chelli fait croire aux parents de Benoît Le Corre que leur fils est décédé. Dans les jours qui ont suivi, les parents du journaliste ont subi de nouveaux canulars, tous plus abominables les uns que les autres .

Mercredi, Pierre Haski, l’un des fondateurs de Rue89, est monté au créneau en publiant un texte dénonçant les agissements de Grégory Chelli : «Disons-le clairement, les attaques dont notre site a fait l’objet, tout comme le harcèlement dont sont victimes notre journaliste et sa famille, sont de nature fasciste. Ils constituent une manière violente, même si elle est « virtuelle », de museler un média et de tenter d’intimider un journaliste […]. Les attaques dont nous faisons l’objet sont l’affaire de tous, les journalistes aujourd’hui menacés, les citoyens qui en font les frais, l’Etat censé faire respecter les lois.» Rue89, ainsi que Benoît Le Corre en son nom propre, ont déposé plainte. La brigade de lutte contre la délinquance astucieuse et la cybercriminalité a été saisie par le parquet de Paris. Pierre Haski s’insurge tout de même contre l’impunité dont Chelli continue de bénéficier : «C’est insensé ce qui se passe. Vu que la France ne dispose pas de convention d’extradition avec Israël, Chelli se croit tout permis et se glorifie de ses saloperies. J’en suis venu à appeler l’ambassade d’Israël pour leur demander d’intervenir. Ils m’ont répondu qu’il y avait une excellente coordination entre les polices française et israélienne…»

«Appuis». Mercredi, Ulcan a posté sur son fil Twitter des codes d’accès pour pénétrer sur le back-office de la Datar, le portail d’aménagement du territoire, un site du… gouvernement français. Dans la semaine, il a également publié l’intégralité des mentions au fichier Stic (Système de traitement des infractions constatées) de Dieudonné et Alain Soral, ainsi que leurs casiers judiciaires. Pour les obtenir, Chelli téléphone aux brigadiers détenteurs des codes d’accès aux bases de données de la police en se faisant passer pour un officier de la brigade anticriminalité (BAC) des Lilas (Seine-Saint-Denis). Selon une source judiciaire, Chelli pourrait bénéficier d’une taupe dans la police car il semble extrêmement bien renseigné : «Lors de ses canulars, il invoque des brigades réelles, il parle même de la TN812, c’est un code d’identification interne des différentes équipes. Sans verser dans la parano totale, c’est-à-dire qu’il ne collabore pas avec le Mossad, je pense que l’on peut quand même légitimement s’interroger sur d’éventuels appuis.»

Enfin, Ulcan pourrit l’existence de Sihem Souid, chargée de mission au service de l’accès au droit et de l’aide aux victimes de la chancellerie. Sur Twitter, cette dernière s’en prend régulièrement à la LDJ. Chelli, après l’avoir menacé à plusieurs reprises, a publié mercredi l’adresse de son domicile dans le Val-de-Marne. Avec ce tweet : «Pupute est actuellement en vacances. Début des OP [des opérations, ndlr] dès qu’elle rentre.»

Eric LANDAL

 

http://www.liberation.fr/societe/2014/07/30/ulcan-du-hacker-au-harceleur_1073088
 

«Ulcan», du hacker au harceleur

 

Willy LE DEVIN et Dominique ALBERTINI 30 juillet 2014 à 19:56

 

ENQUÊTE

Le Franco-Israélien Grégory Chelli pirate les sites propalestiniens et s’attaque à ceux qu’il estime hostiles.

 

Depuis plusieurs jours, les sites des partis et associations soutenant la Palestine en France sont pris d’étranges convulsions. Mardi matin, la page d’accueil de la section Maine-et-Loire du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) exhibait un grand portrait de Khaled Mechaal, le leader politique du Hamas. Quelques minutes plus tard, c’est un drapeau israélien qui barrait le site avec cette mention : «Hacked by Ulcan.» Outre le NPA, des sites du Front de gauche et du Parti communiste ont subi les mêmes désagréments, ainsi que Rue89, qui a été bloqué pendant plusieurs heures.

Derrière ce pseudo, Ulcan, se cache Grégory Chelli, un hacker franco-israélien, ancien membre de la Ligue de défense juive. Selon ses tweets, il serait désormais basé à Ashdod, en Israël, après un court passage par la Roumanie, autre paradis des pirates informatiques.

Soldat. A chaque hacking, Chelli se glorifie par ce petit texte : «Stoppez vos mensonges à propos d’Israël ! Nous avons le droit de nous défendre ! Nous préférons vos condamnations à vos condoléances ! Nous possédons un seul petit pays, 0,3% du Moyen-Orient ! Qui sont les colons ? Big up à nos soldats et aux habitants du Sud.» Principal fait d’armes de celui qui se vit comme un soldat du sionisme : avoir piraté le site du polémiste Dieudonné. Dans un texte publié mercredi sur Violvocal, son site de tchat pour adeptes des canulars trash en tous genres, Chelli affirme avoir décidé d’entrer à la LDJ «pour trouver des alliés afin d’éliminer les têtes des JKS [Jeunesse Kémi Seba, ancien mouvement du leader suprémaciste noir]».

Beaucoup plus grave, Ulcan profère des menaces extrêmement sérieuses à l’encontre de ceux qui enquêtent à son sujet. Mardi, à 19 heures, Rue89 a publié un papier sur les moyens utilisés par Chelli pour hacker les sites. A chaque fois, il utilise les mêmes procédés : il repère les portails utilisant le logiciel Spip et profite d’une faille de sécurité pour s’attribuer le contrôle total du site. Sinon, il surcharge les sites en attaquant en DDos. Des méthodes efficaces, puisque trente minutes après la publication du papier, le pure-player était hors-service… Pire, Ulcan a téléphoné à plusieurs reprises à l’auteur du papier pour le menacer. Puis, il a contacté ses parents et leur a fait croire, dans une discussion de douze minutes absolument abjecte, que leur fils était décédé. Rue89 va déposer plainte. Dominique Cochain, avocate de plusieurs associations propalestiniennes en France, connaît bien Chelli : «Cela fait déjà plusieurs années qu’il use de ce mode opératoire. Je conseille souvent à mes clients d’aller écouter sa voix préalablement sur Internet pour ne pas tomber dans le panneau lorsqu’il appelle. Il se fait à chaque fois passer pour un officier de police.»

