Busset en 1995 et Ille-sur-Têt en 2022 : des femmes équarrisseuses…

 

 

 

Cold case ou hot case, même solution à quelques heures d’intervalle, c’est la compagne qui a tué et découpé…

Les deux femmes sont actuellement « dans le Jubillar » (dixit le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi), elles ont été écrouées quasi simultanément.

Depuis le temps que Luraghi exigeait qu’on accuse des femmes… cette fois, il est servi.

 

 

https://www.lamontagne.fr/busset-03270/actualites/27-ans-apres-la-decouverte-d-un-corps-decapite-a-busset-allier-l-affaire-doire-est-relancee-notre-grand-format_14153321/

27 ans après la découverte d’un corps décapité à Busset (Allier), l’affaire Doire est relancée : notre grand format

 

Publié le 30/06/2022 à 11h03

27 ans après la découverte d'un corps décapité à Busset (Allier), l'affaire Doire est relancée : notre grand format 

Près de 27 ans après la découverte du corps du chasseur décapité à Busset (Allier), l’affaire Christophe Doire est relancée.

Près de 27 ans après la découverte du corps du chasseur décapité à Busset (Allier), l’affaire Christophe Doire est relancée. Une garde à vue est en cours depuis mardi. Alors que le parquet de Cusset doit s’exprimer ce jeudi soir, retrouvez notre grand format.

Deux mois après que le corps de Christophe Doire a été exhumé, une personne a été placée en garde à vue, mardi. Un rebondissement majeur 27 ans après la mort de cet homme retrouvé décapité dans un fossé sur la commune de Busset (Allier) le 25 décembre 1995.

27 ans après la découverte d’un corps décapité à Busset (Allier), une personne placée en garde à vue

Le parquet de Cusset, il y a deux ans, avait décidé de relancer ce « cold case » qui n’a jamais livré ses mystères, ni aucune réponse à cette question : qui a pu tuer Christophe Doire, ce Cussétois employé à la société alimentaire et diététique de Vichy, dont le corps avait été retrouvé sans tête dans un fossé de la commune de Busset, le matin du 25 décembre 1995 ?

Le parquet doit s’exprimer ce jeudi soir

Depuis ce mardi, une garde à vue est donc en cours, précise le parquet de Cusset qui, pour l’heure, ne divulgue pas davantage d’informations. Le parquet doit toutefois s’exprimer ce jeudi soir.

Affaire Christophe Doire dans l’Allier : la douleur d’un frère 24 ans après les faits

En 2019, deux journalistes de La Montagne, Sophie Leclanché et Stéphanie Delannes, avaient réalisé un long format sur cette affaire hors norme. Récit des faits, témoignages de proches, pistes explorées… Retrouvez ce long format en cliquant ici.

 

https://www.bfmtv.com/police-justice/affaire-christophe-doire-la-veuve-a-ete-placee-en-detention-provisoire-mais-continue-de-nier-le-meurtre_AV-202206300723.html

Affaire Christophe Doire: la veuve a été placée en détention provisoire mais continue de nier le meurtre

 

Elisa Fernandez
Le 30/06/2022 à 20:44

 

Busset en 1995 et Ille-sur-Têt en 2022 : des femmes équarrisseuses... dans Crime banniere_default_rubrique_banner_1656592159732_1656592203156
L’épouse d’un homme retrouvé décapité en 1995 à Busset, dans l’Allier, a été placée en garde à vue mardi. Elle continue de nier, indique ce jeudi le procureur de la République, Eric Neveu.

Alors que la veuve de Christophe Doire, un homme retrouvé décapité en 1995 à Busset, dans l’Allier, a été placée en garde à vue mardi, le procureur de la République de Cusset, Éric Neveu, annonce ce jeudi qu’elle a été mise en exament et placée en détention provisoire.

Le magistrat a expliqué que depuis novembre 2021, de nouvelles investigations ont été menées en secret, pour tenter de résoudre ce cas, classé à plusieurs reprises. Après l’exhumation du corps de Christophe Doire notamment, Éric Neveu estime avoir trouvé des « indices graves et concordants » mettant en avant le rôle de la femme dans la mort de son époux.

« Lors de son interrogatoire de première comparution, elle a continué à nier », a assuré le procureur de la République, ajoutant que sa version avait évolué avec le temps.

Aucun suspect réel jusque-là

Christophe Doire, un père de famille de 28 ans, amateur de chasse, a été vu vivant pour la dernière fois le 16 décembre 1995, partant de chez son frère, chez qui il avait passé la soirée. Avant de prendre la route, il indique à ce dernier qu’il compte aller chasser le lendemain. Il ne donne ensuite plus signe de vie.

Seule sa voiture est retrouvée, deux jours plus tard, à Cusset, non loin de Busset. Son corps finira par être découvert par un promeneur, le 25 décembre au matin. Sa tête est manquante; à la place gît l’une des bottes du chasseur.

Jusqu’ici, l’enquête n’avait pas permis d’identifier un réel suspect, tournant autour de l’hypothèse d’une vengeance entre chasseurs. Elle a cependant été rouverte sous l’impulsion du procureur Éric Neveu, en 2020.

Elisa Fernandez

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/pyrenees-orientales/prades/disparition-dans-les-pyrenees-orientales-le-corps-du-quinquagenaire-retrouve-decoupe-dans-des-sacs-poubelles-2568708.html

Disparition dans les Pyrénées-Orientales : le corps du quinquagénaire retrouvé découpé dans des sacs poubelles

 

Publié le 22/06/2022 à 18h32 • Mis à jour le 23/06/2022 à 11h10
Écrit par Fabrice Dubault avec AFP
Pyrénées-Orientales - le cadavre du disparu a été retrouvé en contrebas d'une route, à proximité du site touristique des Orgues d'Ille-sur-Têt - 22 juin 2022.
Pyrénées-Orientales – le cadavre du disparu a été retrouvé en contrebas d’une route, à proximité du site touristique des Orgues d’Ille-sur-Têt – 22 juin 2022. • © FTV

 

Le cadavre mutilé et démembré, retrouvé le 1er juin par un promeneur à Ille-sur-Têt, a été identifié. Il s’agit du quinquagénaire porté disparu depuis le 26 mai dernier. Une enquête criminelle pour meurtre a été ouverte par le parquet de Perpignan, elle est confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie des Pyrénées-Orientales et la section de recherches de Montpellier.

Trois semaines après la découverte du cadavre découpé, le mystère reste entier autour de cette macabre affaire. Seule certitude, le corps a pu être identifié, c’est bien celui de l’homme de 57 ans, disparu d’Ille-sur-Têt le 26 mai 2022.

Le corps a été découvert le 1er juin par un promeneur dans une zone escarpée, non loin du site touristique des Orgues d’Ille-sur-Têt.

Le parquet de Perpignan indique ce mercredi que le cadavre a été mutilé, découpé, puis placé dans deux sacs et abandonné en contrebas d’une route départementale au nord de la commune catalane.

On se sent mal. C’est l’horreur cette affaire pour notre village. Moi, je le connaissais peu. C’était quelqu’un de tranquille, un homme sans histoires sur la commune.

William Burghoffer, maire d’Ille-sur-Têt.

Le quinquagénaire porté disparu le 26 mai

Rapidement, la disparition de François Vigouroux est qualifiée d’inquiétante par les gendarmes des Pyrénées-Orientales. Un appel à témoins est d’ailleurs lancé dès le lendemain par la gendarmerie d’Ille-sur-Têt.

L’homme de 57 ans a quitté son domicile avec un vélo électrique vers 17h30, pour une promenade en direction de Thuir, à une quinzaine de kilomètres de là. Il n’est jamais arrivé.

