Nouveaux articles du Télégramme sur la prostitution à Brest

Merci !

C’est bien d’en parler.

A lire ou à relire :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/20/une-manifestation-de-prostituees-organisee-hier-a-brest/

Mais aussi :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/19/enorme-scandale-a-brest-les-directeurs-du-chu-sont-proxenetes/

 

Une fois de plus, l’on notera que contrairement à ce qu’elle en prétend, ce n’est pas la mère maquerelle et criminelle notoire Josette Brenterch du NPA de Brest qui se soucie de cette question ou de la situation des personnes prostituées, qu’elles soient adultes ou même mineures, puisqu’il faut attendre l’arrivée du Nid à Brest il y a seulement un an pour qu’enfin une association s’en préoccupe.

Josette Brenterch et ses amis de l’extrême-gauche locale ne s’étaient emparés de ce sujet qu’à l’époque où des Africaines tapinaient dans les rues de Brest, au début des années 2000, les proxénètes locaux ne supportant plus cette concurrence « déloyale » et par ailleurs désastreuse pour l’image de la ville et ses commerces.

Pour retrouver une partie de nos « discussions » publiques de 2010, c’est ici :

http://unpetitcoucou.unblog.fr/

http://unpetitcoucou2.unblog.fr/

http://unpetitcoucou3.unblog.fr/

Ces trois blogs supportent l’intégralité de mes publications de 2010 sur la plateforme de blogs OverBlog, avec tous les commentaires ayant fait suite aux articles.

Je rappelle ici n’avoir jamais eu aucun autre support d’expression publique que ce blog de mars 2010 à juin 2013, après avoir été bannie successivement des sites d’information Rue89 le 31 juillet 2009 (première inscription le 17 décembre 2007) et Le Post le 26 février 2010 (première inscription le 2 septembre 2009) sur ordres très insistants de mes harceleurs et calomniateurs publics, tandis que ceux-ci s’étalaient à mon sujet en bien d’autres endroits de la toile, notamment, depuis l’année 2008, sur les sites Rue89 et Le Post ainsi que sur les blogs de leur « Konducator » le pédophile, trafiquant de drogue et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, alors tous intégralement publics, commentaires obscènes et orduriers y compris, ce qui n’est plus le cas depuis cette année 2013, bien des textes et tous les commentaires y étant devenus « privés », et aussi, depuis le printemps 2010, sur tous les sites de prédilection du cybercriminel, harceleur et calomniateur public quasi professionnel Jean-Marc Donnadieu de Béziers, lequel, au moins jusqu’au mois d’août 2010, s’était toujours exprimé sur la toile de manière habituelle sous le pseudonyme de « NEMROD34″ tout en affichant son identité réelle et toutes ses coordonnées, soit, principalement : tous ses sites personnels et ceux de ses amis et complices prétendument « sceptiques » ou « ufosceptiques ».

Ce premier blog dénommé « Un petit coucou » avait été suspendu en juin 2013 par son hébergeur OverBlog toujours harcelé à mon sujet comme précédemment les modérateurs des sites rue89 et Le Post par les cybercriminels précités, puis supprimé par ces derniers vers fin août ou début septembre 2015.

Y ont fait suite ce blog-ci et son doublon Satanistique à compter de mars 2014.

Par ailleurs, « Nikita » et ses ami-e-s étant engagé-e-s dans un combat qu’il ne faudrait surtout pas ignorer, je leur rappelle pour commencer ma suggestion de décembre dernier : exigez la suppression de toute imposition des revenus de la prostitution pour les personnes prostituées, c’est le minima de ce que l’Etat doit leur accorder. Il n’est nul besoin de payer des impôts pour être un citoyen à part entière, le fait de payer des impôts n’ouvre aucun droit et n’apporte aucune garantie quant au respect des droits fondamentaux des êtres humains (il m’est arrivé de lire ou entendre des discours fortement erronés à ce sujet chez des militant-e-s du STRASS). En l’occurrence, c’est même exactement le contraire : en imposant les personnes prostituées sur les revenus de leur prostitution, l’Etat les oblige à se prostituer pour payer les impôts correspondants. L’Etat est ainsi, de fait, le premier et plus gros proxénète de France, ce qui est totalement inadmissible et source de très grandes violences de services étatiques ou de fonctionnaires de diverses administrations, non seulement à l’encontre de personnes prostituées, de gré ou de force, mais également à l’encontre de personnes qui ne se prostituent pas ou ne se sont jamais prostituées et peuvent être amenées ou contraintes à se prostituer en conséquence de ces violences, dont c’est le but.

Ensuite, sachant que toutes les personnes qui choisissent la prostitution comme « métier » ou source de revenus aussi facilement que Nikita ont à leur insu ou d’une manière dont elles n’ont pas conscience été conditionnées pour accepter ce « métier » comme n’importe quel autre, je les invite à réfléchir à cette question.

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/a-brest-la-prostitution-des-mineurs-un-phenomene-inquietant-18-01-2022-12906578.php

Publié le 18 janvier 2022 à 19h30

À Brest, la prostitution des mineurs « un phénomène inquiétant »

 

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Lecture : 2 minutes.

Romain Guigny est le chef de service de l’Amicale du Nid en Bretagne. Implantée à Brest depuis un an, c’est la seule association bretonne agréée pour accompagner les personnes désireuses de sortir de la prostitution.

 

« À Brest, le racolage de rue n’existe plus », assure Romain Guigny, chef de service de l’Amicale du Nid.

« À Brest, le racolage de rue n’existe plus », assure Romain Guigny, chef de service de l’Amicale du Nid. (Photo d’illustration Le Télégramme)

 

Que vous inspire le témoignage de Nikita ?

