Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Pour le Télégramme, il rame, et pour Ouest-France, il fait salle comble, c’est un mec super…
MDR !!!
Pour mémoire : Ouest-France n’a jamais rien publié sur le procès que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest avait organisé à mon encontre le 9 avril 2013, et pourtant, elle avait bien fait salle comble, il n’y avait pas de places assises pour tout le monde, plein de gens étaient restés debout sur les côtés de la salle, pour trois heures d’audience… Il faut bien dire qu’une partie des bancs était occupée par les élèves de 4ème d’une copine de Josette Brenterch venus apprendre en direct au tribunal ce qu’il en coûte de bien travailler à l’école et de faire ensuite ingénieur : c’est mal, c’est très très mal, cela justifie tout ce que j’ai subi ce jour-là, mais aussi avant, des années durant, et encore après, durant bientôt neuf ans jusqu’à ce jour, et cela va encore continuer… probablement jusqu’à la fin de mes jours. Mea maxima culpa, je n’aurais jamais dû être toujours tête de classe autrefois à Brest… Je ne pouvais pas m’en empêcher, je ne le faisais même pas exprès, je ne calculais pas, je n’ai jamais rien calculé… Enfin si, il y a bien eu des périodes où j’ai tenté de me cacher et volontairement saboté mes notes, mais la vraie nature est toujours ressortie à un moment ou à un autre et bam ! la sanction a toujours été la même partout : le cercle des copines se réduisait automatiquement et j’avais le droit à de nouvelles crasses… Pareil dans le boulot : quand on me demande de faire des trucs jugés infaisables avec l’idée de me préparer une belle lettre de licenciement, je ne me démonte pas, je le fais… d’où les hurlements sans fin de tous ceux qui se sont encore plantés avec moi…
Heureusement pour eux, ces enfants venus me voir souffrir le 9 avril 2013 ont eu une excellente enseignante qui a dû quasiment tous les dégoûter des mathématiques (« Vous voulez finir comme ça ? Etre tous reconnus fous et de surcroît jugés et condamnés pour avoir prétendu n’être point fous ? Ah non, bien sûr, on n’est pas fous, nous, on est des gens bien, on ne fera pas de maths… »). Pas mieux que les bûchers pour les sorcières ou Charlemagne ayant interdit l’exercice des mathématiques pour lutter contre les « tempestaires » qui ne devaient être que les ingénieurs météo de son époque…
Enfin bref, seul Steven Le Roy s’était fendu d’un immonde torchon publié le lendemain dans le Télégramme… en évitant tout de même d’y coller mon nom… Il y avait quand même là une véritable infraction d’atteinte à l’intimité de la vie privée depuis le début : comment un commentateur anonyme (moi sur Rue89) n’ayant jamais donné son identité à personne, même en privé, ni signalé à aucune des personnes le connaissant qu’il s’est mis à écrire anonymement sur la toile peut-il s’y trouver identifié dès ses tout premiers mots et voir ensuite cette identité illégalement révélée au public sans que les magistrats saisis de ses plaintes n’y trouvent jamais rien à redire alors même que les pirates informatiques qui le violent au quotidien depuis le début se sont bien fait prendre en flagrant délit de piratage de ses mails et de son ordinateur ? Je rappelle encore avoir été, moi, dans ces conditions où j’étais bien victime de multiples infractions graves de la part de Josette Brenterch et de ses complices, notamment poursuivie et condamnée (condamnation annulée en appel à Rennes le 2 décembre 2015) pour une atteinte à l’intimité de la vie privée de Josette Brenterch pour avoir, en publiant quelques droits de réponse toujours restés confidentiels à la suite de ses campagnes de calomnies publiques nominatives massives à mon encontre, lesquelles ont toujours été associées à de nombreuses atteintes à l’intimité de ma vie privée, ainsi qu’à des menaces de mort, de viol, du harcèlement sexuel et moral, « révélé » son identité à mes lecteurs, alors qu’elle l’avait déjà révélée elle-même sur les blogs de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi… Presque systématiquement, elle m’accuse mensongèrement de commettre des infractions dont elle s’est elle-même déjà rendue coupable à mon encontre, avec bien d’autres bien plus graves, et est toujours suivie à Brest par des magistrats qui ont bien toutes les cartes en main… Même chose pour son complice de Béziers Jean- Marc Donnadieu dont j’aurais soi-disant révélé l’identité au public alors qu’il l’avait toujours donnée lui-même avec son pseudonyme NEMROD34 et toutes ses coordonnées partout où il s’exprimait ainsi de manière, en réalité, absolument pas anonyme… Et je rappelle encore à ce sujet que pour obtenir deux fois la condamnation de mon hébergeur OverBlog à Montpellier pour ces « faits » dont il m’accusait mensongèrement, il m’a toujours écartée de toutes ses procédures pour s’éviter toute contradiction sur toutes ses dénonciations calomnieuses à mon encontre, ce qui aurait dû conduire tous les magistrats saisis de ces procédures à rejeter toutes ses demandes, comme l’ont d’ailleurs toujours bien fait les premiers juges, ceux de Béziers.
Aujourd’hui, donc, bien au contraire de ce qui était manifeste en ce printemps 2013, Ouest France apparaît très favorable au NPA tandis que le Télégramme le traite par le mépris.
Ah… Le Télégramme et Ouest-France auraient depuis totalement inversé leurs orientations respectives ?
Où sont-ils tous ces gens sensés et spécialistes des médias qui devraient être interpellés ?
