Nouveau piratage informatique contre un de mes blogs

Cette fois, il s’agit de Satanistique dont les nombres de vues par article sont tous passés à zéro sitôt après la publication de mon dernier article, dans lequel j’évoquais de précédents piratages de blogs et autres sites par la bande de cybercriminels du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi ayant ainsi fait disparaître des preuves de leurs harcèlements à mon encontre.

En voici une preuve :

 

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Ligue du LOL : une association féministe porte plainte à Paris

La plainte porte notamment sur de possibles entraves à la saisine de la justice réalisées par la suppression de preuves, en l’occurrence de nombreux tweets litigieux.

En ce qui concerne le modèle primitif de cette « Ligue du LOL » essentiellement composée de jeunes communiquants, à savoir la bande de « déconnologues » du mythomane, malade mental et cyberharceleur extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, composée pour sa part de militants politiques tous extrémistes et pour la plupart militants ou sympathisants du NPA affichant une moyenne d’âge de plus de 50 ans, des suppressions de preuves ont été réalisées à plusieurs reprises par piratages informatiques des différents sites et blogs où elles se trouvaient, soit toujours à la vue du public, notamment sur Le Post ou ses archives tant que celles-ci sont restées en ligne (traces des harcèlements du chef en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre en 2009 et 2010), soit en stock hors la vue du public pour édification ultérieure de juges ou enquêteurs, notamment dans les parties privées des blogs des victimes, comme les corbeilles où étaient conservés des commentaires d’injures et de menaces non publiés, principalement ceux du très prolifique Jean-Marc Donnadieu de Béziers, dont un grand nombre avait disparu de la sorte début octobre 2010 au moment même où il adressait au procureur de la République de Brest une lettre de dénonciations calomnieuses à mon encontre tandis que son avocat Philippe Desruelles lançait à Béziers toutes ses opérations d’escroquerie au jugement contre OVERBLOG.

Mon ancien blog « Un petit coucou » chez OVERBLOG, qui n’avait été que suspendu de manière préventive le 11 juin 2013 à la suite d’une seconde condamnation inattendue d’OVERBLOG dans le cadre de nouvelles tentatives d’escroquerie au jugement de mes harceleurs, en l’occurrence, cette fois-là, Josette Brenterch du NPA de Brest, avait ainsi été entièrement supprimé par piratage informatique début septembre 2015 alors qu’un policier de Brest s’appêtait à m’interroger à la suite d’une plainte déposée à mon encontre à la gendarmerie de Puy-l’Evêque par Pascal Edouard Cyprien Luraghi au mois de mai 2015.

Il ne s’agissait encore, bien entendu, que de dénonciations calomnieuses, et son auteur craignait que je ne me défende comme OVERBLOG et moi-même l’avions déjà fait contre ses deux complices Jean-Marc Donnadieu et Josette Brenterch en exhibant notamment tous ses commentaires sur ce blog.

Aussi, il s’était publiquement réjoui de sa suppression dans les colonnes du site Rue89 peu de temps plus tard alors qu’il n’en avait été averti par aucune forme d’annonce publique.

Mais ce blog avait bien été supprimé à sa demande ou directement par lui pour m’empêcher de produire les preuves de ses harcèlements à mon encontre sur mon propre blog durant tout le temps de son activité, entre 2010 et 2013.

 

https://www.lci.fr/population/ligue-du-lol-association-feministe-prenons-la-une-saisit-le-procureur-de-paris-2121626.html

Ligue du LOL : une association féministe saisit le procureur de Paris

 

Ligue du LOL : une association féministe porte plainte à Paris dans AC ! Brest ligue-du-lol-20190211-1555-2c186b-0@1x

 

HARCÈLEMENT – Une association féministe a saisi lundi 20 mai le procureur de la République de Paris dans l’affaire de la Ligue du LOL, ce groupe constitué de journalistes et communicants parisiens – et dont plusieurs membres sont accusés de harcèlement sexiste dans les années 2000.

20 mai 11:41 – La rédaction de LCI

L’affaire de la ligue du LOL entre un peu plus dans sa phase judiciaire. Selon nos informations, le collectif féministe « Prenons la une » a saisi lundi 20 mai le procureur de la République de Paris afin que « toute la lumière soit faite sur les faits supposés de cyberharcèlement, injures à caractère sexiste, raciste ou homophobe et incitation à la haine raciale ou sexiste ». Et demandé à la ministre de la Justice Nicole Belloubet, ainsi qu’à la secrétaire d’Etat aux Droits des femmes, Marlène Schiappa, d’en faire de même.

Plusieurs licenciements

Créé à la fin des années 2000, la ligue du LOL est un groupe Facebook privé qui regroupait notamment des journalistes ou travailleurs du web, surtout parisiens. Une dizaine d’années plus tard, ces mêmes journalistes, parfois très influents, parfois rédacteurs en chef de grands médias, sont accusés d’avoir harcelé pendant ces années de nombreuses personnes. L’affaire avait fait réagir jusqu’à la secrétaire d’État à l’égalité femmes-hommes Marlène Schiappa.

En février dernier, un article de Libération – abondé ensuite par de nombreux témoignages sur Twitter – mettait au jour ces faits de harcèlement sexiste. Dans les semaines qui ont suivi ces révélations, plusieurs journalistes ont d’ailleurs été licenciés notamment Alexandre Hervaud et Vincent Glad à Libération tout comme David Doucet, rédacteur en chef web du magazine Les Inrocks, et de son adjoint François-Luc Doyez.

Suppression de preuves ?

  »Il importe de connaître le déroulé précis des événements pour savoir s’ils sont prescrits, indique le collectif Prenons la une dans un communiqué. Nous souhaitons que la suppression de nombreux messages sur les réseaux sociaux, à la suite de la révélation de l’affaire, soit étudiée, afin de savoir si cela constitue une nouvelle infraction d’entrave à la saisine de la justice. »

En février dernier, relevant le caractère raciste de certaines de ces attaques, SOS Racisme avait également effectué un signalement auprès du procureur, suite à l’affaire de la ligue du LOL. Pour l’heure, aucune enquête n’est ouverte.

La rédaction de LCI

Mis à jour : Aujourd’hui à 11:42Créé : Aujourd’hui à 11:41

 



Deux énormes incendies à Mulhouse et Bordeaux, comme à Notre-Dame le mois dernier…

 

 

 

A Mulhouse comme à Paris, des explosions ont été entendues avant l’incendie.

Et à Bordeaux, où l’incendie s’est déclaré hier soir dans un parking, il y a eu beaucoup d’explosions lors de la phase d’embrasement.

Les causes de ces incendies sont inconnues.