Son corps est retrouvé le 1er juin, dans un fossé, à l’intersection des départementales 2 et 21.

Appel à témoins de la gendarmerie des Pyrénées-Orientales.
Appel à témoins de la gendarmerie des Pyrénées-Orientales. • © Gendarmerie des Pyrénées-Orientales

 

Le parquet de Perpignan n’a pour l’instant pas donné d’indications sur les circonstances et causes du décès.

 

https://www.lindependant.fr/2022/06/30/pyrenees-orientales-une-femme-de-58-ans-interpellee-dans-lenquete-pour-le-meurtre-du-cycliste-demembre-retrouve-a-ille-sur-tet-10407532.php

Pyrénées-Orientales : une femme de 58 ans interpellée dans l’enquête pour le meurtre du cycliste démembré retrouvé à Ille-sur-Têt

 

  • François Vigouroux a été retrouvé en contrebas de cette route.
    François Vigouroux a été retrouvé en contrebas de cette route. Nicolas Parent – L’Indépendant
Publié le 30/06/2022 à 20:00 , mis à jour le 01/07/2022 à 09:26

 

00:00/01:43

Le 1er juin dernier, le corps d’un homme était découvert par un promeneur. L’enquête vient de connaître une avancée significative.

Le 1er juin, un promeneur faisait une macabre découverte, en contrebas de la route départementale D2. Le corps d’un homme, qui aurait été découpé au niveau du tronc, était retrouvé dans deux sacs. Une enquête pour « meurtre » était ouverte par le parquet de Perpignan. Il aura fallu trois semaines pour s’assurer de l’identité de la victime : François Vigouroux, un homme de 57 ans, parti faire du vélo une semaine plus tôt et qui n’est jamais rentré.

Ce mercredi 29 juin, une femme née en 1964 a été interpellée et placée en garde à vue, où elle était toujours ce jeudi, une information confirmée par le procureur de la République Jean-David Cavaillé.

À Ille-sur-Têt, l’émoi était vif après l’annonce de la découverte macabre puis de l’identité du corps, d’autant plus que François Vigouroux était un homme décrit comme sans histoires. Séparé de la mère de son fils, il avait depuis refait sa vie. Pour les Illois qui la connaissaient, la victime était une personne discrète : « Il était réservé. Sympathique oui, mais il ne parlait pas beaucoup », confiait l’un d’eux, au lendemain de l’identification du corps. Selon nos informations, François Vigouroux travaillait comme électricien sur la station de ski de Granvalira en Andorre.

On n’en sait pour l’heure pas beaucoup plus sur le profil de la suspecte âgée de 58 ans, si ce n’est qu’elle est jusque-là inconnue de la justice : s’agit-il d’une proche de François Vigouroux ? Que sait-elle de cette affaire ? À quel point est-elle impliquée ? Est-ce elle qui a tué et placé la victime dans des sacs ? Et si oui, pourquoi ? S’agit-il d’un mobile en lien avec l’argent ? Avec une affaire de cœur ? L’enquête se poursuit pour tenter de déterminer les réponses à ces questions.

 

 

https://www.lindependant.fr/2022/07/01/cycliste-demembre-a-ille-sur-tet-la-suspecte-une-proche-de-la-victime-mise-en-examen-pour-meurtre-10409472.php

Cycliste démembré à Ille-sur-Têt : la suspecte, une proche de la victime, mise en examen pour « meurtre »

 

  • Le corps mutilé de François Vigouroux avait été découvert en contrebas de la route menant aux Orgues d'Ille le 1er juin dernier.
    Le corps mutilé de François Vigouroux avait été découvert en contrebas de la route menant aux Orgues d’Ille le 1er juin dernier. Charles Baron – L’Indépendant
Publié le 01/07/2022 à 17:33 , mis à jour à 19:56

 

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La femme, âgée de 58 ans, qui a été interpellée voilà deux jours pour le meurtre de François Vigouroux, a été déférée ce vendredi 1er juillet 2022 au palais de justice de Perpignan.

Le 26 mai dernier, les proches de François Vigouroux, un habitant d’Ille-sur-Têt âgé de 57 ans, signalaient sa disparition auprès des forces de l’ordre. Selon les premières déclarations, l’homme était parti de chez lui le jour même en fin d’après-midi pour une promenade à vélo en direction de Thuir et devait rentrer dîner avec son fils pour 19 h 30. Or, il n’était jamais réapparu à son domicile.

Malgré les recherches entreprises, François Vigouroux, décrit comme « sympathique » et « sans histoire », demeurait introuvable jusqu’à ce qu’une semaine plus tard, le 1er juin précisément, son cadavre était découvert par un promeneur en contrebas de la chaussée, au niveau de l’embranchement des routes D2 et D21 à proximité du site des Orgues d’Ille.

Son corps présentait alors des sévices graves et aurait été découpé au niveau du tronc avant d’être abandonné dans deux sacs distincts. Le mystère le plus épais entourait alors cette affaire et les investigations suivaient leurs cours, menées par les gendarmes de la section de recherches de Montpellier en quête d’une piste.

« Jamais condamnée par le passé »

Or, un mois après la macabre découverte, les enquêteurs sont parvenus à identifier une suspecte. Une femme, âgée de 58 ans, qui a été interpellée ce mercredi 29 juin et placée immédiatement en garde à vue.

A lire aussi : Pyrénées-Orientales : une femme de 58 ans interpellée dans l’enquête pour le meurtre du cycliste démembré retrouvé à Ille-sur-Têt

À l’issue de son audition, elle a été déférée au parquet de Perpignan ce vendredi 1er juillet au matin. Elle « a été mise en examen pour meurtre » confirme le procureur de la République de Perpignan Jean-David Cavaillé, puis aussitôt  »écrouée« .  Il s’agit d’une proche de la victime, « de l’entourage familial », ajoute le parquet sans vouloir fournir plus d’éléments qui pourraient nuire à la poursuite de l’enquête.

Car de nombreuses zones d’ombre et d’interrogations subsistent dans ce dossier. À commencer par le mobile de ce crime. Une affaire sentimentale ? Une vengeance ?  Pourquoi cette femme, « jamais condamnée par le passé » précise le procureur, aurait-elle tué François Vigouroux avec un tel acharnement sur sa dépouille ? Quelle est la cause exacte du décès de François Vigouroux ? Aurait-elle pu avoir agi seule, notamment au vu de la forte corpulence de la victime ? Lui aurait-elle donné rendez-vous ou l’aurait-elle surpris sur son parcours ? Quel est le degré d’implication véritable de cette femme dans ce meurtre ? On est encore loin, semble-t-il de connaître toutes les réponses à cette multitude de questions.

Laure Moysset

 

 

https://www.lamontagne.fr/gf/LM_cold-case-affaire-doire/index.html?fbclid=IwAR1F4f3I1y5y9pxYxLBcWaaPt6W4vhS77DrZGH4Kb39t3OOVtUjcOFhky6g

Cold Case #4
L’affaire Doire

Par Sophie Leclanché & Stéphanie Delannes

Lundi 25 décembre 1995. Dans le matin installé, une ombre assombrit le bas côté à peine enneigé de la route qui serpente entre Busset et Saint-Yorre. C’est un corps qui gît à plat ventre. Celui d’un jeune homme décapité.

Dans un fossé, un corps décapité

La départementale 121, cette petite route qui serpente au pied de la Montagne Bourbonnaise est déserte. Normal, nous sommes le 25 décembre au matin. Dans la nuit, il a neigeoté, il fait à peine 3 degrés, c’est un temps de saison mais qui n’invite pas particulièrement à la balade.

