Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
De toute façon, officiellement, il n’y a aucune menace particulière en ce moment. Donc il ne peut pas s’agir d’un acte terroriste.
Rappel : le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a bien relancé une nouvelle série de fêtes islamistes fin mai dernier et il a sûrement préparé un gros coup pour le 14 juillet. Il adore faire la fête à sa manière ce jour-là, et cette année comme en 2016 et précédemment en 2011 (il s’était alors contenté d’attaquer par piratage informatique et faire tomber la plateforme de blogs Overblog pour obliger ses informaticiens à bosser le jour de la Fête nationale), cela coïncide parfaitement avec son calendrier festif habituel lorsqu’il attend que toutes ses saloperies à mon encontre portent enfin leurs fruits.
Grenoble : un homme armé abattu par la police en centre-ville
Les faits sont survenus quand le passager d’un scooter, en possession d’une « arme longue » a « braqué son arme en direction de policiers ». Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».
Le Monde avec AFP
Publié aujourd’hui à 10h19, mis à jour à 11h09
Les faits ont eu lieu en plein centre-ville de Grenoble jeudi 7 juillet en fin d’après-midi. Un homme de 24 ans, qui circulait à scooter avec un passager armé, a été tué par la police, a appris l’Agence France-Presse (AFP) de sources concordantes.Une source policière a précisé à l’AFP que le conducteur du scooter, vêtu d’un gilet pare-balles, circulait en compagnie d’un passager armé d’une « arme longue ». Ce dernier a « commencé à braquer son arme en direction de policiers », qui ont tiré à deux reprises, touchant le conducteur à la tête.
Le parquet a précisé que les occupants du scooter avaient croisé la route de deux fonctionnaires de police qui effectuaient une patrouille à pied vers 18 h 15, et qu’un jeune homme âgé de 24 ans, « connu des services de police », était mort « sur place malgré les soins prodigués rapidement par les secours ». L’autre occupant du scooter est lui parvenu « à prendre la fuite ».
Une arme, « de type kalachnikov, chargée a été retrouvée sur les lieux », dans le secteur du quartier Hoche, a encore précisé dans un communiqué le procureur adjoint de Grenoble, Boris Duffau.
Deux enquêtes ont été ouvertes. La première sur les faits de « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique », confiée au service de police judiciaire de Grenoble, et la seconde a été confiée à l’IGPN, la « police des polices » sur les faits de coups mortels. « Le policier qui a fait usage de son arme a été placé en garde à vue et devrait être entendu dans la soirée par des enquêteurs de l’IGPN », a ajouté M. Duffau, lequel précise qu’une autopsie serait réalisée vendredi matin.
Une autre source policière contactée par l’AFP a expliqué que, selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit de « faits de droit commun, pas du tout de terrorisme ».
Jusqu’à présent, à peu de choses près, je me suis contentée de parler du seul signe de naissance pour dégrossir un peu le sujet du profilage des tarés par l’astrologie.
Cependant, il est évident que bien d’autres paramètres entrent en ligne de compte de manières diverses pour faire de chaque individu un être unique, quoiqu’il puisse présenter des traits de caractère ou de personnalité communs à de nombreux individus.
Avec le cas de John Edward Robinson, tueur en série d’Internet, le premier connu du FBI, j’ai déjà montré que ce Capricorne ressemblant assez au malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont tout le monde sait qu’il va lui aussi sur Internet à la recherche de proies, notamment pour alimenter ses « bouquins » en « personnages », comme il l’a fait à compter de 2008 sur le site Rue89, est en fait très proche d’un Verseau, comme l’est effectivement le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Mais ces deux-là sont également des sadiques, ce qui relève du signe du Scorpion et se retrouve effectivement dans leurs thèmes respectifs avec ce signe et son maître Pluton en relief et viciés.
Pour John Edward Robinson, il s’agit de Vénus en Scorpion au carré de Jupiter en Lion avec son maître Pluton.
Et pour ce qui est du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, je l’avais déjà quelque peu montré le 24 janvier 2011 sur mon ancien blog « Un petit coucou » sur la plateforme de blogs Overblog, ce dont l’intéressé s’était plaint à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011 en expliquant aussi avoir constitué avec plusieurs amis internautes un groupe de « déconnologues » revendiquant « donner de la bonne humeur aux gens » en se « moquant » tous ensemble sur le site Rue89 de femmes qui s’y disaient victimes de harcèlement moral dans le travail. En général, les gens paient pour avoir leur thème astral, moi je le lui fais gratis, et il en va s’en plaindre en réponse à ma plainte parfaitement justifiée pour de déjà très nombreuses infractions pénales avérées dont il reconnaît bien une partie… Par ailleurs, la criminelle sadique Isabelle Johanny avait trouvé absolument génial son cyberharcèlement en bande organisée clairement revendiqué à l’égard de femmes déjà victimes de harcèlement moral dans le travail, elle l’a écrit dans un des faux criminels qu’elle a produits par la suite pour le disculper entièrement et tous ses complices avec lui.
Comme je ne connais toujours pas l’heure de naissance du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, le 7 février 1958 à Strasbourg, je ne peux toujours pas en dire beaucoup plus et ne sais en particulier s’il n’aurait pas un ascendant Scorpion mettant encore davantage l’accent sur ce signe dans son thème astral.
Je fais seulement observer que sa moitié Annie Belléculée épouse Luraghi est elle bel et bien du signe du Scorpion, ce qui prouve l’importance de ce signe dans son thème à lui aussi. A l’évidence, c’est celui de leur couple, aussi pervers que les Fourniret ou Dutroux, dont on ne s’étonnera pas d’apprendre que Cyprien Luraghi avait âprement défendu l’épouse Michelle Martin sur Internet lors de sa libération conditionnelle en 2012. Notons que le signe du Scorpion est encore très présent dans ces deux autres couples de criminels sadiques, Marc Dutroux né le 6 novembre 1956 à Ixelles en Belgique et Monique Olivier née le 31 octobre 1948 à Tours en France étant tous deux natifs du Scorpion.
A ce stade, certains pourraient peut-être m’objecter que je suis moi aussi quelque part un gros Scorpion, ce qui saute aux yeux quand on dresse ma carte de ciel, mais il s’agit dans ce cas de toutes les violences que j’ai pu subir et subis encore, de tous les renoncements ou morts qui m’ont été imposés par des criminels. Le sadisme indiqué par le Scorpion peut en effet être aussi bien subi qu’infligé à des tiers. En général, les femmes en sont victimes tandis que les hommes en sont eux-mêmes acteurs. Un même sujet peut également être tour à tour victime ou acteur, c’est typiquement le cas des enfants maltraités ou victimes de pédocriminels qui reproduisent à l’âge adulte ce qu’ils ont subi enfants.