Notons par ailleurs qu’Arnaud Hell n’est plus désigné que par son prénom (« Arnaud, cheville ouvrière de la France insoumise qui approuve beaucoup des idées développées par Philippe Poutou », c’est bien lui). Etrange…
Ancien militant du PS, il était arrivé à la LCR en 1994 parce qu’il préférait désormais se trouver à la tête d’un minuscule parti de barges hyper graves que de continuer à être noyé dans la masse des militants socialistes… Cela lui a pas mal réussi, il a été un des rares élus de la LCR dans la région alors qu’il n’avait aucune chance de se faire élire ni même de figurer jamais sur une liste de candidats en restant au PS. Mais auparavant, il aura bien dû obéir un peu à sa nouvelle cheffe, l’incontournable Josette Brenterch, grande prêtresse de la LCR de Brest depuis les années 1970, et qui savait comment il s’était déjà fait virer d’un lycée brestois pour une affaire de moeurs et continuait à lorgner beaucoup trop en direction des très jeunes filles… Il était toujours à la LCR en 2004 et 2005, et d’après Joël Roma, dont j’ai bien conservé tous les mails, c’était le plus odieux de ses chefs à mon sujet alors que dans le même temps il avait le culot de se faire passer pour un ami de ma famille…
Son nouveau poulain Pierre-Yves Cadalen se rend-il compte du ridicule de son communiqué public concernant l’affaire « Vivre à Brest » alors qu’il est lui-même entouré de gens qui ont toujours fait bien pire que ce qu’il reproche (à juste titre) à certains élus brestois ?
Raphaël du NPA de Brest, je ne sais pas qui c’est. Cependant, étant donné que les militants de ce parti ont toujours été en nombre assez limité, il pourrait s’agir du même Raphaël que Josette Brenterch avait jadis introduit dans l’entourage amical d’une de ses anciennes victimes pour continuer à la surveiller ou l’espionner, et ainsi la « contrôler », comme elle l’a fait aussi avec mon père et bien d’autres de ses cibles et victimes diverses et variées, dont, notamment, les responsables des associations de chômeurs autres qu’AC ! Brest.
Je reparlerai bientôt de ce Raphaël et de ses immondes saloperies.
Retenons pour l’instant que comme d’habitude, lui et ses amis ont rempli leur salle avec beaucoup de jeunes, des naïfs comme Laura, venue « mieux comprendre le programme du NPA » alors que Poutou lui-même dit bien qu’ils n’ont fait de programme que parce qu’il en faut un pour se présenter à l’élection présidentielle, parce qu’il sait comme tout le monde n’avoir de toute façon strictement aucune chance d’être élu pour appliquer ce programme…
En réalité, au NPA, il n’y a jamais eu d’autre programme que celui-là :
Et chaque élection présidentielle est mise à profit par le parti pour compter tous ceux qui restent à faire taire sur l’ensemble du territoire national : même à peine 1% des électeurs, cela représente encore un nombre de personnes assez important à casser par tous les moyens puisqu’elles disent toutes, à l’instar de Charlotte, être interpellées par des idées qui résonnent en elles.
Les discours du candidat Poutou sont en effet à l’image de ces bandes de papier que l’on trempe dans du sucre pour en faire des attrape-mouches.
Ils n’ont rien à voir avec la politique réelle de son parti qui se joue sur le terrain depuis déjà un bon paquet d’années avec l’allié salafiste, comme c’était déjà le cas en 1994 lors des négociations des contrats d’armement Agosta et Sawari II.
De passage à Brest, Philippe Poutou rame toujours pour atteindre les 500 parrainages Réservé aux abonnés
Publié le 18 février 2022 à 20h52
Philippe Poutou, ici avec Janine Carrasco, militante finistérienne, fait les comptes. « Il manque encore 200 parrainages au bas mot pour assurer la présence du NPA à l’élection présidentielle. (Le Télégramme/Jean-Luc Padellec)
De passage à Brest, ce vendredi soir, l’anticapitaliste Philippe Poutou poursuit sa quête infernale des 500 parrainages pour pouvoir figurer dans l’élection présidentielle.
Engagé dans une course contre la montre pour obtenir ses 500 parrainages, Philippe Poutou, le candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) à la présidentielle, a conclu deux journées en Bretagne par un meeting, ce vendredi soir, à la Maison des syndicats de Brest. Alors que le Conseil constitutionnel le crédite de 199 signatures à ce jour, l’élu au conseil municipal de Bordeaux et ses militants sur le terrain se démultiplient pour aller à la rencontre des maires.
« Au même niveau qu’il y a cinq ans »
De ce point de vue, la virée bretonne qui passait par Carhaix, Hennebont, Rostrenen et Brest n’a pas été très concluante. À peine quelques promesses de plus dont celle du maire de Rostrenen, qui devrait s’engager définitivement en début de semaine. « À ce jour, on a 100 promesses solides, mais il faut encore aller en chercher 200. On est au même niveau qu’il y a cinq ans, mais on n’est à l’abri de rien », constate l’ex-ouvrier de Ford, près de Bordeaux, licencié après la fermeture de son usine.
Le candidat trotskiste déplore « un système méprisant et anti-démocratique qui s’appuie sur les consignes des grands partis pour parrainer leur candidat ». À cela vient s’ajouter la réticence des maires ruraux qui n’ont pas compris que parrainer ne veut pas dire adhérer. « J’ai rencontré une trentaine de maires physiquement, et certains deux fois. Sans succès », se désole Raphaël, un militant brestois prêt à redoubler d’efforts d’ici la date butoir fixé au 4 mars.
Brest. Salle comble pour Philippe Poutou, candidat d’extrême gauche
À la maison des syndicats, vendredi 18 février 2022, le représentant du Nouveau parti anticapitaliste a rassemblé 300 sympathisants lassés des « dérives » du capitalisme, séduits par ses idées et ses talents d’orateur.