Cercueil. Ces derniers jours, plusieurs personnalités dénonçant les actions de la LDJ ont ainsi été intimidées ou menacées de mort : l’universitaire Pascal Boniface, la chargée de mission au ministère de la Justice Sihem Souid, le rappeur Kamelancien, le blogueur d’Al-Kanz Fateh Kimouche. De multiples plaintes ont été déposées. Un journaliste de Libération a reçu une lettre signée LDJ avec un cercueil comportant ses initiales dessinées dessus. Les policiers de la Brigade de répression de la délinquance sur la personne (BRDP), chargés des investigations, confient, las : «A chaque fois qu’il y a des éclats entre Israël et le Hamas, nous sommes saisis d’enquêtes de ce type. Il n’y a pas de demi-mesure chez certaines personnes parlant de ce conflit. C’est du délire.»

Willy LE DEVIN et Dominique ALBERTINI



Plus de 10000 visites au compteur du Petitcoucou, merci Fuzhou !

Il se produit ce week-end un phénomène assez curieux qui a débuté vendredi en fin de journée et vient, ce dimanche matin, de faire grimper le compteur de visites public de ce blog à plus de 10 000 au total depuis sa création il y a quatre mois et une semaine, c’est-à-dire que ce nombre a quasiment doublé en moins de 48 heures.

Cet afflux soudain de visites concerne un seul et même article, celui-ci, publié le 11 juillet 2014 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/07/11/affaire-meric-front-de-gauche-et-violation-du-secret-medical/

Par ailleurs, mes statistiques de blog n’en sont pas énormément modifiées.

Certes, les compteurs de visites et hits primaires ont bien fait un bond prodigieux depuis vendredi soir, mais en parallèle, les nombres de visiteurs et visiteurs uniques quotidiens n’augmentent absolument pas.

De plus, le ou les visiteurs en nombre restreint qui s’excitent sur cet article du 11 juillet 2014 proviennent tous de la même localité chinoise, Fuzhou, capitale de la province de Fujian, dans le Sud, au coeur du foyer chinois de la culture du riz.

Cela m’évoque inévitablement les habitudes et le profil très particuliers de celui de mes harceleurs et calomniateurs de la bande de cyberdélinquants du psychopathe Cyprien Luraghi qui répond au pseudonyme de Homere.

Ce Français originaire de l’Hérault réside en Thaïlande où il fait des affaires notamment dans l’hôtellerie et la culture du riz.

Egalement, faisant régulièrement l’apologie du terrorisme d’extrême-gauche dans ses écrits publics, il se revendique bras armé du Nouveau Parti Anticapitaliste en Thaïlande.

Il m’en veut à mort depuis qu’en 2008 j’ai fait connaître à quelques lecteurs du site Rue89 les articles de Ouest France et du Télégramme relatifs aux premières condamnations de l’ancien psychiatre brestois et pédophile Serge Rodallec.

Ce dernier avait disparu de la région brestoise à l’automne 2005, à la suite d’une troisième plainte d’un de ses anciens patients pour viols ou agressions sexuelles.

Il avait été condamné deux fois en première instance en son absence en fin d’année 2007, et ne sera retrouvé qu’en début d’année 2010, en Thaïlande où il s’était exilé et vivait sous un faux nom.

Il a depuis lors vu confirmer ses condamnations de 2007 quatre fois, en première instance en sa présence, et en appel.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fuzhou

Fuzhou

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Fuzhou
福州
Image illustrative de l'article Fuzhou
Administration
Pays Drapeau de la République populaire de Chine Chine
Province Fujian
Statut administratif Ville-préfecture
Code postal Ville : 3500001
Code aéroport FOC
Indicatif 05911
Démographie
Population 7 115 370 hab.
Densité 593 hab./km2
Géographie
Coordonnées 18px-Geographylogo.svg dans Crime26° 04′ 00″ Nord 119° 18′ 00″ Est
Superficie 1 200 000 ha = 12 000 km2
Divers
PIB total 147,6 milliards de yuans (2005)
PIB par habitant 22 301 yuans (2005)
Localisation

Géolocalisation sur la carte : Chine

Voir la carte topographique de Chine

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Fuzhou
modifier Consultez la documentation du modèle
 dans Folie

magnify-clip dans LCR - NPA

Une vue de Fuzhou

Fuzhou (福州 ; pinyin : Fúzhōu ; EFEO : Fou-Tchéou ; Wade-Giles : Fu-chou) est la capitale de la province chinoise du Fujian. La ville-préfecture comptait, lors du recensement de 2010, 7 115 370 habitants dont 4 408 076 habitants urbains, soit 61.95% de la population totale, tandis que la population rurale était de 2 707 294 habitants, soit 38.05%.

Elle se trouve à l’embouchure du Min Jiang, la principale voie navigable de la province. C’est la grande ville chinoise la plus proche de Taipei, elle en est séparée par le détroit de Formose. Depuis que la ville a été ouverte aux investissements étrangers en 1984, de nombreuses entreprises taïwanaises se sont installées.

La ville doit aux influences océaniques et à son climat subtropical une luxuriante végétation. On y parle le dialecte de Fuzhou du min. Paul Claudel y fut consul de 1899 à 1905 et y écrivit une partie de son œuvre.