« Elle porte un discours politique, mais qui n’est pas représentatif de la réalité vécue par la majorité des femmes qui sont dans le système prostitutionnel. Le plus souvent, elles sont dans un choix contraint et vivent des situations de souffrances physique, somatique et psychique. Le plus dur est d’en sortir, car elles sont souvent isolées de tout environnement social, familial, amical. Cet isolement est renforcé par la peur de la stigmatisation, qui fait qu’elles recourent peu à leurs droits ».

Quel est l’état des lieux à Brest ?

« C’est très difficile de donner une photographie, car la prostitution s’est invisibilisée. Le racolage de rue n’existe plus. Tout se passe aujourd’hui sur internet qui permet de tout numériser : la transaction, la location d’un appartement ou d’une chambre d’hôtel, l’organisation en amont. On observe beaucoup de mobilité et de prostitution en sextour. On constate aussi une prostitution de précarité. Il s’agit souvent de femmes en situation administrative irrégulière, sans ressources, qui peuvent s’adonner à la prostitution en échange d’un hébergement ou même d’un repas ».

Comment faites-vous pour les contacter ?

« On est dans le « aller vers », et cela passe par des maraudes numériques. On n’est jamais dans le jugement, mais dans une approche sociale. Le but est de nouer le contact, de parvenir à les sensibiliser. Au local, on distribue du matériel de prévention. On est sur un processus de libre adhésion, et cela prend du temps. En 2021, nous avons rencontré 56 personnes. 83 % sont des femmes, 10 % des personnes trans, et 7 % des hommes. 70 % des personnes sont d’origine étrangère, et un tiers ont moins de 25 ans. Aujourd’hui, on accompagne réellement une vingtaine de personnes, et parmi elles, deux femmes qui sont entrées dans un parcours de sortie de prostitution ».

Quid de la prostitution des mineurs ?

« C’est aujourd’hui le phénomène le plus inquiétant. Actuellement, on est sollicité pour des situations identifiées qui concernent sept adolescents à Brest et Morlaix, mais il y en a bien d’autres. L’âge moyen est de 15 ans et on parle de filles aux origines locales. Cette montée en puissance de la prostitution des mineurs est très liée au phénomène de glamourisation de la prostitution. C’est l’effet Zahia. Les jeunes filles sont biberonnées à la téléréalité où l’on présente le marchandage des corps comme un travail comme un autre, presque séduisant. La réalité est évidemment tout autre ».

Contact

bretagne@adn-asso.org

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/pour-nikita-brestoise-de-26-ans-la-prostitution-peut-etre-choisie-18-01-2022-12906565.php

Publié le 18 janvier 2022 à 19h00

Pour Nikita, Brestoise de 26 ans, « la prostitution peut être choisie »

 

Réservé aux abonnés

Lecture : 3 minutes.

Nikita, Brestoise de 26 ans, s’est prostituée pendant cinq ans pour financer ses études. Elle affirme que la loi d’avril 2016 pénalisant les clients n’a fait qu’augmenter les violences et la précarité des travailleuses et travailleurs du sexe.

 

Le 17 décembre dernier, des prostituées brestoises s’étaient rassemblées pour dénoncer la précarisation grandissante qu’a engendrée la loi de pénalisation des clients.

Le 17 décembre dernier, des prostituées brestoises s’étaient rassemblées pour dénoncer la précarisation grandissante qu’a engendrée la loi de pénalisation des clients.

 

Si Nikita a accepté la rencontre, c’est moins pour parler de sa trajectoire personnelle que pour évoquer son combat : celui de la défense des droits des travailleurs et travailleuses du sexe. De son parcours, on apprendra donc le strict minimum. « Je ne veux pas que ma mère puisse faire le lien avec moi », justifie-t-elle.

C’est la raison économique qui a poussé cette Brestoise de naissance vers la prostitution. Elle avait alors 21 ans et était étudiante à l’UBO (Université de Bretagne occidentale). « Pour subvenir à mes besoins, je cumulais plusieurs boulots précaires : serveuse en restauration, ménages, garde d’enfants. Mais je me suis rendue compte que je n’arrivais pas à mener mes études de front. À un moment, la prostitution m’est apparue comme la solution la moins chronophage et la plus facile à mettre en œuvre ».

Cinq à six passes par mois

Pendant cinq ans, à raison de « cinq à six passes par mois, pas plus », elle a donc vendu des prestations sexuelles. L’arrivée de la crise sanitaire en mars 2020, avec l’entrée dans le confinement, a rapidement asséché la demande et l’a amenée à réfléchir. « J’ai continué à voir mes clients habitués pour boucler mes fins de mois, mais j’avais vraiment la trouille », confie celle qui a néanmoins continué jusqu’en juillet 2020, date à laquelle elle a pu toucher l’allocation du RSA.

Nikita, qui n’a finalement pas terminé son cursus universitaire, a alors décroché. Mais elle pense reprendre dès que l’épidémie aura battu en retraite. Car pour elle, le travail du sexe n’est rien d’autre « qu’un emploi précaire comme un autre et une stratégie de survie dans un monde capitaliste », comme le dit l’une des porte-parole du Strass, le syndicat du travail sexuel en France.

Un rapport de force favorable aux clients

Les mouvements féministes ont beau claironner que la prostitution est fondamentalement une violence faite aux femmes, pour Nikita, ce travail peut aussi être choisi. Aussi est-elle opposante à la loi d’avril 2016 qui a instauré la pénalisation des clients. En s’attaquant à la demande, l’État espérait ainsi faire disparaître l’offre. « Ce n’est pas ce qui s’est passé. Cette loi n’a fait que renverser le rapport de force en faveur des clients, qui n’hésitent pas à négocier les tarifs, les pratiques et à imposer des rapports non protégés. Cela nous a précarisées encore plus et a conduit à plus de violences ».