L’enquête à Notre-Dame a tout juste débuté et promet d’être longue.

 

https://www.nouvelobs.com/faits-divers/20190519.OBS13125/incendie-a-la-gare-de-mulhouse-8-000-m2-d-entrepots-detruits-pas-de-victime.html

Incendie à la gare de Mulhouse, 8.000 m2 d’entrepôts détruits, pas de victime

 

Le bâtiment a brûlé aux deux tiers, estime Georges Thill, chef de site au Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) du Haut-Rhin.
Le bâtiment a brûlé aux deux tiers, estime Georges Thill, chef de site au Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) du Haut-Rhin. (Capture « Républicain Lorrain »)

 

Une enquête a été ouverte pour déterminer l’origine de l’incendie.

 

Par L’Obs.fr avec AFP

Publié le 19 mai 2019 à 11h18

Un incendie s’est déclaré dans la nuit de samedi à dimanche près de la gare de triage de Mulhouse, ravageant 8.000 m2 d’entrepôts, sans faire de victime. Selon le « Républicain Lorrain », des explosions ont d’abord été entendues aux alentours de minuit dans le secteur, avec des projections de débris enflammés.

Les pompiers ont été alertés par « de multiples appels de riverains » vers 23H00 pour un incendie « dans un ancien entrepôt de la SNCF de 12.000 m2, loué à diverses entreprises, notamment un important dépôt de meubles », indique le lieutenant-colonel Georges Thill, chef de site au Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) du Haut-Rhin.« Ce bâtiment a brûlé aux deux tiers, la charpente métallique s’est écroulée et tout le contenu est perdu », a-t-il ajouté.

8.000 m2 détruits par le feu

« Quand les pompiers sont arrivés, il y avait un embrasement très important », a relaté l’officier.

En tout, 8.000 m2 ont été ravagés par les flammes, pour une raison encore inconnue. « Une centaine de sapeurs-pompiers, une dizaine d’engins incendies, trois grandes échelles, quatre lances-canons et dix lances de plain-pied » ont été mobilisés toute la nuit, a détaillé le lieutenant-colonel Thill.

L’incendie, qui n’a pas fait de victime, a été maîtrisé vers 03h00 dimanche. Une vingtaine de pompiers étaient encore sur place pour éteindre les foyers résiduels et « des moyens seront engagés toute la journée », a précisé à l’AFP l’officier du Centre opérationnel d’incendie et de secours (Codis) du Haut-Rhin.

L'Obs

L’Obs.fr avec AFP

 

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/incendie/mulhouse-un-violent-incendie-ravage-l-entrepot-de-la-gare-de-triage_3450209.html

Mulhouse : l’incendie de l’entrepôt de la gare de triage est éteint, 8 000 m² détruits par les flammes

 

Une trentaine de pompiers sont pour autant toujours sur place et travaillent à « l’extinction des foyers résiduels ».

 

Mulhouse, dans l\'est de la France, près des frontières suisse et allemande.
Mulhouse, dans l’est de la France, près des frontières suisse et allemande. (GOOGLE MAPS)

 

L’incendie qui a ravagé 8 000 mètres carré dans l’entrepôt de la gare de triage de Mulhouse (Haut-Rhin) est dorénavant éteint, indiquent les pompiers à franceinfo dimanche 19 mai. Une trentaine de pompiers sont pour autant toujours sur place et travaillent à « l’extinction des foyers résiduels ».

L’incendie s’est déclenché vers 23 heures samedi. 8 000 m² ont été complètement détruit, sur les 12 000 que compte l’entrepôt au total. La charpente en métal s’est effondrée. Cet ancien entrepôt de la SNCF était loué à plusieurs entreprises, dont l’une qui stockait des meubles, précisent les pompiers. Une vingtaine d’habitations qui se trouvaient à proximité de l’entrepôt ont été évacuées jusqu’à 1 heure du matin.

Il n’y a aucun blessé. Une centaine de pompiers ont été mobilisés au plus fort de l’incendie.

 

https://www.sudouest.fr/2019/05/18/bordeaux-un-quartier-boucle-apres-l-incendie-du-parking-6095548-2780.php

Vidéos. Incendie au parking des Salinières à Bordeaux : une dalle « serait tombée », inquiétudes sur la structure

 

Publié le 18/05/2019 à 23h48. Mis à jour le 19/05/2019 par Florence Moreau.
Vidéos. Incendie au parking des Salinières à Bordeaux : une dalle "serait tombée", inquiétudes sur la structure
Le quartier Saint-Michel est bouclé depuis samedi soir pour permettre aux pompiers de venir à bout de l’incendie. L’épaisse fumée est visible de loin.

David Thierry

 

Un feu ravage depuis samedi soir le parking des Salinières. Le quartier est toujours bouclé ce dimanche, et le tram C est interrompu, sans doute pour au moins une semaine. D’éventuelles victimes sont recherchées.

Une fumée noire et épaisse sortie du sol, qui se voyait de très loin ce dimanche matin, une odeur âcre qui se répandait… Le secteur autour du quai des Salinières, dans le quartier Saint-Michel à Bordeaux, a été bouclé samedi soir pour permettre aux pompiers de venir à bout d’un incendie survenu dans le parking des Salinières, sur la rive gauche des quais. Un incendie qui semblait maîtrisé samedi soir, mais qui a repris de la vigueur dans la nuit et n’est toujours pas maîtrisé ce dimanche.

Le feu encore actif mais des progrès ont été réalisés

Vers midi, les équipes de pompiers dites « d’engagement longue durée » ont pénétré dans le parking, jusque-là inaccessible en raison de la chaleur et d’un doute sur la stabilité des lieux. « Elles ont mis et laissé en place des lances qui vont cracher de l’eau de façon automatique », explique le capitaine Matthieu Jomain, officier de communication du Sdis. Car le feu brûle toujours ce dimanche, avec  »un effet cocotte-minute qui fait monter la température », expliquait-il plus tôt dans la journée.

Ces lances « ont en quelque sorte ouvert la voie. Mais ce n’est pas parce qu’elles quittent les lieux que c’est fini. Désormais, d’autres pompiers vont se relayer. Nous sommes confiants mais vigilants sur la fin prochaine de l’incendie. C’est seulement après que nous pourrons faire un état des lieux ».

Recherche d’éventuelles victimes

Deux sujets d’inquiétude prédominent et ont été au coeur d’un point de situation, effectué sur place avec de la directrice de cabinet du préfet, de Jean-Louis David, adjoint au maire notamment chargé de la sécurité, de TBM et de l’architecte des bâtiments de France…  »Notre préoccupation principale est qu’il n’y ait pas de victimes à l’intérieur ».