Économie

En tant que capitale et centre de distribution des marchandises de la province, Fuzhou est une vitrine pour les échanges commerciaux avec Taïwan. Dès l’établissement de la zone d’expérimentation, 830 projets agricoles représentant un investissement de 930 millions de $US de capitaux étrangers ont été mis en valeur.

La culture des légumes à caractère spécial, celle des légumes pour les plats raffinés et celle des légumes écologiques forment les travaux-clés du développement agricole de Fuzhou. La ferme agricole modèle du détroit Hongkuan à Fuqing et le parc agronomique et écologique moderne Sanhua du Fujian se consacrent à cette culture.

À Fuzhou, il y a beaucoup d’entreprises à capitaux taïwanais qui s’installent dans la zone d’expérimentation.

En 2005, le PIB total a été de 147,6 milliards de yuans, et le PIB par habitant de 22 301 yuans2.

Subdivisions administratives

La ville-préfecture de Fuzhou exerce sa juridiction sur treize subdivisions – cinq districts, deux villes-districts et six xian :

  • le district de Gulou – 鼓楼区 Gǔlóu Qū ;
  • le district de Taijiang – 台江区 Táijiāng Qū ;
  • le district de Cangshan – 仓山区 Cāngshān Qū ;
  • le district de Mawei – 马尾区 Mǎwěi Qū ;
  • le district de Jin’an – 晋安区 Jìn’ān Qū ;
  • la ville de Fuqing – 福清市 Fúqīng Shì ;
  • la ville de Changle – 长乐市 Chánglè Shì ;
  • le xian de Minhou – 闽侯县 Mǐnhòu Xiàn ;
  • le xian de Lianjiang – 连江县 Liánjiāng Xiàn ;
  • le xian de Luoyuan – 罗源县 Luóyuán Xiàn ;
  • le xian de Minqing – 闽清县 Mǐnqīng Xiàn ;
  • le xian de Yongtai – 永泰县 Yǒngtài Xiàn ;
  • le xian de Pingtan – 平潭县 Píngtán Xiàn.

Jumelages

Notes et références

  1. a et b (en) Codes postaux et téléphoniques du Fujian [archive], (en) China Zip Code/ Telephone Code, ChinaTravel [archive]
  2. (en) Market Profiles on Chinese Cities and Provinces [archive] (actualisation 11/2006)

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Fuzhou, sur Wikimedia Commons
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v · d · m

Subdivisions de niveau district de la préfecture de Fuzhou

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v · d · m

Subdivisions de niveau préfecture du Fujian



Sur mon état de santé

A compter du mois de mars 2009, dans ses divers écrits publics me concernant sur les différents sites où il s’exprime, le mythomane Cyprien Luraghi n’a cessé de me prêter des comportements et propos internétiques qui n’ont jamais été les miens, tout en me traitant de folle et m’attribuant aussi des maladies mentales ou des troubles psychiatriques dont je n’ai jamais été atteinte.

En vérité, comme il n’a de même cessé de le répéter dans ces écrits publics, il avait décidé de me faire exclure de tout site où je m’exprimais anonymement sur Internet, et me traquait, me harcelait, me calomniait absolument partout à cet effet.

Cet individu se prétend « antifasciste ». Il dit faire la chasse aux « fafs » sur Internet comme d’autres la font dans la rue.

Il semble qu’il ait pu me repérer sur le site d’information Rue89, premier lieu où il m’ait harcelée, dès mon inscription ou mes premiers commentaires sur ce site, en début d’année 2008, et me surveiller silencieusement durant plusieurs mois avant de se mettre à m’attaquer franchement.

Quoi qu’il en soit, au cours de l’été 2010 il a bien écrit sur un de ses blogs en montrant à ses lecteurs un extrait de discussion étayant ses dires que d’après lui, ma première rencontre avec l’une de ses autres cibles régulières se serait produite sur ce site au mois de mars 2008. Il est vrai que nous nous y étions alors croisées dans les commentaires sur un article, ce que pour ma part je n’avais pas retenu. De nombreux autres internautes participaient au même débat. Nous ne nous connaissions pas.

Plus de deux ans plus tard, Cyprien Luraghi saura nous dire qu’il s’agissait de notre toute première rencontre, ce qui implique qu’il devait nous surveiller l’une et l’autre depuis un certain temps.

Il avait bien déjà fait la connaissance de cette autre personne.

Il en parle dans cet article qu’il a publié sur son blog personnel le 8 mars 2008 :

 

1 – Ver de notaire – INTROÏT

Par cyp | Publié : 8 mars 2008

 

[NVDF] :

Vous vous apprêtez à lire un roman-feuilleton − inachevé − en 45 épisodes, du genre polar ; un Poulpe. Si vous n’avez jamais entendu parler des aventures du Poulpe, allez faire un tour sur l’article de Wikipédia et, c’est indispensable, sur un bon vieux site qui lui est consacré.

***

Un mode d’emploi est nécessaire : Ver de Notaire est écrit en ligne, en direct et quasiment sans retouche ; sa forme actuelle est celle de son support : un blog. En trois à quatre heures, je trouve une illustration – presque toujours inédite, souvent retravaillée –, je mets le « billet » en place, trouve le titre (c’est obligatoire sur un blog), un seul mot qui n’a pas l’air comme ça, mystérieusement lié à l’histoire mais pas à l’épisode du jour, puisque j’ignore absolument ce que je vais écrire.

J’ai des idées à gaver et plein d’histoires en tête et je sais où je veux en venir, mais parti comme c’est (je vous écris du 39ème soir), c’est feuilleton : je peux balader mon Poulpe et toute sa bande jusqu’à la retraite, si le cœur m’en dit. C’est donc découpé en épisodes, en tableaux ; pas en chapitres.

