Je dis depuis déjà assez longtemps qui commandite et/ou organise tous ces attentats islamistes commis sur le sol français depuis mars 2012, en étayant à chaque fois mon propos de divers éléments de preuve, y compris des revendications publiques des intéressés : ce sont mes harceleurs les cybercriminels de la bande du pédophile et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, leur chef en tête, lequel a par ailleurs quasiment toujours vécu pour l’essentiel de trafic de drogue, d’abord entre la France et l’Afghanistan dans les années 1980 sous la couverture d’une activité de guide de trek dans l’Himalaya pour laquelle, au départ, il ne justifiait strictement d’aucune compétence, connaissance ou formation adaptée, puis dans le Sud-Ouest où il s’est installé à son retour en France au début des années 1990.
Le prétendu « ufosceptique » et plus largement « sceptique » Jean-Marc Donnadieu de Béziers en fait partie depuis le printemps 2010 au moins.
En fait, lorsqu’il a commencé à me harceler à visage découvert, à compter du 13 avril 2010, assez vite j’ai reconnu le style et les propos très particuliers d’un de mes calomniateurs anonymes du Post l’année précédente, au printemps 2009. Jean-Marc Donnadieu n’y était pas encore inscrit, il n’y ouvrira un compte qu’au moins de décembre 2009. Cependant, il était bien déjà sur le site Rue89 avec certains de mes harceleurs de la bande du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, mais je ne l’avais pas remarqué du fait qu’il n’y participait pas aux harcèlements de ses complices à mon encontre.
Depuis qu’il a mis son CV en ligne en 2013, on sait qu’il a effectué son service militaire comme aide infirmier à la base aérienne 701 de Salon-de-Provence de février 1989 à février 1990, après avoir travaillé quatre mois comme agent des services hospitaliers de l’hôpital de Béziers, où sa mère travaillait déjà.
C’est ici :
http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_53fc91103ec7c.pdf
Or, Salon-de-Provence est le fief d’origine de l’ancien caïd marseillais et trafiquant de drogue notoire Farid Berrahma, qui fut assassiné à Marseille un 4 avril, en 2006 (voir ci-dessous), et dont au moins une proche, une nièce un peu plus âgée que lui, fait partie de mes harceleurs de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi dès l’été 2008, sur le site Rue89.
Ces gens se retrouvaient tous sur ce site pour y mener comme ailleurs leur combat en faveur des sans-papiers.
Consommation et/ou trafic de cannabis faisaient également partie des intérêts ou points communs qui réunissaient plusieurs d’entre eux.
Jean-Marc Donnadieu ne se cache pas d’être un très gros consommateur de cannabis.
Il dit même publiquement en avoir cultivé des plants à son domicile, tout comme d’autres membres de la bande de « déconnologues » du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Comme l’indique son CV, il a quitté l’emploi qu’il occupait à l’hôpital de Béziers depuis le mois d’avril 1992 au mois de juin 2004, dans des conditions que je ne l’ai jamais vu préciser nulle part.
En 2005, il aurait travaillé en indépendant durant quelques mois comme dépanneur informatique et créateur de sites sur Internet ainsi que de boutiques de vente en ligne. Puis de novembre 2005 à février 2010, c’est le vide sidéral, il semble n’avoir strictement rien fait, ou en tous les cas, absolument rien qu’il puisse faire figurer dans un CV.
De février 2010 à mai 2011, il avait repris sous le statut d’auto-entrepreneur (entreprise créée dès le 1er janvier 2004 : https://www.verif.com/societe/DONNADIEU-JEAN-MARC-451587463/) une activité de dépanneur informatique et avait créé son propre site commercial, un portail pour commerçants, artisans et entreprises du Biterrois, «kivenkoi34500.com», qui était effectivement actif lorsqu’il a commencé à me harceler au printemps 2010.