Comme la plupart des hommes du canton de Cusset, le jeune Romain*, un Bussétois d’une vingtaine d’années, est chasseur. Noël ou pas, il part inspecter les lieux où il sait pouvoir pister le gibier. D’ailleurs, la veille, d’autres chasseurs ont fait le pied dans le secteur ; ils sont même passés sur cette route.

Au lieu-dit Les Corres, un peu avant la menuiserie, en direction de Saint-Yorre, Romain connaît un passage emprunté par les animaux. Dans une courbe, à droite, il se gare à l’entrée d’un champ. Aussitôt il aperçoit une forme sombre dans le fossé.

C’est un corps. Il gît sur le ventre. Un corps décapité. L’horreur rentre en scène. Elle est à son paroxysme lorsque le jeune homme s’aperçoit qu’à la place de la tête qui a disparu, on a déposé une des bottes en caoutchouc de la victime.

La victime est identifiée mais le mystère reste entier

La victime de ce crime à l’effroyable mise en scène est rapidement identifiée. Il s’agit d’un jeune père de famille de 28 ans, Christophe Doire, très connu dans le secteur, et plus particulièrement dans le milieu de chasseurs. Il est diversement apprécié. Son côté tête-brûlée, irrespectueux des règles et son penchant pour l’alcool ont terni son image au point qu’il peut même faire peur à certains de ses concitoyens.

Sa mère est la présidente de la société de chasse du Vernet, le village voisin de Busset. Son père est boucher, il a travaillé aux abattoirs pendant plusieurs décennies. Dans la lignée familiale, Christophe est chasseur et… il travaille aussi aux abattoirs de Vichy.

 dans Folie

Article de La Montagne du 26 décembre 1995

La victime est en tenue de chasse. La veille de sa mort, le samedi soir 17 décembre, le jeune homme est allé regarder la télévision chez son frère cadet, à Vichy. Puis il a regagné sont domicile à Cusset.

Il s’est changé, a mangé une côtelette de porc ou de sanglier comme en attestera l’autopsie puis est ressorti de chez lui vers 4h30 du matin, selon son épouse. D’après les indications du légiste, sa mort serait survenue vers 5h.

Une sorte de rite macabre

Lorsque son corps a été découvert le matin de Noël, il ne portait aucune trace de violence mais il était, selon sa famille, totalement exsangue. Détail sordide évoqué par sa mère : le corps ne contenait plus une goutte de sang « comme si on l’avait pendu par les pieds pour qu’il se vide complètement ». Où et comment ailleurs que dans une chambre froide peut on opérer de la sorte ? D’ailleurs, la décollation, nette et précise, a été vraisemblablement été pratiquée par un professionnel…

 dans Insolent - Insolite

Article de La Montagne du 27 décembre 1995

Celui ou ceux qui l’ont tué n’ont pas cherché à empêcher ou à retarder son identification. Si la tête a disparu, c’est manifestement pour une tout autre raison : ne pas mettre les enquêteurs sur la piste balistique d’une arme à feu particulière.

A moins qu’il ne s’agisse d’une sorte de rite macabre. Ou d’un avertissement. Pourquoi ? Pour qui ? Près d’un quart de siècle plus tard, le mystère reste entier.

Une plaie toujours ouverte

Françoise Doire est ce que l’on appelle une femme de caractère. Intelligente, le verbe précis, elle dépeint son fils, Christophe, celui dont elle est « la plus proche », avec lucidité. Christophe était « un excellent suiveur de chiens », il était souvent sollicité pour cela. Et c’est également cela qui avait excité « les jalousies ».

Parce que Mme Doire est affirmative : la mort de Christophe, c’est « une vengeance de chasse ». Ou pour le moins, une affaire liée à la chasse. Peut-être Christophe a-t-il participé à ces « chasses pas très catholiques » auxquelles participaient « des pontes » du côté de Vendat ? A moins qu’il ne s’agisse de ses faits de braconnage…

 

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Lieu où le corps a été découvert

Certes, Christophe n’était pas un ange. Mais cela ne mérite pas la mort. Et encore moins la mise en scène macabre qui a l’a accompagnée. Une mère peut-elle jamais oublier cela ? La découverte du corps décapité de son fils le jour de Noël. Et sa tête disparue à jamais. « Cela fait 24 ans que je suis insomniaque », explique la mère endeuillée, « je n’ai pas pu reconnaître le corps de mon fils ; je ne sais pas ce qui a été enterré exactement ; est-ce que c’est bien lui ? ».

C’est à cause de la chienne Flora

Près d’un quart de siècle après les faits, Françoise Doire relate les faits comme s’ils s’étaient déroulés la veille. Le film de ce jour où elle a vu pour la dernière fois le second de ses trois enfants est intact. Il s’achève sur l’histoire de Flora, la chienne préférée de Christophe. C’est le 16 décembre, que ce griffon connu pour ses performances à la chasse, s’est volatilisé. Au Vernet, un témoin affirme avoir vu un homme embarquer l’animal dans son 4X4.

Françoise en est certaine, puisque c’est lui qui a volé l’animal, c’est lui qui a assassiné son fils. Parce que celui-ci l’avait démasqué. Le mobile est-il suffisant pour tuer ? Et mutiler ? Françoise Doire n’en démord pas.

Ce fameux chasseur qui restituera la chienne le 19 décembre selon Mme Doire, Christophe, exclu pour ses frasques de la société de chasse du Vernet, l’a rejoint pour mieux pratiquer son art. Entre eux, « ce n’est pas le grand amour ». Mais c’est grâce à lui que le fils Doire est régulièrement invité par ce groupement de chasseurs constitué en association pour avoir des bracelets supplémentaires.

Un mois après sa disparition, des centaines de personnes assistent aux obsèques du jeune père de famille. Dans la foule, de nombreux chasseurs, des proches de la famille éprouvée et des curieux attirés par le mystère. Le suspect numéro 1, ce quadragénaire plusieurs fois placé en garde-à-vue mais jamais mis en examen pour le crime, n’est pas présent. Car autour du zinc de chez Doudou, au Vernet et dans l’univers des chasseurs, la rumeur a fait son office. Se montrer aux funérailles, c’est le lynchage assuré…

Omerta dans le Bourbonnais

Plus de vingt ans après les faits, l’évocation du meurtre de Christophe Doire crée toujours un certain malaise. Rares sont les témoins qui acceptent de parler à visage découvert.Et du côté des autorités judiciaires, « aucun souvenir intéressant » ne remonte à la surface, affirme le procureur de l’époque tandis que le juge d’instruction semble aux abonnés absents. Tout comme le patron du bar qui était à l’époque le rendez-vous des chasseurs au Vernet…Un maire du secteur, qui parle sous couvert d’anonymat, plante le décor de cette période, au début des années 90. Il raconte que pour se faire admettre et ne pas se voir reprocher d’être un opposant, il avait dû passer son permis de chasse, un loisir auquel a priori il n’aurait jamais songé à s’adonner.

L’affaire de la SOBOVIDE

A Vichy et dans ces alentours, plusieurs affaires avaient défrayé la chronique. Il y avait eu cet important trafic de viandes à la SOBOVIDÉ au cours de laquelle un syndicaliste un peu trop zélé aux yeux de son employeur délinquant, avait échappé de peu à la mort frappé par des inconnus à coup de feuille de boucher.

Il y avait eu aussi du côté de Varennes, l’histoire, jamais conclue, relatée par un témoin de l’époque, de ce chasseur qui « avait été écrasé contre un pylône par un conducteur qui avait pris la fuite. »Et aussi, celle de ce garde-chasse de la société privée Champoux-Lourdy, Georges Vigier, 42 ans, qui avait été retrouvé dans la forêt de Vendat, « suicidé de deux balles dans la tête ». Incroyable maladresse pour un garde-chasse dont « le fusil avait été retrouvé accroché à une branche d’arbre », selon la presse du moment. Plusieurs mois plus tard, l’enquête s’orientera vers un homicide dont le ou les auteurs ne seront pas identifiés.