 

Préambule

 

J’ai déserté le net pendant quelques semaines et puis je suis revenu… pour tomber sur le cinquième d’une série de samedis poulpiens sur Rue89 1 et, comme les conjonctions sidérales sont à peu de choses près les mêmes que lors de mon premier contact avec ce héros ventousard et gluant il y a douze ans, je m’y recolle.

J’écris un Poulpe, donc, qui fait en quelque sorte une suite au premier.2

Je m’y colle d’un seul coup, comme ça, sans réfléchir, comme la première fois.
Je ne suis pas romancier, alors je me sers du costard et de la déco inventés par J.B. Pouy et quelques autres en 1995. Ça n’y va pas avec le dos de la cuiller et pas non plus par quatre chemins ; faut faire avec ce qu’on a, comme je dis.

La réapparition du Poulpe sur Rue89 fait plaisir ; Gabriel Lecouvreur n’est pas un bon mortel, donc, et c’est tant mieux.
Évidemment, je fais pas comme il faut : les collègues font leur ouvrage sur Rue89, en bande joyeuse, et moi je suis tout seul ici, dans mon petit atelier de Puycity d’où je ne sors presque jamais. Ils sont même pas au jus. J’irai leur dire, quand même…

***

Oui, ça pouvait pas en rester là… y a eu des vivants et des morts, plein de malheur et encore plus de choses jouasses, depuis ce temps… Côté mort, il y eu celle – suicide à sa sortie après onze ans de taule – du personnage principal de Cigogne, Zitouni, en 2006. Parce que ne sais rien faire d’autre qu’écrire des histoires vraies. Je n’y peux rien, mais tout me tombe toujours dessus, comme ça et sans raison, gratos, pan dans la gueule. Je serais moine trappiste, qu’il y aurait de l’assassinat dans les confessionnaux.

Dans ce Poulpe nouveau, c’est un notaire que je me prends sur le râble. Moi Oscar. Parce que c’est un roman, bien sûr, et que je vais mentir tant que je pourrais et qu’il ne faudra surtout pas me croire : rien n’est arrivé à personne, nulle part. Gabriel Lecouvreur n’existe pas plus que maître Pourrin et il n’y a nul Crassac ou Puycity dans notre dimension.

Comme tous mes textes depuis 2001, celui-ci est publié sous licence Copyleft, c’est-à-dire que vous êtes libres de le copier sur n’importe quel support, mais pas de le modifier ni d’en tirer le moindre profit, que je n’autorise personne à le reproduire dans mon autorisation et que la mention de l’auteur est obligatoire, ainsi que l’URL du texte original en cas de reproduction sur le Net. [modification en date du 2 janvier 2012 : l'intégralité de l'Ici-Blog est passée sous copyright].

Le Poulpe, son univers et ses personnages fétiches sont sous copyright des éditions Baleine et de leurs repreneurs, qui seront bien gentils de me laisser faire (vont pas me coller en procès pour ça, non ?).

Les personnages et les événements relatés dans ce roman sont fictifs. toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé serait purement fortuite.

 

***

— 1 —

À Alain Pougetoux, ami très cher et homme délicieux.

***

Introïtons, donc…

Requiem… Le mot et la musique, mais pas ce demi-ton funèbre ; les chœurs comme ceux des anges d’une chapelle baroque, et puis l’azur… ce ciel si pur…
Gabriel sentit d’abord qu’il ne sentait plus rien. La totale ankylose. Puis une vibration grave, des éclats brefs sous les paupières, la langue comme du carton, les quatre membres de coton, le souffle d’un Vulcain dans la poitrine, le cœur comme un piston de vieux diesel.

Et puis le vide, affligeant. Le flip, c’est exactement ça : ne plus avoir idée, ni de qui, ni d’où, ni de quoi et encore moins de quand. Panique du voyageur, stade ultime du jetlag.

Un peu après, on se rassemble : nos pieds se reglissent dans leurs pompes, les yeux rentrent aux trous, les doigts se dégourdissent, les esprits dispersés s’unissent en un, le sien ; on redevient soi-même et on se dit qu’on l’a échappée belle. Et on fait ouf.

Et pourquoi on s’est réveillé comme ça, hein ? C’est les virages. Et si ça saute, c’est les nids-de-poules. Et s’il fait moins froid que dans les hauts du Onzième, c’est qu’on dirait le Sud. Quand-même, Gabriel se sent bizarrement décalé ; un peu comme personnage de K. Dick. Conscient d’être ici, dans une automobile en fer, sur une route et dans la nuit, avec toutes les senteurs de printemps d’hiver du nouveau siècle, ces gazouillis de piafs dans le bleu-noir des bois de chataîgniers. Et ce vague sentiment d’avoir un autre soi qui fait sa vie ailleurs, au même temps.

***

Oscar. Voilà. Je vais chez Oscar. C’est ça. J’sais plus pourquoi, mais j’y vais…
Si. Ça me revient ; je vais me reposer la couenne. J’ai besoin. Le Lot. La paix. L’herbe à Oscar… rien foutre et oublier en bouffant des girolles tout en sifflant une bière d’Olt. J’ai pas chômé, faut dire. C’est très dur d’avoir trente-cinq piges depuis douze ans. Aucune pitié, le créateur. Oui, je me casse. Fait chier, Pouy. C’est plus une vie. J’était peinard, au pieu avec Cheryl (tiens, c’est elle qui conduit…) après cette suite frénétique de missions antifafs ordonnées par le GRUB (Groupe Révolutionnaire Unifié Baleine – hommage à la pasionaria mixtèque obèse du PUN (Parti Unifié Nihiliste) – jusqu’à l’arrivée de ces hideux billets d’euros, et puis hop, au tafiot qu’il m’a dit.