Certains riverains ou utilisateurs font en effet état de SDF qui dorment régulièrement au chaud sur un matelas, voire d’autres – des plaintes ont été déposées – qui cassent une voiture pour y passer la nuit. « La recherche d’éventuelles victimes se fait niveau par niveau. Il n’y en a pas pour le moment. Mais c’est aussi pour cette raison aussi que nous avons fait évacuer un bâtiment samedi soir (un immeuble de quatre étages a été évacué, neuf personnes ont été relogées et 31 ont été prises en charge par la Croix rouge, NDLR). L’endroit devenait dangereux. Il y a eu beaucoup d’explosions lors de la phase d’embrasement et ce matin encore ».

Une structure fragilisée ?

Reste l’état des lieux une fois l’incendie maîtrisé. Il conditionne la reprise du trafic des tramways de la ligne C qui dessert la gare, le retour des habitants à leur domicile, la reprise de la circulation sur les quais… « On ne connaît pas encore l’étendue des dégradations », pose l’adjoint au maire. « Tant que le doute n’est pas levé, la circulation des tramways ne pourra pas reprendre, soit pas avant une semaine, le temps que les experts rendent leur rapport ».

Forts de leur expérience, les pompiers ont en effet émis des doutes sur la stabilité de la structure qui pourrait être fragilisée. « Il y a beaucoup de gravats à l’intérieur et une partie de la dalle entre le deuxième et le troisième étage serait tombée », révèle l’élu, qui ne veut pas sombrer dans le catastrophisme. « Il faut attendre pour s’assurer qu’il n’y a pas de danger ». Le marché de la place Saint-Michel est annulé pour la journée de lundi.

« Les pompiers, dont il faut souligner le travail remarquable, sont allés d’abord dans les endroits les plus profonds, au –5 et –4 pour faire leur reconnaissance », détaille Angélique Rocher-Bedjoudjou, directrice de cabinet du préfet. « C’est à cette occasion que trois sapeurs pompiers ont été intoxiqués. Ils sont désormais hors de danger. La vigilance reste de mise à l’intérieur du parking ».

Le feu localisé au niveau –3

Tout a commencé samedi soir, peu avant 20h30, au moment où les caméras de vidéosurveillance ont repéré de la fumée. Le Sdis a tout de suite envoyé de gros moyens, qui ont ensuite été renforcés. « Nous avions 32 véhicules et une petite centaine d’hommes », racontait samedi soir le lieutenant-colonel Arnaud Mendousse, officier de communication du service départemental d’incendie et de secours de la Gironde (Sdis).

Un poste de commandement avancé a été installé avec cartes des lieux, tableau blanc résumant les événements marquants, radios qui font crépiter les bilans de reconnaissance à tous les étages. C’est seulement vers 22h20 que le foyer a été localisé. « Au niveau –3, c’est une voiture qui a pris feu », révélait le lieutenant-colonel Mendousse.

Un périmètre de sécurité a été délimité pour maintenir les badauds à l’écart et éviter les inhalations de fumées crachées par l’extraction automatique. Peu avant 23 heures, les pompiers pensaient avoir maîtrisé le feu. Mais ils ont rencontré une succession de difficultés, si bien que l’incendie est resté actif.

Sud Ouest
Crédit photo : Florence Moreau

 

Tram C interrompu, sans doute au moins jusqu’à lundi

Conséquence : le quartier est toujours bouclé avec interdiction de circuler. Sur son site internet, la mairie de Bordeaux précise que « l’accès, l’usage et l’exploitation du parking des Salinières sont interdits jusqu’à la mise en sécurité totale du site ». Plusieurs rues du secteur sont inaccessibles.

Depuis le début du sinistre, samedi soir, les tramways de la ligne C sont donc neutralisés entre les stations Quinconces et gare Saint-Jean, précise TBM. Une situation qui devrait durer et un vrai problème sur cette ligne qui dessert la gare Saint-Jean et ses milliers de passagers, comme l’expliquait Jean-Louis David (lire plus haut). Des bus relais ont été mis en place.

 

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/incendie/bordeaux-les-pompiers-mobilises-depuis-hier-soir-dans-l-incendie-d-un-parking-souterrain_3450347.html

Bordeaux : L’incendie de parking est maîtrisé, mais pas encore éteint, un étage menace de s’effondrer

 

Un feu ravage depuis samedi soir le parking souterrain des Salinières, à Bordeaux. La sous-préfète Angélique Rocher-Bedjoudjou annonce que le feu était maîtrisé.

L\'incendie a débuté vers 20h30 samedi soir.
L’incendie a débuté vers 20h30 samedi soir. (Radio France – Charles Napoli)

 

En début d’après-midi, la sous-préfète Angélique Rocher-Bedjoudjou a annoncé que le feu était maîtrisé. « On ne peut pas exclure qu’un véhicule, à nouveau, reprenne feu, donc une surveillance constante est effectuée par les pompiers », a-t-elle précisé.

Le niveau -2 menace de s’effondrer

Le niveau -2 du parking souterrain des Salinières à Bordeaux où un incendie d’origine indéterminée est en cours depuis ce samedi soir, menace de s’effondrer sur le niveau -3, rapporte ce dimanche les pompiers à France Bleu Gironde.

L’incendie s’est produit au niveau -3 de ce parking sous-terrain, qui en compte cinq. « Nous progressons à tâtons mais c’est très difficile d’avancer tant la température est élevée : plusieurs centaines de degrés. Il y aussi un risque de toxicité lié aux fumées très important », a expliqué le capitaine Mathieu Jomain, qui s’occupe de la communication des pompiers. 370 véhicules se trouvent dans le parking et plusieurs ont pris feu sans que l’on sache ni combien, ni pourquoi pour l’instant.

Les niveaux -5 et -4 ont fait l’objet de reconnaissance. Les autres étages étaient encore trop chauds pour être inspectés ce dimanche à 13h.

Les pompiers à la recherche d’éventuelles victimes

Plus de 100 pompiers sont mobilisés ce dimanche midi. Ils continuent également de rechercher d’éventuelles victimes. Trois pompiers ont été légèrement intoxiqués par les fumées et devaient sortir de l’hôpital dans la matinée. 45 personnes qui habitent dans les appartements voisins ont été évacuées et regroupées au Palais des sports.

Un périmètre de sécurité a été mis en place autour du parking. Le tram C est interrompu entre les stations Quinconces et Gare St-Jean. Un bus relais a été mis en place. On ne sait pas encore quand le trafic pourra reprendre.

Ce n’est pas la première fois que ce parking est victime d’un incendie. Cela s’était déjà produit en 2013 puis en 2016.