Elle considère aussi que le parcours de sortie intégré à la loi, avec à la clef une allocation de 330 € par mois et un titre de séjour de six mois renouvelable trois fois, « est un dispositif hypocrite qui permet juste aux abolitionnistes de se donner bonne conscience, les préfectures refusant la plupart du temps de délivrer ces titres ».

Une demande de local pour sortir de l’isolement

Ce combat, Nikita a commencé à le mettre sur la place publique, avec quelques autres, lors d’un rassemblement le 17 décembre dernier à Brest, placé sous le patronage des Pétrolettes. Cette association communautaire rennaise, née en mai 2020, milite pour la décriminalisation du travail du sexe, et l’auto-organisation des prostituées. « Aujourd’hui, avec une collègue, on est en train de monter une antenne à Brest, avec l’espoir d’obtenir un local. Pour sortir de l’isolement. Mais aussi pour faciliter l’accès aux droits, à la santé ». Des premiers contacts ont été noués avec la Ville.

Contact

Courriel, finistere@petrolettes.org

 



Quand Emmanuel Macron perd ses nerfs…

 

 

Le pauvre, il faut le comprendre, il est sous pression de son coach Richard Ferrand que j’emmerde un peu avec mes publications les plus récentes…

Ouarf !

« Ce n’est qu’un début, continuons le combat », comme dirait l’autre grêlé, celui qui est toujours incapable de justifier ses relations avec Jeffrey Epstein, l’autre Edouard…

A propos, avez-vous remarqué ? Ils réclament tous la levée de l’anonymat sur Internet, visant ainsi en priorité les victimes qui osent s’y présenter comme telles sans aucunement se faire reconnaître ni même nécessairement citer qui que ce soit, comme ce fut mon cas au mois de septembre 2008 sur le site Rue89 à propos de harcèlement moral dans le travail, avec la sanction que tout le monde connaît : haro sur la victime qui fut immédiatement jetée en pâture sur la place publique avec des tonnes de calomnies, menaces de viol et menaces de mort… mais il est vrai qu’elle s’était déjà fait remarquer en citant l’affaire de l’ancien psychiatre brestois pédocriminel Serge Rodallec.

La protection des victimes est pourtant inscrite dans le Code pénal dont tout l’arsenal juridique en ce sens a encore été renforcé par la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021 ayant créé un délit spécifique de mise en danger de la vie d’autrui par diffusion d’informations relatives à la vie privée, familiale ou professionnelle (art. 223-1-1du code pénal).

Ces attaques récurrentes contre l’anonymat sur Internet sont quasiment une marque d’appartenance au grand réseau pédocriminel auquel appartiennent mes harceleurs de la bande du pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, lequel a pour habitude de signer de son vrai patronyme toutes ses saloperies sur les uns et les autres, dont tous ses harcèlements et toutes ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre, quand il ne s’amuse pas à donner aussi dans l’usurpation d’identité.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Divulgation_de_donn%C3%A9es_personnelles

Divulgation de données personnelles

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Quand Emmanuel Macron perd ses nerfs... dans AC ! Brest 45px-2017-fr.wp-orange-source.svg

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (juillet 2015).

Si vous disposez d’ouvrages ou d’articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l’article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

La divulgation de données personnelles1, appelée doxing ou doxxing en anglais1, est une pratique consistant à rechercher et à divulguer sur l’internet des informations sur l’identité et la vie privée d’un individu dans le but de lui nuire2,3. Les informations révélées peuvent être l’identité, l’adresse, le numéro de sécurité sociale, le numéro de compte bancaire, etc.

Le terme doxing vient soit du verbe anglais to document, qui signifie « fournir des preuves », soit de dox, variante orthographique de docs, pluriel de doc, abréviation de document4.

D’après des chercheurs des universités de l’Illinois et de New York, la moyenne d’âge des victimes est d’environ 21 ans et les hommes sont plus touchés que les femmes par la divulgation de données personnelles puisqu’ils représentent 82 % du nombre total. Néanmoins, ce type de harcèlement ne touche pas que les plus jeunes puisque les victimes ont de 10 à 74 ans. Les personnes les plus visées sont les hackers, les passionnés de jeux vidéo et les célébrités3.

But de la divulgation de données personnelles

La divulgation de données personnelles est souvent initiée par une personne ou un groupe de personnes en colère qui se focalisent sur une personne, éventuellement bouc émissaire. Les internautes divulgateurs travaillent généralement de manière coordonnée. Les raisons sont diverses, allant par exemple de vengeances personnelles à la maltraitance d’animaux5, la pédophilie, etc.

La compétition, le désir de revanche ou de justice et l’appartenance à une idéologie politique semblent être les quatre principales motivations des personnes pratiquant la divulgation de données personnelles3.

Conséquences

Une fois les informations rendues publiques, la vindicte populaire peut s’abattre sur la personne ciblée. Dans le cas où cette dernière a commis des actes illégaux, elle peut être dénoncée à la police. Dans certains cas extrêmes, cela peut avoir des conséquences très graves comme la perte d’un emploi ou des difficultés familiales. En fin de compte, la divulgation de données personnelles peut éliminer l’anonymat, l’obscurité ou la crédibilité de quelqu’un6.

Quelques exemples de harcèlement :

  • des commandes de pizzas livrées à domicile ;
  • appel des secours au domicile : pompiers, ambulance ;
  • appel des forces d’intervention spéciales au domicile, appelé swatting ;
  • menaces de mort ou menaces corporelles avec des détails bien précis sur la personne pour lui faire peur.

Pour lutter contre cette pratique, des chercheurs américains souhaitent l’aide des forces de l’ordre pour reconnaître les victimes afin d’éviter un possible swatting, conséquence d’une divulgation de données personnelles alimentée par un crime imaginaire3.