Sauf que des tafs à fafs, j’en ai ma claque. C’est usant. Ça repousse. T’en éreintes un, aussi sec t’en as un autre se pointe. Non, et puis ça va bien, hein, le combat politique tout seul. Un truc de super-héros ricain, ça… Lecouvreur, Superman, même combat. Les vieux anars genre Pouy, c’est toujours le même truc : z’ont lu Marx et Captain Marvell, et avec l’âge, ils finissent par confondre. Alors ciao-bye. Qu’on me foute la paix. J’suis pas Astérix, moi. Même le Concombre Masqué, son Nikita y fait gaffe. Il le pousse pas dans ses extrêmes et il ménage son légume, lui.

Qu’ils se dépatouillent-donc eux-mêmes de ces fâcheux. Tous des pleutres. Le populo… tu m’en foutras du petit populo. Il me dégoute, tiens. Aucun intérêt. Quatre-vingt-quinze pour cent de cons molassonés. C’coup-ci tu m’auras pas, Pouy. Nib. Personne sait où on est, où on va. À bord d’une Super-Goélette plateau Saviem cru 1974… et sur une départementale.

Il est con, Oscar, mais son coup de fil pouvait pas tomber mieux, ce jour-là.

— Ho con… Oscar ! Ah là, je m’attendais pas ! Combien de temps, déjà, l’histoire de ta frangine ? Onze ans…
— Oui mais je t’appelles pas pour ça… Rien à voir. Une histoire de camion ; je t’expliques. Tu me dis oui ou merde, pas de problème. Mais comme je connais plus que toi à Paris… depuis le temps que j’y vais plus jamais. Bon voilà : c’est mon copain Lapoutre, le garageo au black, tu te souviens ? Ben il a besoin d’un service et du coup je fais le relais : il vient d’acheter le camion-plateau de ses rêves sur le net, mais faut aller le chercher à Paris et il peut pas y aller. Et moi non plus. Et faudra quand-même faire gaffe au retour, vu qu’il a ni contrôle technique ni assurance et qu’il est dans le jus. Sinon, c’est une horloge. Increvable. Quatorze chevaux fiscaux et autant de litres au cent. De super.

***

Cheryl a mal au cul, les bras qui tirent…

— Chuis crevée… Tu pourrais pas me reprendre le volant ?
— Ça roule.

Donc tout par les petite routes. Un vrai casse-tête en 2008. Éviter le képi. 672 bornes, treize heures tout moulin ronflant.

Oui, parce que j’y ai dit oui, au pote Oscar. Je peux pas lui refuser ça. Depuis la maternelle, qu’on est copains et pas juste copains. Depuis la Cité Delaunay3 qui s’ouvrait au 176 de la rue de Charonne et n’est plus, remplacée par une de ces insipides et péteux immeubles né des incendies criminels à répétition du Grand Est Parisien, vaste projet immobilier à commissions juteuses cher à Chirac, maire du Paris d’alors.

C’était l’occase rêvée et l’idée de voyager à bord d’une Super-Goélette, qui est en quelque sorte un genre d’espèce de Polikarpov roulant. Côté bruit du moteur, la ressemblance est saisissante. Un troupeau de pelleteuses en plein raout amoureux. Et puis le pilotage, c’est kifkif. Freiner et tenir le cap, deux choses très difficiles. Pas délicates, mais complexes ; dangereuses. Totale concentration tout le temps, sinon la mort t’attend sur le platane.

— Y a pas de fachos dans ton coin, Oscar, si je me souviens bien ?
— Non, pas trop. Y en a, mais c’est pas le pays…
— Et les municipales, c’est comment à Puycity ?
— La gauche contre la gauche… enfin, si on peut appeler ça la gauche…

Je le sens bien, là, le plan. Vacances. Pré-retraite… Boules. Platanes.

Gabriel se faisait ces petites réflexions alors que Cheryl en écrasait ferme sur le siège du mort.
Il releva d’un revers de la main sa casquette de combat…

la suite c’est quand je veux et surtout quand je peux

 

NVDF : c’est sur ce petit fil que la première commentatrice en provenance de Rue89 est intervenue : « Révoutiona » alias… la bouse de Clichy.

 

  1. Lire un de mes tout premiers commentaires sur Rue89 : CLIC []
  2.  Pour cigogne le glas, éd. Baleine, 1999  []
  3. Lien mort : à modifier. []

 

C’est dur à suivre, mais on y retrouve bien tous les mots qu’il faut.

Les campagnes de calomnies publiques de cet individu à mon encontre ont donc commencé un an plus tard, alors qu’il tentait de me faire exclure de la communauté des riverains du site Rue89.

Egalement, il s’est mis à exiger mon exclusion du site Le Post dès ce mois de mars 2009, alors que je n’ai jamais fait partie des commentateurs de ce site avant fin août 2009.

J’avais publié un article à ce sujet sur mon blog « Un petit coucou » le 10 avril 2012.

Le voici (cliquez sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

2012-04-10 Cyprien L. exige mon exclusion du Post dès le mois de mars 2009 - Un petit coucou

 

Toutes les interventions publiques de Cyprien Luraghi me concernant étaient déjà semblables à celles qui sont rapportées dans cet article, il me traitait de folle absolument tout le temps en exigeant partout mon exclusion.

Ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre ont pris une ampleur nouvelle à compter du 19 juin 2010, jour où, après avoir contacté Josette Brenterch à mon sujet par téléphone, soi-disant pour qu’elle le renseignât sur mon compte, il s’est mis de plus à publier une version de ma « biographie » totalement imaginaire et particulièrement infamante.