Des chasses très particulières

Plane enfin l’ombre du président des chasses présidentielles, François de Grossouvre, l’ex- grand ami de François Mitterrand qui avait, qui plus est, une gentilhommière du côté de Lusigny au nord est de l’Allier.

Ce même François de Grossouvre qui s’était donné la mort dans son bureau élyséen quelques mois plus tôt. Non pas qu’on lui attribua ces méfaits mais le pouvoir nourrissant le fantasme, certains avaient imaginé que Georges Vigier ou Christophe Doire auraient pu être associés à des parties de chasse particulières, en présence de hautes personnalités…

La douleur d’un frère

« Le 16 décembre 1995, j’ai refermé la porte derrière lui et plus jamais personne ne l’a revu vivant. Sauf son assassin ». Olivier Doire a seize mois de moins que son frère Christophe mais il était néanmoins son « confident ». Rien de la vie de Christophe n’est étranger à Olivier.Sauf peut-être cette journée du 11 décembre 1995, durant laquelle Christophe, qui avait dûment prévenu son employeur, a totalement disparu des radars. C’était 14 jours avant la découverte de son corps et nul ne sait où il était et ce qu’il a fait ce jour là.

Comme deux frères presque jumeaux, avec leur père, Daniel, Christophe et Olivier ont battu la campagne bourbonnaise. Et beaucoup chassé. Sauf en 1995. Cette année-là, Olivier n’a pas renouvelé ses cotisations. Christophe a chassé sans lui, avec d’autres parmi lesquels un certain Denis*.

« J’ai cherché mon frère, puis son assassin »

Ce Denis, 24 ans après les faits, Olivier ne le comprend toujours pas. Pourquoi, a-t-il nié avoir « emprunté » les chiens de la victime ? Alors même qu’il a été vu, dans le Cher, chassant avec l’un d’eux, la très réputée Flora, le lendemain de la disparition de Christophe ? Pourquoi a-t-il menti, alors que tout l’accusait dans ce vol ?

A ce moment-là, se souvient Olivier, « je cherchais mon frère disparu » car son corps n’avait pas été retrouvé. Denis, alors, ne pouvait pas être suspecté de ce crime. « Ce n’est qu’après, le 25 décembre, là j’ai commencé à chercher son assassin ».

Harcèlement

Ainsi est-il retourné voir Denis « sans aucune animosité » précise-t-il. Surprise : Denis a alors reconnu s’être emparé des chiens de Christophe.

Pourquoi un tel revirement ? Sinon la peur de se voir imputé le meurtre de Christophe Doire. Au cours de l’enquête, il a longtemps, souvent été question de ce Denis. Certains ont laissé entendre qu’il connaissait le meurtrier du jeune père de famille. Olivier, lui, assure encore qu’il « ne le voit pas faire ça ».

Qui, alors et pourquoi avec une telle sauvagerie ? Y a-t-il un lien avec toutes les femmes que Christophe importunait dans sa sphère professionnelle. Allant, dit l’enquête, jusqu’au harcèlement ?

« Cela a anéanti ma vie »

24 ans après les faits, Olivier Doire, jeune et sportif quinquagénaire, ne peut retenir son émotion à l’évocation de son frère. Malgré des années de suivi psychologique, la tragédie a « anéanti sa vie, détruit son couple ».

À la souffrance de la perte d’un proche est venue s’ajouter l’abyssale douleur de la plaie qui ne se refermera pas parce qu’aucune réponse n’a été apportée. Pour lui, partie civile depuis presque 25 ans, c’est aujourd’hui « le plus choquant ». Se dire qu’« il n’y a pas de coupable, pas de procès, et pas de deuil possible ».

Pourquoi ? Peut-être parce que « mon frère ce n’était pas une personnalité, c’était un fils de rien ».

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Investigations pendant l’enquête dans le puits d’une ancienne propriété du principal suspect, en 2002.

Beaucoup ont cru, en 2014, que l’épilogue se profilait lorsque, le 23 mars, un crâne a été découvert par les nouveaux occupants d’une maison à Saint-Pourçain-sur-Sioule. Hélas, selon la médecine légale, l’ossement aurait appartenu à une personne décédée depuis plusieurs dizaines d’années.

En 2020, cela fera un quart de siècle qu’il attend des explications. Olivier Doire espère encore. Que « quelqu’un parle », qu’un juge reprenne l’affaire. « Avec les nouveaux moyens d’investigations on pourrait sans doute retrouver de l’ADN sur les scellés » argumente-t-il.

Le frère de la victime pourrait bien être entendu. Le parquet de Cusset vient de ressortir le dossier Doire. Une nouvelle enquête pourrait bien être ouverte. L’espoir, à nouveau, pour toute une famille de trouver la paix. Et pour la société, de savoir que le crime ne reste pas impuni.

Une mémoire à l’encre rouge

Il est des lieux marqués malgré eux à l’encre rouge.

D’un rouge sang qui tranche singulièrement avec la quiétude des paysages environnants. C’est le cas de Busset, dont on préfère garder l’image d’un village de pierre blonde ceinturant la majestueuse forteresse surplombant la vallée du Sichon, dans l’Allier.

C’est pourtant là qu’avait sévi l’un des premiers tueurs en série connu en France. Ce fameux Joseph Vacher surnommé le « Jack l’éventreur du Sud Est », auquel la justice avait attribué une trentaine de crimes tous plus violents les uns que les autres.

Dont celui, à l’orée de Busset, de la jeune Marie Loussier-Lorut. C’était en 1896 et contrairement aux autres victimes de Vacher, Marie, 19 ans, n’avait pas été mutilée.

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Joseph Vacher

Un siècle plus tard, le meurtre de Christophe Doire a lui aussi défrayé la chronique bien au-delà du Bourbonnais. Les Bussétois de longue date n’oublieront jamais ce jour de Noël 1995 où le corps mutilé de Christophe Doire a été découvert.

* Les prénoms ont été modifiés.

 



Ouverture d’une enquête contre Damien Abad pour tentative de viol

Ce sont désormais trois femmes qui l’accusent de viol ou tentative de viol.

Damien Abad est né le 5 avril 1980 à Nïmes, dans le Gard.

Bélier, donc.

Simple et direct, il n’y va pas par quatre chemins : drogue du violeur et hop ! l’affaire est faite. Pas de repérages longs et fastidieux, pas d’ascenseur bloqué ni d’autres préparatifs extraordinaires, il ne prend même pas la peine de s’assurer qu’il ne sera pas dérangé… preuve d’un dérangement mental assez prononcé.

Sa défense est du même acabit : faisant fi de tous les témoins qui ont d’ores et déjà affirmé le contraire, il prétend qu’il ne connaissait même pas ses présumées victimes et nie tout en bloc – aurait-il lui-même abusé de benzodiazépines ou de telles pertes de mémoire pourraient-elles être pathologiques ?

Bien sûr, tous les hommes du signe du Bélier n’en sont pas là…

Mais lui a quand même fait deux écoles de cul, ça marque… enfin, il est clair qu’il aimait ça, il en redemandait et est même revenu dans la seconde comme chargé de cours pour des vacations.

Notons pour finir que l’arthrogrypose n’empêche pas le viol, tout comme le pied bot n’empêche pas la production sadique de faux en écriture publique.