Revenons au cas de la fille dans le cercueil et tout ce qu’elle a subi de la part du dénommé Cameron Hooker, né le 5 novembre 1953 (voir ci-dessous), dont bien évidemment elle n’a jamais été amoureuse – il ne s’agit même pas de syndrome de Stockholm, mais simplement de l’instinct de survie comme elle l’explique très bien elle-même, en association à la proximité que ce criminel lui a imposée au quotidien durant sept ans en la privant de toute relation normale avec qui que ce soit.
Ce que je subis moi-même de la part de la sadique Isabelle Johanny depuis des années y ressemble quand même un peu.
Entre autres, elle m’a toujours fait porter la boîte de tête, conformément aux exigences de son donneur d’ordres le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’il avait bien exprimées publiquement sur son blog lorsqu’ont débuté les procédures judiciaires consécutives à ses « révélations » me concernant à compter du mois de juin 2010, lesquelles constituent dès le départ une mise en danger très grave de nombreuses personnes et ont toujours été associées à de multiples menaces de mort, des appels publics au meurtre ou à l’assassinat, exprimés par le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi jusque sur une multitude de sites islamistes et fréquentés par des voyous (ce que savait déjà l’ultra corrompue Céline Verdier la première fois qu’elle m’a auditionnée, et elle l’a toujours approuvé).
Je ne dois donc jamais rien voir ni savoir de tout ce que ce malade mental et ses divers complices inventent sur mon compte et complotent contre mes proches et moi-même, et ne dois non plus surtout pas être entendue par qui que ce soit, car ce sont les conditions de la réussite de tous les projets criminels qui nous concernent.
En effet, assassiner des gens, même ingénieurs, cela ne se fait pas, c’est criminel.
Tout ce que font les magistrats brestois pour obtenir ces assassinats, cela ne se fait pas non plus, c’est toujours illégal et criminel.
Ainsi, par exemple, n’ai-je jamais pu obtenir une seule copie du PV d’audition du 14 mars 2011 du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avant l’été 2014, car il ne fallait surtout pas que je sache ce qu’il avait pu déclarer à cette date et qui depuis était utilisé comme « témoignage » à charge contre moi. Pour commencer, aucun de mes avocats n’a jamais pu obtenir de copie du dossier de procédure correspondant après le classement sans suite de ma plainte au printemps 2011 alors que se préparait la visite à Brest du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, qui n’avait pas mis les pieds dans la région depuis au moins trente ans.
Même dans le cadre de l’information judiciaire ouverte sur ma plainte avec constitution de partie civile portant sur les mêmes faits, nous n’avons jamais pu obtenir la communication de ce dossier, quoique ses contenus jamais précisés m’étaient opposés pour motiver un refus catégorique d’informer. Même chose en ce qui concerne les interrogatoires de Josette Brenterch de mars 2011 et de Jean-Marc Donnadieu de juillet 2011. Il ne fallait surtout pas que je sache ce que ces trois-là avaient pu raconter (bien sûr, ils avaient tous les trois menti), et mes avocats non plus. A cet effet, la juge d’instruction ultra corrompue Céline Verdier, recrutée à demi-bac + école de cul pour devenir magistrate et jouir d’un véritable droit de mise à mort de qui lui déplaît, notamment de titulaires de baccalauréats complets et d’autres diplômes qui ne se délivrent pas davantage en échange de parties de jambes en l’air, s’est tout simplement toujours abstenue de coter toutes ces pièces de procédures préliminaires au dossier de l’information judiciaire durant tout le temps de son ouverture, de manière à nous rendre cette partie du dossier de l’information judiciaire, pourtant essentielle, totalement inaccessible durant l’information, ce qui bien évidemment est totalement illégal.
Et cela ressemble beaucoup au principe ayant présidé à toutes les procédures que les trois mêmes ont engagées en parallèle à mon encontre ou contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog, à savoir, le vice de procédure systématique, toujours dans le but d’interdire tout débat contradictoire sur le fond pour me priver à chaque fois de toute possibilité de défense au fond (car bien évidemment toutes leurs accusations à mon encontre ont toujours été mensongères), sans compter que pour la procédure brestoise, celle de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, je n’ai enfin eu la totalité du dossier de l’information judiciaire qu’une semaine avant l’audience programmée le 9 avril 2013 devant le tribunal correctionnel de Brest, une première partie de ce dossier ne m’ayant été communiquée qu’au cours de l’été 2012, après la fin de l’information judiciaire où j’avais pourtant été auditionnée et mise en examen deux fois, les 19 janvier et 25 avril 2012, tandis que Josette Brenterch, elle, y avait accès quand elle voulait depuis le début et ne se privait pas, d’audition en audition, de continuer à m’accuser mensongèrement de n’importe quoi.
Les faux en écriture publique que produisent également systématiquement dans tous les dossiers qui me concernent les mêmes magistrats sont des faux criminels.
La sadique Isabelle Johanny est encore complice du système mis en place en 2013 par le pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour pouvoir poursuivre toutes ses malfaisances tout en étant « protégé » de toute nouvelle plainte de ses victimes, j’en ai eu confirmation assez récemment.
Bien évidemment, tout comme les autres magistrats locaux, elle sait aussi qu’il rédige ou a déjà rédigé et cherche à faire publier une version de ma « biographie » susceptible de déplaire très fortement à toutes les personnes qui me connaissent ou m’ont connue, puisque, notamment, tout mon passé professionnel et mes deux années d’activité bénévole dans l’association AC ! Brest en 2004 et 2005 y sont remplacés par des histoires de cul complètement débiles avec les divers messieurs que j’ai eu l’occasion de côtoyer ou de croiser dans ces deux cadres-là, et que j’y suis tout aussi mensongèrement présentée comme une prostituée débile mentale et folle à lier alors qu’en réalité je suis ingénieur en informatique.
Nous en avions eu un premier échantillon dès l’été 2010 avec le cas du dénommé Joël Roma qui, contrairement aux prétentions du mythomane et de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, n’a jamais été ni mon amant ni mon ami. Cela a toujours continué tant que le blog principal du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi était entièrement public, et je suppose qu’il y en a encore des tonnes depuis qu’en 2013 il est devenu pour l’essentiel « privé ». Le pervers, qui en fait s’est toujours montré assez bavard sur ses méthodes et ses projets, avait bien indiqué dès le début qu’il savait que pour ridiculiser les ingénieurs ou les faire passer pour des fous ou des débiles, il faut leur inventer des tas d’histoires de cul débiles. C’est en effet l’une des méthodes habituellement suivies par les professionnels du harcèlement moral en entreprise, dont il fait bien lui-même partie, même s’il n’attaque toujours qu’en étant à l’extérieur de l’entreprise, tout comme sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, dont quelques-unes des lettres de dénonciations calomnieuses dont elle est coutumière m’avaient été communiquées dès 2005.