Notamment, il m’a dès lors toujours décrite comme un « cas lourd psychiatrique » bénéficiaire pour ce motif d’une allocation pour adulte handicapé, une mythomane qui sous couvert d’anonymat se serait inventé une vie d’ingénieur d’études en informatique qu’elle n’aurait jamais eue, une malade mentale dangereuse qui en réalité aurait passé le plus clair de son existence en hôpital psychiatrique.

Ces inventions calomnieuses m’avaient amenée à publier le 26 juin 2010 l’article suivant, portant sur mon état de santé :

 

2010-06-26 Sur mon état de santé - Un petit coucou

 

Mes démentis concernant les pathologies, classifications et internements psychiatriques qui m’étaient tous mensongèrement attribués dans les écrits publics de Cyprien Luraghi avaient été suivis de l’arrivée le 30 juin 2010 parmi ses commentateurs de blogs de la personne qui lui dictait toutes ces calomnies depuis le 19 juin 2010, à savoir Josette Brenterch, du NPA de Brest, venue elle-même confirmer toutes ses pseudo « informations » me concernant.

Puis j’ai porté plainte contre toutes ces personnes à raison de toutes leurs exactions à mon encontre, une fois, deux fois, trois fois, etc… mais rien n’y a jamais fait, elles ont toujours tout poursuivi, viols de l’intimité de la vie privée multiformes et campagnes de calomnies publiques ordurières assorties de menaces en tous genres auxquelles s’ajoutent régulièrement diverses usurpations d’identité, sans que les autorités judiciaires brestoises n’y trouvent jamais à redire, leurs représentants s’amusant de voir menacer de viols et autres crimes et délits, et vendre publiquement sur Internet comme prostituée débile mentale et malade mentale une femme ingénieur honorablement connue.

« C’est la cour de récré », dira l’un d’eux présidant une audience publique le 9 avril 2013.

Le fait est que ces magistrats connaissaient aussi bien que Josette Brenterch mon état de santé réel, dont la précarité résulte de multiples tentatives d’assassinat dont j’ai été victime à compter des années 1990, et notamment d’empoisonnements criminels dont j’ai été victime à Brest au printemps 2002.

Toutes les exactions dont j’étais victime de la part de Josette Brenterch et de ses amis de la bande de Cyprien Luraghi, dont le troll paranoïaque formule tout en un NEMROD34, perdurant et même s’aggravant d’année en année, j’ai fini par évoquer assez précisément ces empoisonnements dans l’article suivant, que j’ai publié le 18 avril 2013 :

 

2013-04-18 Empoisonnements criminels à Brest - Un petit coucou

 

Je complète aujourd’hui la publication de ces notes médicales de celle du certificat de bonne santé mentale suivant, signé de mon médecin traitant le 19 juillet 2003 :

 

Certificat médical

 

Bien évidemment, je déplore d’être obligée d’en arriver à publier ces éléments véritables et authentiques de mon dossier médical réel, en réponse aux campagnes de calomnies publiques qui se poursuivent à mon encontre, sur Internet comme au premier jour, et aussi, depuis le 9 avril 2013, dans l’enceinte de tribunaux, au cours d’audiences publiques.

Je rappelle ici à l’attention de Maître David Rajjou, avocat de Josette Brenterch, que je ne tolèrerai pas de sa part une nouvelle séance de calomnies publiques lors de notre prochaine rencontre.



Sur la piste de « Kagemusha », voleur(s) du dossier médical de Schumacher

L’affaire du vol du dossier médical de Michael Schumacher ayant immédiatement attiré mon attention lorsque la presse a commencé à s’en faire l’écho, en début de semaine dernière, j’ai publié à ce sujet toute une série d’articles entre le 24 et le 26 juin 2014, cinq au total, puis je me suis tue alors que plusieurs médias continuaient à abreuver le public de nouvelles informations sur cette affaire, me gardant bien de les répercuter sur ce blog avant qu’elles n’aient été amplement confirmées, ou au contraire clairement démenties par les autorités, ce qui vient de se produire aujourd’hui même :

 

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/07/02/qui-est-kagemusha-le-voleur-du-dossier-medical-de-schumacher_4449640_3224.html

Qui est « Kagemusha », le voleur du dossier médical de Schumacher ?

 

Le Monde.fr | 02.07.2014 à 17h15 • Mis à jour le 02.07.2014 à 17h49 | Par Soren Seelow

Il se fait appeler « Kagemusha » – « l’ombre du guerrier » en japonais – en référence au chef-d’œuvre cinématographique d’Akira Kurosawa. L’individu qui a dérobé le compte rendu d’hospitalisation de Michael Schumacher et tenté de le vendre à différents médias signait ses courriels du nom de ce voleur sans envergure qui échappe à la crucifixion en raison de sa ressemblance avec un puissant chef de clan dont il devient la doublure, ou « l’ombre ».

 

Contrairement à des informations parues dans la presse suisse, la synthèse médicale de Michael Schumacher, hospitalisé pendant plus de cinq mois à Grenoble après un grave accident de ski en décembre 2013 à Méribel, n’a pas été « photographiée » par des ambulanciers suisses lors de son transfert à l’hôpital de Lausanne le 16 juin. Il a, selon la justice française, été « dérobé » sur le serveur informatique de l’hôpital français. Un audit interne réalisé par le CHU de Grenoble n’a pourtant révélé aucune intrusion dans son système informatique.

« JERÉMIE MARTIN »

« Ce compte rendu d’hospitalisation, long d’une douzaine de pages, a connu plusieurs versions. Une première anonyme, une deuxième avec des pseudonymes, et une version définitive comportant l’identité de Michael Schumacher. La version volée est la version intermédiaire, rédigée avec le pseudonyme de “Jérémie Martin”. Or la version qui accompagnait le pilote dans l’ambulance est la dernière », explique le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat.