 

https://fr.aleteia.org/2019/04/16/et-la-levant-la-tete-de-la-fumee-horreur-elle-assistait-a-la-messe-a-notre-dame-quand-lincendie-sest-declare/

Deux énormes incendies à Mulhouse et Bordeaux, comme à Notre-Dame le mois dernier... dans Attentats sepgray_2

« Et là, levant la tête, de la fumée. Horreur. » Un témoin présent à Notre-Dame raconte

 

 dans Corruption

Un incendie ravage Notre-Dame de Paris, 15 avril 2019.
Hélène Bodenez | 16 avril 2019

 

EXCLUSIF : Hélène Bodenez, professeur de Lettres à Paris, était à la messe à Notre-Dame lundi en fin de journée quand l’alarme incendie s’est déclenchée. Elle raconte comment elle a vécu cet évènement tragique. L’Alléluia de dimanche promet une saveur particulière.

 

Pas de messe dans ma paroisse le lundi. En prenant le 47, en ce Lundi saint, je serai rapidement à Notre-Dame. J’arrive à 18h20, un peu en retard pour la messe de 18h15 célébrée par mon ancien curé de la paroisse Saint-Lambert, le père Carrau.

L’alarme en pleine messe

La lecture vient de se terminer et j’entends le psaume 26 chanté « Le Seigneur est ma lumière et mon salut. » L’évangile de saint Jean, l’onction à Béthanie, est proclamé. L’homélie commence. Le père Carrau n’a pas eu le temps de prononcer grand-chose quand une sorte d’alarme fait entendre alternativement une sirène puis une voix très forte qui dit un message inaudible, en plusieurs langues.

Dans le chœur, la dame à côté de moi me demande si j’ai entendu comme elle « le gros bruit ». Je lui réponds par l’affirmative bien que ne sachant pas précisément d’où ça venait ni ce que cela recouvrait. Plutôt en hauteur et à gauche. Habituée aux alertes incendie en tant qu’enseignante, je me demande cependant si c’en est une. Mais les vigiles arrivent et font évacuer tout le monde. Mêmes les fidèles de la messe. Aux alentours de 18h35.

Quand nous nous retrouvons dehors, nous ne savons pas ce qu’il en est. Les vigiles non plus. Très à cheval sur les procédures, ils rembarrent vigoureusement tous ceux qui veulent passer outre. Les grilles se ferment. Puis, alors que les touristes ne peuvent plus entrer, quelques fidèles dont je suis sont autorisés à rentrer, à rejoindre le prêtre pour continuer la messe interrompue. Plus de micro. Mais des personnes derrière et autour de l’autel s’affairent bruyamment dans cette cathédrale désormais vide, silencieuse. Le père Carrau a quitté l’ambon pour être plus proche de cette poignée de fidèles et commence deux phrases pour être interrompu très très vite : des hurlements nous intiment de sortir. On sent l’affolement grave. On obtempère sur le champ ; nous sommes dehors à nouveau à la vitesse de l’éclair. Incendie, attentat ? On déguerpit sans demander son reste.

La fumée entre les deux tours

Dehors à nouveau. Un peu sonnée. La messe ce n’est pas pour ce soir. Et là, levant la tête, de la fumée. Horreur. Il est aux alentours de 18h50. L’incendie est déclaré. Personne autour de moi ne croit pourtant que c’est grave. Ce n’est simplement pas possible. Mais au fur et à mesure que les minutes s’écoulent la sidération est palpable, celle de tous ceux qui sont présents, la mienne évidemment énorme. Les larmes me montent aux yeux.

Les périmètres de sécurité commencent à être mis en place. Les sirènes de police et de pompier à retentir. Les policiers arrivés en renfort nous font reculer sur un ton qui ne souffre pas d’opposition. D’abord un peu, et puis quelques minutes plus tard beaucoup plus loin pour évacuer toute la foule agglutinée. Une lourde fumée sort de la petite rosace qui me fait face. Mais bientôt après la fumée, l’orange et le rouge des flammes s’élancent dans le ciel. Des flammèches commencent à voler. La flèche est atteinte. La vitesse du feu est hallucinante. Des exclamations épouvantées fusent avec des « oh non ! » poignants.

 dans LCR - NPA
FRANCOIS GUILLOT/AFP/East News

 

L’arc-en-ciel et le pompier

La zone est à libérer. D’urgence. Je décide de ne pas rester. Je pars au moment où la grande échelle des pompiers de trente mètres lance enfin de sa lance sur les quatre-vingt-dix mètres de hauteur l’eau tant espérée. Un arc-en-ciel se forme dans les éclaboussures d’eau. Au cœur du malheur, toujours ces petits signes… Depuis le déluge, nous savons qu’il est le signe de l’alliance indéfectible de Dieu et de son peuple.

En ce début de semaine sainte 2019, après le « Hosanna au plus des Cieux » des Rameaux d’hier, à deux jours de la messe chrismale, Pâques se profile décidément dans une épreuve toujours plus lourde et qui paraît n’avoir pas de fin. L’Alléluia de dimanche promet une saveur particulière.

En images : l’incendie de Notre-Dame de Paris

 

 

 

https://fr.sputniknews.com/france/201905161041137012-notre-dame-enquete-incendie-mois/

La cathédrale Notre-Dame de Paris après l'incendie, en avril 2019

Où en est l’enquête un mois après l’incendie de Notre-Dame?

 

© Sputnik . Oxana Bobrovitch
France

17:04 16.05.2019(mis à jour 17:08 16.05.2019) URL courte
26233

 

Un mois après l’incendie de Notre-Dame, on reste dans l’ignorance de ce qui l’a causé. La piste accidentelle est toujours retenue, et les enquêteurs ont isolé trois hypothèses de départ de feu, indique Euronews. Le projet de restauration n’est pas encore choisi et le gouvernement enjoint les architectes à laisser libre cours à leur imagination.

Un mois s’est écoulé depuis l’incendie qui a ravagé une partie de Notre-Dame de Paris. L’enquête est ouverte, mais les causes du sinistre demeurent encore inconnues, indique Euronews.

Notre-Dame de Paris en flammes
© Sputnik . Dominique Boutin

 

Les enquêteurs continuent à privilégier la piste d’un départ de feu accidentel. Trois hypothèses sont avancées actuellement, la première supposant que des ouvriers auraient violé l’interdiction de fumer sur le chantier, où plusieurs mégots ont été retrouvés après l’incendie, selon le Canard enchaîné.

La deuxième porte sur un éventuel court-circuit qui aurait pu se produire dans les ascenseurs installés pour les travaux de réfection. Enfin, un scénario incluant les cloches électrifiées est également pris en considération.