Méthodes de recherche

Les méthodes de recherche utilisent principalement Internet :

  • les réseaux sociaux comme Facebook, LinkedInetc. ;
  • les moteurs de recherche ;
  • l’appel à témoin ;
  • les informations récupérées sur les sites par piratage ou en coopération avec les administrateurs du site (notamment les adresses IP) ;
  • en piégeant la personne ciblée (hameçonnage par message privé pour l’attirer vers un site dont le pirate est administrateur afin de récupérer son IP, lien de photo en message privé, cheval de Troie) ;
  • croisement des sources de plusieurs sites pour trouver les différents pseudonymes de la personne ciblée ;
  • au travers des plateformes de paiement avec la coopération de celui qui a reçu le paiement (tel que Paypal).

Légalité

En France, la divulgation de données personnelles peut relever, selon les méthodes employées, de la loi pénale sur les atteintes à la personnalité, notamment :

  • atteinte à la vie privée ;
  • dénonciation calomnieuse ;
  • atteinte au secret (violation du secret des correspondances) ;
  • atteintes aux droits de la personne résultant des fichiers ou des traitements informatiques : collecte, traitement et divulgation de données personnelles sans le consentement de l’intéressé ou sans autorisation légale.

En outre, la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République7 a créé un délit spécifique (art. 223-1-1du code pénal) de mise en danger de la vie d’autrui par diffusion d’informations relatives à la vie privée, familiale ou professionnelle. Ce délit est puni de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. La responsabilité du directeur de publication d’un journal, d’un média audiovisuel ou d’un site internet peut également être engagée. Les peines sont portées à 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amendes lorsque la victime est un agent public, un élu, un journaliste, si elle est mineure ou d’une particulière vulnérabilité (âge, maladie, infirmité, handicap, grossesse). Cette disposition fait suite à l’Assassinat de Samuel Paty, qui eut lieu à la suite de la diffusion d’informations privées sur un réseau social, ayant conduit à l’identification du professeur. Sont consacrés dans l’article 223-1-1 du Code Pénal deux éléments constitutifs de l’infraction : un élément matériel de l’infraction, consistant en la divulgation de données privées permettant l’identification de la victime, de son adresse ou de ses proches, et un élément moral, qui implique que l’auteur de l’infraction ait connaissance des conséquences négatives de son acte, que lesdites conséquences soient recherchées par l’auteur. Cette infraction est continue, la diffusion d’informations privées avant l’entrée en vigueur de la loi pourra donc être sanctionner si le support de diffusion, comme peut l’être un tweet, est encore accessible passée l’entrée en vigueur de la loi.

Notes et références

  1. « Article 36 de la loi n°2021-1109 » [archive], sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le 26 août 2021)

Voir aussi

Articles connexes

 



François Burgat : enfin un islamogauchiste qui s’assume !

Article qui pourrait être intéressant s’il n’était pas réservé aux seuls abonnés de Marianne.

Extrait :

Selon lui (François Burgat), les « rapprochements entre islamistes et forces de gauche » sont « les meilleurs remèdes à la spirale de la montée aux extrêmes ».

 

Se positionnant à l’extrême-gauche, il préconise son rapprochement avec les islamistes (effectif depuis déjà de très nombreuses années, commission d’attentats terroristes y compris), comme « meilleur remède à la spirale de la montée aux extrêmes », à commencer, donc, par l’extrême-gauche elle-même.

Vous comprenez ce qu’il raconte, vous ?

Moi oui, je connais tous leurs galimatias par coeur depuis des lustres.

Explications et traduction, donc :

1°/ Tout comme sa copine Josette Brenterch du NPA de Brest, et tous les autres chefs de l’ancienne LCR (qui soit dit en passant était déjà financée par des fonds occultes en provenance de l’Arabie Saoudite et du Qatar quand je m’y suis heurtée au sein d’AC ! en 2004 et 2005), François Burgat a tellement peur des « forces de gauche » qu’il va les infiltrer pour les « contrôler » ou « neutraliser », les manipuler, les pervertir. Il est à l’extrême-gauche pour y mener une contre-insurrection permanente qui s’est toujours traduite par un pourrissement systématique par la LCR ou le NPA de toutes les bonnes actions qui pouvaient être tentées par les uns ou les autres, notamment par des forces dites « de gauche », mais pas seulement, pour améliorer le sort des plus pauvres, des plus faibles ou des plus démunis ou pallier à des tas d’insuffisances ou de dysfonctionnements étatiques. Ainsi par exemple les associations de victimes sont-elles toutes dans le collimateur de la LCR ou du NPA qui s’attache à les détruire au prétexte que l’Etat et ses fonctionnaires seraient parfaits et ne pourraient donc tolérer la moindre critique, outre que les initiatives privées régies par la loi de 1901 sur les associations sont de toute façon idéologiquement proscrites à l’extrême-gauche – le tout Etat à la mode soviétique reste le dogme officiel pour les « révolutionnaires communistes », qui sont eux-mêmes fonctionnaires dans l’immense majorité des cas et défendent en fait avant tout leurs privilèges, matériels et autres, abus de pouvoir y compris (ils ont tous les droits et le revendiquent haut et fort).