En l’occurrence, toutes leurs affabulations calomnieuses me concernant peuvent bien faire réagir comme en étant potentiellement atteintes elles aussi quelques centaines de personnes. Il y en a encore autant pour chacun de mes proches, et pour mon père qui est assez connu dans certains milieux, les témoins gênants de nos vraies vies, tous susceptibles de faire des histoires à ce pauvre Cyprien Luraghi s’il publie sa version entièrement fausse et hautement délirante de ma « biographie », se comptent plutôt par milliers ou dizaines de milliers.
Toutes ces personnes sont donc activement recherchées depuis maintenant une douzaine d’années pour être toutes éliminées, comme le savent bien, aussi, depuis le début, les magistrats brestois, lesquels ont toujours adhéré à tous les projets du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre en toute connaissance de cause, puisqu’ils savaient déjà absolument tout de ma famille et de moi-même depuis fort longtemps lorsqu’ont débuté ses cyberharcèlements à mon encontre, en 2008.
A combien d’assassinats ces criminels en sont-ils aujourd’hui, uniquement pour pouvoir tranquillement publier une montagne d’inventions calomnieuses sur mon compte ? Eux seuls le savent.
Enfin, je rappelle que la « Compagnie » de la criminelle Isabelle Johanny n’a vraiment rien de fictif.
Elle en a même plusieurs à sa disposition, toutes plus réelles les unes que les autres :
- la police,
- la gendarmerie,
- l’Union syndicale des magistrats,
- l’hypersyndicat de la fonction publique NPA, anciennement LCR,
- l’armée occulte de psychopathes toxicomanes du même NPA,
L’affaire Hooker, qui était appelée affaire Colleen Stan avant que l’auteur de ce crime soit condamné, est une affaire criminelle américaine dans laquelle Colleen Stan, 20 ans, a été enlevée le 19 mai 1977 par Cameron et Janice Hooker. Ils la séquestrent dans leur maison à Red Bluff, en Californie, jusqu’en 1984. Ils l’ont utilisée comme esclave sexuelle. Lors du procès de Cameron Hooker, cette affaire est décrite comme sans précédent dans l’histoire du FBI1. Son cas a fait l’objet d’une médiatisation internationale et a fait l’objet de nombreux livres, films et séries télévisées.
Biographie
Colleen J. Stan est une Américaine née le 31 décembre 19562,3.
Enlèvement
Le 19 mai 1977, Colleen Stan faisait de l’auto-stop de chez elle à Eugene, en Oregon, à la maison d’un ami dans le nord de la Californie, où elle se rendait à une fête d’anniversaire4. Cameron Hooker (né le 5 novembre 1953) a enlevé Stan, âgée de 20 ans5. Stan a déclaré qu’elle était une auto-stoppeuse expérimentée et qu’elle avait laissé passer deux conducteurs avant d’accepter le trajet avec Hooker. Elle se serait « sentie en confiance en montant dans le fourgon bleu »6, parce que la femme de Hooker, Janice, et leur bébé étaient dans la voiture7. Quand ils se sont arrêtés à une station-service en cours de route, Stan est allée aux toilettes. « Une voix m’a dit de courir et de sauter par la fenêtre et de ne jamais regarder en arrière », se souvient-elle, mais elle a calmé ses peurs et est retournée à la voiture. Selon les témoignages de Stan et Janice Hooker, une fois seuls dans un endroit isolé, Hooker a quitté l’autoroute et a mis un couteau sous la gorge de Stan8, qui a ensuite été enfermée dans une « boîte de tête » en bois conçue pour empêcher la lumière, le son et l’air frais de pénétrer9. Durant ces 7 années de captivité, Colleen sera enfermée 22h sur 24 dans un cercueil sous le lit de Cameron Hooker.
Emprisonnement
En 1985, Hooker est condamné à 104 années de prison ferme.
Conséquences et séquelles
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Colleen aimait son agresseur au moment de témoigner à la cour. C’est ce que l’on appelle le syndrome de Stockholm. Colleen reprend peu à peu une vie normale, autant que faire se peut, après un tel traumatisme. Elle a réussi à obtenir une licence universitaire et à se reconstruire grâce à un mariage et une petite fille.
« Colleen J Stan, Residence, Burney, California, United States », ‘United States Public Records, 1970-2009,’ database, FamilySearch (A third party aggregator of publicly available information), 23 mai 2014
Egan, Nicole Weisensee, « The ‘Girl in the Box’ Speaks: How I Survived Being Held Captive for 7 Years », People: Crime Series, 7 septembre 2016 (lire en ligne [archive], consulté le 22 janvier 2017)
Jim B. Green, Colleen Stan: The Simple Gifts of Life. Dubbed by the Media « The Girl in the Box » and « The Sex Slave », iUniverse, 2009 (ISBN978-1-4401-1837-1)
(en) Michael Newton, « Stan, Colleen », dans The Encyclopedia of Kidnappings, 2002 (lire en ligne [archive]), p. 293
Documentaires télévisés
« Colleen, séquestrée dans une boîte » (troisième reportage) le 7 et le 14 décembre 2013 et le 5, le 12 et le 20 avril 2014 dans Chroniques criminelles sur NT1.
Quant à Elisabeth Borne qui était déjà « épuisée » le 29 juin, on commence à se demander combien de temps elle va pouvoir rester en poste, car elle n’a pas fini d’en voir.
Le 14 juillet approche maintenant à grands pas et le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi va encore tenter d’en faire une grande fête islamiste, comme en 2016 pour sa procédure parisienne à mon encontre (il s’agissait alors de fêter mon assignation devant le TGI de Paris, du 12 juillet 2016).
Et cela ne va pas s’arrêter là, sauf bien sûr si les autorités se décident enfin à mettre ce malade et sa bande de cybercriminels dits « déconnologues » hors d’état de nuire.
Cependant, depuis le temps que ça dure, avec toujours la même complicité active des magistrats ultra corrompus du TJ de Brest, qui dès l’été 2010 savaient très bien ce qui allait se passer s’ils ne réagissaient pas en urgence aux exactions d’alors et en ont été réinformés à plusieurs reprises au cours des années suivantes, on doute très fortement d’une quelconque volonté d’empêcher de nouveaux massacres.
Notons au passage qu’Elisabeth Borne est une femme ingénieur qui n’est jamais sortie du cocon extrêmement protecteur de la fonction publique, n’a donc jamais connu les maltraitances que subissent régulièrement les ingénieurs du privé, particulièrement lorsqu’il s’agit de femmes, et par voie de conséquence n’en a pas non plus la résistance.