Philippe Poutou, ouvrier au chômage, leader syndicaliste et candidat à la présidentielle 2022 a tous les talents d’un orateur. | OUEST-FRANCE
Ouest-France Sabine NICLOT-BARON. Publié le 19/02/2022 à 12h09
De l’avis même de Philippe Poutou, candidat à l’élection présidentielle 2022 pour le Nouveau parti anticapitaliste, « ce n’est pas facile de faire campagne quand on ne croit pas dans le système… »
Le système ? « Le capitalisme des riches qui tiennent le pouvoir » comme il l’a largement développé dans son meeting, vendredi 18 février 2022, en soirée à Brest dans une salle de la Maison des syndicats habillée d’affiches et de drapeaux prônant une réforme révolutionnaire de la société.
Après plusieurs prises de paroles de lycéens, étudiants, syndicaliste du CHRU de Brest, il a tenu son auditoire en haleine durant plus d’une heure. Une foule séduite de plus de 300 adhérents ou sympathisants à son parti, « celui des oubliés et des pauvres, de ceux qui triment et se taisent. »
Beaucoup de jeunes
Dans la salle, beaucoup de jeunes, quelques lycéens, des syndicalistes, des retraités, des étudiants venus en masse « qui se posent des questions sur leur avenir ».
Comme Laura, 23 ans, qui a fait le déplacement avec une amie. L’étudiante n’est pas encore sûre de son prochain vote. « Je suis là pour mieux comprendre le programme du NPA, mais je sais que dans tous les cas, je vais voter pour la vraie gauche, même si je ne sais pas encore qui… » Elle n’en voit que trois : Jean-Luc Mélenchon pour la France insoumise ou Philippe Poutou. Éventuellement Fabien Roussel, le candidat du Parti communiste français, qu’elle trouve pourtant « un peu trop dans le système ».
Au meeting de Philippe Poutou, candidat du NPA, vendredi 18 février 2022 à Brest, une foule séduite de plus de 300 adhérents ou sympathisants. | OUEST-FRANCE
Détricoter la société capitaliste
Si certains se posaient des questions, ils seront renseignés. « Il n’y aura pas de vote utile à gauche, a martelé derrière son micro le candidat du NPA. On a vu ce que ça donne quand on aide à élire la gauche de pouvoir et institutionnelle. Elle n’a jamais fait une politique de gauche ! »
L’assistance boit ses paroles. Philippe Poutou, ouvrier au chômage, leader syndicaliste a tous les talents d’un orateur. L’homme est convaincu et détricote la société capitaliste : « Il nous faut reprendre le contrôle sur l’économie, la santé, l’énergie, la banque, les écoles. » Celle qui fait que 5 % des plus pauvres ne passent pas l’âge de 60 ans. « Alors comment profiter de la retraite dans ce cas ? », interroge Philippe Poutou. Le public applaudit.
« Clair et limpide »
Tout est mis sur la table. « La logique de course au profit des multinationales, les nuisances de l’agro-industrie qui s’en fiche de la sécurité alimentaire pour les agriculteurs et les consommateurs, la politique répressive qui se généralise, les pauvres encore plus pauvres et les 43 milliardaires français qui ont accru leur fortune de 236 milliards d’euros en 19 mois de crise du Covid. »
Des idées qu’approuve Anthony, ancien écologiste désormais encarté au NPA : « Il est clair, limpide. Il tire le débat à gauche et pose les bonnes questions. » Sa voisine Charlotte approuve. « Ça fait du bien », dit-elle, même si elle « n’a jamais voté Poutou », elle se sent interpellée: « ses idées résonnent en moi ».
Encore 300 parrainages à obtenir
« Mon programme, c’est pas une liste de promesses, poursuit le candidat. J’en ai un de trente pages, puisqu’il faut en avoir un. C’est la volonté de mettre à plat tout ce qu’il serait légitime d’avoir. » Sans illusion, parce qu’il « pèse » 1 % des intentions de vote et qu’il lui manque encore 300 parrainages pour pouvoir se présenter.
« La rupture avec l’ordre établi, ça peut donner du courage, mettre les gens en mouvement », espère Arnaud, cheville ouvrière de la France insoumise qui approuve beaucoup des idées développées par Philippe Poutou. Hormis certaines. « Pour les frontières, je ne suis pas d’accord par exemple… »
En la matière, le candidat du Nouveau parti anticapitaliste n’y va pas de main morte : « Nous sommes internationalistes et anticolonialistes, pour l’ouverture des frontières, l’accueil de tous les migrants, la circulation libre de toutes les personnes. » Et en prime, la fin de la propriété privée.
Voilà, c’est dit. Philippe Poutou imagine l’avenir dans « la lutte radicale », en rouge et blanc.
Une fois de plus, l’on notera que contrairement à ce qu’elle en prétend, ce n’est pas la mère maquerelle et criminelle notoire Josette Brenterch du NPA de Brest qui se soucie de cette question ou de la situation des personnes prostituées, qu’elles soient adultes ou même mineures, puisqu’il faut attendre l’arrivée du Nid à Brest il y a seulement un an pour qu’enfin une association s’en préoccupe.
Josette Brenterch et ses amis de l’extrême-gauche locale ne s’étaient emparés de ce sujet qu’à l’époque où des Africaines tapinaient dans les rues de Brest, au début des années 2000, les proxénètes locaux ne supportant plus cette concurrence « déloyale » et par ailleurs désastreuse pour l’image de la ville et ses commerces.