2°/ Lorsqu’il parle de « spirale de la montée » à l’extrême-gauche, il vise en fait, non pas ses camarades de la LCR ou du NPA, qui n’ont jamais menacé aucun pouvoir en place, même le plus dégueulasse, et surtout le plus dégueulasse (en fait, en interne, les militants de la LCR ou du NPA assument parfaitement de tout faire pour pourrir au maximum le régime capitaliste qu’ils décrient, de le rendre totalement invivable afin de provoquer la révolution communiste de leurs voeux, tout en sachant pertinemment que personne n’en veut et qu’ils ne l’obtiendront jamais, et surtout pas avec des citoyens transformés en zombies ou tous au cimetière en conséquence de toutes leurs dégueulasseries (dont c’est le but, de toute façon : la contre-insurrection « casse » ou assassine tous ceux qui menacent de se rebeller, c’est sa mission et elle la remplit fort bien), raison pour laquelle ils ont depuis longtemps laissé tomber leurs chers « ouvriers » d’antan (devenus dans l’ensemble un peu trop instruits, réfléchis et critiques, donc à casser, à détruire), d’abord au profit de « jeunes » plus excités, puis des islamistes), mais tous ceux qui participent très honnêtement et sincèrement à des mouvements ou associations dits « de gauche » et se font donc repérer, étiqueter et dénoncer aux agents de la police politique comme « ultra-gauchistes » par ses gentils camarades militants de la LCR ou du NPA dont en 2008 la ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie louait ce travail et toute la sagesse (et pour cause, moi qui suis un peu leur étalon à tous, ils m’avaient bien mise dedans…). Or, ce sont bien toujours ces militants de la LCR ou du NPA les casseurs et terroristes en tous genres – rappelons donc que l’ancien membre d’Action Directe Jean-Marc Rouillan est quand même bien chez eux et pas dans le sac fourre-tout « ultra-gauchiste », tout comme d’ailleurs le quasi terroriste islamiste François Burgat.

3°/ Le troisième terme de sa proposition aberrante concerne l’extrême-droite. Mais laquelle ? Certainement pas celle qui participe objectivement et activement à la commission d’attentats islamistes depuis 2012, et qui se répartit aujourd’hui derrière les deux candidats déclarés à l’élection présidentielle Marine Le Pen et Eric Zemmour, puisqu’il s’agit de ses complices autant que ceux du duo de terroristes Josette Brenterch / Pascal Edouard Cyprien Luraghi. Ceux qu’ils visent ici comme « extrémistes » doivent être tous ceux qui aujourd’hui dénoncent des pédophiles et leurs réseaux, un thème que je n’avais jamais abordé nulle part avant de me faire moi-même attaquer par la mafia pédophile à compter de l’année 2008.

Chic, alors ! J’ai encore tous les défauts !

En attendant, ce monsieur François Burgat qui doit être encore de la Chiraquie option Villepin vient de confirmer ce que j’ai toujours dit et encore très récemment de manière explicite : le « faire taire » habituel du NPA s’accompagne très bien d’attentats terroristes islamistes, « meilleurs remèdes » contre toute menace de dénonciation publique.

 

https://www.marianne.net/societe/laicite-et-religions/francois-burgat-lislamogauchiste-assume

François Burgat, l’islamogauchiste assumé

 

Le portrait du lundi

Par

Publié le 03/01/2022 à 12:45

 

Parfait arabophone et fin connaisseur du Proche-Orient, ce directeur de recherche émérite au CNRS assume ses liens avec le Qatar. Il en est convaincu : un rapprochement entre l’extrême gauche et les islamistes est le plus court chemin vers des jours meilleurs. Enquête.

 

Son estime pour Tariq Ramadan ? Il assume. Ses liens avec le Qatar ? Également. François Burgat, directeur de recherche émérite au CNRS, n’en fait pas mystère, il est président du Centre arabe de recherches et d’études politiques de Paris (Carep), lobby francophone de l’Arab Center for Research and Policy Studies de Doha. Des fonctions bénévoles, précise-t-il. Elles sont le résultat d’une longue et intense proximité avec les autorités politiques et religieuses de l’émirat, frères musulmans compris.

Le Lillois Mohammed Louizi, lui-même ancien militant frériste, a détaillé sur son blog les liens multiples qui unissent François Burgat à cette mouvance islamiste. Inlassablement, depuis deux décennies, François Burgat s’est attaché à « disculper les Frères de tout sectarisme salafiste totalitaire et liberticide », écrit Mohammed Louizi. Son but est de les rendre fréquentables aux yeux des Français, en usant de l’autorité que lui confère son expérience. Elle est considérable.

Selon lui, les « rapprochements entre islamistes et forces de gauche » sont « les meilleurs remèdes à la spirale de la montée aux extrêmes ».

 

Né en 1948 à Chambéry, François Burgat a passé plus du quart de son existence dans le monde arabe, pour le CNRS ou le ministère des affaires étrangères. De 2008 à 2012, il a été directeur du prestigieux Institut français du Proche-Orient, à Damas. Il est membre du comité de rédaction de la revue Orient XXI. Même ses nombreux ennemis en conviennent, il est comme un poisson dans l’eau sur le terrain et il connaît très bien son objet d’étude, à savoir les mouvements politiques du monde arabe. Le suivre les yeux fermés quand il en parle n’est pas pour autant recommandé, car François Burgat affectionne les raccourcis vertigineux.

 



Terrorisme islamiste : retour sur l’étrange sacrifice d’Arnaud Beltrame le 23 mars 2018

Rappelons pour commencer que cet attentat clôt la série entamée le 13 juin 2016 avec l’assassinat de deux policiers à Magnanville, celui-ci étant de mon point de vue à rapprocher des fréquentations ou anciennes fonctions de Jean-Baptiste Salvaing dans l’Hérault, comme je l’avais dit dès le début et l’ai répété plusieurs fois par la suite, toute cette série d’attentats étant par ailleurs directement liée à la procédure engagée à mon encontre à Paris par le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi lui-même.