L’enquête en cours est aussi censée définir les raisons pour lesquelles l’incendie n’a été détecté que vingt-trois minutes après la première alerte.

Les coûts des dégâts causés par l’incendie restent imprécis à défaut d’un diagnostic complet, a déclaré le ministre de la Culture, Franck Riester. La charpente en bois et la flèche complètement détruites, des architectes proposent des projets de reconstruction aussi classiques qu’innovants.

Aucun projet n’a été choisi pour le moment et l’appel à des solutions constructives est toujours valable:

«Il est bien trop tôt pour conclure, c’est le moment du débat. Profitons de cet élan créatif, on voit que jaillissent partout des idées formidables, parfois saugrenues, mais aussi extraordinaires. Laissons la créativité s’emparer de nos compatriotes, faisons un beau débat architectural, et c’est un beau débat, et le moment venu nous déciderons», a affirmé le ministre.

le tombeau de Napoléon Ier

 

900 millions d’euros de promesses de dons ont été récoltés depuis le lancement de la souscription nationale. L’un des organismes collecteurs, la Fondation pour le patrimoine, a pris la décision d’arrêter la collecte de fonds et d’en créer une autre pour aider à sauver et reconstituer des sites français dans un état déplorable, a précisé Euronews.

 



Nouvelles déconvenues pour Jean-Luc Mélenchon

Pareil pour son double astrologique Jean-Marc Donnadieu de Béziers, donc, mais ce dernier se garde bien de le dire à son public…

 

https://www.lepoint.fr/politique/europeennes-un-elu-france-insoumise-appelle-a-voter-rassemblement-national-14-05-2019-2312603_20.php

Européennes : un élu Insoumis appelle à voter Rassemblement national

 

Andrea Kotarac, conseiller régional LFI, va quitter son parti et voter pour le Rassemblement national le 26 mai prochain. Il veut « faire barrage » à Macron.

 

Source AFP

Modifié le 15/05/2019 à 06:09 – Publié le 14/05/2019 à 21:06 | Le Point.fr
Andrea Kotarac a annonce qu'il ne comptait pas rejoindre le parti de Marine Le Pen.
Andrea Kotarac a annoncé qu’il ne comptait pas rejoindre le parti de Marine Le Pen.

© JOEL PHILIPPON / MAXPPP / PHOTOPQR/LE PROGRES/MAXPPP

Coup de tonnerre pour La France insoumise à moins de deux semaines des élections européennes. Un élu régional du parti de Jean-Luc Mélenchon, ancien membre de l’équipe de campagne présidentielle, a annoncé mardi qu’il quittait LFI et allait voter pour la liste du Rassemblement national aux élections européennes pour « faire barrage » à Emmanuel Macron. « Emmanuel Macron a catalysé la colère des Français (…) il y a répondu par l’arrogance, par l’insulte. Donc, j’appelle à voter pour la seule liste souverainiste, qui met en avant l’indépendance de la France et qui est la mieux à même de faire barrage à Emmanuel Macron et de faire barrage à ce rouleau compresseur antisocial », la liste de Jordan Bardella, a déclaré à BFM TV Andréa Kotarac, conseiller régional Auvergne-Rhône-Alpes.

Andrea Kotarac a dit souhaiter « faire baisser le plus bas possible le score de LREM, au niveau du charisme de Nathalie Loiseau ». Il a précisé avoir rencontré la présidente du parti d’extrême droite Marine Le Pen qui l’a « rassuré » sur les questions sociales. « Elle m’a appelé, elle m’a soutenu dans la tourmente. » « Je n’adhère pas au RN, mais le contexte politique actuel nécessite un barrage à Emmanuel Macron. Si Emmanuel Macron est en tête, il va accélérer ses réformes antisociales », a ajouté l’élu.

 

« On ne défend plus les intérêts du peuple mais ceux de la gauche (…) J’ai décidé de quitter @FranceInsoumise (…) Mélenchon n’est pas un dicateur ou Dracula (…) mais sa pensée est minoritaire au sein de LFI. » pic.twitter.com/c5aBlO5qEv

— Andréa Kotarac (@AndreaKotarac) 14 mai 2019

 

Lire aussi Édouard Philippe et ces drôles de droites

Un élu polémique

La participation de ce militant, partisan d’une ligne très souverainiste, à un forum en Crimée en avril organisé par Vladimir Poutine avait fait polémique chez LFI. « On a oublié cette pensée souverainiste, républicaine, laïque », a plaidé Andrea Kotarac. À propos de l’immigration, que combat le RN, il a dit « (préférer) que les gens vivent dignement, fièrement, chez eux sans qu’ils aient à risquer leur vie » dans un autre pays.

Le RN a salué dans un communiqué « le courage et la lucidité de cet élu réellement insoumis, qui a compris que la dynamique du RN était la seule capable de stopper la politique d’Emmanuel Macron et avec elle, la soumission de la France à la politique néfaste de l’Union européenne ».

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« Une trahison politique »

Andrea Kotarac a précisé par la suite sur son compte Twitter qu’il allait rendre son mandat de conseiller régional. Il avait été élu en 2015 sur la liste PS/MRC/EELV/PG du socialiste Jean-Jack Queyranne et siégeait depuis au sein du groupe Rassemblement citoyen écologiste & solidaire (RCES).

Elliott Aubin, élu LFI dans le 1er arrondissement de Lyon et « ami » de longue date de Andrea Kotarac, s’est dit « abasourdi » et « sidéré » par la nouvelle, en évoquant sur Twitter « une cynique trahison politique à quelques jours d’un scrutin ».

Réaction à l’annonce d’Andréa Kotarac. pic.twitter.com/sRT03u35Nc

— Elliott Aubin (@ElliottAubin) 14 mai 2019

« Incompréhension, trahison. Condamnation absolue. On ne combat pas Macron avec le RN. On combat les deux quoi qu’il en soit », a tweeté de son côté Benoît Schneckenburger, candidat en 12e position sur la liste de LFI pour les élections européennes.

Andrea Kotarac : Incompréhension, trahison. Condamnation absolue . On ne combat pas Macron avec le RN. On combat les deux quoi qu’il en soit.

 

https://www.lepoint.fr/elections-europeennes/europeennes-nouveau-coup-dur-pour-jean-luc-melenchon-18-05-2019-2313465_2095.php

Européennes : nouveau coup dur pour Jean-Luc Mélenchon

 

CONFIDENTIEL. Henri Peña-Ruiz, l’intellectuel proche de La France insoumise, a décidé de soutenir Ian Brossat, tête de liste du Parti communiste.