C’est dans cette période qu’il a donc envisagé de se faire aussi de l’argent en me harcelant pour ensuite, à la première réplique de ma part, m’attaquer en justice de manière déloyale ainsi que tous mes présumés « complices », dans le cadre de procédures qui toutes s’analysent comme autant de tentatives d’escroqueries au jugement et s’avèrent avoir plus ou moins réussi.
Ses complices Josette Brenterch du NPA de Brest et Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, qui eux aussi se sont lancés à compter de la même année 2010 dans ce type d’entreprise délictueuse, ont connu moins de succès que lui, puisqu’ils ont finalement perdu tous leurs procès à mon encontre.
Or, ces très longues procédures, des attaques judiciaires totalement insensées visant en fait, autant que leurs cibles nommément désignées par citations directes ou plaintes avec constitution de partie civile, la République française et toutes ses lois non conformes ou très précisément radicalement opposées à toutes les aspirations des demandeurs ou plaignants, se sont aussi régulièrement et systématiquement accompagnées d’attaques terroristes islamistes visant toujours la République française et toutes ses lois inaptes à satisfaire les intérêts et desiderata très personnels des divers hors-la-loi qui me harcelaient.
Jean-Marc Donnadieu ayant récemment annoncé s’être relancé dans au moins une procédure à mon encontre, soit en son nom personnel, soit par le truchement d’au moins un tiers qu’il manipule, voilà donc pourquoi les attentats ou projets d’attentats islamistes ont bien recommencé cette année.
Sachant que ces attentats véhiculent toujours quelques messages particuliers à travers certains de leurs éléments constitutifs, comme les dates où ils sont commis, correspondant souvent à des anniversaires, ou le choix des lieux où ils sont commis, je rapproche en l’occurrence la date du 4 avril 2020 de celle de l’assassinat de Farid Berrahma à Marseille en 2006, et le nom de Romans-sur-Isère du commentaire que Jean-Marc Donnadieu m’a laissé la veille, 3 avril 2020, sur l’article suivant, du 23 mars dernier :
http://satanistique.blogspot.com/2020/03/je-ne-sais-pas-ecrire-parait-il.html
2 commentaires:
Réponses
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Si vous croyez que j’ai une heure à perdre avec ça, M. Nemrod…
Résumez donc ce que vous voulez dire.
Supprimer
Il m’a donc subitement balancé là un lien menant vers une vidéo réalisée par des « sceptiques » de son réseau et dont le titre peut se référer à ce que j’avais écrit sur le même sujet dans cet article plus ancien, du 28 septembre 2016 :
http://petitcoucou.unblog.fr/2016/09/28/harcelement-a-lecole-des-temoignages-importants/
On rappelle ici le leitmotiv de mes harceleurs à mon sujet depuis l’année 2010 au moins : je m’inventerais une vie que je n’aurais pas eue, je n’aurais jamais été ni ingénieur ni informaticienne ni harcelée dans le travail ou ailleurs, je ferais des romans et serais en réalité un cas lourd psychiatrique qui aurait passé le plus clair de son existence en HP, autant qu’une prostituée et une débile mentale…
Mon intelligence, qu’en réalité nombre de professionnels compétents ont toujours dite, dès l’enfance, très au-dessus de la moyenne, relèverait donc de « contes et légendes »… de « romans »…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Farid_Berrahma
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Farid Berrahma
(à 39 ans)
Маrseille
Farid Berrahma, dit l’Indien, le Gremlins ou le Rotisseur, né le 20 mai 1966 et mort le 4 avril 2006, est une figure du grand banditisme français et du milieu marseillais. Il est le fils d’un mineur algérien 1,2.
Carrière
Ancien homme de main du parrain Francis le Belge3, pionnier du néo-banditisme dans les cités marseillaises4 et du trafic de cannabis dans ces quartiers, il contrôle une grande partie du marché des stupéfiants dans les quartiers nord5 au début des années 2000. Selon plusieurs témoins apparus sur les réseaux sociaux, il serait responsable de l’assassinat de Francis le Belge. Toujours selon ces mêmes témoins il serait devenu parano après que Francis le Belge ait arrêté de lui parler et ne se soit plus adressé qu’à Eric, un de ses lieutenants, qui avait formé Farid et l’avait pris sous son aile. Après s’être débarrassé d’Eric et de ses lieutenants, Farid aurait décidé de se débarrasser également de Francis le Belge.