Je rappelle encore que ce dernier a quasiment toujours parlé de déposer des plaintes contre moi ou de me dénoncer pour des faits imaginaires à diverses autorités en même temps qu’il m’attaquait de manière ahurissante ou me harcelait sur la toile au moyen d’éléments de ma vie privée auxquels il avait accès par piratages informatiques et écoutes illégales, en 2008, en 2009, et encore au cours de l’été 2010 alors même qu’il avait entrepris de publier quotidiennement des montagnes de saloperies sur mon compte en révélant illégalement à ses lecteurs mon identité et toutes mes coordonnées, sans oublier d’aller me dénoncer comme « mécréante » sur de nombreux sites islamistes et comme « poukave » sur un site fréquenté par des voyous, si bien qu’en définitive, estimant qu’il n’aurait aucune chance de me faire condamner pour quoi que ce soit alors que c’était bien lui qui multipliait les infractions pénales à mon encontre et non l’inverse, lui et ses complices, notamment la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et le non moins criminel Jean-Marc Donnadieu de Béziers, avaient décidé que ces deux-là, qui ni l’un ni l’autre n’étaient les auteurs de blogs m’étant consacrés, quoiqu’ils prissent tous deux une part très active aux campagnes de calomnies publiques nominatives de leur « Konducator » à mon encontre, monteraient au créneau les premiers pour obtenir à mon encontre des condamnations susceptibles d’appuyer dans un second temps les mêmes demandes du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Connaissant très bien toutes leurs culpabilités à mon endroit, ainsi que mon innocence totale (j’ai toujours été leur victime, et non l’inverse), ils savaient aussi parfaitement bien qu’aucun d’entre eux n’avait en fait la moindre chance d’obtenir ma condamnation dans le cadre d’un procès contradictoire tout à fait régulier. C’est pourquoi toutes leurs procédures à mon encontre ont toujours été volontairement viciées de manière à me priver de toute défense au fond, tandis que certains magistrats, notamment ceux de Brest, étaient de plus achetés.

Leur plan procédural à mon encontre fonctionnait donc comme sur des roulettes à Brest, mais pas en appel à Rennes, également en appel à Montpellier après échecs à Béziers, et pas du tout à Paris, où l’escroc Pascal Edouard Cyprien Luraghi sera débouté de toutes ses demandes à mon encontre en 1ère instance le 5 janvier 2017 et verra carrément sanctionner son détournement de procédure par une nouvelle annulation de procédure en appel le 11 avril 2018, toute la procédure de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre ayant déjà été annulée par la Cour d’Appel de Rennes le 2 décembre 2015.

L’attentat du 23 mars 2018 devait donc annoncer ou préparer ma condamnation en appel à Paris, attendue pour le 11 avril 2018.

Il était tellement prévisible que je l’avais bien prédit et annoncé avec quelques semaines d’avance pour le 22 mars 2018, sachant comment mes harceleurs affectionnent tout particulièrement cette date du 22 mars pour commettre de leurs méfaits.

Mais en définitive, après mon avertissement qu’un nouvel attentat islamiste se préparait pour le 22 mars 2018, ils avaient décidé d’organiser ce jour-là une de leurs grandes manifestations de « gôche » et l’attentat avait donc été reporté au lendemain, 23 mars 2018.

Rappelons encore ce que tout le monde aura pu très facilement observer depuis le début de ces attentats « islamistes », quoique je sois la seule à le faire remarquer : ils ont toujours épargné toutes les manifestations de l’extrême-gauche – et celles de l’extrême-droite aussi, d’ailleurs, qui pour être moins nombreuses et massives n’en sont pas pour autant totalement inexistantes – jusqu’à éviter très soigneusement de leur faire de l’ombre.

Je l’avais dit notamment à propos de cet attentat du 23 mars 2018 dès l’époque des faits, évoqués dans ces deux articles d’avril 2018, et pas plus tôt, tant j’étais choquée autant par les faits eux-mêmes que d’avoir encore vainement alerté les autorités ad hoc sur ce qui allait se produire :

http://petitcoucou.unblog.fr/2018/04/04/reouverture-du-super-u-de-trebes-pourquoi-le-11-avril-2018/

http://petitcoucou.unblog.fr/2018/04/07/la-reouverture-du-super-u-de-trebes-est-reportee-du-11-au-12-avril-2018/

On peut en dire autant de la Gendarmerie nationale et de la Bretagne, qui restent épargnées par les attentats islamistes à quelques exceptions près : 1°/ l’attaque des Champs-Elysées du 19 juin 2017, mais celle-ci n’aura pas fait d’autre victime que l’attaquant lui-même, comme il semble d’ailleurs qu’il l’avait lui-même prévu, indiquant dans sa lettre testament que son acte devait être traité comme une opération martyre, et ce, sans doute sans grande difficulté, tant il était surveillé et même encadré par les « services secrets français » (voir ci-dessous); 2°/ le Colonel de Gendarmerie Arnaud Beltrame, mais le coup fatal qu’il aura reçu résulte de son intervention lors de l’attentat du 23 mars 2018 et non d’une attaque dont il aurait été la cible primitive; 3°/ la très curieuse tentative d’assassinat de l’imam controversé de Brest en juin 2019, dont l’unique victime décédée sera finalement l’attaquant lui-même; 4°/ le coup de filet de janvier 2020 à Brest, avant même que les terroristes présumés, là encore très surveillés, n’aient commencé à passer à l’acte.

Mais c’est normal : la tête pensante ou dirigeante de tous ces attentats étant la folle de Brest à double casquette NPA et Gendarmerie Josette Brenterch, on ne touche pas à ses amis, alliés ou complices, et on évite de les ennuyer en allant commettre chez eux des actes de barbarie trop dérangeants.

Si militaires et policiers ont à maintes reprises été visés par des attentats meurtriers depuis mars 2012, ce n’est donc pas le cas des gendarmes qui ne déplorent à ce jour pas d’autre victime dans leurs rangs que le Colonel Arnaud Beltrame, dont on remarque avec étonnement après avoir pris connaissance du cas de François Vérove que :

- l’épouse est originaire de Marcq-en-Barœul, tout comme François Vérove;

- le père s’est suicidé en mer le 16 août 2017 au large du Grau-du-Roi, lieu également choisi pour son suicide par François Vérove le 29 septembre 2021; ils fréquentaient donc tous deux les communes voisines de La Grande Motte (Hérault) et du Grau-du-Roi (Gard).