 

Par

Modifié le 18/05/2019 à 17:26 – Publié le 18/05/2019 à 17:21 | Le Point.fr
Le philosophe Henri Pena-Ruiz.
Le philosophe Henri Peña-Ruiz.

© IBO/SIPA

Après le départ d’Andréa Kotarac, conseiller régional LFI, qui a appelé à voter pour le RN, c’est un nouveau coup dur dont La France insoumise se serait bien passée dans la dernière ligne droite de ces élections européennes. Le philosophe Henri Peña-Ruiz, membre du Parti de gauche, et auteur du dernier cours à l’école de La France Insoumise sur la laïcité, a décidé de soutenir Ian Brossat, la tête de liste du Parti communiste, au détriment de Manon Aubry, tête de liste LFI, le parti de Jean-Luc Mélenchon.

« Je souhaite un beau succès à Ian Brossat et à sa liste pour que la France de notre regretté Jean Ferrat parle haut et fort à Bruxelles », écrit-il dans un texte de soutien que Le Point s’est procuré en exclusivité (lire encadré).

« La disparition du Parti communiste serait une catastrophe absolue »

L’intellectuel a-t-il des griefs envers LFI et Jean-Luc Mélenchon ? « Pas du tout, pas du tout. Je craignais cette réaction. Je suis toujours un compagnon de route de LFI. Mais la disparition du Parti communiste serait une catastrophe absolue », minimise-t-il. Pourtant, un de ses amis nous assure qu’il a été « très affecté » par la mise à l’écart de Charlotte Girard, militante très populaire à LFI, après que celle-ci a exprimé des réserves à l’égard de Sophia Chikirou, proche de Jean-Luc Mélenchon.

Mais il refuse de s’associer publiquement aux critiques exprimées par plusieurs cadres qui ont claqué la porte sur le manque de démocratie dans l’appareil. « S’il y a des problèmes à La France insoumise, c’est aux militants de La France insoumise de les résoudre », explique-t-il. Contactés, Manon Aubry et Manuel Bompard n’ont pas répondu à nos sollicitations.

« Ian Brossat fait honneur à la politique et au communisme »

« Ian Brossat fait honneur à la politique et au communisme. Il mène brillamment campagne en faisant le pari de l’intelligence et de la culture. Dans « communisme » il y a commun. Commun à tous les êtres humains. Au-delà des amalgames injustes qui ont tenté de disqualifier l’idéal communiste, il est grand temps de rappeler ce sens du bien commun, de l’intérêt général, et de la solidarité qu’implique la notion de communisme. Souvenons-nous du Front populaire, de la résistance au nazisme, puis de la Libération, avec l’œuvre inoubliable d’Ambroise Croizat, ministre communiste qui créa la Sécurité sociale. Oui, le Parti communiste français a joué un rôle décisif dans l’histoire de notre pays. Notamment pour promouvoir le progrès social. Aujourd’hui, face à la morgue de classe de M. Macron, et à sa politique dévastatrice pour les plus démunis, il nous faut un Parti communiste fier de son histoire, et décidé à jouer un rôle moteur dans le rassemblement des forces de progrès. Karl Marx disait que la classe ouvrière est une classe universelle en ce sens qu’en se libérant de l’exploitation capitaliste elle libère l’humanité tout entière. Transposé à l’âge de la mondialisation capitaliste, et appliqué à tous ceux qui ont à lutter contre l’injustice sociale, ce propos est d’une vive actualité. Y compris à l’échelle de l’Europe, enchaînée naguère par Jean Monnet au capitalisme et à l’atlantisme pro-américain, et qui n’est qu’une caricature de la belle idée européenne telle que l’a rêvée Victor Hugo. Le poète voulait une Europe du progrès culturel et humain, non une Europe de la concurrence libre et non faussée, qui fait du social un résidu facultatif. Le sens de la justice sociale ne doit pas se réduire au supplément d’âme d’un monde sans âme. Au Parlement européen, les élus communistes ne manqueront pas de combattre une économie dévoyée par des financiers indifférents au sort des laissés pour compte. Il est temps de refonder l’Europe sur la justice sociale et la responsabilité écologique, sans oublier la laïcité, idéal d’émancipation plus actuel que jamais. Je souhaite un beau succès à Ian Brossat et à sa liste pour que la France de notre regretté Jean Ferrat parle haut et fort à Bruxelles. » Henri Peña-Ruiz Philosophe, écrivain, maître de conférences à Sciences Po Paris.

 



Attentat de Strasbourg : une nouvelle mise en examen

Rappelons que les deux malades mentaux extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque et Jean-Marc Donnadieu de Béziers ont chacun revendiqué l’attentat de manière à peine voilée au mois de décembre dernier, le premier sur son blog et le second sur son mur Facebook.

Or, ils ne sont pas inquiétés, ni l’un ni l’autre.

 

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/attentat-du-marche-de-noel-a-strasbourg-cinq-personnes-arretees_2078011.html

Attentat du marché de Noël à Strasbourg : cinq personnes arrêtées

 

Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 14/05/2019 à 12:59 , mis à jour à 13:23

 

Deux policiers de la Brigade de recherche et d'intervention sur le pont de l'Europe, quelques heures après l'attentat du marché de Noël qui a fait quatre morts, à Strasbourg le 12 décembre 2019.

Deux policiers de la Brigade de recherche et d’intervention sur le pont de l’Europe, quelques heures après l’attentat du marché de Noël qui a fait quatre morts, à Strasbourg le 12 décembre 2019.afp.com/Frederick FLORIN

 

Les suspects, âgés de 23 à 46 ans, ont été interpellés dans le cadre de l’enquête sur la fourniture d’armes à Chérif Chekatt, qui a tué cinq personnes en décembre.

 

Cinq personnes ont été arrêtées ce mardi à Strasbourg dans l’enquête sur l’attentat du marché de Noël, qui avait fait cinq morts et onze blessés le 11 décembre, a-t-on appris de source proche du dossier.

Ces arrestations sont intervenues « dans le cadre des vérifications liées aux armes détenues par Chérif Chekatt« , l’auteur de l’attentat abattu par une patrouille de police après deux jours de traque, a-t-on précisé de même source, confirmant une information du Parisien.

Des suspects de 23 à 46 ans

Selon le quotidien, ces cinq personnes, « âgées de 23 à 46 ans », ont été interpellées dans le cadre de l’enquête sur la fourniture à Chérif Chekatt d’armes liées à une autre affaire dans laquelle il était soupçonné de tentative d’homicide. L’un des suspects aurait par ailleurs été « extrait de prison ».