Pour l’exemple, je reprends mon cas personnel : les patrons voyous ayant besoin de coincer pour « faute » les ingénieurs qu’ils emploient afin de pouvoir ensuite en obtenir tout ce qu’ils veulent, mes anciens employeurs harceleurs ont à plusieurs reprises tenté de m’y conduire en me confiant des travaux jugés techniquement infaisables, à réaliser de plus sous des délais extrêmement tronqués ou même déjà dépassés lors de mon arrivée sur les projets dont il s’agissait. Or, à chaque fois, j’ai bien trouvé des solutions et réalisé tous les travaux demandés en un temps record. Résultat : en guise de « récompense », à chaque fois j’ai eu droit à de nouvelles violences physiques du fait que l’opération dite de « harcèlement moral » avait échoué. Mais pour les magistrats, toutes ces violences n’ont jamais été suffisantes, une femme ingénieur ne « mérite », comme dira l’un d’entre eux, que d’être torturée à mort et de voir aussi mourir tous les siens de même, tant qu’à faire, car tous les proches d’une femme ingénieur en sont eux-mêmes fautifs ou coupables, surtout ceux qui ont mis au monde un tel monstre.
Remaniement. Damien Abad dénonce des « calomnies ignobles » en quittant le gouvernement
Le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et du Handicap, Damien Abad, qui fait l’objet d’une enquête pour tentative de viol, n’a pas été reconduit dans le nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne. Lors de la passation de pouvoir, le député a jugé « préférable, face aux calomnies ignobles dont (il est) la cible », de pouvoir se « défendre sans entraver l’action du gouvernement ».
Visé par une enquête pour tentative de viol, Damien Abad ne fait pas partie du nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne. Le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées a été écarté lors du remaniement annoncé ce lundi 4 juillet. Il est remplacé par Jean-Christophe Combe, directeur général de la Croix-Rouge.
Accusé de violences sexuelles par plusieurs femmes, l’ancien patron des députés LR nie les faits. S’il n’est plus ministre, Damien Abad ne quitte pas la vie politique pour autant. Il siégera à l’Assemblée nationale, après sa réélection dans la 5e circonscription de l’Ain aux dernières législatives.
« Je quitte ce ministère avec beaucoup de regret »
« Je quitte ce ministère avec beaucoup de regret […] on ne m’aura pas laissé le temps », a-t-il déclaré lors de la passation de pouvoir au ministère des Solidarités. « Je vais poursuivre mon action dans ma circonscription et à l’Assemblée nationale », a assuré le député.
À propos des accusations de tentative de viols, l’ancien patron de LR a dénoncé des « calomnies ignobles » et dit vouloir se « défendre sans entraver l’action du gouvernement ».
« La calomnie est devenue une arme politique […] Je me battrai contre ce mouvement qui relègue la présomption d’innocence au rang de vieillerie sans importance », a-t-il dit encore
La gynécologue de 46 ans, qui dément toutes les accusations, est visée par deux plaintes pour viol et une troisième plainte pour violences sans incapacité de travail par personne chargée d’une mission de service public. Le parquet de Paris a ouvert une enquête.
Contrairement à Damien Abad, l’ancienne députée européenne, accusée par plusieurs anciennes patientes de viol dans le cadre de ses activités de gynécologue est maintenue au gouvernement.
Contrairement à Damien Abad, Chrysoula Zacharopoulou reste au gouvernement. Un peu plus d’un mois après avoir été nommée secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Affaires étrangères chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, la Franco-Grecque a été reconduite dans le second gouvernement d’Elisabeth Borne. Et ce, malgré, des accusations de viols qui auraient été perpétrés durant l’exercice de sa profession de gynécologue dans les années 2010.Le 22 juin dernier, le magazine Marianne révèle qu’une enquête a été ouverte par le parquet de Paris le 27 mai après deux plaintes déposées contre la secrétaire d’Etat pour des viols supposés intervenues dans le cadre de ses fonctions de gynécologue à Paris pour «déterminer si les faits sont susceptibles de tomber sous le coup d’une qualification pénale». Il s’agirait de pénétrations lors d’examens médicaux sans avoir obtenu le consentement des patientes, pourtant consacré par la loi dite Kouchner du 4 mars 2002.
Deux jours plus tard, une troisième femme porte plainte contre l’ex-députée européenne spécialiste de l’endométriose, pour «violences sans incapacité de travail par personne chargée d’une mission de service public». Dans la foulée des plaintes, les témoignages contre la secrétaire d’Etat s’accumulent. Auprès de Libération, deux anciennes patientes font état de rendez-vous «traumatisants». «J’ai hurlé de douleur et pleuré», [après un toucher vaginal fait sans prévenir ndlr], raconte par exemple, Nina. Ce à quoi la médecin aurait répondu : «arrêtez de faire votre chochotte.»
Mise en cause, Chrysoula Zacharopoulou s’est défendue dans un communiqué le 24 juin dernier. «Les accusations graves à mon encontre, portant sur des examens cliniques médicaux réalisés afin de diagnostiquer et de soigner la maladie de mes patientes, sont inacceptables et révoltantes», écrit-elle. La macroniste qui affirme n’avoir «jamais imposé le moindre examen à aucune de mes patientes sans leur consentement» souligne que les plaintes «ont été déposées dans les jours qui ont suivi [sa] nomination au gouvernement et qui concernent des consultations qui seraient intervenues il y a plusieurs années». Comprendre : il s’agirait d’une cabale à but politique.
A son tour interrogée sur LCI, la Première ministre Elisabeth Borne a assuré que Chrysoula Zacharopoulou lui «a dit qu’elle était très surprise, voire choquée, qu’on puisse questionner sa pratique médicale». «Mais je pense que les plaintes sont déposées, la justice va faire son travail» et sa secrétaire d’Etat «aura l’occasion de s’expliquer», a poursuivi la cheffe du gouvernement qualifiant de «débat important» celui «du consentement quand on fait des examens».
Selon les informations du Canard Enchaîné, dévoilées ce mercredi 29 juin, Elisabeth Borne perdrait patience. La raison ? La médiatisation de plusieurs graves accusations de viols visant des membres de son gouvernement.
Le lundi 16 mai, après plusieurs jours interminables de réflexion, Emmanuel Macron dévoilait enfin le nom de sa Première ministre : Elisabeth Borne. Un choix réalisé sans grande surprise puisque cette diplômée de l’École Polytechnique a été un véritable pilier du gouvernement durant le premier quinquennat du président de la République, qui souhaitait voir une femme devenir son bras droit. Ministre chargée des Transports, puis de la Transition écologique et finalement du Travail, Elisabeth Borne a donc succédé à Jean Castex, pour le meilleur et pour le pire. Et actuellement, surtout pour le pire…
Comme le révèlent nos confrères du Canard Enchaîné, ce mercredi 29 juin, la Première ministre aurait quelque peu déchanté depuis ses prises de fonction à Matignon. Lassée par les polémiques qui éclaboussent les nouveaux arrivants au sein de son gouvernement, en plus de devoir gérer les critiques la concernant, notamment après la claque de la Macronie lors des législatives, Elisabeth Borne aurait lâché, auprès de son entourage : « Je commence à être fatiguée des conneries relayées par la presse. Chaque semaine, je me tape un nouveau truc sexuel sur Damien Abad. » Et les accusations qui pèsent contre le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées ne semblent pas être les seules à lui donner un coup au moral.