Se connaissaient-ils ?

Quand on constate qu’Arnaud Beltrame, franc-maçon, avait été initié le 22 décembre 2008 au sein de la loge « Jérôme Bonaparte » de Rueil-Malmaison à la Grande Loge de France (GLDF), qu’il y était assidu et y avait été élevé au grade de maître en avril 2012, on pense immédiatement que oui, car on reconnaît là l’un des nids des plus fidèles amis du pédophile et terroriste « islamiste » Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Aussi, on peut raisonnablement se demander si l’acte héroïque (et non professionnel) au cours duquel Arnaud Beltrame a reçu un coup fatal ne faisait pas partie d’un scénario d’attentat auquel il avait lui-même participé.

Il reste à peu près clair qu’il attendait un assaut qui bizarrement a énormément tardé et comptait donc bien s’en sortir vivant, avec tous les honneurs qui naturellement seraient venus largement compenser ses échecs répétés à l’Ecole de guerre.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arnaud_Beltrame

  1. Jeune militant écologiste mort sur le site du barrage de Sivens en octobre 2014 dans des échauffourées avec la police.

Références

  1. « Arnaud Beltrame. Le Don et l’Engagement » [archive], sur Sceneario (consulté le 29 octobre 2021)

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

      • Jacques Duplessy et Benoît Leprince, Arnaud Beltrame : Le héros dont la France a besoin, Paris, Éditions de l’Observatoire, 20 juin 2018, 192 p. (ISBN 979-10-329-0486-2, notice BnF no FRBNF45609708)
      • Christophe Carichon, Arnaud Beltrame, gendarme de France, Monaco, Éditions du Rocher, 3 octobre 2018, 224 p. (ISBN 978-2-268-10087-6, notice BnF no FRBNF45596009)
      • Pierre-Marie Giraud, Arnaud Beltrame. L’héroïsme pour servir, Mareuil Éditions, 2018, 300 p.
      • Cédric et Damien Beltrame, Frère courage. Genèse d’un héros, Grasset, 2018, 240 p.
      • Nicolle Beltrame, C’était mon fils, Albin Michel, 2019, 240 p.

Liens externes

:

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentat_du_19_juin_2017_sur_l%27avenue_des_Champs-%C3%89lys%C3%A9es_%C3%A0_Paris

      1. Attentat du 19 juin 2017 sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris

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        Attentat du 19 juin 2017 sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris

        Localisation Avenue des Champs-Élysées, 8e arrondissement de Paris, Drapeau de la France France
        Cible Gendarmerie nationale (France)
        Date 19 juin 2017
        15 h 40
        Type Attentat-suicide à la voiture-bélier piégée
        Armes Voiture, Kalachnikov, Armes de poing, Bonbonne de gaz
        Morts 1 (le terroriste)
        Blessés 0
        Auteurs Adam Lotfi Djaziri
        Organisations Drapeau de l'État islamique État islamique
        Mouvance Terrorisme islamiste
        modifier Consultez la documentation du modèle

        L’attentat du 19 juin 2017 sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris est une attaque terroriste survenue le 19 juin 2017 sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris, en France1. Une voiture chargée d’armes à feu et d’explosifs a percuté un convoi de véhicules de gendarmerie avant d’exploser, libérant de la fumée orange. Le conducteur, identifié comme étant Adam Lotfi Djaziri, a été tué, figurait sur les listes de surveillance du terrorisme pour l’extrémisme islamique depuis 2014 et a prêté allégeance au chef de l’État islamique Abu Bakr al-Baghdadi avant l’attaque1. Dans une lettre à sa famille, il a déclaré qu’il soutenait depuis des années « les moudjahidin qui se battent pour sauver l’islam et les musulmans », ayant pratiqué le tir « pour se préparer au djihad », et a déclaré que l’attaque devrait être traitée comme une « opération de martyre »1.

        Contexte

        Des policiers, des gendarmes et des soldats assurant la sécurité en France ont également été précédemment pris pour cible par des djihadistes, avec au moins douze attaques ciblées contre des policiers et des soldats entre 2012 et 20172. L’attaque est intervenue deux mois après une autre attaque sur les Champs-Élysées en avril, au cours de laquelle trois policiers et un touriste ont été prit pour cible par un homme brandissant un AK-47, tuant un policier1. L’État islamique a encouragé le ciblage de policiers et de soldats au motif qu’ils représentent l’État3,4,5. L’attaque est l’une des nombreuses attaques à la voiture-bélier inspirées de l’État islamique contre les villes européennes6,7. Le Monde rapporte que depuis janvier 2015, les attentats terroristes en France ont fait 239 morts8.

        Attentat

        220px-Renault_M%C3%A9gane_Stufenheck_1.6_16V_%28II%29_%E2%80%93_Frontansicht%2C_25._August_2013%2C_D%C3%BCsseldorf dans Crime
        Une berline Renault Mégane II argentée, similaire à celle utilisé dans l’attaque9.

        À 15 h 40, un convoi de fourgonnettes de gendarmerie conduisait sur les Champs-Élysées lorsqu’un terroriste a enfoncé sa berline Renault Mégane argentée dans le véhicule de tête du convoi de gendarmerie, la Mégane a immédiatement pris feu10,11. La voiture contenait un fusil d’assaut AK-47, des armes de poing, une bonbonne de gaz, ainsi qu’une quantité d’explosifs suffisante pour « faire exploser cette voiture »12,9. L’attaquant a été tué par la police et l’incident a fait l’objet d’une enquête antiterroriste11,12. Le ministère de l’Intérieur Gérard Collomb a déclaré que des explosifs avaient été trouvés dans sa voiture et qu’il s’agissait d’une attaque planifiée13. L’agresseur était connu de la police et une lettre écrite par ce dernier déclarant son allégeance à l’État islamique a été trouvée à l’intérieur du véhicule7.