En 1998, son nom apparaît dans l’affaire Topaze, selon les écoutes de la police, il tentait de se faire une place dans le trafic de cannabis mis en place par Tony Cossu. Berrahma est interpellé en Espagne le 30 novembre 2001. En 2004, placé sous écrou extraditionnel, il revient en France. En 2005, il est relaxé par le tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence pour une association de malfaiteurs autour de machines à sous qui lui avait valu une condamnation à dix ans de prison par défaut, alors qu’il était incarcéré en Espagne. « La procédure a été annulée », assure Me Roubaud. Avant son assassinat, Berrahma devait comparaître dans l’affaire Topaze, pour laquelle sept personnes ont été condamnées en 2004. Son cas avait été disjoint, mais il avait obtenu sa liberté en attendant le procès6.
Assassinat : Tuerie du bar les Marronniers
Le 4 avril 2006, dans le Bar des Marronniers dans le 13e arrondissement de Marseille, alors qu’il regarde le match Lyon-Milan AC, dix tireurs cagoulés ont immédiatement arrosé la tablée qui laissa sans souffle Farid Berrahma, assassiné de neuf balles sans avoir même pu dégainer son Glock pourtant garni de 14 cartouches. Trois balles ont tué Radouane Baha, 28 ans, qui tentait de fuir par l’arrière-salle. Fauché aussi, Heddie Djendeli, 32 ans, qui décèdera le lendemain. Lors de son assassinat, Ange-Toussaint Federici est blessé et sera retrouvé par la police à la suite de ses soins dans une clinique. Ce dernier étant soupçonné d’être le commanditaire du meurtre de trois membres du milieu marseillais pour le contrôle de trafics de drogue et de machines à sous autour de l’étang de Berre4, la cour d’assises le condamnera à une peine de 28 ans de prison avec 22 ans de sûreté. Selon l’enquête de la police, le meurtre de Farid Berrahma serait lié notamment à son implication dans l’assassinat d’un restaurateur d’origine corse, Roch Colombani, qui aurait refusé d’installer des machines à sous dans son restaurant à Aix-en-Provence7. Farid avait tout perdu lors de son incarcération en Espagne et essayait de retrouver sa place dans le monde des machines à sous et du trafic de drogue, occupée, en son absence, par le milieu corse. La police marseillaise le soupçonnait d’être responsable de nombreux assassinats dans sa quête de pouvoir mais n’a jamais pu le prouver. L’exécution du bar les Marronniers a eu lieu le jour de l’anniversaire de Roch Colombani, moins de deux semaines après son assassinat. Colombani était le neveu d’un membre important du gang de la Brise de mer.
Articles connexes
Références
- http://admi.net/archive/www.bakchich.info/Farid-Berrahma-dit-L-Indien,01884.html [archive]
- http://bakchich.herokuapp.com/france/2007/11/04/farid-berrahma-dit-l-indien-51128 [archive]
- « LE MILIEU PERD LA TÊTE » [archive], sur Le Figaro (consulté le 9 novembre 2015)
- « Marseille : l’inquiétante alliance du Milieu et des bandits des cités » [archive], sur LaProvence.com (consulté le 9 novembre 2015)
- « Petit guide de criminalité marseillaise » [archive], sur Le Huffington Post (consulté le 9 novembre 2015)
- http://www.liberation.fr/societe/2006/04/06/farid-le-rotisseur-paie-l-addition_35365 [archive]
cf. PV n° 2006/927/186 du 29 mai 2006 cité page 58 dans le livre de Xavier Monnier,
Les nouveaux parrains de Marseille
, Editions Fayard, 2017.