De même, de graves déficiences mentales n’empêchent pas de sortir major de Sciences Po Bordeaux pour rempiler aussi sec à Sciences Po Paris, mais nous connaissions déjà le niveau de recrutement de cette fameuse école de cul – cf. le cas de sa copine Céline Verdier de Brest, née le 5 juillet 1979 et sortie diplômée de cette école en l’an 2000 pour intégrer alors, non pas Sciences Po Paris, mais l’ENM, qui ne semble fondamentalement pas très différente.

Damien Abad présumé violeur de femmes et du secret de l’instruction -> patrons n’hésitant pas à commanditer l’assassinat d’un salarié qui les dérange -> tueurs francs-maçons de la loge Athanor qui se prétendent agents de la DGSE -> Alain Pougetoux, Cyprien Luraghi, fans de Napoléon et de l’émission Affaire conclue, dont Jacques Fornès du Finistère et des Lyonnais tous proches de la famille Le Pen -> Josette Brenterch du NPA de Brest -> Isabelle Johanny -> Céline Verdier -> Damien Abad…

On y vient… ouais !

 

 

https://www.francetvinfo.fr/politique/accusations-de-viols-contre-damien-abad/affaire-damien-abad-le-parquet-de-paris-ouvre-une-enquete-contre-le-ministre-des-solidarites-pour-tentative-de-viol_5227387.html

Affaire Damien Abad : le parquet de Paris ouvre une enquête contre le ministre des Solidarités pour « tentative de viol »

 

Une plainte avait été déposée contre le ministre par une ancienne élue centriste, lundi 27 juin, pour des faits remontant à 2010.

Article rédigé par

Ouverture d'une enquête contre Damien Abad pour tentative de viol  dans Crime 61b8b98ead35d_francetv-info
France Télévisions
Publié le 29/06/2022 19:14 Mis à jour il y a 37 minutes
Temps de lecture : 1 min.
Damien Abad, ministre des Solidarités, à Paris, le 27 juin 2022. (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)
Damien Abad, ministre des Solidarités, à Paris, le 27 juin 2022. (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

 

Une enquête a été ouverte contre Damien Abad pour « tentative de viol », selon le parquet de Paris à franceinfo, confirmant une information de l’AFP, mercredi 29 juin. Cette enquête fait suite à la plainte déposée par une élue centriste pour « tentative de viol » concernant des faits remontant à 2010, lundi 27 juin.

D’après son avocate, la plaignante accuse Damien Abad, à l’époque fraîchement élu eurodéputé, d’avoir tenté de lui imposer une fellation au cours d’une soirée dans son domicile parisien. Elle affirme également que l’élu se frottait à sa poitrine dès qu’il l’a croisait, et l’accuse d’avoir eu un comportement très insistant et grossier lors d’un mariage organisé fin juillet 2010.

 

Trois femmes accusent le ministre

 

« Ma cliente a foi en la justice. Elle sait qu’elle va faire son œuvre », a réagi à franceinfo l’avocate de la plaignante, Raphaële Bialkiewicz. Les avocats de Damien Abad répondent à France Télévisions que l’élu « prend donc acte de cette suite logique et pourra rapidement démontrer son innocence ».

Les investigations ont été confiées à la Brigade de la répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Depuis sa nomination au sein du gouvernement de la Première ministre Elisabeth Borne, le ministre des Solidarités a été accusé de viol ou de tentative de viol par trois femmes dont les témoignages ont été révélés par Mediapart. Une femme a porté plainte deux fois pour un viol qu’elle dit avoir subi en 2011, plaintes qui ont été classées sans suite par le parquet de Paris en 2012 et 2017. Une autre femme dit avoir été violée en 2010, mais n’a pas porté plainte.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Damien_Abad

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Ressources relatives à la vie publique

:

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arthrogrypose

Arthrogrypose

L’arthrogrypose est une maladie congénitale se manifestant essentiellement par une raideur au niveau de différentes articulations. Il peut s’agir d’une maladie autonome ou faisant partie d’un syndrome associant d’autres signes.

Épidémiologie

La prévalence est comprise entre un sur 3 300 et un sur 56 0001.

Description

L’arthrogrypose se manifeste par des raideurs articulaires présentes dès la naissance et touchant, de façon variable, les quatre membres. Il peut exister un faciès particulier ainsi que des anomalies cutanées.

Elle peut être isolée ou s’accompagner d’autres signes, squelettiques, viscéraux ou neurologiques.

Les arthrogryposes entrent dans le vaste cadre de ce qu’il est convenu d’appeler les syndromes d’immobilité fœtale qui regroupent une multitude d’anomalies neurologiques et musculaires dont l’inventaire est en cours.

Diagnostic

Le diagnostic prénatal est difficile et souvent manqué. Il peut être suspecté devant une diminution de la mobilité du fœtus ressentie par la mère. Le signe le plus évocateur est la découverte, à l’échographie d’un pied bot bilatéral2.

Évolution

La mortalité peut atteindre 40 % au cours de la première année de vie1. Passé ce cap, la durée de vie peut être normale, avec toutefois un handicap3.

Traitement

Le choix du traitement est des plus difficiles. Le but est avant tout d’essayer d’améliorer la fonction et l’autonomie des patients (rééducation fonctionnelle).

Formes cliniques

Plus de 150 types ont été décrits, comprenant près de 400 anomalies génétiques4.

Un syndrome associant une arthrogrypose, une atteinte rénale et une cholestase hépatique, secondaire à une mutation sur le gène VPS33B. Une autre forme constitue le syndrome de Freeman-Sheldon par mutation du gène MYH35.

Personnes célèbres

Notes et références

  1. (en) « Powerlifting FUENTES MONASTERIO Clara Sarahy – Tokyo 2020 Paralympics » (consulté le 7 décembre 2021)

Liens externes et références

Voir aussi



Portrait de Thierry Solère par Rémy du Juste Milieu

 

 

 

Oh oui, super, encore un Lion du genre très bas : même culot que le Donnadieu…

Tous ne le sont pas, quand même, hein, encore heureux…

Les non viciés sont des solaires (et non Solère) très lumineux.

 



François Vigouroux de l’Ille-sur-Têt connaissait-il Jean-Marc Donnadieu ?

La question se pose, sachant, d’une part, que Jean-Marc Donnadieu fait bien partie des cybercriminels et terroristes « islamistes » de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et d’autre part, que François Vigouroux travaillait en Andorre, où il était chef électricien chez Saetde depuis 1999 (voir ci-dessous son compte Viadéo et la publication d’une offre d’emploi dont il est l’auteur).

Car en effet, comme de nombreux Toulousains, Jean-Marc Donnadieu de Béziers allait très régulièrement faire ses courses en Andorre ou en Espagne jusqu’au premier confinement de 2020 – ensuite, je ne sais pas; il s’était plaint publiquement de ne plus pouvoir y aller en mars 2020, et je ne me souviens pas de l’avoir vu en reparler par la suite. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’était plus possible de franchir la frontière espagnole et qu’il ne restait donc qu’Andorre pour aller faire ses courses à bas prix. Or, le m’as-tu-vu extrême-gauchiste Jean-Marc Donnadieu, qui aime à se faire remarquer et jouer les chefs partout où il passe, a aussi une fâcheuse tendance à s’y créer des conflits, notamment avec d’autres chefs.

Par ailleurs, il existe déjà d’autres victimes de faits similaires dont Jean-Marc Donnadieu aurait bien pu, aussi, croiser la route, il s’agit du couple de policiers assassinés à Magnanville le 13 juin 2016 (début de la série d’attentats islamistes liée à la procédure parisienne de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre) et dont l’un était originaire de Pézenas, où Jean-Marc Donnadieu lui aussi a passé beaucoup de temps avec sa copine habitant dans cette commune (il m’en parlait déjà dans ses commentaires sur mon blog en 2010 et l’évoque encore dans une plainte délirante qu’il a déposée en 2012 et dont copie ci-dessous), sans compter que ce policier, Jean-Baptiste Salvaing, avait par le passé occupé un poste dans l’Hérault, au Cap d’Agde, autre lieu très régulièrement fréquenté par l’échangiste et amateur de BDSM Jean-Marc Donnadieu, plutôt en soirée selon ses dires. N’y auraient-ils pas eu des mots ? C’est très possible.