        Auteur

        L’agresseur a été identifié comme étant Adam Lotfi Djaziri, 31 ans, habitant de la banlieue nord-ouest d’Argenteuil14. Il était le rejeton d’une « famille salafiste »15. L’auteur avait été fiché S16,17, c’est-à-dire qu’il était « un individu considéré comme une menace sérieuse pour la sécurité nationale » et la raison de son inscription était son appartenance au « mouvement islamiste radical ». Il était connu de la police. Même s’il était considéré comme dangereux, il a obtenu une autorisation de détention d’arme car il pratiquait le tir sportif15,18.

        L’agresseur avait obtenu un permis légal pour posséder une arme à feu à la suite d’une décision délibérée des services secrets français qui lui avait permis de garder ses armes à feu afin de ne pas éveiller les soupçons selon lesquels il était surveillé. Le lendemain de l’attaque, quatre proches du conducteur ont été placés en garde à vue11.

        Le jour de l’attaque, l’auteur a envoyé par la poste des lettres confirmant son allégeance au chef de l’État islamique, Abu Bakr al-Baghdadi19.

        Revendication

        Le 13 juillet 2017, l’État islamique a revendiqué la responsabilité d’une attaque qu’il a menées pendant le mois sacré du Ramadan, dont un autre attentat raté à la gare centrale de Bruxelles le 20 juin, au lendemain de l’attentat des Champs-Élysées20.

        Notes et références

      2. « Prosecutor: Champs-Elysees attacker pledged allegiance to IS », sur web.archive.org, 1er avril 2018 (consulté le 25 juin 2021)
      3. (en-US) « Timeline: How jihadists have targeted soldiers and police in France » [archive], sur The Local France, 15 septembre 2017 (consulté le 25 juin 2021)
      4. (en) « Feds Warn of ISIS-Inspired Threat Against Police, Reporters in US » [archive], sur NBC News (consulté le 25 juin 2021)
      5. (en-US) « European terror attacks increasingly targeting police, security forces » [archive], sur Fox News, 21 avril 2017 (consulté le 25 juin 2021)
      6. « Suspected Bomb Lab Found Near Paris, 2 Arrested » [archive], sur NDTV.com (consulté le 25 juin 2021)
      7. (en) « A Brief History Of How ISIS Has Turned Vehicles Into Weapons Of Mass Destruction In Europe » [archive], sur IndiaTimes, 18 août 2017 (consulté le 25 juin 2021)
      8. (en) « Barcelona attack mirrors Isis atrocities across Europe » [archive], sur The Independent, 17 août 2017 (consulté le 25 juin 2021)
      9. « Champs-Elysées : des gendarmes attaqués, Collomb dénonce une « tentative d’attentat » », Le Monde.fr,‎ 19 juin 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 25 juin 2021)
      10. (en-GB) « Champs-Elysees attack car ‘had guns and gas’ – Paris police », BBC News,‎ 19 juin 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 25 juin 2021)
      11. (en-US) Aurelien Breeden, « Armed Man Is Killed After Driving Into Police Convoy on Champs-Élysées », The New York Times,‎ 19 juin 2017 (ISSN 0362-4331, lire en ligne [archive], consulté le 25 juin 2021)
      12. Melissa Bell, Saskya Vandoorne and Joe Sterling CNN, « Car rams police van on Champs-Elysees, armed suspect dead » [archive], sur CNN (consulté le 25 juin 2021)
      13. (en) « Champs Élysées: driver dead as car carrying firearms rams police van » [archive], sur the Guardian, 19 juin 2017 (consulté le 25 juin 2021)
      14. « ZEIT ONLINE | Lesen Sie zeit.de mit Werbung oder im PUR-Abo. Sie haben die Wahl. » [archive], sur www.zeit.de (consulté le 25 juin 2021)
      15. (en) « - The Washington Post » [archive], sur Washington Post (consulté le 25 juin 2021)
      16. « [VIDEO] Attentat raté sur les Champs-Elysées: quatre membres de la famille de l’assaillant en garde à vue » [archive], sur ladepeche.fr (consulté le 25 juin 2021)
      17. « Attentat raté sur les Champs-Elysées : le terroriste est mort asphyxié » [archive], sur LCI (consulté le 25 juin 2021)
      18. « Tentative d’attentat sur les Champs-Élysées : un assaillant fiché S » [archive], sur Franceinfo, 19 juin 2017 (consulté le 25 juin 2021)
      19. « ZEIT ONLINE | Lesen Sie zeit.de mit Werbung oder im PUR-Abo. Sie haben die Wahl. » [archive], sur www.zeit.de (consulté le 25 juin 2021)
      20. (en) Nadette De Visser,Christopher Dickey, « There Are So Many Attacks It’s a Terror Blur, But Those Who Keep Track Are Very Worried », The Daily Beast,‎ 23 juin 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 25 juin 2021)

Par Le Parisien avec AFP Le 13 juillet 2017 à 20h32,

« Daech revendique les attaques ratées de Paris et Bruxelles en juin » [archive]

      , sur leparisien.fr,

13 juillet 2017(consulté le 25 juin 2021)

 



Qui est vraiment Josette Brenterch du NPA de Brest ?

Elle a beau manipuler tous azimuts sur le réseau, son activité connaît quand même quelques limites, celles de son intelligence, car elle n’a sans doute jamais pensé que le numérique pouvait la trahir :

 

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