C’est un journaliste allemand de Bild qui a alerté l’entourage du pilote allemand. « Kagemusha » lui proposait par email les documents volés moyennant 60 000 francs suisses (environ 49 000 euros). Le courriel, envoyé d’un compte Gmail et rédigé dans un anglais impeccable, avec des formules de politesse en anglais, allemand et français, était accompagné de deux pages extraites du compte rendu. Pour faire monter les enchères, « Kagemusha » affirmait avoir démarché des tabloïds anglais, des médias suisses et français qui ne se sont pas tous manifestés auprès des services de police.

Au vu de sa maîtrise des trois langues, les enquêteurs n’excluent pas qu’il puisse être suisse. Sa correspondance était par ailleurs émaillée de références à la culture japonaise. « Il s’agit de quelqu’un d’intelligent, de poli, visiblement intéressé par le Japon et qui a pris soin de brouiller ses traces lors de ses échanges de mails », résume une source proche de l’enquête.

COOPÉRATION AVEC LA SUISSE, L’ALLEMAGNE ET LE FBI

Le 19 juin, le parquet de Grenoble a ouvert une enquête après avoir enregistré une plainte de l’hôpital pour « vol et violation du secret médical », suivie d’une seconde plainte des avocats suisses de la famille Schumacher. La police judiciaire de Grenoble, en coopération avec des enquêteurs allemands et suisses, travaille depuis avec le FBI afin de récupérer sans délai les données de connexion de « Kagemusha », le siège de Google, qui exploite la messagerie Gmail, se situant aux Etats-Unis.

Les investigations, qui progressent rapidement, s’apparentent à un jeu de piste : les enquêteurs cherchent à savoir qui a été en contact avec le dossier médical à l’hôpital et tentent par ailleurs d’identifier l’individu qui se cache derrière les adresses IP utilisées lors de ses échanges de courriels. « On remonte deux fils, et on attend qu’ils se rencontrent », conlut une source proche de l’enquête.

 Soren Seelow
Journaliste

 

Eh oui, je ne saurais dire pourquoi, je n’ai pas cru une seule seconde à l’histoire de l’ambulancier qui aurait photographié le dossier lors du transfert de Grenoble à Lausanne.

Disons ou rappelons qu’en vraie matheuse, je suis très intuitive et me trompe rarement.

Rappelons aussi qu’une autre des affaires auxquelles je m’intéresse de près a déjà donné lieu à la publication d’informations tout aussi fantaisistes sur l’identification d’un présumé coupable :

 

2013-01-11 Le hacker SaMo_Dz n'est toujours pas identifié - Un petit coucou

 

Cliquez sur l’image pour l’agrandir et lire le texte.

Le hacker SaMo_Dz est vraisemblablement Cyprien Luraghi, le cyberdélinquant qui me pirate et me harcèle pour le compte de la patronne du NPA de Brest depuis l’année 2008 au moins.

La diffusion de ces fausses informations sur l’identification du hacker comme étant un jeune Algérien de Bab El Oued avait à l’évidence pour but de dissiper les soupçons qui pesaient alors sur le psychopathe de Puy-l’Evêque.

Encore un rappel :

 

2012-12-23 Avec ou sans modération, les guerriers de l'hôpital ont vite investi les médias en ligne - Un petit coucou

 

Cliquez sur l’image pour l’agrandir et lire le texte.

Oui, c’est cela, les « guerriers de l’hôpital » qui sévissaient sur le site Le Post en 2009 sont bien toujours la même équipe de cyberdélinquants et psychopathes que le « Konducator » Cyprien Luraghi a réunis autour de sa personne à compter de l’année 2008, au fur et à mesure que prenait corps son personnage de militant prétendument « antifasciste » en mission sur le vaste territoire internétique, et plus spécialement sur les nouveaux sites d’information participatifs qui avaient vu le jour en 2007, Rue89 et Le Post.

La patronne du NPA de Brest qui les mobilisait à mon encontre a depuis lors bien introduit toutes les plaintes qu’elle a déposées contre moi à raison des démentis et droits de réponse que j’ai dû publier à la suite de ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre à compter de l’année 2010 en m’accusant mensongèrement d’avoir voulu régler des comptes avec le personnel du CHU de Brest dans le cadre de ma participation aux activités de l’association AC ! Brest en 2004 et 2005.

Elle affirme à chaque fois que j’aurais été exclue de cette association pour ce motif dès 2004, ce qui est tout aussi faux et mensonger, puisqu’elle sait bien qu’en réalité elle n’a jamais réussi à m’en faire exclure avant le mois de décembre 2005, après avoir à cet effet renversé successivement les instances dirigeantes de cette association et celles de tout le réseau de collectifs AC ! au cours de l’automne 2005. J’avais alors été radiée de l’association brestoise, et uniquement celle-là, tout comme la presque totalité de ses membres actifs pour la période des deux années 2004 et 2005, au motif que nous contestions la légitimité de ses nouveaux dirigeants, issus du putsch dont nous avions été victimes quelques semaines plus tôt.



Antifas : des milices ultraviolentes liées à la « justice »

Ceux qui me suivent sur Internet depuis assez longtemps savent que depuis 2008 j’y suis victime de violences singulières de la part d’une bande de cyberdélinquants et malades mentaux qui se présentent comme « antifascistes ».

Leurs exactions à mon encontre, à base de campagnes de calomnies phénoménales et de menaces de mort à répétition, s’appuient sur de multiples atteintes à l’intimité de la vie privée, dont des piratages informatiques qui leur avaient permis de m’identifier dès mon premier commentaire anonyme sur le site Rue89, où ils ont commencé à me harceler en 2008 alors que, précisément, je m’exprimais sur le sujet du harcèlement moral en entreprise, problème que je connais bien pour en avoir été victime.