Il est également certain que les attentats « islamistes » ne sont pas tous aveugles et cachent parfois des assassinats commis contre des cibles délibérées et désignées par les commanditaires de ces actes terroristes.

En l’occurrence, autant ces policiers assassinés le 13 juin 2016 au tout début de la série d’attentats liée à la procédure parisienne de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre (qui a perdu les deux procès qu’il m’a faits à Paris, en première instance le 5 janvier 2017 et en appel le 11 avril 2018), que François Vigouroux le 26 mai dernier alors que débutait une nouvelle série d’attentats « islamistes » au déclencheur tout à fait similaire aux précédents (comme j’ai désormais le calendrier de cette nouvelle série, je suis en mesure d’affirmer que l’arrestation du 25 mai s’est bien produite alors que le passage à l’acte était effectivement imminent), pourraient avoir été victimes de règlements de comptes du psychopathe Jean-Marc Donnadieu de Béziers.

Par ailleurs, nous connaissons déjà le motif de l’assassinat de Patricia Bouchon par les mêmes le 14 février 2011 à Bouloc, ils la soupçonnaient de vouloir les dénoncer pour toutes leurs exactions à mon encontre alors qu’ils s’apprêtaient à engager contre mon ancien hébergeur de blog Overblog une procédure en référé devant le TGI de Béziers via l’unique Jean-Marc Donnadieu de Béziers, le seul de la bande à pouvoir faire payer par l’Etat tous ses frais de procédure, au moyen d’une aide juridictionnelle totale qu’il avait déjà obtenue grâce à une dénonciation calomnieuse et la présentation de faux :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/25/affaire-patricia-bouchon-toute-la-verite-a-t-elle-ete-dite/

Or, en date du 6 mai 2022, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi indiquait publiquement qu’il était encore, selon lui, victime d’« un max de tentatives d’intrusions depuis quelques semaines » :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/14/des-tentatives-dintrusion-chez-les-cybercriminels-de-la-bande-luraghi/

Rappelons que la plainte délirante de Jean-Marc Donnadieu du 3 février 2012 portait également sur ce type de « faits » dont il accusait nommément un ufologue du nom de Christian Comtesse qu’il harcelait depuis de nombreuses années et avec qui il a publiquement réglé quelques comptes en 2018, sur Facebook, d’où, alors, la publication de cette plainte par l’un et l’autre, le premier sans aucun cache et le second en en masquant l’identité et les coordonnées de son harceleur (voir copies ci-dessous). Violant quotidiennement l’intimité de ma vie privée avec ses complices de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, notamment au moyen de piratages informatiques, Jean-Marc Donnadieu s’était plaint que Christian Comtesse ayant vu le commentaire public par lequel il avait donné à ses amis ufosceptiques ses codes d’accès aux blogs secrets de son complice Luraghi me concernant, ainsi qu’à leurs échanges de mails à propos de leurs piratages informatiques et autres exactions à mon encontre, aurait tenté d’utiliser ces codes d’accès pour voir ce qu’ils étaient tous en train de comploter.

Oui, c’est bien ça : le criminel Jean-Marc Donnadieu se plaint que l’ufologue Christian Comtesse, sans jamais avoir commis la moindre infraction pénale, ait pu tenter d’accéder à ses échanges privés avec ses complices concernant de multiples infractions pénales dont ils sont les auteurs, et du même coup en obtenir des preuves. Il va d’abord s’en plaindre aux policiers du commissariat de Béziers qui lui font remarquer qu’il n’y a là aucune infraction pénale, puisqu’il a lui-même fourni ses codes d’accès, et refusent par conséquent de prendre sa plainte, ce en quoi il s’en plaint très amèrement au procureur de la République de Béziers dans la plainte qu’il a déposée le 3 février 2012.

Dans son esprit, c’est très clair : policiers et magistrats sont bien là pour « protéger » les délinquants et criminels contre leurs victimes, surtout lorsque celles-ci tentent de se défendre, d’obtenir des preuves, de dénoncer.

Jean-Marc Donnadieu est un débile mental, comme tous les psychopathes qu’utilise la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest pour toutes ses entreprises criminelles.

En faisant partie depuis de très nombreuses années, il n’a toujours connu que ce mode-là de fonctionnement de la « justice » et s’imagine vraiment être dans son bon droit ou au moins dans le vrai (ça va marcher…) lorsqu’il demande à la justice de le protéger contre ses victimes et de les faire poursuivre et condamner. Il sait par expérience qu’il ne tombera pas « dans le Jubillar » (= en détention préventive), comme dit son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, s’il évite de dire qu’il me pirate, qu’il assassine des gens, etc, etc… bref s’il continue à nier fermement être l’auteur de crimes ou délits comme il l’a toujours fait… et à mentir et affabuler comme il l’a aussi toujours fait…

Au passage, il se plaint aussi que le policier qui l’a reçu au Commissariat de Béziers le 20 janvier 2012 n’a pas décliné son identité…

Je ne sais pas pour vous, mais moi, quand je vais dans un commissariat, je ne demande pas aux policiers qu’ils me déclinent leurs identités respectives, c’est exactement l’inverse qui se passe…

Les malades mentaux de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi se trouvent tous tellement imprégnés du procédé extrême-gauchiste et pervers d’inversion totale de tout (faits, personnalités, valeurs, etc…) qu’ils peuvent même le faire ainsi de manière systématique et quasi réflexe, gratuite, et même au risque qu’il desserve leurs intérêts (cette plainte grandement délirante aura tout de même donné lieu à une enquête préliminaire et a finalement été classée sans suite après que le mis en cause se fût expliqué sur les « faits » qui lui étaient reprochés).

Je rappelle aussi que Jean-Marc Donnadieu en tant que fer de lance de toute la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi a réussi à faire condamner mon ancien hébergeur de blog OverBlog à lui verser une grosse somme d’argent en dommages et intérêts (7500,00 € comme il me le rappelait le 18 avril dernier, sans compter les sommes allouées au titre de l’article 700 du Code de procédure civile pour deux procès, alors qu’en réalité il n’avait rien déboursé, bénéficiant d’une aide juridictionnelle totale) au motif de révélations que j’aurais faites concernant son identité et sa vie privée alors qu’en réalité il en était lui-même l’auteur, non seulement sur mon blog mais également sur de très nombreux autres sites, dont les siens, tandis que lui-même et ses complices de la bande Luraghi se rendaient, eux, effectivement coupables à mon encontre de telles atteintes à l’intimité de le vie privée depuis juin 2010. Et de façon à s’éviter toute contradiction de ma part, il m’avait exclue de toutes ses procédures contre OverBlog qui aurait dû être entendu en sa défense en appel à Montpellier comme en première instance à Béziers.