Pour retrouver une partie de nos « discussions » publiques de 2010, c’est ici :
Ces trois blogs supportent l’intégralité de mes publications de 2010 sur la plateforme de blogs OverBlog, avec tous les commentaires ayant fait suite aux articles.
Je rappelle ici n’avoir jamais eu aucun autre support d’expression publique que ce blog de mars 2010 à juin 2013, après avoir été bannie successivement des sites d’information Rue89 le 31 juillet 2009 (première inscription le 17 décembre 2007) et Le Post le 26 février 2010 (première inscription le 2 septembre 2009) sur ordres très insistants de mes harceleurs et calomniateurs publics, tandis que ceux-ci s’étalaient à mon sujet en bien d’autres endroits de la toile, notamment, depuis l’année 2008, sur les sites Rue89 et Le Post ainsi que sur les blogs de leur « Konducator » le pédophile, trafiquant de drogue et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, alors tous intégralement publics, commentaires obscènes et orduriers y compris, ce qui n’est plus le cas depuis cette année 2013, bien des textes et tous les commentaires y étant devenus « privés », et aussi, depuis le printemps 2010, sur tous les sites de prédilection du cybercriminel, harceleur et calomniateur public quasi professionnel Jean-Marc Donnadieu de Béziers, lequel, au moins jusqu’au mois d’août 2010, s’était toujours exprimé sur la toile de manière habituelle sous le pseudonyme de « NEMROD34″ tout en affichant son identité réelle et toutes ses coordonnées, soit, principalement : tous ses sites personnels et ceux de ses amis et complices prétendument « sceptiques » ou « ufosceptiques ».
Ce premier blog dénommé « Un petit coucou » avait été suspendu en juin 2013 par son hébergeur OverBlog toujours harcelé à mon sujet comme précédemment les modérateurs des sites rue89 et Le Post par les cybercriminels précités, puis supprimé par ces derniers vers fin août ou début septembre 2015.
Y ont fait suite ce blog-ci et son doublon Satanistique à compter de mars 2014.
Par ailleurs, « Nikita » et ses ami-e-s étant engagé-e-s dans un combat qu’il ne faudrait surtout pas ignorer, je leur rappelle pour commencer ma suggestion de décembre dernier : exigez la suppression de toute imposition des revenus de la prostitution pour les personnes prostituées, c’est le minima de ce que l’Etat doit leur accorder. Il n’est nul besoin de payer des impôts pour être un citoyen à part entière, le fait de payer des impôts n’ouvre aucun droit et n’apporte aucune garantie quant au respect des droits fondamentaux des êtres humains (il m’est arrivé de lire ou entendre des discours fortement erronés à ce sujet chez des militant-e-s du STRASS). En l’occurrence, c’est même exactement le contraire : en imposant les personnes prostituées sur les revenus de leur prostitution, l’Etat les oblige à se prostituer pour payer les impôts correspondants. L’Etat est ainsi, de fait, le premier et plus gros proxénète de France, ce qui est totalement inadmissible et source de très grandes violences de services étatiques ou de fonctionnaires de diverses administrations, non seulement à l’encontre de personnes prostituées, de gré ou de force, mais également à l’encontre de personnes qui ne se prostituent pas ou ne se sont jamais prostituées et peuvent être amenées ou contraintes à se prostituer en conséquence de ces violences, dont c’est le but.
Ensuite, sachant que toutes les personnes qui choisissent la prostitution comme « métier » ou source de revenus aussi facilement que Nikita ont à leur insu ou d’une manière dont elles n’ont pas conscience été conditionnées pour accepter ce « métier » comme n’importe quel autre, je les invite à réfléchir à cette question.
À Brest, la prostitution des mineurs « un phénomène inquiétant »
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Lecture : 2 minutes.
Romain Guigny est le chef de service de l’Amicale du Nid en Bretagne. Implantée à Brest depuis un an, c’est la seule association bretonne agréée pour accompagner les personnes désireuses de sortir de la prostitution.
« À Brest, le racolage de rue n’existe plus », assure Romain Guigny, chef de service de l’Amicale du Nid. (Photo d’illustration Le Télégramme)
« Elle porte un discours politique, mais qui n’est pas représentatif de la réalité vécue par la majorité des femmes qui sont dans le système prostitutionnel. Le plus souvent, elles sont dans un choix contraint et vivent des situations de souffrances physique, somatique et psychique. Le plus dur est d’en sortir, car elles sont souvent isolées de tout environnement social, familial, amical. Cet isolement est renforcé par la peur de la stigmatisation, qui fait qu’elles recourent peu à leurs droits ».
Quel est l’état des lieux à Brest ?
« C’est très difficile de donner une photographie, car la prostitution s’est invisibilisée. Le racolage de rue n’existe plus. Tout se passe aujourd’hui sur internet qui permet de tout numériser : la transaction, la location d’un appartement ou d’une chambre d’hôtel, l’organisation en amont. On observe beaucoup de mobilité et de prostitution en sextour. On constate aussi une prostitution de précarité. Il s’agit souvent de femmes en situation administrative irrégulière, sans ressources, qui peuvent s’adonner à la prostitution en échange d’un hébergement ou même d’un repas ».
Comment faites-vous pour les contacter ?
« On est dans le « aller vers », et cela passe par des maraudes numériques. On n’est jamais dans le jugement, mais dans une approche sociale. Le but est de nouer le contact, de parvenir à les sensibiliser. Au local, on distribue du matériel de prévention. On est sur un processus de libre adhésion, et cela prend du temps. En 2021, nous avons rencontré 56 personnes. 83 % sont des femmes, 10 % des personnes trans, et 7 % des hommes. 70 % des personnes sont d’origine étrangère, et un tiers ont moins de 25 ans. Aujourd’hui, on accompagne réellement une vingtaine de personnes, et parmi elles, deux femmes qui sont entrées dans un parcours de sortie de prostitution ».