Des affaires qu’elle ne pensait pas avoir à gérer publiquement
D’après les informations de nos confrères, Elisabeth Borne aurait poursuivi, avec agacement : « Et, quand ça commence à se calmer, on me sort une histoire de viol gynécologique de Chrysoula Zacharopoulou[qui a été nommée Secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux à la place de Jean-Baptiste Lemoyne, NDLR].« Visiblement pas du tout prête à devoir s’exprimer sur de telles accusations qui font tache au sein de son gouvernement, la Première ministre aurait ajouté, dépitée : « Je n’avais pas signé pour gérer ce genre d’affaires. » De quoi inspirer Le Canard Enchaîné, qui a supposé que la femme politique avait probablement accepté ses nouvelles fonctions « pour tenter de faire avaler, avec le moins de dégâts possible, la réforme des retraites »… sans vraiment réaliser la « variété » de ses missions.
Durant la campagne présidentielle de 2017, Emmanuel Macron promettait une « République exemplaire » en cas d’élection. Cinq ans plus tard, en plus des candidats investis par la majorité aux législatives malgré leurs problèmes judiciaires, le gouvernement d’Elisabeth Borne ne compte pas moins de huit ministres et secrétaires d’Etat (sur 27, soit près de 30 % du gouvernement) épinglés, mis en cause ou poursuivis par la justice. Dernières en date : la secrétaire d’Etat à la Francophonie Chrysoula Zacharopoulou, visée par une enquête après deux plaintes pour viol, et la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna, nommée malgré plusieurs signalements pour son management.
Cela reflète la position d’Emmanuel Macron qui, quelques semaines après son élection en mai 2017, avait appelé à « en finir avec le viol permanent de la présomption d’innocence ». Pour le chef de l’Etat : pas de condamnation, donc pas coupable. En 2017, François Bayrou et Marielle de Sarnez, alors ministre de la Justice et ministre des Affaires européennes, avaient pourtant dû démissionner un mois après leurs nominations, car visés par une enquête préliminaire pour des soupçons d’emplois fictifs. « L’Obs » fait le point sur l’activité judiciaire de l’actuel gouvernement.
Chrysoula Zacharopoulou, secrétaire d’Etat à la Francophonie, visée par une enquête pour viol
Nommée en mai secrétaire d’Etat chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, Chrysoula Zacharopoulou est visée par une enquête après le dépôt de deux plaintes pour viol. Selon les informations de « Marianne », les faits reprochés auraient été commis dans le cadre de sa profession de gynécologue.
La première plainte dénonçant des faits de viol a été déposée le 25 mai et l’enquête ouverte deux jours plus tard, a précisé le parquet. Concernant la deuxième plainte, les faits imputés se seraient déroulés « dans un cadre médical » en 2016 et concerneraient une femme majeure. L’enquête a été confiée à la Brigade de Répression de la Délinquance contre la Personne (BRDP).
Catherine Colonna, ministre des Affaires étrangères, visée par plusieurs signalements pour harcèlement
La nomination de Catherine Colonna au Quai d’Orsay a été actée malgré plusieurs signalements pour harcèlement, selon les informations de Mediapart. Alors ambassadrice de France au Royaume-Uni, Catherine Colonna a été visée par plusieurs signalements adressés à la cellule « tolérance zéro » du Quai d’Orsay au début de l’année 2022. Des témoignages qui devaient donner lieu à une inspection générale, suspendue après sa nomination au gouvernement.
Selon le média d’investigation, un signalement avait même déjà été effectué à la suite d’une inspection menée à l’ambassade d’Italie à Rome à l’époque où Catherine Colonna y était, entre 2014 et 2017. Les témoignages décrivent des faits s’apparentant à du harcèlement moral. « Il est connu que Mme Colonna a des pratiques consistant à briser les gens », rapporte un diplomate à « Libération ». D’après lui, « Emmanuel Macron a nommé ministre la diplomate la plus détestée du réseau diplomatique ».
Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, accusé de viol
Plusieurs ministres sont accusés de violences sexuelles, à l’instar du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, visé par une accusation de viol et de trafic d’influence qui émanent de deux femmes différentes.
Il est accusé d’avoir promis un « service » à une femme en échange de faveurs sexuelles en 2009. Deux plaintes simples déposées en juin 2017 et janvier 2018 avaient été classées sans suite. Une troisième plainte déposée en mars 2018 par la même plaignante avec constitution de partie civile avait été classée sans suite dans un premier temps, puis relancée par la cour d’appel de Paris en juin 2020. Le parquet de Paris a requis un non-lieu début 2022.
Une autre femme avait porté plainte en février 2018, disant s’être « sentie obligée » d’avoir des relations sexuelles avec le ministre, alors maire de Tourcoing, pour obtenir logement et emploi. L’enquête préliminaire pour « abus de faiblesse »avait été classée sans suite en mai de la même année.
Damien Abad, ministre des Solidarités, accusé de viol
Au lendemain de sa nomination au gouvernement, le ministre des Solidarités Damien Abad a été accusé de viol par deux femmes. Selon les informations de Mediapart, les faits présumés remontent à 2010 et 2011 : la première femme, âgée de 41 ans, a adressé une lettre à l’Observatoire des Violences sexistes et sexuelles en Politique le 13 mai, dans laquelle elle « souhaite témoigner des faits de viol concernant Damien Abad », alors pressenti pour entrer au gouvernement. La seconde femme a pour sa part porté plainte pour « viol » en 2017, classée sans suite.
Le site d’investigation avait publié le 14 juin de nouvelles accusations de la part d’une « élue centriste » qui dit avoir subi une tentative de viol en 2010. Le parquet de Paris avait finalement indiqué le 25 mai qu’il n’ouvrait pas d’enquête préliminaire« en l’état », estimant ne pas disposer « d’élément permettant d’identifier la victime des faits dénoncés ».
Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, soupçonné de « prise illégale d’intérêts »
Elle est connue comme étant « l’affaire Dupond-Moretti » et remonte à janvier 2021 quand la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) ouvre une information judiciaire pour « prise illégale d’intérêts » dans deux dossiers. Le garde des Sceaux, mis en examen en juillet 2021, est soupçonné d’avoir profité de sa fonction gouvernementale pour régler des comptes avec trois magistrats du Parquet national financier (PNF) qui avaient fait éplucher ses relevés téléphoniques détaillés (fadettes) quand il était encore avocat.
Le ministre est également accusé d’avoir diligenté des poursuites administratives contre un ancien juge d’instruction qui avait mis en examen un de ses ex-clients. Le 10 mai, le ministère public de la CJR a jugé qu’il existait des « charges suffisantes » contre le ministre pour le renvoyer en procès devant la Cour. La commission d’instruction de la CJR a ensuite rejeté la demande d’annulation de la mise en examen formulée par les avocats du ministre.