 

A lire ou à relire :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/27/terrorisme-islamiste-debut-dune-nouvelle-vague-dattentats-en-france/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/24/cyprien-luraghi-se-moque-des-gendarmes/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/24/un-crime-tres-inquietant-a-ille-sur-tet-pres-de-perpignan/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/26/du-luraghi-dans-le-texte/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/26/ces-delires-publics-de-cyprien-luraghi-sont-ils-encore-ceux-dun-tueur/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/27/nouvelles-menaces-dattentats-islamistes/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/25/affaire-patricia-bouchon-toute-la-verite-a-t-elle-ete-dite/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/14/des-tentatives-dintrusion-chez-les-cybercriminels-de-la-bande-luraghi/

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/06/retour-de-jean-marc-donnadieu-sur-les-blogs/

 

 

https://viadeo.journaldunet.com/p/francois-vigouroux-7208403

Francois VIGOUROUX

ANDORRE-LA-VIEILLE

En résumé

Pas de description

Entreprises

  • SAETDE - Chef de service

    1999 – maintenant

 

 

https://www.skipass.com/forums/divers/emplois_montagne/sujet-142340.html

Electricien remontÉe mÉcaniques – saetde grandvalira (andorre)

 

François Vigouroux de l'Ille-sur-Têt connaissait-il Jean-Marc Donnadieu ? dans AC ! Brest
phil6611
phil6611

Le 1 mai 2019 – 18:34
SAETDE exploitant des secteurs Pas de la Casa – Grau Roig – Funicamp dans le domaine Grandvalira à Andorre recherche recrute électricien remontées mécaniques en CDI.La station de Grandvalira a été crée en 2003 à l’issue de la fusion des plus anciennes stations des Pyrénées : Pas de la Casa-Grau Roig (1956) et Soldeu-El Tarter (1964). Cette fusion a donné lieu à la plus grande station des Pyrénées et l’une des plus grandes d’Europe, avec 210 kilomètres de pistes sous un forfait unique donnant accès à tout le domaine skiable.Poste :Au sein du service électrique de la station, vous serez amené à effectuer la maintenance préventive et curative du parc de remontées mécaniques (1 Funitel, 1 TC10, 7TSD, 7TSF, 11TK)

Poste à pourvoir rapidement.

Salaire selon expérience et capacités.

Profil :

De formation BTS Electrotechnique, vous avez de solides connaissances en automatisme, régulation de vitesse, automates de sécurité. La pratique du ski et la capacité au travail en hauteur sont indispensables.

Permis B exigé.

Bon sens du relationnel et travail en équipe.
Contact: VIGOUROUX François
Téléphone : 376.80.10.50
Merci d’adresser votre CV et lettre de motivation par mail à : francoisvigouroux@grandvalira.com

Profil recherché

Formation BTS Electrotechnique

Message modifié 1 fois. Dernière modification par phil6611, 01/05/2019 – 18:35

 

 

https://www.francebleu.fr/infos/international/passer-la-frontiere-pour-des-courses-en-andorre-oui-en-espagne-non-1608065034

Passer la frontière pour des courses : en Andorre oui, en Espagne non

 

Mardi 15 décembre 2020 à 21:43 -

Par , France Bleu Occitanie, France Bleu

 

Si le confinement est levé en France, il ne l’est pas dans certaines régions d’Espagne. Mardi 15 décembre, de nombreux Français ont dû faire demi-tour après la frontière, dans le Val d’Aran.

Dans le Val d'Aran, les policiers catalans ont mené des contrôles mardi matin.

Dans le Val d’Aran, les policiers catalans ont mené des contrôles mardi matin. © Radio France – Sébastien Berriot

 

Peut-on franchir la frontière pour aller faire des courses de Noël ? Vous êtes très nombreux à appeler France Bleu Occitanie depuis le début de la semaine pour avoir une réponse. Pour la Principauté d’Andorre, oui, c’est possible. À condition de revenir à la maison en France avant 20h, à cause du couvre-feu français. Il y a liberté de circulation le jour dans les deux pays.

En revanche pour l’Espagne, pour le Val d’Aran notamment, à la frontière avec la Haute-Garonne, c’est non ! Et on nage en plein paradoxe, car la frontière est bien ouverte, mais il est interdit de la franchir !

Le maire de Bossòst : « il n’est pas possible d’entrer ou de sortir de Catalogne »

« Il y a des contrôles aléatoires » explique le maire de Bossòst, Amador Marqués. Exemple ce mercredi 15 décembre, juste avant le village de Lés, et son supermarché : les policiers catalans, les Mossos d’Esquadra, ont arrêté toutes les voitures immatriculées en France. Pas d’amende (elle est pourtant de 300 euros), mais ordre de faire demi-tour.

 

Fa un mes que demanem a @govern harmonització de mesures en territoris transfronterers. Resposta: control de @mossos a la frontera, el dia en què França aixeca restriccions de mobilitat. No volíem tassa, doncs tassa i mitja. Estem indignats @ajbossost@conselharan@SEGREcompic.twitter.com/taQOR27Dpx— amador (@amrqs) December 15, 2020

Confinement périmétrique dans certaines régions

Explication : la Catalogne, comme l’Aragon, et d’autres régions d’Espagne, sont aujourd’hui placées en « confinement périmétrique ». Il est interdit d’entrer ou de sortir des régions concernées, et ça vaut donc pour la France.

C’est la cacophonie

Mais on se heurte aussi au fonctionnement espagnol : l’Etat central (Madrid) a compétence pour la frontière internationale, laissée ouverte. Mais derrière, chaque région décide des mesures sanitaires. Pour la Catalogne (Barcelone) pour l’instant c’est strict. Et « c’est la cacophonie« , juge Amador Marqués.

Il y a cependant des exceptions : on peut aller en Espagne pour de rares raisons professionnelles, médicales, ou familiales. Mais pas pour une cartouche de cigarettes, une bouteille de pastis, ou un parfum.

En tout cas pour le Val d’Aran ça tombe mal. Les commerçants aranais vivent avec la clientèle française, essentiellement venue de Toulouse ou du Comminges, surtout à Noël. « Pour les commerçants, c’est terrible« , juge Amador Marqués.

Le maire de Bossòst demande depuis des semaines une exception à Barcelone et à Madrid pour les territoires transfrontaliers… il attend toujours.

 

Mathieu Ferri
Mathieu FerriFrance Bleu Occitanie

 

 

https://www.ladepeche.fr/article/2004/02/17/265791-est-il-rentable-de-faire-ses-courses-en-andorre.html

Toulouse. Est-il rentable de faire ses courses en Andorre ?

 

Publié le 17/02/2004 à 00:00

 

Un bus matin et soir pour Andorre-la-Vieille et le Pas-de-la-Case, les mercredi vendredis et dimanches chez Fram. Un allez/retour Toulouse le Pas-de-la-Case dans la journée chaque mercredis et samedis avec Salt. Si on ajoute les cars affrétés chaque année par dizaines par les clubs du 3e âge, on mesure le goût des Toulousains pour les produits détaxés de la principauté (1).

Mercredi 11 février, 8h 30, 48 passagers ont payé 15 euros pour un voyage de 11 heures au pays du beurre, du sucre, de l’alcool et des cigarettes à pas cher. A peine rajeunie par un couple d’amoureux, une femme et ses deux enfants et quelques hommes jeunes et solitaires, la moyenne d’âge frôle la soixantaine. Des habitués se reconnaissent et se saluent avant de s’asseoir. Pomponnées comme des demoiselles, Josephine et sa copine Marie font parti de ces fidèles capables de supporter six heures de bus pour quatre heures de courses dans les supermarchés du Pas. «Je viens une fois par mois. L’été nous faisons la route en voiture. Ca fait une belle promenade». Et que vont acheter nos deux promeneuses? «Rien lance Joséphine, juste deux cartouches de cigarettes et une bouteille de whisky pour faire un cadeau».