Selon ces militants ou sympathisants du NPA, le harcèlement en entreprise serait un faux problème, et ses victimes de fausses victimes, des mythomanes, des paranoïaques ou des cas lourds psychiatriques qu’il conviendrait de « démasquer », de dénoncer et de faire taire par tous les moyens, y compris la mort.

Fin mars 2010, après qu’ils m’aient traquée et harcelée en meute sur différents sites dont Rue89 et Le Post jusqu’à réussir à m’en chasser ou m’en faire bannir, je m’étais réfugiée sur la plateforme de blogs OverBlog où j’avais ouvert mon blog « Un petit coucou » pour pouvoir continuer à m’exprimer, et entreprendre de démentir sérieusement toutes leurs allégations publiques me concernant.

Leurs exactions à mon encontre n’ayant cessé de s’aggraver, j’en ai saisi la « justice » à de multiples reprises à compter de l’automne 2010, puis ai vainement attendu que celle-ci daigne prendre les mesures qui s’imposaient. J’attends toujours.

Voilà peut-être une explication aux réponses inappropriées des instances judiciaires sollicitées :

 

http://fr.novopress.info/169325/hommage-clement-meric-antifas-magistrats-defilent/

Hommage à Clément Méric : antifas et magistrats défilent ensemble

 

12/06/2014 – PARIS (NOVOpress)
Le milieu « antifa » parisien et ses alliés politiques, du Front de Gauche avec Alexis Corbière jusqu’au Parti communiste en passant par le Nouveau Parti anticapitaliste avec Olivier Besancenot, ont rendu hommage la semaien dernière à Clément Méric, tué lors d’une bagarre.

Comme il est désormais de coutume avec les rassemblements et manifestations d’extrême gauche, de nombreux manifestants ont défilé cagoulés (ce qui est interdit par la loi) et armés. Le tout dans la plus totale impunité puisqu’aucune interpellation n’a jamais été effectuée par les forces de l’ordre.

Le plus étonnant n’est pas la passivité du gouvernement socialiste face aux violences des militants « antifas » mais plutôt la présence de magistrats dans le cortège.

Les signataires de la manifestation d'hommage à Clément Méric (dont Visa)

Les signataires de la manifestation d’hommage à Clément Méric (dont Visa)

 

Visa : Syndicat de la magistrature et CNT main dans la main

Parmi les signataires de l’appel, derrière l’énigmatique sigle Visa (pour Vigilance et initiatives syndicales antifascistes) se cache un regroupement de « militant-e-s de la FSU, de la CGT, de la CFDT, de SOLIDAIRES, du Syndicat de la Magistrature, de la CNT et de l’UNEF qui, depuis 1996, recensent, analysent, dénoncent, les incursions de l’extrême droite et plus particulièrement du Front national sur le terrain social. » (lien : ) Le but de cette coalition syndicale est de mener, évidemment, le « combat antifasciste » en « informant sur les dangers et le développement de l’extrême droite en France » ou « en alertant sur la présence dans les structures syndicales de militants d’extrême droite se prétendant responsables syndicaux. »

Antifas et magistrats. Cette contradiction pourrait prêter à sourire mais elle montre les incohérences du système judiciaire français et de la mouvance « antifa ». Car la Confédération nationale du travail (CNT), membre de VISA, est le mouvement qui organise et fédère les plus radicaux des « antifas », ceux qui agressent quasi-impunément depuis des années les mouvements patriotes, identitaires ou souverainistes, ceux qui défilent casqués, cagoulés et armés.

L'appel de Visa

L’appel de Visa

Le Syndicat de la Magistrature, quant à lui syndicat de magistrats de gauche et créé en 1968, se retrouve donc depuis des années dans le même groupe (VISA) et dans les mêmes cortèges que la mouvance « antifa » sans que personne ne s’émeuve dans la collusion entre les institutions judiciaires et des militants politiques violents !

Représentant « environ 30 % des magistrats », avec trois représentants du Syndicat siégeant au Conseil supérieur de la magistrature, un membre nommé par François Hollande au Conseil constitutionnel et plusieurs de ses militants travaillant au sein même du ministère de la Justice du gouvernement socialiste, le Syndicat de la Magistrature est un rouage important des institutions judiciaires.

Le bureau national du Syndicat de la Magistrature

Le bureau national du Syndicat de la Magistrature

Conex : Les magistrats et les antifas « partagent des informations »

A la vue d’une telle puissance dans la hiérarchie judiciaire et des informations sensibles dont disposent les magistrats membres du Syndicat de la Magistrature, voir des magistrats s’engager ouvertement aux côtés de groupes radicaux et violents peut laisser pantois.

Surtout quand ces mêmes magistrats, garants de l’ordre public, sont à l’initiative de la création de la Coordination nationale contre l’extrême droite (Conex), regroupant pratiquement tous les groupes antifas hexagonaux et Visa (dont le Syndicat de la Magistrature fait partie).

Surtout quand l’un des objectifs de Conex est de « partager des informations » selon le collectif antifasciste de Besançon. La vie privée des militants politiquement incorrect ? Ou des informations sensibles sur les enquêtes menées par la forces de l’ordre sur la mouvance antifa ?

Les organisations membres de Conex

Les organisations membres de Conex

Oui, quelles genres d’informations sont échangées entre les militants antifa et les magistrats ?

Les magistrats forment les antifas

Surtout que dans le même temps, on apprend que le 24 mai dernier, à Besançon, le Syndicat de la Magistrature avec le collectif Visa est intervenu pour former les antifas locaux ! L’annonce a été relayée par le site référence de la mouvance « antifa » La Horde.

L'annonce de la formation assurée par Visa pour les antifas bisontins

L’annonce de la formation assurée par Visa pour les antifas bisontins

Crédit photo Une : Ctruongngoc via Wikipédia (cc). Autres images : Novopress (cc)

Publié le 12 juin 2014 - Modifié le 12 juin 2014


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