Sébastien Lecornu, ministre des Armées, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts »
Promu dans le nouveau gouvernement, l’ex-ministre des Outre-mer est visé depuis mars 2019 par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « omission de déclaration à la HATVP », la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie publique. Dans sa déclaration, Sébastien Lecornue mentionnait avoir touché 7 874 euros brut de « jetons de présence » en tant qu’administrateur de la Société des Autoroutes Paris Normandie (SAPN) entre 2016 et 2017. Le problème : il présidait alors le département de l’Eure et a approuvé plusieurs délibérations en lien avec la SAPN, dont l’une d’elles concernerait un projet pour lequel le département de l’Eure a déboursé un million d’euros, selon « le Canard Enchaîné ». Ila été entendu en avril par la police anticorruption lors d’une audition libre et l’enquête suit son cours.
Olivier Dussopt, ministre du Travail, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption »
Autre promu du gouvernement Borne, Olivier Dussopt est visé par une enquête préliminaire du Parquet national financier pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption », selon les informations de Mediapart en juin 2020. Alors qu’il était député et maire d’Annonay (Ardèche) en janvier 2017, il avait accepté deux lithographies en cadeau par la société de traitement de l’eau Saur. Six mois après la réception des œuvres, l’ex-ministre de l’Action et des Comptes publics avait signé un contrat entre l’entreprise et sa commune. Après une perquisition au domicile du ministre par l’Office central de Lutte contre la Corruption et les Infractions financières et fiscales en août 2020, l’enquête est toujours en cours.
Justine Benin, secrétaire d’Etat chargée de la Mer, accusée de clientélisme
Défaite lors des législatives, Justine Benin devrait quitter prochainement le gouvernement. Pour autant, elle est accusée par Mediapart d’avoir, en tant que députée, utilisé l’argent du MoDem pour arroser les associations de sa commune du Moule en Guadeloupe, alors qu’elle était candidate à la mairie.
Dans les comptes du parti centriste des années 2019 et 2020, le média d’investigation a repéré pas moins de 37 000 euros qui ont été versés à 14 organisations locales. L’argent ayant été versé en pleine période électorale, certaines dépenses auraient dû apparaître sur le compte de campagne du MoDem. Pour Mediapart, « la visée électorale est transparente ». Traduction : il s’agit de « clientélisme ».
Son terrain de chasse favori à compter des débuts d’Internet fut aussi celui du criminel multidisciplinaire Pascal Edouard Luraghi, dit Cyprien Luraghi, à savoir les sites de rencontres des amateurs de BDSM, où le second a trouvé le texte qui l’a fait connaître des milieux sado-masochistes français après qu’il l’eût traduit en français.
L’un et l’autre sont toujours motivés par l’argent, leurs crimes sont avant tout crapuleux.
Tous deux menteurs, affabulateurs, escrocs et manipulateurs, ils font également preuve de sadisme et d’une perversité qui les conduit à se faire tout spécialement reconnaître comme « humanistes » ou individus de grands mérites par ceux-là même qu’ils prennent plaisir à tromper.
Pour ce qui concerne le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, il s’agit depuis les années 2010 à 2012 des autorités judiciaires françaises, qu’auparavant il n’avait jamais pensé pouvoir un jour berner au point où il le fait avec tout ce qui me concerne. Mais il n’avait non plus jamais rencontré de magistrats comme ceux de Brest. Il l’a écrit sur son blog aux tout débuts. Avant, pour la justice, c’était toujours lui le coupable – forcément, il a toujours été hors la loi depuis son adolescence. Et là, pour la première fois de sa vie, il était considéré comme quelqu’un de bien, assez pour que les autorités judiciaires puissent le croire sur parole, sans jamais en exiger de justifier quoi que ce soit, lui que même ses proches qualifient de mythomane, et mieux encore, comme la victime de femmes qu’en réalité il harcelait comme un malade avec toute sa bande de « déconnologues » quasiment depuis son arrivée sur le site Rue89 en 2008. Il n’en revenait pas lui-même, laissait éclater sa joie, exultait, appelait même la juge brestoise ultra corrompue qui violait la loi pour le satisfaire son « bon Dieu ». Me harcelant, se rendant coupable à mon encontre de très nombreux faits répréhensibles depuis 2008, non seulement il a toujours été totalement « blanchi » par cette « justice » brestoise incarnée par des magistrats qui à cet effet ont systématiquement produit des faux en écriture publique, mais de plus, il se voyait offrir la possibilité de tenter de me faire condamner, moi sa victime, à payer très cher pour des infractions pénales tout droit sorties de son imagination et il ne s’en est pas privé. Il n’a finalement pas réussi à obtenir la moindre condamnation à mon encontre, mais a bien convaincu nombre de ses complices harceleurs de prolonger eux aussi leurs cyberharcèlements à mon encontre par le même type de harcèlement judiciaire à base de dénonciations calomnieuses et de procédures abusives, les uns après les autres. Pour l’heure, aucun n’est parvenu à me faire condamner, mais le jeu n’est toujours pas terminé, il est sans fin et chaque nouvelle procédure produit toujours les mêmes espoirs de réussite chez le pervers en chef qui se plaît alors à faire connaître sa très grande joie avec de nouveaux attentats islamistes annonciateurs des explosions bien plus dévastatrices qui surviendront du jour où il aura enfin atteint son but, ou plus exactement, le premier de ses buts, un tremplin pour la suite de ses projets criminels et terroristes, qu’il avait annoncés eux aussi dès le départ, en 2008 – à travers moi, il vise en fait l’Etat français, pour lequel j’ai jadis travaillé.
Passons maintenant au thème astral de John Edward Robinson, né le 27 décembre 1943.
Ne connaissant pas son heure de naissance, je ne peux le dresser entièrement et ne m’arrête qu’aux positions planétaires indiquées dans la carte reproduite ci-dessous, l’ascendant et la domification correspondant à une heure de naissance arbitrairement fixée à 12h00.
Contrairement au psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, John Edward Robinson n’est pas né sous le signe de Verseau mais sous celui du Capricorne qui le précède.
Ses maîtres sont Saturne et Mars, tous deux en Gémeaux avec Uranus maître du Verseau.
Ce Capricorne est donc en fait très proche d’un Verseau.
Because he made contact with most of his post-1993 victims via online chatrooms, Robinson is sometimes referred to as « the Internet’s first serial killer ».[2]
John Robinson was born in Cicero, Illinois, the third of five children of an alcoholic father and a disciplinarian mother.[2]: 4 In 1957, Robinson became an Eagle Scout and traveled to London with a group of Scouts who performed before Queen Elizabeth II. He enrolled at Quigley Preparatory Seminary in Chicago, a private boys school for aspiring priests, but dropped out after one year due to disciplinary issues.[3][4]
In 1961, Robinson enrolled at Morton Junior College in Cicero to become a medical radiographer, but dropped out after two years. In 1964, he moved to Kansas City and married Nancy Jo Lynch, who gave birth to their first child, John Jr., in 1965, followed by daughter Kimberly in 1967, and twins Christopher and Christine in 1971.