Quid de la prostitution des mineurs ?
« C’est aujourd’hui le phénomène le plus inquiétant. Actuellement, on est sollicité pour des situations identifiées qui concernent sept adolescents à Brest et Morlaix, mais il y en a bien d’autres. L’âge moyen est de 15 ans et on parle de filles aux origines locales. Cette montée en puissance de la prostitution des mineurs est très liée au phénomène de glamourisation de la prostitution. C’est l’effet Zahia. Les jeunes filles sont biberonnées à la téléréalité où l’on présente le marchandage des corps comme un travail comme un autre, presque séduisant. La réalité est évidemment tout autre ».
Pour Nikita, Brestoise de 26 ans, « la prostitution peut être choisie »
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Nikita, Brestoise de 26 ans, s’est prostituée pendant cinq ans pour financer ses études. Elle affirme que la loi d’avril 2016 pénalisant les clients n’a fait qu’augmenter les violences et la précarité des travailleuses et travailleurs du sexe.
Le 17 décembre dernier, des prostituées brestoises s’étaient rassemblées pour dénoncer la précarisation grandissante qu’a engendrée la loi de pénalisation des clients.
Si Nikita a accepté la rencontre, c’est moins pour parler de sa trajectoire personnelle que pour évoquer son combat : celui de la défense des droits des travailleurs et travailleuses du sexe. De son parcours, on apprendra donc le strict minimum. « Je ne veux pas que ma mère puisse faire le lien avec moi », justifie-t-elle.
C’est la raison économique qui a poussé cette Brestoise de naissance vers la prostitution. Elle avait alors 21 ans et était étudiante à l’UBO (Université de Bretagne occidentale). « Pour subvenir à mes besoins, je cumulais plusieurs boulots précaires : serveuse en restauration, ménages, garde d’enfants. Mais je me suis rendue compte que je n’arrivais pas à mener mes études de front. À un moment, la prostitution m’est apparue comme la solution la moins chronophage et la plus facile à mettre en œuvre ».
Cinq à six passes par mois
Pendant cinq ans, à raison de « cinq à six passes par mois, pas plus », elle a donc vendu des prestations sexuelles. L’arrivée de la crise sanitaire en mars 2020, avec l’entrée dans le confinement, a rapidement asséché la demande et l’a amenée à réfléchir. « J’ai continué à voir mes clients habitués pour boucler mes fins de mois, mais j’avais vraiment la trouille », confie celle qui a néanmoins continué jusqu’en juillet 2020, date à laquelle elle a pu toucher l’allocation du RSA.
Nikita, qui n’a finalement pas terminé son cursus universitaire, a alors décroché. Mais elle pense reprendre dès que l’épidémie aura battu en retraite. Car pour elle, le travail du sexe n’est rien d’autre « qu’un emploi précaire comme un autre et une stratégie de survie dans un monde capitaliste », comme le dit l’une des porte-parole du Strass, le syndicat du travail sexuel en France.
Un rapport de force favorable aux clients
Les mouvements féministes ont beau claironner que la prostitution est fondamentalement une violence faite aux femmes, pour Nikita, ce travail peut aussi être choisi. Aussi est-elle opposante à la loi d’avril 2016 qui a instauré la pénalisation des clients. En s’attaquant à la demande, l’État espérait ainsi faire disparaître l’offre. « Ce n’est pas ce qui s’est passé. Cette loi n’a fait que renverser le rapport de force en faveur des clients, qui n’hésitent pas à négocier les tarifs, les pratiques et à imposer des rapports non protégés. Cela nous a précarisées encore plus et a conduit à plus de violences ».
Elle considère aussi que le parcours de sortie intégré à la loi, avec à la clef une allocation de 330 € par mois et un titre de séjour de six mois renouvelable trois fois, « est un dispositif hypocrite qui permet juste aux abolitionnistes de se donner bonne conscience, les préfectures refusant la plupart du temps de délivrer ces titres ».
Une demande de local pour sortir de l’isolement
Ce combat, Nikita a commencé à le mettre sur la place publique, avec quelques autres, lors d’un rassemblement le 17 décembre dernier à Brest, placé sous le patronage des Pétrolettes. Cette association communautaire rennaise, née en mai 2020, milite pour la décriminalisation du travail du sexe, et l’auto-organisation des prostituées. « Aujourd’hui, avec une collègue, on est en train de monter une antenne à Brest, avec l’espoir d’obtenir un local. Pour sortir de l’isolement. Mais aussi pour faciliter l’accès aux droits, à la santé ». Des premiers contacts ont été noués avec la Ville.
En définitive, il existe bien un reportage qui aborde assez clairement la question de tous les aléas de l’enquête, c’est celui-ci, de Karl Zéro, que l’on ne trouve pas aussi facilement que les autres quand on cherche de la documentation publique sur cette affaire, comme s’il pouvait déranger un peu trop…
Il corrobore ce que j’en disais moi-même mardi dernier avec des précisions inédites, ici :
Plusieurs hypothèses sont passées en revue les unes après les autres, mais pas celle que je connais depuis très longtemps, celle où Claude Giron aurait dû ce jour-là être à l’ouverture du stand de tir. Serait-il encore possible de l’explorer ? Il va de soi que je ne m’adresse là qu’aux personnes de bonne volonté qui pourraient encore détenir ou recueillir des informations pertinentes à ce sujet, et certainement pas aux autorités judiciaires et à leurs enquêteurs officiels, ni même à un quelconque avocat du barreau de Brest, sachant qu’ils sont tous totalement assujettis aux magistrats locaux, malheureusement CORROMPUS.