Le matin même de son équipée meurtrière dans le centre historique de la capitale alsacienne, les gendarmes avaient saisi chez lui une grenade défensive, un revolver de calibre .22 Long Rifle chargé, plusieurs munitions de calibre .357, quatre couteaux et une cagoule, ajoute le journal.

Quatre hommes déjà mis en examen

Début février, trois hommes, soupçonnés d’être liés à la fourniture du revolver du XIXe siècle dont s’est servi Chérif Chekatt au cours de son attaque, avaient été mis en examen par un juge d’instruction à Paris pour « détention et cession d’arme de catégorie B en réunion et en relation avec une entreprise terroriste », ainsi que pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placés en détention provisoire. Le 17 décembre, un autre homme avait également été mis en examen pour les mêmes chefs et écroué.

Chérif Chekatt, délinquant multirécidiviste de 29 ans et fiché S pour radicalisation islamiste, avait prêté allégeance à l’organisation Etat islamique (EI), selon une vidéo trouvée par les enquêteurs français sur une clé USB.

 

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/fusillade-a-strasbourg/attentat-de-strasbourg-une-sixieme-personne-soupconnee-d-avoir-joue-un-role-dans-la-fourniture-d-armes-a-ete-interpellee_3444895.html

Attentat de Strasbourg : une sixième personne soupçonnée d’avoir joué un rôle dans la fourniture d’armes a été interpellée

 

Mardi, trois hommes et deux femmes âgées de 23 à 46 ans avaient déjà été arrêtés à Strasbourg et ses environs. Tous sont en garde à vue.

 

La police scientifique dans la rue du Lazaret dans le quartier de Neudorf, où a été abattu Cherif Chekatt par la brigade spécialisée de terrain (BST), à Strasbourg, le 13 décembre 2018.

La police scientifique dans la rue du Lazaret dans le quartier de Neudorf, où a été abattu Cherif Chekatt par la brigade spécialisée de terrain (BST), à Strasbourg, le 13 décembre 2018. (MAXPPP)

 

Une sixième personne a été interpellée, mercredi 15 mai, en Alsace, dans l’enquête sur des armes détenues par l’auteur de l’attentat du marché de Noël de Strasbourg, indique à franceinfo une source judiciaire, confirmant une information des Dernières Nouvelles d’Alsace. Selon cette source, l’interpellation et la garde à vue de cet homme de 32 ans ont été décidées à la demande des juges d’instruction antiterroristes parisiens chargés de l’enquête sur cet attentat.

Mardi, trois hommes et deux femmes, âgés de 23 à 46 ans, « membres de l’entourage d’individus soupçonnés d’avoir joué un rôle dans la fourniture d’arme« , avaient déjà été arrêtés à Strasbourg et ses environs, selon les informations de France 3 Grand Est. Les six gardes à vue se poursuivent mercredi soir, a précisé la source judiciaire à franceinfo. Cet attentat avait fait cinq morts et onze blessés le 11 décembre 2018. Son auteur, Cherif Chekatt, avait été abattu par une patrouille de police après deux jours de traque. Le matin du 11 décembre, les gendarmes avaient saisi à son domicile une grenade défensive, un revolver chargé, des munitions et quatre couteaux.

Début février, trois hommes, soupçonnés d’être liés à la fourniture du revolver du XIXe siècle dont s’est servi Chérif Chekatt au cours de son attaque, avaient été mis en examen par un juge d’instruction à Paris pour « détention et cession d’arme de catégorie B en réunion et en relation avec une entreprise terroriste », ainsi que pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placés en détention provisoire. Le 17 décembre, dans ce même volet, un ami du tueur avait déjà été mis en examen pour les mêmes chefs et écroué.

 

https://www.dna.fr/actualite/2019/05/16/la-garde-a-vue-d-une-femme-a-ete-levee

Attentat de Strasbourg: une garde à vue levée

 

Photo DNA - Cédric Joubert

Photo DNA – Cédric Joubert

 

16/05/2019 à 18:19

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La garde à vue d’une des cinq personnes qui avaient été interpellées mardi sur commission rogatoire des juges saisis de l’information judiciaire ouverte à la suite de l’attentat du 11 décembre 2018 à Strasbourg, a été levée mercredi dans la soirée, a indiqué une source judiciaire.

Il s’agit d’une des deux femmes interpellées à l’aube à Haguenau par des agents de la Sous-antiterroriste (Sdat). Elle a été remise en liberté sans qu’aucune charge n’ait été retenue contre elle, ajoute-t-on de même source.

Les quatre autres personnes interpellées le même jour, une femme et trois hommes, sont toujours en garde à vue à l’hôtel de police de Strasbourg. Tout comme un homme de 32 ans, interpellé mercredi.

Ces personnes sont soupçonnées d’avoir joué un rôle dans la fourniture au terroriste Cherif Chekatt des armes et munitions découvertes à son domicile, le matin du 11 décembre 2018 : une grenade défensive, un revolver calibre 22 long rifle chargé, des munitions et quatre couteaux.

Ce matériel avait été saisi ce jour-là au cours de la perquisition de son logement situé dans le quartier du Hohberg, à Strasbourg-Koenigshoffen, par les gendarmes de la section de recherches de Strasbourg qui enquêtaient sur une tentative d’assassinat à Eckbolsheim.

Le terroriste de 29 ans, qui se savait recherché, était passé à l’acte en plein marché de Noël le soir-même, tuant cinq personnes et en blessant onze autres.

 

https://actu.orange.fr/france/attentat-de-strasbourg-un-femme-liberee-cinq-gardes-a-vue-se-poursuivent-CNT000001fKZ7l.html

Attentat de Strasbourg: un femme libérée, cinq gardes à vue se poursuivent

 

Attentat de Strasbourg: un femme libérée, cinq gardes à vue se poursuivent
Des équipes de police interviennent sur les lieux de l’attentat de Strasbourg, le 13 décembre 2018
©Alain JOCARD, AFP

 

AFP, publié le jeudi 16 mai 2019 à 11h19

 

Une femme, interpellée mardi dans l’enquête sur l’origine des armes retrouvées chez l’auteur de l’attentat jihadiste du marché de Noël de Strasbourg, a été remise en liberté et les cinq autres gardes à vue se poursuivaient jeudi matin, a-t-on appris de source judiciaire.

Cette femme, arrêtée mardi matin avec quatre autres suspects âgées de 23 à 46 ans à Strasbourg et dans ses environs, a été libérée mercredi soir après deux jours de garde à vue.

Le sixième suspect, un homme de 32 ans qui n’avait pu être interpellé à son domicile mardi, avait été arrêté à son tour mercredi dans la région et placé en garde à vue.