Assis seul et silencieux, un jeune homme d’une vingtaine d’années à d’autres préoccupations. «Je monte une fois par mois, pour faire les courses de fond pour la famille», explique-t-il. Au moment de repartir il glisse son gros sac dans la soute à bagages. A l’intérieur: trois kilos de beurre, cinq litres d’huile d’olive, cinq kilos de sucre en poudre et cinq kilos de sucre en morceau (Lire ci dessous le tableau comparatif des prix).

gros fumeur…

Dominique lui a la quarantaine et le visage buriné par la vie. Amoureux du Pas-de-la-Case, ce demandeur d’emploi monte deux à trois fois par semaine passer quelques heures dans les supermarchés. «Je ne prends pas de risque, je redescends toujours avec deux cartouches de cigarettes et deux bouteilles d’alcool car je suis un gros fumeur… Si je monte en voiture je fais le plein , ça me paye le voyage».

Daniel , ne fume pas. Mais il monte tous les quatre mois «pour faire des achats très ciblés». Aujourd’hui il redescends avec un ampli tuner payé en liquide 320 euros. «A Toulouse, le même appareil est vendu 396 euros. Mais si je n’avais pas trouvé la référence exacte que j’ai choisi en ville avant de monter je serai reparti sans rien», précise-t-il satisfait. Au moment de repartir un couple de retraité transporte discrètement dans un sac l’appareil photo numérique dont ils ont parlé pendant la montée. Un monsieur d’une cinquantaine d’années qui se targuait dans le bus d’avoir travaillé pour la police porte un sac photo flambant neuf à l’épaule. Un homme filme ses deux copains qui remontent dans le car avec son tout nouveau caméscope. Il est 15 h 30, le bus redémarre. La douane volante le laisse rentrer à Toulouse sans le moindre contrôle. Ceux qui ont joué, ont gagné.

Bernard Davodeau

(1)Les quantités officiellement autorisées sont de 300 cigarettes, 5 litres de vin ou un litre et demi d’alcool de plus de 22°, ou trois litres d’alcool de moins de 22°. Le beurre est limité à un Kg et le sucre à 5 Kg. La valeur des produits manufacturés ne doit pas dépasser 549 euros par personne.


« L’ANDORRE, C’EST INTÉRESSANT POUR LE CHOIX ET LE COÛT DES PRODUITS.»

Oui. « C’est meilleur marché.»

Cécile Lamarque, 24 ans, étudiante en sociologie.

« Faire ses achats en Andorre, c’est intéressant pour le choix et le coût des produits. C’est bien pour les cigarettes, les CD vierges et l’alcool s’il y a une fête prévue. Je sais que c’est intéressant aussi pour les vêtements, mais je suis étudiante, alors ça passe au second plan. Je n’ai pas le permis de conduire mais ça ne me gênerait pas de faire tous ces kilomètres. En attendant, je passe des commandes auprès d’amis ou j’ai des copains qui m’emmènent. Je leur demande une cartouche de cigarettes. On ne peut pas en ramener trop, c’est tout un calcul. De toute façon, c’est plus intéressant d’y aller à plusieurs. On partage les frais et on ramène plus de marchandises. Même avec les frais du voyage, ça reste malgré tout meilleur marché.»


« QUELQUES PRIX AUGMENTENT, MAIS CERTAINS ARTICLES SONT MOINS CHERS.»

Bof. Ca dépend des produits.

Stéphane Graule, 32 ans, boucher.

« Ce n’est pas intéressant pour tous les produits. Par exemple pour l’alcool, ça ne vaut pas forcément le coup. Ici, il y a des discounters qui font des bons prix. Puis pour les parfums ça devient kif-kif. Et il y a plein d’autres prix qui commencent à monter. Ils essayent de faire de l’Andorre une espèce de Monaco.

J’y vais quand même à l’occasion, parce que ça vaut la peine pour certains produits, comme les cigarettes. Ici à 5 € le paquet, fumer devient un luxe. J’ai aussi des copains qui y vont pour équiper leurs voitures. Les enceintes, les autoradios, tout est à moitié prix. Pour ma moto, c’est pareil, c’est même pas la moitié du prix. Mais je ne descends vraiment qu’à l’occasion. Je n’y suis pas allé depuis un an.»

La Dépêche du Midi

 

 

plainte-le-comtesse-2-1 dans Attentats

 

 dans Calomnie

 

 



Nouvelles menaces d’attentats islamistes

 

En date du 27 mai 2022, j’avais relayé cette information du 25 mai 2022 concernant un attentat qui venait d’être déjoué en m’interrogeant sur la possibilité que nous soyons confrontés à une nouvelle vague d’actes de terrorisme islamiste, après une période de tranquillité d’environ un an et demi :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/05/27/terrorisme-islamiste-debut-dune-nouvelle-vague-dattentats-en-france/

Je suis au regret d’annoncer que c’était bien le cas, j’en ai eu confirmation au début du mois et dispose même du calendrier approximatif des attentats, que je ne publierai pas pour éviter d’être ensuite accusée de l’avoir moi-même suggéré.

Isabelle Johanny, vice-procureur du TJ de Brest, tentait de relancer le truc avec ses complices habituels, dont le pédophile et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, depuis déjà plusieurs mois. J’avais stoppé la balle à plusieurs reprises mais ne peux quand même pas parer à tout, et donc, c’est bien reparti pour un tour.

Simultanément, je constate depuis deux jours que nous avons encore un crime très étrange auquel le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de cinglés ne sont peut-être pas étrangers, puisqu’ils y réagissent publiquement comme ils le font habituellement à propos de crimes dont ils sont eux-mêmes les auteurs. C’est celui dont François Vigouroux a été victime à Ille-sur-Têt, près de Perpignan, manifestement le 26 mai dernier.

Et bien sûr, ce qui s’est passé à Oslo hier ne m’a pas non plus échappé.

Enfin, le chef terroriste Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait bien lui aussi annoncé sur Twitter cette nouvelle série et peut-être même revendiqué l’assassinat de François Vigouroux à Ille-sur-Têt à sa manière – voir liste de messages rapportés ci-dessous; en tout dernier lieu, en date du 2 juin 2022, alors que venait d’être découvert le corps dépecé de François Vigouroux, il se disait coupable et se comparait à un gecko fondant sur sa proie « comme la foudre fulminant dans les lointains »…c’est-à-dire à la manière du verseau…

Je rappelle que sa fête islamiste ne dépend ni de mes écrits publics ni de mes plaintes susceptibles de le concerner, mais uniquement des possibilités qu’il entrevoit d’obtenir des condamnations à mon encontre dans le cadre de procédures pour le moins abusives – oui, c’est ainsi, les criminels organisés qui ont déjà assassiné plusieurs membres de ma famille tiennent absolument à faire condamner leur victime par tous les moyens ou n’importe lequel, sans forcément de relation avec mes écrits publics, comme quoi ceux-ci ne sont vraiment pas des déclencheurs, et d’ailleurs leurs obsessions me concernant lors des attentats des années 1990 étaient déjà à peu près les mêmes, alors que je n’avais strictement aucune expression publique.

C’est pourquoi en dépit de menaces perpétuelles de nouveaux faits graves, je continue à alerter au maximum sur la toile, même si ce n’est pas terrible, mais je n’ai toujours pas trouvé mieux – les autorités officielles, ça ne marche absolument pas.

 

Nouvelles menaces d'attentats islamistes dans AC ! Brest 2022%2003%2011%20-%20'Cyprien%20Luraghi%20on%20Twitter_%20_Par%20les%20temps%20qui%20courent%20on%20s'en%20rend%20enfin%20compte%20_%20le%20clavier%20peu_'%20-%20twitter.com

 

 

2022%2003%2012%20-%20'Cyprien%20Luraghi%20on%20Twitter_%20_Un%20bon%20kamikaze%20n'a%20jamais%20froid%20aux%20yeux.%20https___t.co_wrxOPSC4wG_%20_'%20-%20twitter.com dans Attentats

 

 

 dans Calomnie

 

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