A mon sens, François Picard et Pol Creton sont d’ailleurs des victimes de cette corruption généralisée qui touche à peu près toutes les autorités locales et semble s’être installée avec l’arrivée à Brest du juge d’instruction Raymond André, en 1989. Je souscris en effet complètement à l’hypothèse des malversations et des trafics divers à la DCN, beaucoup plus importants et irréductibles à Brest qu’à Toulon, la corruption généralisée qu’ils impliquent s’étant ici étendue à quasiment toutes les autorités. François Picard y était manifestement confronté dans le cadre de son activité professionnelle, comme moi dans les années 1990 dans un autre environnement professionnel où les problèmes étaient exactement de même nature, et il est fort probable que ce soit bien cela qui l’ait tué, directement ou indirectement, même dans l’hypothèse où l’affaire de l’OTS pourrait être retenue comme mobile du crime avec une grosse erreur d’exécution concernant la cible, car les massacres ou suicides collectifs dont il s’agit ont eux-mêmes pour cause de ces trafics organisés aux dépens de l’Etat.
J’en veux pour preuve une des réactions totalement folles de la juge Céline Verdier lors d’une des auditions auxquelles elle m’a convoquées à compter de l’année 2012 alors que tentais de me défendre contre les harcèlements démentiels qu’organisait à mon encontre la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest avec l’aide de ses sbires de la bande du pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis l’année 2008 : refusant catégoriquement de m’entendre sur l’essentiel, elle s’était mise à me reprocher sur un ton particulièrement haineux et véhément de porter des accusations contre telles et telles personnes, ou de telles catégories, ayant telles professions ou qualités, et brusquement, haussant tout à coup le ton jusqu’à hurler, pour bien me faire comprendre que c’était là que le bât blessait le plus sérieusement, avait terminé son énumération par : « … des ouvriers de l’arsenal !!! »
C’est amusant, parce que justement, s’il y a bien des gens que j’aurais pu évoquer depuis longtemps, mais dont je n’avais en fait encore jamais parlé nulle part à cette époque, ni dans mes écrits publics, ni dans le cadre d’aucune procédure, ce sont effectivement des ouvriers de l’arsenal, et plus précisément des syndicalistes de la CGT DCN, que j’avais pu identifier comme tels avec certitude parmi les individus qui me filaient le train en permanence durant les années 1990 à Brest. Passons…
Ici, les juges eux-mêmes sont donc bien intéressés par tous les trafics organisés par des personnels de la DCN ou leurs commanditaires, lesquels, bien évidemment, n’agissent pas dans l’intérêt de l’Etat – intéressés au sens où ils en perçoivent eux aussi leurs quotes-parts de bénéfices ou d’avantages divers et variés, et non au sens où ils pourraient enquêter sur toutes ces malversations pour en poursuivre les auteurs, ce qu’ils feraient s’ils étaient honnêtes, mais ils ne le sont pas, ils sont tous CORROMPUS.
Aussi, cette question étant d’une importance centrale, j’y reviendrai certainement un de ces jours pour la développer davantage si d’ici-là la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest ne m’a pas encore dépêché de ses tueurs, cette fois avec succès.
Je termine brièvement sur les hypothèses en relation avec les activités professionnelles de François Picard avec celle qui a toujours le plus excité tous les commentateurs publics, portant sur le contrôle des niveaux de radioactivité à proximité des installations et activités nucléaires de la Défense nationale. Je n’y crois pas du tout, même s’il y a toujours eu des problèmes, et précisément parce qu’il y a toujours eu des problèmes : pourquoi François Picard en serait-il brutalement venu au clash avec les autorités militaires à ce sujet en 1996 alors que cela ne s’était jamais produit auparavant ? Un incident plus grave que les autres aurait-il pu survenir en 1996 sans qu’à aucun moment depuis lors, soit, tout de même, vingt-cinq ans durant, la moindre information n’ait pu fuiter à destination du public, ni que ses conséquences pour l’environnement et les populations exposées n’aient jamais pu apparaître au grand jour en devenant bien visibles et évidentes pour tous ? Il y a bien eu en 1995 et 1996 une nouvelle et dernière campagne d’essais nucléaires français en Polynésie. Pour autant, j’ai bien du mal à imaginer qu’elle ait pu conduire à l’assassinat de l’éminent pharmacien dans le but de le faire taire, son employeur ayant toujours besoin de ses services comme il devait lui aussi s’attacher à poursuivre son activité d’autant plus qu’elle apparaissait utile. Manifestement, plutôt que d’avoir été choqué par un évènement qui aurait pu remettre en cause ses engagements professionnels, ce dont il aurait certainement informé ses proches, il s’énervait avec des outils qui ne fonctionnaient pas et avaient de plus coûté très cher. Il ne se détachait pas de son travail, il s’y accrochait et n’avait donc rien d’autre à dénoncer que ces mauvais choix en équipements, pouvant éventuellement trahir une volonté de l’empêcher de travailler, mais je n’en vois pas l’intérêt, son travail étant ce qu’il est, pareille hypothèse paraît absurde. Peut-être avait-il aussi découvert d’autres malversations que celle évoquée ici, concernant l’attribution d’un marché public, éventuellement, même, un ou plusieurs trafics, mais il n’a jamais dû envisager que des dénonciations à sa hiérarchie, et certainement pas de quitter son poste ou l’Armée. Je ne peux donc imaginer que celle-ci aurait émis un contrat à son encontre, en relation directe avec le coeur de son activité professionnelle, concernant le nucléaire militaire, notamment à Brest et dans ses environs. En revanche, je suis absolument convaincue que Josette Brenterch et ses complices, magistrats y compris, sont tout à fait capables de faire assassiner le spécialiste qui occupe un poste sensible dans le but de provoquer une enquête judiciaire sur ses activités professionnelles et d’obtenir par ce biais-là toutes les informations confidentielles ou secrètes qui les intéressent et auxquelles ils ne peuvent avoir accès plus simplement en les lui demandant ou en les réclamant à sa hiérarchie. Si l’assassinat de François Picard pouvait être lié au coeur de ses activités professionnelles, c’est donc plutôt cette dernière hypothèse que je retiendrais comme la plus vraisemblable. Et je fais remarquer à ce sujet que je suis bien moi-même depuis plusieurs années la cible de violences extrêmement graves auxquelles participent activement des magistrats brestois, CORROMPUS, notamment dans le but de m’extorquer des tas d’informations que je n’ai jamais voulu livrer de moi-même à l’auto-proclamé « écrivain » soi-disant « révolté social » et antimilitariste Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’excitent tout particulièrement mes périodes d’activité professionnelle au service de la Défense nationale sur des projets classés.