Early crimes
In 1969, Robinson was arrested in Kansas City for embezzling $33,000 from the medical practice of Dr. Wallace Graham, where he worked as a radiographer using forged credentials. He was sentenced to three years’ probation.[3] The following year he violated probation by moving to Chicago without his probation officer’s permission and gained a job as an insurance salesman at the R.B. Jones Company. In 1971, he was arrested for embezzling funds and was ordered back to Kansas City, where his probation was extended. In 1975, Robinson’s probation was extended again after an arrest on charges of securities fraud and mail fraud in connection with a phony medical consulting company he had formed.
Robinson became a Scoutmaster, a baseball coach and a Sunday school teacher. In 1977, he was named to the board of directors of a local charitable organization where he forged letters from its executive director to the mayor of Kansas City and from the mayor to civic leaders, naming him as the organization’s Man of the Year. Under that guise, he hosted an awards luncheon in his honor.[3]
After completing his probation In 1979, Robinson was arrested for embezzlement and check forgery, for which he served sixty days in jail in 1982. After his release, he formed a bogus hydroponics business and stole $25,000 from a friend to whom he promised a fast investment return so the friend could pay for his dying wife’s health care.[2]: 4
Murders begin
In 1984, having established two more fraudulent shell companies (Equi-Plus and Equi-2), Robinson hired Paula Godfrey, aged 19, ostensibly to work as a sales representative. Godfrey told friends and family that Robinson was sending her away for training. After hearing nothing further from her, Godfrey’s parents filed a missing persons report. Police questioned Robinson, who denied any knowledge of her whereabouts. Several days later her parents received a typewritten letter, with Godfrey’s signature at the bottom, thanking Robinson for his help and asserting that she was « OK » and did not want to see her family. The investigation was terminated, as Godfrey was of legal age and there was no evidence of wrongdoing. No trace of Godfrey has ever been found.[2]
In 1985, using the name John Osborne, Robinson met Lisa Stasi and her four-month-old daughter, Tiffany, at a women’s shelter in Kansas City. He promised Stasi a job in Chicago, an apartment, and daycare for her infant, and asked her to sign several sheets of blank stationery. A few days later, he contacted his brother Don and sister-in-law, Helen, who had been unable to adopt a baby through traditional channels, and informed them that he knew of a baby whose mother had committed suicide. For $5,500 in « legal fees », the couple received Tiffany (whose identity was confirmed by DNA testing in 2000[5]) and a set of authentic-appearing adoption papers with the forged signatures of two lawyers and a judge. Stasi was never heard from again.[2]: 4
In 1987, Catherine Clampitt, aged 27, left her child with her parents in Wichita Falls, Texas, and moved to Kansas City to find employment. She was hired by Robinson, who reportedly promised her extensive travel and a new wardrobe. She vanished in June of that year. Her missing persons case remains open.[5]
From 1987 to 1993, Robinson was incarcerated, first in Kansas (1987–1991) on multiple fraud convictions and thereafter in Missouri for another fraud conviction and parole violations. At Western Missouri Correctional Facility, he met 49-year-old Beverly Bonner, the prison librarian, who upon his release left her husband, a prison doctor, and moved to Kansas to work for him. After Robinson arranged for Bonner’s alimony checks to be forwarded to a Kansas post office box, her family never heard from her again. For several years, Bonner’s mother continued forwarding her alimony checks and Robinson continued cashing them.[3]
By then, Robinson had discovered the Internet and roamed online chatrooms using the name « Slavemaster », looking for women who enjoyed playing the submissive partner role during sex. An early online correspondent was Sheila Faith, aged 45, whose 15-year-old daughter Debbie was a wheelchair user due to spina bifida. Robinson, portraying himself as a wealthy businessman and philanthropist, offered to pay Debbie’s medical expenses and give Sheila a job. In 1994, the mother and daughter moved from Fullerton, California, to Kansas City and immediately disappeared. Robinson cashed Faith’s pension checks for the next seven years.[2]: 6
Gradually, Robinson became well known in increasingly popular BDSM chatrooms. In 1999, he offered a job and a bondage relationship to Izabela Lewicka, a 21-year-old Polish immigrant living in Indiana. When she moved to Kansas City, Robinson (who was still married to Nancy) gave Lewicka an engagement ring and brought her to the county registrar, where they paid for a marriage license that was never picked up. It is unclear whether Lewicka believed that she and Robinson were married; she told her parents she had married, but never told them her husband’s name. She did sign a 115-item slave contract that gave Robinson almost total control over every aspect of her life, including her bank accounts. Some time during the summer of 1999, she disappeared. Robinson told a web designer he employed that she had been caught smoking marijuana and deported.[2]: 8
Around the time of Lewicka’s disappearance, a licensed practical nurse named Suzette Trouten moved from Michigan to Kansas to travel the world with Robinson as his submissive sex slave. Trouten’s mother received several typed letters signed by her daughter and purportedly mailed while the couple was abroad, although the envelopes all bore Kansas City postmarks. The letters were, her mother said, uncharacteristically mistake-free. Later, Robinson told Trouten’s mother that she had run off with an acquaintance after stealing money from him.[2]: 9
Arrest
Over time, Robinson became increasingly careless, and his ability to avoid detection declined. By 1999, he had attracted the attention of authorities in both Kansas and Missouri as his name frequently came up in missing persons investigations.
Robinson was arrested in June 2000, at his farm near La Cygne, Kansas, after a woman filed a sexual battery complaint against him and another charged him with stealing her sex toys.[1] The theft charge finally gave investigators the probable cause they needed to obtain search warrants. On the farm, a task force found the decaying bodies of two women, later identified as Lewicka and Trouten, in two 85-pound chemical drums.[2]: 9
Across the state line in Missouri, investigators searched a storage facility where Robinson rented two garages and found three similar chemical drums containing corpses subsequently identified as Bonner, Faith, and Faith’s daughter. All five women were killed in the same way, by one or more blows to the head with a blunt instrument.[2]: 9
Conviction
In 2002, Robinson stood trial in Kansas for the murders of Trouten, Lewicka and Stasi, and multiple lesser charges. After the longest criminal trial in Kansas history,[6] he was convicted on all counts. He received the death penalty for the murders of Trouten and Lewicka, and life imprisonment for Stasi’s murder because she was killed before Kansas reinstated the death penalty. He received a 5-to-20-year prison sentence for interfering with the parental custody of Stasi’s baby, 20.5 years for kidnapping Trouten, and seven months for theft.[2]: 9
After his Kansas convictions, Robinson faced murder charges in Missouri, based on the evidence discovered in that state. Missouri is aggressive in its pursuit of capital punishment convictions and Robinson’s attorneys wanted to avoid a trial there.[6]Chris Koster, the Missouri prosecutor, insisted as a condition of any plea bargain that Robinson lead authorities to the bodies of Stasi, Godfrey and Clampitt. Robinson, who has never cooperated in any way with investigators, refused, but Koster still faced pressure to make a deal because his case was not technically airtight — among other issues, there was no unequivocal evidence that any of the murders had actually been committed within his jurisdiction. Robinson, on the other hand, faced pressure to plead guilty to avoid an almost certain death sentence in Missouri, and failing that, yet another capital murder trial back in Kansas.[7][unreliable source?]