Ce coup de filet a été ordonné sur commission rogatoire des juges d’instruction antiterroristes parisiens chargés de l’enquête sur cet attentat qui avait fait cinq morts et onze blessés le 11 décembre.

Ces arrestations sont intervenues « dans le cadre des vérifications liées aux armes détenues par Chérif Chekatt », l’auteur de l’attentat abattu par une patrouille de police après deux jours de traque, a précisé une source proche du dossier.

Le matin même de son équipée meurtrière dans le centre historique de la capitale alsacienne, les gendarmes avaient en effet saisi chez Chérif Chekatt une grenade défensive, un revolver de calibre 22 Long Rifle chargé, des munitions et quatre couteaux.

Cette perquisition dans une affaire de droit commun aurait pu précipiter son passage à l’acte, selon les enquêteurs.

Chérif Chekatt, délinquant multirécidiviste de 29 ans et fiché S pour radicalisation islamiste, avait prêté allégeance à l’organisation Etat islamique (EI), selon une vidéo trouvée par les enquêteurs français sur une clé USB.

Début février, trois hommes, soupçonnés d’être liés à la fourniture du revolver du XIXe siècle dont s’est servi Chérif Chekatt au cours de son attaque, avaient été mis en examen par un juge d’instruction à Paris pour « détention et cession d’arme de catégorie B en réunion et en relation avec une entreprise terroriste », ainsi que pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placés en détention provisoire.

Le 17 décembre, dans ce même volet, un ami du tueur avait déjà été mis en examen pour les mêmes chefs et écroué.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/attentat-de-strasbourg-mise-en-examen-dans-l-enquete-sur-l-origine-des-armes-20190518

Attentat de Strasbourg : une nouvelle mise en examen

 

  • Par  Le Figaro avec AFP
  • Mis à jour le 18/05/2019 à 10:35
  • Publié le 18/05/2019 à 10:21

Un homme interpellé mardi, dans l’enquête sur l’origine des armes retrouvées chez l’auteur de l’attentat djihadiste du marché de Noël de Strasbourg, a été mis en examen par un juge antiterroriste parisien, indique samedi 18 mai une source judiciaire.

» LIRE AUSSI – Attentat de Strasbourg: une sixième personne en garde à vue

Cet homme de 26 ans a été mis en examen pour «infraction à la législation sur les armes en relation avec une entreprise terroriste» et «association de malfaiteurs terroristes criminelle», puis placé en détention provisoire, a précisé cette source. Au total, six personnes, deux femmes et quatre hommes, avaient été interpellées mardi et mercredi lors d’un coup de filet dans cette enquête. Les cinq autres suspects ont depuis été remis en liberté sans faire l’objet de poursuites.

Toutes ces arrestations avaient été ordonnées sur commission rogatoire des juges d’instruction antiterroristes parisiens chargés de l’enquête sur cet attentat qui avait fait cinq morts et onze blessés le 11 décembre. Elles sont intervenues «dans le cadre des vérifications liées aux armes détenues par Chérif Chekatt», l’auteur de l’attentat abattu par une patrouille de police après deux jours de traque, a précisé une source proche du dossier.

» LIRE AUSSI – Attentat de Strasbourg : Cherif Chekatt avait prémédité l’attaque

Début février, trois hommes, soupçonnés d’être liés à la fourniture du revolver du XIXe siècle dont s’est servi Chérif Chekatt au cours de son attaque, avaient été mis en examen par un juge d’instruction à Paris pour « détention et cession d’arme de catégorie B en réunion et en relation avec une entreprise terroriste », ainsi que pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placés en détention provisoire. Le 17 décembre, dans ce même volet, un ami du tueur avait déjà été mis en examen pour les mêmes chefs et écroué.

Le Figaro avec AFP

 

https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/18/attentat-de-strasbourg-un-suspect-mis-en-examen-cinq-autres-remis-en-liberte_5463866_3224.html

Attentat de Strasbourg : un suspect mis en examen, cinq autres remis en liberté

 

L’homme de 26 ans, interpellé mardi, a été placé en détention provisoire. Il est accusé d’être lié à la fourniture des armes saisies chez l’auteur de l’attentat, Cherif Chekatt.

Publié aujourd’hui à 12h06, mis à jour à 12h08

Temps de Lecture 1 min.

 

Un homme âge de 26 ans, interpellé mardi 14 mai, a été mis en examen samedi par un juge antiterroriste parisien dans l’enquête sur l’origine des armes retrouvées chez l’auteur de l’attentat djihadiste du marché de Noël de Strasbourg.

Selon une source judiciaire, le suspect a été placé en détention provisoire. Il devra répondre d’« infraction à la législation sur les armes en relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs terroristes criminelle ».

Lire aussi L’émouvant « au revoir » de Strasbourg aux victimes de l’attentat du marché de Noël

 

Six personnes interpellées dans un coup de filet

Au total, six personnes, deux femmes et quatre hommes, avaient été interpellées mardi et mercredi lors d’un coup de filet dans cette enquête. Les cinq autres suspects ont depuis été remis en liberté sans faire l’objet de poursuites.

Elles sont intervenues « dans le cadre des vérifications liées aux armes détenues par Cherif Chekatt », l’auteur de l’attentat qui avait fait cinq morts et onze blessés le 11 décembre 2018 au marché de Noël de Strasbourg. Il avait été abattu par une patrouille de police après deux jours de traque.

Quatre complices présumés déjà mis en examen

Le matin même de son équipée meurtrière dans le centre historique de la capitale alsacienne, les gendarmes avaient en effet saisi chez Cherif Chekatt une grenade défensive, un revolver de calibre 22 Long Rifle chargé, des munitions et quatre couteaux. Cette perquisition dans une affaire de droit commun aurait pu précipiter son passage à l’acte, d’après les enquêteurs. Cherif Chekatt, délinquant multirécidiviste de 29 ans et fiché S pour radicalisation islamiste, avait prêté allégeance à l’organisation Etat islamique (EI), selon une vidéo trouvée par les enquêteurs français sur une clé USB.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Attentat de Strasbourg : Cherif Chekatt, le profil hybride du voyou radicalisé qui hante les services

 

Début février, trois hommes, soupçonnés d’être liés à la fourniture du revolver du XIXe siècle dont s’est servi Cherif Chekatt au cours de son attaque, avaient été mis en examen par un juge d’instruction à Paris pour « détention et cession d’arme de catégorie B en réunion et en relation avec une entreprise terroriste », ainsi que pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placés en détention provisoire. Le 17 décembre, dans ce même volet, un ami du tueur avait déjà été mis en examen pour les mêmes chefs et écroué.

Lire aussi Attentat de Strasbourg : trois hommes, complices présumés, mis en examen
 
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