Mais je voulais surtout, ici, après que Karl Zéro eut planté le décor de ce crime stupéfiant au début de son reportage, en compléter le tableau d’informations que je n’ai jamais vu publier ou diffuser nulle part.
En enquêtant sur cette affaire de double meurtre, les gendarmes ont donc découvert que le bois de Keroual était un « centre de stupéfiants » de Brest, ce que la police brestoise savait déjà, connaissant de longue date nombre des délinquants en cause.
Tous les reportages sur cette affaire en ont parlé et se sont arrêtés là dans leur description des lieux.
Or, le bois de Keroual est aussi le lieu de rendez-vous des échangistes et d’autres « oiseaux » aux moeurs difficilement avouables de la région brestoise. C’est un peu le bois de Boulogne des Brestois. Bien entendu, le monde de la drogue et celui de la prostitution, du proxénétisme ou de l’échangisme ne sont pas complètement distincts et indépendants l’un de l’autre, ils établissent une jonction à Keroual où, à cette époque, le roi en son royaume se nomme Christian Barthes.
Ce monsieur est directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars et occupe le logement de fonction de la Direction Générale du CHU de Brest, une maison particulière entourée de son jardin clos qui se trouve près de l’hôpital de la Cavale Blanche, à l’entrée du bois de Keroual.
Originaire de Rodez comme Richard Ferrand, il a vécu toute sa jeunesse à Toulouse où son père occupait déjà un poste de directeur d’hôpital et y a fait les quatre cents coups avec son meilleur ami Philippe Douste-Blazy. Quand il arrive à Brest en 1994 pour prendre la direction de l’hôpital psychiatrique de Bohars, il a déjà un lourd passé de détraqué, ce qui n’a jamais dérangé les autorités locales. Manifestement, il s’était vu confier à Brest une mission correspondant en tous points aux diverses activités illégales pour une partie desquelles il sera finalement chassé de cette ville au printemps de l’année 2002.
Je vous laisse en découvrir un échantillon avec l’arrêt de la Cour d’Appel de Rennes du 1er avril 2003 publié ci-dessous, confirmant une condamnation prononcée à son encontre par le Tribunal Correctionnel de Brest le 2 juillet 2002, pour des faits de proxénétisme aggravé et de faux et usage de faux.
A peine arrivé à Brest en 1994, Christian Barthes y avait rencontré celle qui deviendra rapidement sa troisième épouse et qu’il ne tardera pas à amener, comme ses autres compagnes ou maîtresses, à participer à ses pratiques échangistes, puis à se prostituer. Ses victimes ont apparemment toutes bien du mal à lui résister. Ce harceleur d’habitude est en effet violent et extrêmement dangereux. Après avoir été révoqué de la fonction publique en 1999, il sera d’ailleurs poursuivi et condamné pour diverses violences : coups de poing, usage de son véhicule comme arme par destination, usage d’une arme à feu qu’il a en sa possession à son domicile, à la Cavale Blanche. Son meilleur ami à Brest n’est autre que Bernard Algret, plus gros proxénète de cette ville durant les années 1990 et propriétaire de plusieurs bars à hôtesses dont celui qui est considéré par tous comme le centre de formation des prostituées de Brest. Plusieurs de ces femmes parfois très jeunes ont pour « protecteur » Christian Barthes, qui est aussi leur fournisseur de coke. Il va les « recruter » lui-même parmi les adolescentes confiées aux foyers de l’enfance locaux, et quand elles posent problème, les fait interner et « traiter » par les psychiatres de l’hôpital dont il est directeur.
L’individu n’étant absolument pas discret, tout le « microcosme » brestois est bien au courant de toutes ses activités illégales, dont le centre se trouve à son domicile à Keroual, dans le logement de fonction de la Direction Générale du CHU de Brest, où il organise des parties fines et autres réceptions pour le gratin local. C’est aussi le lieu d’exercice de sa femme prostituée, dont il fait payer les notes astronomiques de téléphone ou de Minitel rose par l’hôpital. L’enquête de gendarmerie qui débute en 1999 à la suite d’un vol de véhicule dans l’enceinte de l’hôpital psychiatrique de Bohars, et pour lequel il est soupçonné (merci Etienne Morel, je crois que c’est lui qui l’a dénoncé), permet de mettre à jour l’activité prostitutionnelle de son épouse, laquelle semble avoir rapporté au couple une somme d’environ 500.000,00 F à compter de l’année 1996. Cependant, les conclusions de cette enquête reposant en bonne partie sur les déclarations des coupables eux-mêmes, il est bien difficile d’affirmer que cette somme soit exclusivement le produit de la prostitution de Mme Barthes, d’autant que l’on sait bien par ailleurs que monsieur est aussi le protecteur d’autres prostituées qu’il fournit en coke, tout comme il a bien pu percevoir quelques « cadeaux » en remerciement de son rôle dans divers internements abusifs.