When it became clear that the women’s remains would never be found without Robinson’s cooperation, a compromise of sorts was reached: in a carefully scripted plea in October 2003, Robinson acknowledged that Koster had enough evidence to convict him of capital murder for the deaths of Godfrey, Clampitt, Bonner and the Faiths. Though his statement was technically a guilty plea, and was accepted as such by the Missouri court, observers remarked that it was notably devoid of any contrition or specific acceptance of responsibility.[2]: 15 Robinson received a life sentence without possibility of parole for each of the five murders.[7]
In November 2015, the Kansas Supreme Court vacated the Trouten and Stasi murder convictions on technicalities, but upheld the Lewicka conviction and its accompanying death sentence. The ruling marked the first time that Kansas’s highest court has upheld a death sentence since reinstatement of capital punishment there in 1994. Robinson currently remains on death row at the El Dorado Correctional Facility in Kansas.[6]
Aftermath
In 2005, Nancy Robinson filed for divorce after 41 years of marriage, citing incompatibility and irreconcilable differences.[7]
In 2006, Stasi’s daughter—known since her (faked) adoption as Heather Robinson—filed a civil suit against Truman Medical Center in Kansas City and social worker Karen Gaddis. The suit accused Gaddis of putting Robinson in contact with Stasi and her newborn daughter in 1984, after he told Gaddis that he ran a charitable organization providing assistance to « unwed mothers of white babies. » In 2007, Heather and the hospital reached a settlement for an undisclosed sum, which Robinson said she would split with her biological grandmother, Patricia Sylvester.[7] Heather won a second judgment, in 2007, preventing Robinson from profiting from any future potential book sales or film rights.[8]
In 2006, the body of a young woman was found in a barrel in an area of rural Iowa where Robinson reportedly had a business partner. She was initially considered a possible victim of Robinson, but was later identified as Lois Tomich, who police believe was killed by her ex-husband.[9][10]
Kansas and Missouri police note that long stretches of Robinson’s time remain unaccounted for, and they fear that there are additional undiscovered victims. « He’s maintained the secrets about what he’s done with the women, he won’t ever tell, it’s the last control that he’s got, » said one investigator. « There are [probably] other barrels waiting to be opened, other bodies waiting to be found. »[1]
Victims
Robinson is known to be responsible for eight homicides, but his total victim tally remains unknown. The following is a chronological summary of the victims identified thus far:
1984: Paula Godfrey (age 19); remains never recovered
1985: Lisa Stasi (age 19); remains never recovered
1987: Catherine Clampitt (age 27); remains never recovered
1993: Beverly Bonner (age 49): remains discovered at storage facility in Raymore, Missouri
1994: Sheila Faith (age 45) and Debbie Faith (15): remains of both discovered at storage facility in Raymore, Missouri
1999: Izabela Lewicka (age 21): remains discovered at Robinson’s ranch near La Cygne, Kansas
2000: Suzette Trouten (age 28): remains discovered at Robinson’s ranch near La Cygne, Kansas
In popular culture
A 2001 book by John Glatt, Internet Slave Master (ISBN0312979274), documented Robinson’s life up to the time of his Kansas trial. A second book by Glatt, Depraved (ISBN0312936842), published in 2005, focused on the lives of Robinson’s victims and others affected by his crimes.
Anyone You Want Me to Be: A True Story of Sex and Death on the Internet (ISBN1439189471) by John Douglas and Stephen Singular was published in 2003.
Sue Wiltz’ book Slave Master was published in 2004.
Logan, C. (26 May 2007). Woman Wins Lawsuit to Halt Profit Sought by Man Who Killed Her Mother. Yahoo Voices archiveArchived 2013-10-04 at the Wayback Machine. Retrieved 2 October 2013.
Si les attaques terroristes de Mohammed Merah ont pu surprendre beaucoup de monde en mars 2012 (moi très peu, je craignais ce genre de chose depuis juin 2010 et avais compris tout de suite de quoi il retournait le 11 mars 2012 lors de la sortie de la dépêche AFP concernant le premier assassinat de militaire), aujourd’hui nous en sommes quand même à une dizaine d’années d’actes terroristes qui permettent très largement d’analyser le phénomène et de le comprendre suffisamment pour y mettre un terme.
J’en ai déjà parlé à de multiples reprises.
Je rappelle encore ce qui suit :
A chaque fois que j’arrive à faire entendre une part de vérité dans le conflit tout à fait hallucinant qui m’oppose aux criminels de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis les années 2008 à 2010, ça se calme.
Et pourquoi donc ?
Tout simplement parce que le malade mental de Puy-l’Evêque n’a plus de quoi pavoiser et poursuivre sa fête islamiste.
Elles sont soupçonnées d’avoir apporté un soutien logistique et/ou financier à un djihadiste français présent dans la zone syro-irakienne.
Le RAID était déjà intervenu dans le quartier de Croix-Rouge, en janvier 2015, à la recherche des frères Kouachi. – Archives Christian Lantenois
Trois personnes ont été mises en examen vendredi pour « financement du terrorisme » et placées sous contrôle judiciaire par un juge d’instruction antiterroriste parisien. Selon une source proche du dossier, ces personnes sont soupçonnées d’avoir apporté un soutien logistique et/ou financier à un djihadiste français présent dans la zone syro-irakienne.
Dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte en mars, ces trois personnes avaient été interpellées mardi matin à Reims avec trois autres par des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et du Raid.
L’opération avait été menée dans la plus grande discrétion, à Croix-Rouge. Parmi les rares témoins, un homme habitué à se promener dès 6 heures, avait rapporté avoir vu « des flics en planque » dans le secteur de l’allée des Limousins.
Il s’agissait d’une intervention de la DGSI menée avec l’appui du RAID, dans le cadre d’une enquête pilotée depuis Paris. Contacté, le procureur de Reims Matthieu Bourrette n’avait pas confirmé l’information, sans l’infirmer non plus, se contentant d’indiquer que cette enquête n’avait effectivement « rien de local ». Sollicités par L’union, le parquet de Paris et le parquet national antiterroriste n’avaient pas donné suite.