L’on notera à ce sujet que l’un des deux gendarmes maritimes qui avaient sorti l’affaire de corruption généralisée de l’arsenal de Toulon dans ces années 1990 fut ensuite muté à Brest, où il n’a jamais fait de vague après avoir été menacé d’un internement à l’hôpital psychiatrique de Bohars pour avoir recommencé à enquêter sur des malversations et trafics divers commis aux dépens de l’Etat par des personnels de la DCN à peine était-il arrivé à Brest. Ici, on aura donc su le mettre au pas très rapidement pour s’éviter un nouveau scandale très retentissant.
Mais revenons à l’affaire du double meurtre du stand de tir de la Villeneuve.
Le dimanche 13 octobre 1996 à 9 heures est donc a priori présent à proximité du lieu du crime cet individu dangereux et incontrôlable, Christian Barthes, qui fait déjà des siennes à Brest depuis deux ans et va continuer jusqu’au coup de trop, lorsqu’en 1999 il s’attaquera à son directeur général de centre hospitalier Louis Rolland, ce qui lui vaudra une suspension de ses fonctions d’attaché de direction du CHU de Brest par arrêté ministériel du 30 mars 1999, suivie de sa révocation de la fonction publique le 10 août 1999.
Aussi, bien des regards se sont toujours tournés vers lui à propos de cette affaire criminelle.
Les temps changent, il n’est apparemment plus question de conspuer les victimes de pédophiles qui tenteraient de dénoncer leurs agresseurs, même plus de quarante ans après les faits présumés de viol, encore moins de les faire interner en psychiatrie pour les faire taire, comme cela se faisait encore très couramment il n’y a pas si longtemps, mais au contraire de les rechercher et les écouter.
C’est l’avocat d’Outreau devenu ministre de la Justice qui demande aujourd’hui à tous les parquets de France de généraliser les pratiques adoptées par celui de Paris en la matière.
L’on notera par ailleurs que j’ai encore de gros problèmes de connexion depuis ma dernière publication d’hier, que bien évidemment Jean-Marc Donnadieu est venu commenter :
Je vous ai déjà répondu sur ce sujet, M. Nemrod. Faites l’article vous-même, puisque vous en voulez un de plus que celui du Figaro ou des autres médias qui informent déjà le public sur le problème de la pédocriminalité dans l’Eglise.
De mon côté, je fais ce que je veux et n’ai aucun ordre à recevoir de qui que ce soit, et surtout pas d’un des assassins de ma famille.
Pour ceux qui découvriraient aujourd’hui nos échanges un peu spéciaux, je précise que ce monsieur qui me harcèle gravement depuis le printemps 2010 avec la bande de « déconnologues » du pédophile notoire et malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi a aussi vainement harcelé mon père pour qu’il me fasse interner en psychiatrie, tout en me harcelant, moi, tout aussi vainement, pour que je le dénonce pour inceste – un problème qui a sans aucun doute pourri leurs vies familiales mais pas la nôtre…
Ils ne manquent pas d’air, ces messieurs et dames « déconnologues »…
Dès l’été 2010, après m’avoir inventé une liaison totalement délirante avec le dénommé Joël Roma et en avoir publié tous les détails très croustillants, sous prétexte que je démentais le tout en le qualifiant d’affabulations délirantes, ce dont il s’agissait effectivement entièrement, le mythomane, harceleur et calomniateur public Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait d’abord publié un nouvel article dans lequel il me traitait de « menteuse » et de « mythomane » pour ce motif, puis il s’était mis à harceler Joël Roma lui-même par courriels et par téléphone en lui demandant, à lui, de confirmer toutes ses inventions délirantes nous concernant, telles qu’il les avait déjà publiées…
Et de s’étonner qu’en réaction l’intéressé quitte définitivement le giron de l’extrême-gauche brestoise et de sa patronne la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest pour aller se réfugier dans celui de la force « politique » a priori la plus radicalement opposée, celle du Front national…
Accusé de viols et d’agressions sexuelles sur mineur, l’ancien ministre Jean-Michel Baylet a été auditionné jeudi 25 février à Paris par la brigade de protection des mineurs, informe l’AFP ce lundi. Entendu en audition libre, l’ancien patron du Parti Radical de Gauche (PRG) « a formellement contesté ces allégations mensongères et apporté toutes les précisions nécessaires » pour des faits prescrits qui remonteraient à 41 ans, a réagi son avocat, Me Jean-Yves Dupeux, dans un communiqué.
Le parquet de Paris a pris l’habitude d’ouvrir systématiquement des enquêtes sur les accusations de violences sexuelles contre des mineurs, même si les faits sont apparemment prescrits, afin de vérifier les faits et de rechercher d’éventuelles autres agressions non prescrites. Le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a demandé lundi aux procureurs de France de généraliser cette pratique, alors que les témoignages et les accusations de violences sexuelles sur mineurs se sont multipliés ces derniers mois.
Âgé de 74 ans, Jean-Michel Baylet a été secrétaire d’État puis ministre entre 1984 et 1993, sous la présidence de François Mitterrand, puis à nouveau entre 2016 et 2017, à la fin du mandat de François Hollande, cette fois de l’Aménagement du Territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales. Actuel maire de Valence-d’Agen (Tarn-et-Garonne), il est également un des propriétaires et le président du groupe de presse La Dépêche du Midi.